Ophélie, de femme à femelle (8)

- Par l'auteur HDS Ophelie13000 -
Auteur femme.
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Récit libertin : Ophélie, de femme à femelle (8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ophélie, de femme à femelle (8)
Je suis une salope, maso, nympho !
Salope, parce que je suis toute nue avec un homme à quelques mètres de mon époux endormi.
Maso, parce que j’ai pris le plus gros orgasme de ma vie en me faisant maltraiter mes seins.
Nympho, parce qu’après avoir jouis comme la dernière des salopes, je suis toujours à quatre pattes, entre les cuisses de mon nouveau Maître, ses couilles dans la bouche faisant tout pour le refaire bander pour qu’il abuse encore de moi. Mon ventre, ma chatte et mon cul en réclame encore plus.
Il m’arrive même d’espérer, tout en léchant les testicules de mon Maître, que Sébastien ou n’importe qui d’autre vienne pour investir mon cul, mon petit cul encore étroit, pour me faire crier de douleur et de plaisir. Je suis incontrôlable, j’ai l’impression que tous les pores de ma peau transpirent le plaisir, de la mouille, je suis en transe sexuel, il faut que je jouisse encore, concentrée sur mon plaisir, je n’entends plus rien, même plus les ordres d’Arnaud qui, las de se répéter, me fouette durement les fesses avec le martinet.
La morsure des lanières de cuir se mes fesses tendues, me ramène à la réalité et, me fait me redresser rapidement tout en serrant les dents pour ne pas crier, ou gémir.

- Quand je dis d’arrêter, tu arrêtes sale chienne !
- Désolé Maître ! j’étais concentrée ……- A quoi tu pensais petite salope pour gémir et tortiller du cul comme ça pendant que tu e léchais les couilles ?
Mon dieu ! Je ne peux pas lui dire clairement que je fantasmai de me faire remplir de tous les côtés avec plusieurs sexes, que j’ai encore envie qu’il m’arrache les tétons, qu’il me gifle en me traitant de salope, qu’il abuse de moi. Putain rien que d’y penser, ça coule sur mes cuisses.

- Alors, réponds chienne ! insiste Arnaud, comme s’il lisait dans mon esprit.
Vite un mensonge, une excuse……
- Je me demandai à quoi je ressemblai quand vous me traiter comme vous le faites, Maître.
Je vois qu’il est intrigué de ma réponse, de mon demi-mensonge. C’est vrai que je me le suis déjà demandé auparavant.

- Tu de demande si tu es excitante, petite chienne ? Si tu ferais bander un inconnu s’il te voyait comme ça ?
- Oui Maître, dis-je en baissant la tête, honteuse de ma réponse.
- Allons demander ça à tes voisins, dit-il en se levant.
Prise de panique, je le suppliai de ne pas le faire, agrippant sa cuisses pour ne pas qu’il avance, comme une petite fille qui ne veux pas perdre son papa. Il me regarde, debout, avec son sourire moqueur, son sexe à l’air, a demi bandé, devant mes yeux. Mon dieu qu’il est beau, j’ai envie de le prendre dans ma bouche.

- Comment veux-tu avoir tes réponses alors, petite chienne ?
- S’il vous plaît Maître, pas mes voisins, n’importe qui mais pas eux !
Bravo, je viens de lui demander implicitement d’inviter des inconnus, il m’a encore piégée et je suis tombé dans son piège.
Il se défait de mon emprise et me demande de le suivre. Je commence à me redresser pour me lever mais, je suis stopper dans mon élan par une claque sur mon seins droit, réveillant la sensibilité de mon téton.

- Tu restes à genou chienne !
Ben oui, quelle conne, je n’ai pas encore l’habitude de ma nouvelle identité. Je le suis jusqu’à son sac ou il en sort son téléphone portable. Il s’accroupi à côté de moi, me disant de regarder l’écran ou il fait défiler des photos, des photos de moi, nue, les seins couvert de sperme, les mains attachées dans le dos sur le capot d’une voiture, ou d’autres ou je suis à quatre pattes……Il a pris plein de photo durant ces quelques jours et, il en sélectionne quelques-unes, commence à chercher dans son répertoires pour sélectionner aussi quelques noms.

