Fantasme tabou ou presque

- Par l'auteur HDS Laelith -
Récit érotique écrit par Laelith [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Fantasme tabou ou presque Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Fantasme tabou ou presque
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je n'en reviens toujours pas, moi le célibataire convaincu, j'ai trouvé la perle rare, enfin j'ai trouvé, elle m'a trouvé. L'aura du prof d'EPS je suppose. Elle, c'est une prof d'anglais de mon collège, je l'avais déjà remarqué et même admiré sous toutes les coutures mais elle était mariée et pour moi c'était rédhibitoire. Nous nous sommes cotoyés, croisés durant le boulot mais sans jamais aller plus loin. Mais un jour , elle est venu carrément chez moi et m'a avoué tout de go qu'elle voulait essayer quelque chose avec moi...,moi au début je ne voulais que son corps, j'ai dit oui .
C'est vraiment une femme magnifique de 35 ans, la peau bronzé, des seins volumineux légèrement tombant avec des aréoles très brunes et de gros tétons qui appellent les baisers, des jambes assez longues et surtout musclées, des mollets très formés et un cul à la fois bombé et pas trop gros.
La première fois que je l'avais vu elle avait moulé son magnifique postérieur dans une jupe mi-longue mais suffisamment souple pour laissé apparaître ses formes. J'avais eu aussitôt une érection et je suis sûr que dans la journée de rentrée du collège je n'avais pas du être le seul, élèves compris. Un beau visage mais avec des imperfections qui lui donnaient du cachet, des yeux bleus et une bouche souriante qui lui barrait le visage. Je vous dit , je n'en revenais pas d'être avec elle.
En plus, elle adore que je lui achète des vêtements sexy et donc je ne me prive pas de lui acheter des jupes moulants et surtout des escarpins, chaussures qui m'ont toujours fait tripper. J' adore également sortir avec ma femme dans des lieux publics et la montrer aux autres, elle le sait et ne se prive pas de s'habiller comme j'aime dès que je l'invite au restaurant ou au cinéma.
Depuis plus d'un an que nous sommes ensemble, l'amour ne s'est pas tari et le sexe est devenu de jour en jour de plus en plus intense, délicieusement présent à chaque fois que nous le pouvions, et nous le pouvions très souvent. En effet, Thibaut 17 ans, le fils adoptif de Fabienne était une semaine sur deux chez son père adoptif et bien souvent à l'école pendant que nous étions chez nous. Lorna la fille de Fabienne, 18 ans était en Angleterre pour six mois afin d'apprendre la langue et Louis l'ainé, 20 ans en fac de sport. Dès le début, les relations avec Thibault furent assez tendues, non pas que nous ne nous apprécions pas mais Fabienne qui s'en voulait de les avoir obligés à vivre la séparation de leurs parents, leur cédait presque tout et surtout les croyait sur paroles, n'imaginant même pas qu'ils se servaient d'elle exagérement. C'était encore plus prégnant avec thibault du fait qu'il n'était que son fils adoptif.
Avec Lorna et Louis, cette situation ,pour moi, était sans conséquences directes mais pour Thibault , ses résultats en cours ont chuté et Fabienne n'attribuait cela qu'au divorce et à son adoption et non pas à un manque de travail criant, encore plus criant depuis qu'il avait reçu son portable. Les tensions entre Thibault et Fabienne commençait à rejaillir sur notre couple.

Juin 2015 -25 degrés- au bord de la piscine, allongés sur le transat.
«  Mon fils adoré a-t-il bien travaillé cette après -midi ? » dit Fabienne à Thibault qui pour toute réponse plongea dans la piscine.
« Cesses de te miner avec ses résultats scolaires, il ne bosse pas, point barre. Je suis sûr qu'il n'a rien fait dans sa chambre, il a dû passer son temps sur son portable à faire semblant. Comment veux tu être concentré quand tu as un portable à porter de main. » dis-je à Fabienne.
« Arrêtes de dire çà, je l'ai vu travaillé tout l'après midi, il mérite bien une petite pause  » me répondit-elle.
La pause en question consistait en une baignade dans l'immense piscine de notre maison puis de s'allonger sur notre immense transat 5 places que j'avais fabriquer moi-même ( afin de faciliter nos nombreux ébats Fabienne et moi) . Thibault qui était revenu entre temps, me regarda avec son air dédaigneux et me dit «  De toute façon, tu me crois jamais «
Sa mère tombant toujours dans le piège rajouta «  C'est pas complètement faux ce qu'il dit là, non ? « 
Je lui répondis «  Fait ce que tu veux et crois ce que tu crois mais viens pas pleurer après si ces résultats sont minables « 
« Quel petit con « me dis-je en mon for intérieur » un de ces jours je vais bien finir par te mettre le nez dans tes mensonges, t'inquiètes pas et à mon avis assez rapidement« et sans plus m'occuper de lui, je plongeais la tête la première dans la piscine.

