J'ai trouvé du boulot (4)

- Par l'auteur HDS Envieuse -
Récit érotique écrit par Envieuse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J'ai trouvé du boulot (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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J'ai trouvé du boulot (4)
Mon été se passa sans autres histoires particulières. A la mi-septembre, les épouses et les enfants
avaient regagné leurs foyers. Les visites nocturnes s'accentuèrent, jusqu'au jour où je trouvais une
nouvelle fois un mot sur mon lit, après ma douche. Quelqu'un devait venir me prendre pour m'emmener à
une réception.
Vers 14 heures, on frappe à la porte de ma chambre. Un des employée de l'hôtel me dit qu'une voiture
m'attend à l'entrée de service. Arrivé au bout du couloir, je vois une personne, dans une Austin mini, qui
me fait signe de la rejoindre. Je me présente à la porte et m'assied sur le siège passager, après y avoir
été invité.
Ma conductrice est jeune, une vingtaine d'années, comme moi, et je devine assez vite que, malgré sa
jupe courte et son maquillage, j'ai affaire à un garçon. Il, ou plutôt elle, se contente de sourire lorsqu je lui
demande où nus allons.
La voiture pénètre enfin ans un domaine et se ranger près d'une luxueuse villa. Je n'avais jamais vu ça.
Mon, ou ma guide m'invite à pénétrer dans la maison et me conduit vers une sorte de logement séparé. A
peine ai-je refermé la porte derrière moi que mon accompagnatrice, qui est en fait un jeune garçon
travesti, se colle contre moi et me caresse des fesses à la nuque. Je n'étais pas prêt à ce type de
rencontre, mais je me laissais faire. Elle finit par s'agenouiller et par sucer mon sexe. Surpris mais
surexcité, j'éjaculais rapidement dans sa bouche. Elle se leva et me dit que c'est ce qu'elle voulait.
Elle m'a entraîné dans une chambre, m'a demandé de me dévêtir et m'a invité à choisir des vêtements
dans une garde robe de rêve. Nue elle aussi, elle m'a conduit à essayer diverses tenues plus sexy les
unes que les autres, me demandant d'en garder une. Je me retrouvais couvert d'un porte-jarretelles
discret, de bas à couture et d'un bustier moulant. Ouvrant une autre armoire, elle me fit essayer des jupes
jusqu'à ce que je trouve ma taille. Et du fond de l'armoire, elle sortit deux manteaux de fourrure. Du plus
long, et de couleur sombre, elle m'enveloppa le dos, m'embrassant langoureusement dans le cou.
Après m'avoir regardé de bas en haut, elle s'est déshabillé, me demandant d'en faire autant et nous nous
sommes douché. Elle sortit ensuite crèmes et parfums et nous nous sommes préparées comme deux
jeunes filles pour aller au bal.
Nous nous sommes regardé et elle s'est approché de moi. Elle me dit que la soirée allait être sans doute
longue et qu'il valait mieux que nous nous fassions plaisir avant. Elle m'a conduit sur un lit, dans la pièce
d'à côté et a commencé à me caresser. Elle a dirigé sa tête vers mon entrejambe et je me suis retrouvé le
nez contre son sexe. Je l'ai pris dans ma bouche avec autant d'appétit qu'elle avait pris le mien. Nos
caresses durèrent quelque peu, au point que mon sexe s 'était recroquevillé et tenait parfaitement dans le
string que j'avais enfilé.
Me considérant apparemment prêt pour la suite, elle m'entraîna vers une pièce immense avec un bar où
siégeaient mes employeurs et un homme d'une cinquantaine d'années qui, je l'appris plus tard, était le
propriétaire de l'établissement dans lequel je travaillais.