- Tu vois, je vais envoyer ses photos à mes contacts en leur demandant si tu es baisable petite chienne. Dit-il en rigolant.
Quelle humiliations, je ne sais plus ou me mettre, je n’ose même pas lui demander de ne pas le faire, de toute façon, à quoi bon ?
Je le regarde faire et, aperçois 20 contacts sélectionnés ! 20 personnes qui vont recevoir des photos dégradantes de moi !

- Voilà, c’est parti ! On va voir qui te trouve bandante. C’est ce que tu veux non ?
Pourquoi nier, c’est vrai !

- Et les 3 premiers qui répondent, je leur envoie ton adresse ! me dit-il en rigolant.
Je panique, j’essaie de le convaincre de ne pas le faire, je prends l’excuse de mon mari qui est là, que ça va pas être facile, si il se réveille..etc… Vaines parole, il me répond qu’il dort et, qu’il pourrait même me baiser au pied de son lit qu’il ne se réveillera pas. Il n’a pas tort, avec ses médicaments, il est dans un sommeil profond qui ressemble à un coma le pauvre. Déjà, j’entends son téléphone recevoir des messages, ça n’arrête pas de sonner. Il m’en fait lire quelques-uns, tous plus injurieux que les autres, « tu t trouver encore une bonne salope » ou « vas-y partage je veux lui faire le cul » ou encore « tu me la fait à combien celle-là ? ».
Il me prend pour une pute ? Je devrais être outrée et en colère mais non, je suis là, à regarder les messages défilés et ça m’excite. Je sens mes tétons piquer tant ils sont durs par l’excitation et, mon cul palpiter.
Arnaud lui, réponds aux messages, je le sens fier de présenter sa nouvelle chienne, fier que ses amis trouvent sa proie excitante et, moi, ben ça me rend toute contente.
Sans lâcher son portable, il me demande ou sont les toilettes, je lui ouvre le chemin, le précédent à 4 pattes, dandinant de la croupe comme pour l’exciter. Je m’arrête devant la porte des toilettes pour lui indiquer que c’est ici, il l’ouvre mais ne rentre pas. Je comprends au bout de quelques secondes qu’il veut que je rentre avec lui. Je me retrouve à côté de la cuvette des toilettes, Arnaud devant attendant toujours.

- Assis ! m’ordonne-t-il.
Je réalise qu’il va uriner à quelques centimètres de moi, que je vais pour la première fois de ma vie voir un homme faire pipi. Mais j’étais loin de me douter ce qu’Arnaud envisageai de faire.

- Si tu n’as pas envie que j’en mette partout, tu as intérêt à la tenir ma chienne !
Instinctivement, je prends ce morceau de chair mou et pendant dans ma main, sans le serrer, le tenant juste à la base, visant le centre de la cuvette, regardant mon Maître, craignant de mal faire.
Il pianote toujours sur son portable, comme si cette situation était banale et, sans même jeter un coup d’œil à son sexe, commence à se soulager.
Je sens le dessous de son sexe se gonflé, l’urine passer le long de ma paume à travers sa bite et, l’urine jaillir au bout. Un beau jet doré, partant un peu à droite, je le regarde, hypnotisée, trouvant se moment humiliant, dégradant et excitant. Sans même m’en rendre compte, je mets ma main sur ma vulve, chaude et humide mais, je me fais rappeler à l’ordre par mon Maître. Je n’ai pas l’autorisation de me toucher. Frustrée, j’enlève ma main et la pose sur ma cuisse, pendant que le jet se tarit, il sort moins fort et pars à coups jusqu’à l’arrêt complet, juste quelques gouttes qui tombent sur le rebord. Sous ses conseils, je secoue son sexe, branle doucement la peau pour essorer les dernières gouttes.
Il en a fini avec son portable, il me regarde, me disant qu’on a l’impression que j’ai fait ça toute ma vie. Ces humiliations, je les prends comme des compliments, je suis fière, je suis une bonne chienne !
Je ne veux plus lui lâcher son sexe, comme aimantée par ce pieu que je trouve magnifique, beau, attirant et, avant qu’il ne dise un mot, je m’approche de ma prise, bouche ouverte, langue tirée frottant son gland dessus, pour le nettoyer, goutter son urine légèrement poivrée, serrant mes lèvres au bout de son gland pour aspirer les dernières gouttes de ce précieux liquide.
Je vois et sens que cette initiative lui plaît, surtout par le gonflement significatif de sa verge. J’ouvre les yeux et les lèvent pour voir son sourire de mâle dominant, ce sourire qui veux dire « tu es à moi sale chienne ».