Deux jours plus tard , je reçu ce que j'attendais depuis une quinzaine de jour, un kit complet du petit espion comprenant une minuscule caméra pouvant enregistrer 48 heures non stop, un micro, deux oreillettes et deux talky walky, y'avait plus qu'à les installer et je pourrais le mettre dans sa merde, j'en étais persuadé. Profitant de son absence, j'installai la caméra et le micro juste au dessus de son bureau. Il ne restait plus qu'à attendre qu'il rentre pour travailler et le tour serai joué.
Dès le premier jour de visionnage, mes soupçons s'avérèrent fondés et oh combien. Dès le début il passa son temps à regarder des vidéos. Il regarda même une vidéo porno. C'était une journée où sa mère était là et quand j'avais calculé son temps de travail effectif , cela ne dépassait pas 25 % du temps passé dans sa chambre.C'était un bon début mais il m'en fallait plus.
Pour le deuxième jour, il n'y avait rien à en tirer puisque seul Fabienne avait son après midi qu'elle passerait évidemment en alternance dans la piscine et sur le transat à se bronzer sans moi malheureusement.
Le visionnage du troisième jour fut beaucoup plus intéressant. En effet, au bout d'une heure de visionnage du même acabit que le premier jour, je le vis regarder une video tout en ce caressant là sous son bureau. La vidéo était parfaitement visible, il s'agissait d'une scène où une magnifique femme était allongée au bord d'un piscine. Là, je le tenais, il ne pourrai pas nier devant sa mère qu'il ne travaillait pas surtout que la femme de la vidéo était sa mère.Merde, mon beaufils était en train de mater une vidéo de sa mère adoptive tout en se caressant avec frénésie. Qu'allait je pouvoir bien faire de cette vidéo. En parler à sa mère me parut la meilleure des solutions. Oui mais comment aborder le sujet ? Je décidait de me laisser du temps pour apprhender la bonne façon de lui annoncer. Ce qui était sûr c'est que ce petit con allait moins se la raconter dorénavant.

« Demain baignade et bronzage toute la journée, chéri c'est la première journée du bac et l'on a plus cours. J'ai regardé la météo, pas de vent et 27 degrés en milieu de journée, ça va être top »
« Yes mon amour on va en profiter c'est sûr, surtout que notre pauvre Thibault chéri a cours lui toute la journée, c'est ballot » fit- je en me moquant gentiment de lui.

Bon, il a mis son téléphone en place sur l'arbre, je suppose qu'il doit filmer. Je vais pouvoir le montrer à Fabienne. Elle doit être allongée sur le transat en train de bronzer.
Allez une petite baignade et je lui dit tout. Une fois baigné, je me jette sur la serviette et m'allonge à côté de Fabienne.
«  Fabienne, j'ai quelque chose à te dire à propos de Thibault  et ...»
«  Ah non ça suffit ta fixette avec Thibault, si tu n'es pas capable d'avoir confiance en lui il va être inutile que l'on continu ensemble. C'est mon fils quand même malgré l'adoption , si je dois choisir entre vous deux le choix sera vite fait. »
Complètement abasourdi, ne sachant que lui répondre, je pris ma serviette et parti dans le salon.
Merde, la salope, elle est prête à me quitter à cause de ce petit con et lui, il a encore le beau rôle.
Pas cette fois -ci, il veut des images, eh bien il va en avoir et des bonnes.
Calmé et décidé, je revins vers Fabienne pour faire la paix. « Tu as raison » lui dis-je » je vais tâcher de l'oublier et de ne penser qu'à toi et après lui avoir déposé un baiser sur son genou je partis me rebaigner.
L'attente en sachant ce qui allait arriver m'a toujours fait tripper, j'adore ça, c'est presque aussi bon que l'action en elle même. On peut fantasmer à sa guise et mes fantasmes ce sont souvent transformés en réalité avec Fabienne.
Allez c'est parti, le tournage va commencer. Ne sois pas trop pressé, ne lui saute pas dessus, cela devrait venir naturellement.
« Elle est bonne » me demanda Fabienne.
« Excellente, fraiche jusqu'il faut pour faire oublier la chaleur « lui répondis-je en lui déposant un baiser sur son épaule.
Fabienne était allongé sur le ventre, en train de lire un roman de Fred Vargas. Sa peau était brulante et sentait le monoi. Au niveau de son cul subsistait un léger décalage de bronzage qui me faisait tripper. Je l'aurai bien croquer tout de suite mais j'avais décidé d'être patient en pensant à ce petit con de Thibault.