J'imitais mon guide qui venait se frotter, de dos, entre les jambes de ces messieurs. Le propriétaire, et
visiblement son patron, fit signe à deux gaillards qui étaient assis près de la sortie, de s'approcher, nous
repoussant du geste vers un canapé situé au milieu de l'immense pièce. Les deux armoires à glace ne
nous ont pas laissé le temps de nous asseoir et, chacun tenant l'une d'entre nous par les cheveux ou par
le cou, sortit son sexe et le présenta devant nos lèvres. Je suivis l'exemple de ma maintenant partenaire
et commençais à prendre un sexe jusqu'au fond de ma bouche, aspirant, suçant et caressant comme je
l'avais appris depuis peu.
Sentir ce sexe gonfler dans ma bouche me mettait dans tous mes états, la main posée fermement
derrière ma nuque me donnant la sensation d'une fellation forcée. Ensuite, le serveur est sorti du bar et
s'est dirigé vers nous et a commencé à soulever ma jupe. J'ai rapidement senti un doigt s'introduire dans
mon petit trou. L'homme était pressé et écartant ma petite culotte, il sa sorti son sexe et s'est appuyé
contre ma rondelle, de plus en plus fort, jusqu'à ce que je me sente pénétré. Mes fesses offertes, penché
vers l'avant et avec un sexe dans ma bouche, je me sentais prêt à tout. En fait, nos amants d'un moment
ne faisaient que nous préparer à la suite. Les pénétrations et fellations ont duré un bon moment, mais
sans que jamais nos partenaires n'éjaculent.
Déjà ébranlées (je pense qu'il est plus normal de parler au féminin) par ce traitement, nous nous sommes
retrouvées dans la pièce précédente, avec mes employeurs et le propriétaire des lieux. Il a demandé à
ma partenaire du jour de me conduire à lui. Il avait un type latino et, pour 1,90 mètres, devait bien peser
ses 120 kilos. Lorsqu'il me retourna pour me peloter les fesses, je me suis sentie d'une dérisoire
impuissance. Je ne savais pas ce qui pouvait m'arriver, mais je savais que j'allais me soumettre.
Ses doigts passèrent entre mes fesses titillant mon petit trou qui, bizarrement, commençait à s'humidifier.
Encore une nouvelle sensation. Il m'a ensuite soulevée et je me suis retrouvée sur ses genoux, sur un
tabouret de bar, serrée entre des bras puissants et sentant sous moi gonfler un sexe. J'étais tellement
excitée que j'en perdais la tête. Lorsque je vis ma partenaire accroupie, en train de caresses deux de
mes employeurs, je me penchais vers l'avant et ouvrais la braguette du troisième, le plus corpulent. Son
sexe était déjà en érection et je me mis à le branler et à le sucer pendant que le maître des lieux se frottait
contre moi.
Il ne suffit que d'un regard pour que nous soyons docilement conduites vers une belle pièce où trônait un
lit immense. Comme nous nous le sommes raconté ensuite, nos manteaux de fourrure nous excitaient
autant qu'à nos partenaires. Nous faisions figure de deux jeunes bourgeoises qui se faisaient prendre
par la canaille.
Nous avons subi pendant des heures les assauts de nos patrons. Je n'avais jamais passé autant de tant
avec un sexe dans la bouche et un autre dans le cul. Les quatre hommes se relayaient et, sous l'effet de
l'alcool ou peut-être d'autre chose, il reprenaient de la vigueur, et recommençaient à nous pilonner
jusqu'à l'épuisement. Je ne ressentais plus de douleur lors de la sodomie et je pense que j'ai bien dû
éjaculer trois ou quatre fois tant cette domination m'avais satisfait.