- Je vois que tu as envie de te faire baisser la bouche dans les chiottes, salope. Hein ?
Oh oui, et pas que la bouche mon maître ! J’ai envie de me faire baiser tout court. Vas-y, baise ta salope de chienne.
Pour toute réponse, j’ouvre en grand ma bouche, engouffrant une partie de ce monstre de plaisir qui ne cesse de grossir, de grandir. Arnaud pose son téléphone sur le réservoir des toilettes, me prend la tête à demain et en me promettant que je vais être servie, commence à me pilonner la bouche, me faisant reculer à chaque coup de bassin, si bien que j’ai la tête au-dessus de la cuvette, au-dessus de sa pisse.
Il se déchaine dans ma bouche, il force toujours un peu plus à chaque retour, il me fait baver, tousser, hoqueter. Je sais ce qu’il essaie de faire, me la mettre entière, me la faire avaler complétement mais, j’en suis qu’à la moitié et déjà j’ai des haut de cœur, je bave comme un bulldog, si il insiste, je vais m’étouffer avec mon vomi.
Il insiste, je sens son gland toucher mon œsophage, déclenchant instinctivement le rejet de tout ce qui se trouve dedans, je vais mourir étouffer mais avant que je ne cède à la panique il se retire, accrocher à mes lèvres par des dizaines de filets de bave, il me penche la tête vers les toilettes pour que je recrache toute la bile et bave dans un toussotement, il me laisse vomir toute ma salive, dans un bruit dégoutant, pleurant, essayant de reprendre mon souffle.
Il me laisse reprendre mon souffle et, quand il estime que ma respiration deviens régulière, me remet sa queue dans la bouche, me disant de me détendre, de me calmer. Je le sens progresser, je vois son sexe avancer de plus en plus, les yeux pleins de larmes, je sens son gland toucher ma glotte, mon estomac se contracter. Il recule doucement, me laissant reprendre de l’air et, me calmer puis replonge dans ma bouche.
Je l’entends m’encourager, me donner des conseils mais l’instinct de régurgitation et plus fort, je sens mon œsophage se remplir, et ma panique revenir au galop. Il se retire pour me laisser de nouveau vomir dans les toilettes. Déçue de ne pas contenter mon maître, je regarde son sexe plein de bave, droit, fier avec envie de le reprendre en bouche.
Il me tape sur la joue, me disant que je ne suis pas encore prête pour être une vraie bouffeuse de queues mais, qu’il va m’apprendre.
Je suis déçue, honteuse et humiliée, à genoux au-dessus des toilettes, la figure pleine de bave, les yeux pleins de larmes attendant la punition pour ne pas avoir contenté mon maître. Nous sortons des toilettes, je le suis, à quatre pattes, comme son animal de compagnie jusqu’au salon, vers la table basse. Il prend le sexe en plastique avec la ventouse, il le plaque sur un coin de la table basse et, retourne s’assoir sur le canapé, les cuisses écartées, le sexe pendant sur le cuir.

- Debout, et assis toi dessus, me dit-il en désignant le sexe. Baises toi dessus pendant que je réponds à tes admirateurs.
Je me lève, enjambe la table basse pour avoir ce sexe factice entre les cuisses, face à mon Maître. Je commence à fléchir les genoux, et je sursaute en sentant la matière froide contre mes lèvres brulantes. Je commence à onduler du bassin, faisant entrer doucement ce sexe dans ma chatte. Je suis si excitée que j’aie l’impression qu’elle l’aspire, je sens mes lèvres se refermer sur ce pieu en plastique, me remplissant de plaisir, le sentant coulisser dans mon fourreau humide. Les mains sur les genoux, je me baise littéralement sur ce sexe, les cuisses écartées, devant mon Maître, qui pianote sur son portable, répondant à ses amis.
Cette scène obscène dure plusieurs minutes, durant lesquels j’adapte mon va et viens pour ne pas jouir, durant lesquels je vois Arnaud prendre des photos pour mes admirateurs. Je suis dans un état second, me concentrant sur mon plaisir, sans orgasme, j’ai les yeux fermés, tout ce qu’il y a autour de moi disparait, je suis dans ma bulle. Je l’entends se lever, ça y est, il va me faire jouir en frottant sa queue contre moi, je n’ouvre pas les yeux, je veux juste sentir ses mains sur moi mais, au lieu de ça, il va ouvrir la porte. Plusieurs voix et bruits de pas me vont revenir à la réalité, me faisant arrêter tous mouvements sur mon gode. Je mets une main sur ma chatte et mon bras sur ma poitrine pour essayer de cacher ma nudité à ses inconnus. Je n’ose ouvrir les yeux, si je ne les vois pas, ils ne sont pas la ! Mais je distingue plusieurs voix, celle d’Arnaud, une autre que je reconnais, Sébastien, une autre plus grave que je ne connais pas et une féminine.

- Mets tes mains derrière la tête et regarde nous salope !
Non, je ne peux pas, je ne veux pas ! Partez de chez moi, laissez-moi tranquille. Je panique, des inconnus sont chez moi et, je suis toute nue.
Sans la voir arriver, je reçois une gifle, me faisant ouvrir en grand les yeux.
Je vois mon Maître, toujours nu assis sur le canapé, Sébastien à côté de lui et, une femme devant moi. C’est elle qui vient de me gifler. Je prends la position demandée, sans réfléchir, regardant cette femme, plutôt cette fille. Elle doit être à peine majeure, habillée d’une jupe qui ne cache rien, d’un top trop petit pour contenir ses seins, plus gros que les miens et plus fermes aussi.
Elle me regarde, fait le tour, me flatte les seins.

- C’est elle votre nouvelle chienne Monsieur Arnaud ? demande cette gamine tout en riant. Elle n’est pas trop vieille pour vous ?
Quelle honte, me voici humiliée par une gamine. Ils rigolent tous de bon cœur, et soudain je sens une grosse main me prendre par le bras. Le troisième homme que je n’avais pas vue me fait mettre debout, me lie les bras derrière le dos, me met mon bâillon, et me fais assoir sur une chaise et, m’attache les chevilles aux pieds de cette chaise. Je suis prisonnière chez moi, ligotée sur une chaise devant mon Maître, son filleul, et une gamine qui vient de se mettre toute nue sans aucune pudeur et, qui s’approche de moi dans une démarche chaloupée. Elle me colle ses gros seins fermes sur le visage, les frottant partout, me faisant voir de près ses tétons percés. Elle me murmure à l’oreille :
- Tu vas voir ce que c’est qu’une vraie chienne, vieille salope !
Sur ce, elle se tourne, se met à quatre pattes et commence à avancer vers les deux compères nus, roulant son cul, faisant frotter ses seins sur le parquet. A mi-chemin, elle tourne sa tête vers moi, écarte d’une main ses fesses pour me faire voir son cul, complétement ouvert, on pourrait y mettre une pièce de 2 euros sans toucher les bords. Mon dieu, si jeune et déjà si ouverte.
Arrivée à destination, elle pose ses fesses sur ses talons, mets ses mains derrière la tête et ouvre la bouche devant mon maitre qui s’est relevé. J’assiste à toute la scène, impuissante, voulant me libérer pour virer cette petite pute, pour prendre sa place, pour reprendre Ma place. Mon dieu, je deviens jalouse, non, je suis jalouse !
C’est moi qui dois être devant lui, c’est moi qui dois recevoir le crachat qu’il dépose dans la bouche de cette gamine. Malgré moi, je mors le bâillon quand je vois le gland de mon Maître disparaitre dans sa bouche, je me tortille sur ma chaise en voyant sa belle queue avancer dans la bouche de cette petite salope qui ne le lâche pas du regard.
Arrivé à la moitié, il se tourne sa tête vers moi et me dit « regarde » avec un air provocateur, tout en posant ses mains sur la tête de la jeune fille pour l’attirer vers lui. Je suis aux premières loges pour voir sa queue disparaitre entièrement, pour voir son nez toucher le pubis de mon maitre, pour voir sa gorge se gonflée pour absorber l’énorme barreau de chair. Je l’entends pouffer, tousser, je vois des larmes couler mais elle résiste, tiens bon même quand il donne des coups de reins pour s’enfoncer au maximum. Il ressort pour lui laisser le temps de reprendre son souffle et replonge plus fort. Je le vois impuissante, lui baiser la bouche durant plusieurs minutes, me rendant jalouse et excitée à la fois.
Voilà ma punition pour l’avoir déçue : le voir abuser d’une chienne, devant moi sans que je ne puisse rien faire. Un vrai calvaire.
Et ils en profitent pendant plus d’une heure, Arnaud et Sébastien, se relayant dans le cul de cette gamine, en diverses positions, à 4 pattes, debout, en missionnaire…. Elle subit même un double pénétration, ce qui me fit mouiller ma chaise, me rappelant ce que j’avais subit. Enfin presque.
Elle finit par se faire prendre assise sur mes genoux, face à moi, ses gros seins collés sur les miens, me léchant le visage tout en me disant que c’est bon de se faire démonter le cul. Je sens tous les coups de bite de mon maitre à travers son corps, et ça m’excite encore plus. Je le sens même jouir dans son cul dans un dernier coup de reins, aussitôt remplacé par Sébastien qui remplit aussi l’intestin de la salope et, remplace son sexe par le citron en plastique (le plug).
Ils laissent la gamine, le cul remplit sur moi, elle continu à me susurrer des cochonneries à l’oreille, elle me promet qu’elle s’amusera avec moi quand je serais chez elle, qu’elle va m’initier a des choses incompréhensible.
Lorsque tout le monde a repris ses esprits, Arnaud demande au vieux monsieur, à côté de moi, qui est resté impassible durant toute la scène, de me détacher, d’ôter mon bâillon et de m’allonger par terre.
Ceci fait, je me retrouve allongée par terre, les bras toujours attachés dans le dos dans une position très inconfortable, entourée de tous mes « invités ». Ils me regardent tous avec un large sourire, surtout Christelle (j’ai connu son prénom par la suite) qui vint mettre ses pieds de chaque côté de mes épaules. J’avais une vue imprenable sur sa chatte trempée mais bizarrement étroite, et son cul encombré par le plug. Elle commence à plier les genoux, écartant les cuisses au-dessus de mon visage, prends la base du plug pour commencer à tirer dessus, faisant entendre un ploc. Je vois son cul à quelques centimètres de moi, serré comme si elle se retenait de faire caca.