Lorsque nos patrons nous ont abandonné sur le lit, ma partenaire m'a emmené vers une superbe
chambre, avec une grand lit, sur lequel nous allions pouvoir nous reposer. C'est alors que les deux
gaillards du début (des gardes du corps ?) sont entrés et se sont pratiquement rués sur nous. L'un d'eux
m'a empoigné et attaché aux barreaux du lit. Puis les deux se sont mis de part et d'autre de ma partenaire
qui ne pouvait se défendre et l'ont pénétrée de part et d'autre. Elle hurlait son plaisir et sans doute sa
douleur à la fois. Délaissant son corps, il se sont ensuite occupé de moi, toujours attaché, me collant
contre la tête de lit et me sodomisant à tour de rôle. Mon impuissance me faisait jouir et j'aurais voulu que
ce moment n'en finisse plus. Ce n'étaient plus des gémissements, mais des cris que j'émettais pour
montrer mon plaisir et exciter mes partenaires. Je n'aurais pas pu me défendre contre eux et c'est ce qui
me plaisait, ma soumission à leurs désirs. Lorsqu'ils en eurent fini avec moi, ils m'ont détaché et je me
suis retrouvé face à face avec mon guide. Elle a entrepris de me sucer, dirigeant ma tête vers son sexe.
Epuisées, nous avons quand même trouvé les ressources pour nous faire mutuellement jouir.
C'est elle qui a tenu à me remmener le lendemain, dernier jour de mon contrat aux Canaries. Elle était
toujours vêtue d'une jupe courte et d'un bustier et parfumée avec soin. J'avais pour ma part retrouvé mon
pantalon de toile et ma chemise. Elle insista pour visiter ma chambre et une fois entrés, elle m'a demandé
de me comporter comme un garçon, ce que je n'avais plus fait depuis plusieurs mois. Elle m'a pris par le
col de ma chemise et s'est adossée au mur. Pas habitué à une telle situation, je me suis mis à
l'embrasser dans le cou, ce qui a provoqué une excitation subie chez elle et elle s'est retournée, m'offrant
son petit trou et remuant ses fesses contre moi. J'aurais voulu être à sa place, mais c'est moi qui ai dû la
sodomiser et ses encouragements m'ont procuré un plaisir que je n'avais jamais ressenti. Nous nous
sommes endormi l'une contre l'autre, tendrement peut-être, mais sûrement vaincues par notre débauche
de sexe.
Le lendemain matin, j'avais fait mes bagages. Mon avion ne décollait qu'en fin d'après-midi. Je passais
par les trois bureaux, pou aller saluer mes employeurs et je reçus remerciements et paye. On me prévint
qu'un taxi devait me prendre vers midi. Celui-ci arriva en effet à l'heure. Mais dans le taxi monta
également l'un de mes employeurs, le plus grand et costaud des trois. Il me prit derrière la nuque et,
pendant que le taxi commençait à rouler, il mit ma tête contre son sexe, ondulant légèrement du bassin.
La pensée que le chauffeur de taxi puisse nous voir provoquait en moi un trouble difficile à dissimuler,
tant et si bien que je commençais à caresser le sexe de mes mains, m'assurant du coin de l'œil que le
chauffeur de taxi me voyait.
Tout était sans doute prévu. Nous nous sommes arrêts en route, à l'endroit où j'avais été conduite à mon
arrivé. Les deux hommes m 'ont conduit à l'extérieur de la voiture et m'ont couché sur le capot avant, tirant
mon pantalon vers le bas. J'ai subi les assauts de l'un et de l'autre. Particulièrement excités, ils se sont
relayés au moins trois fois chacun pour satisfaire leur envie. J'étais exténuée de la veille et mon corpos
n'était plus qu'un objet entre leurs mains. Je gémissais et criais, entre fatigue et plaisir démesuré. Je ne
me reconnaissais plus, haletante et soumise, en re-demandant, insatiable et épuisée par mes maîtres.
Quand ils en eurent fini avec moi, l'un d'eux m'enfonça un gode dans l'anus et me mit par dessus une
petite culotte sexy, en me disant qu'il espérait que les douaniers ou les flics allaient s'occuper de moi.
Inutile de dire dans quel état j'ai passé mon voyage en avion.
Je n'ai pas revu d'annonce pour l'année suivante. Et j'en ai été quelque peu déçu. J'ai cherché à me
retrouver dans les mêmes conditions mais je suis toujours tombé sur des types manquant de tact,
insultants et primaires. Mon expérience m'avait enthousiasmé mais depuis, c'est la déception qui domine,
pourtant, il est sûr que quelqu'un… quelque part…

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