- Allez ouvres la bouche vieille chienne, me dit-elle.
Devinant ses intentions, je reste bouche fermé. Voyant cela, elle me claque la chatte pour me convaincre de lui obéir, sans succès. Après plusieurs tentatives, elle planta ses ongles dans mes seins, les glissant vers mes tétons. De douleurs j’essaie de me débattre mais, le vieil homme me bloqua les jambes, m’immobilisant totalement. Christelle accentue la pression sur mes tétons, m’arrachant un Ah de douleur, me faisant ouvrir la bouche en grand, donnant le signal à ma tortionnaire pour se vider l’intestin dans ma bouche.
Je vois son cul s’ouvrir et, le sperme des deux hommes s’en échapper, tombant par paquet dans ma bouche, sur mon visage, essayant au maximum d’éviter d’en avaler, elle se vide complétement sur moi dans des bruits de pets.
J’ai l’impression qu’elle vient de me chier dessus, et ça fait rire tout le monde. Elle finit par un dernier pet, et frotte son cul et sa chatte sur mon visage, étalant tout le sperme récolté. Tout le monde s’écarte de moi, me laissant allongée par terre. Arnaud et Sébastien se rhabillent, Christelle reste nue et se place à genoux aux pieds du troisième homme. Je devine à ce moment que c’est son maître.

- Comme convenu, je passe la prendre demain matin à ton bureau, dit cet homme à mon maitre en lui serrant la main.
- Comme convenu, je passerai demain après-midi, ça te laisse la matinée pour toi.
Je ne comprends pas ce qui se passe, il salut tout le monde et s’en va avec Christelle toujours toute nue.
Sébastien le suit, me laissant seule avec mon Maitre, nue, par terre, le visage couvert de sperme, avec une envie, me faire baiser.
Il se penche vers moi, m’écarte sans ménagement mes cuisses, et m’enfonce le gode dans la chatte.

- Allez, bonne nuit ma salope, à demain matin.

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