« Le livre est si passionnant que je n'ai même pas été me baigner. Tu devrais le lire, je suis sûr que ça te plairais. »
« Vu le beau temps actuel, je préfère m'occuper autrement, lorsque le temps virera à la pluie ce sera plus le moment, non ? » lui répondis-je
« Tu veux t'occuper, eh bien mets moi de la crème avant que je ne sèche sur pied dans d'atroces souffrances » me dit-elle en riant.Je pris la bouteille de monoi et me positionnais assis sur le haut de ses jambes et commençais à lui en mettre sur les épaules et sur son dos. Elle adorais cela car je ne faisais pas que lui mettre de la crème mais en même temps je la massais, si bien qu'au bout d'un certain temps de cette pratique, elle finissait toujours par lâcher son livre pour profiter pleinement de ce délice comme elle l'appelait. Très vite elle lâcha son livre en émettant un ronronnement de plaisir.
« T'aurais du faire masseur –kiné » me dit elle pour la centième fois. Une fois le dos fait, c'est à ce moment que les choses en général dérapaient très vite.En effet, le massage descendait au niveau des ses fesses, et croyez moi vu la beauté de celles-ci aucun homme et surtout pas moi n'aurait résisté à une telle tentation. A chaque fois que j'atteignais ce magnifique cul, des dizaines d'idées , de sensations, d'envies se bousculaient dans ma tête et je ne pensait plus qu'à une seule chose, lui faire l'amour. Et elle le savait très bien, elle le ressentait. Aujourd'hui ne fut pas différent bien au contraire. Instantanément lorsque je commençais à lui mettre de la crème, je me mis à bander .Je me mis donc à masser l'ensemble de son corps magnifique en la couvrant de monoi. A la vue de sa peau brillante et bronzée, au toucher de son corps ferme et souple à la fois, je ne pu m'empêcher de m'attarder sur ses fesses. Je les malaxai tout en me rapprochant de plus en plus de son petit trou du cul . Fabienne, pour mon plus grand bonheur acceptait non seulement la sodomie mais en plus l'appréciait à un point que je n'aurais jamais cru. De plus en plus insistant sur l'entrée de ses fesses, elle se retourna en s'étirant et me dit :
 » Il faut m'en mettre partout si tu veux que je sois bien bronzé. »
Et elle pris ses seins entre ses mains en me fixant avec ses beaux yeux. La salope, avant qu'elle ne me permette de prendre son cul, il allait falloir que je paye de ma personne. Aussitôt, je me penchai vers elle et l'embrassai à pleine bouche, lui mangeant ses lèvres, aspirant sa langue, tout en malaxant ses seins avec mes deux mains. Après quelques instants , je pris ses tétons gonflés entre mes doigts et les fit rouler en les pinçant assez fortement. Fabienne gémit en se tordant sous moi. N'attendant que cela, ma main descendit entre ses jambes et sans ménagement , j'introduisis une partie de mes doigts dans sa fente déjà trempée et la fouillai consciencieusement.Elle releva ses jambes pour me permettre de pénétrer plus profondément son sexe. Quelle beauté ainsi offerte, elle était tout ce que j'avais fantasmé, magnifiquement femme et délicieusement et naturellement folle de sexe.
Me reculant un peu en me mettant à genou, alors qu'elle me jetait un regard interrogatif du pourquoi de cet arrêt subit, je lui dit presque en lui ordonnant : «  j'ai envi que tu me suces là maintenant » et en même temps je saisis fortement ses cheveux et approchait mon sexe de sa bouche.

Je crus qu'elle allait être choquée par cette demande car bien qu'étant très libre sexuellement, je n'avais jamais essayer d'imposer en force mes désirs mais rien de tel, elle sourit et m'avala d'une seule traite en gémissant de plus belle . Qu'est ce qu'elle suçait bien. Elle m'avait expliqué un jour, qu'elle adorait sucer les sexes car lorsqu'ils grossissaient dans sa bouche, elle avait l'impression d'être à la fois violenté par les sexes ( qu'elle préférait assez conséquent ) et à la fois de maitrisé celui qui la violentait. Si bien qu'à chaque fois qu'elle m'avait sucé, j'avais joui avec délice dans sa gorge. Mais cette fois c'était différent, j'avais plus envie de baiser sa bouche plus qu'elle ne me suce. Je repris donc ses cheveux et tirai sa tête en arrière en lui disant : » j'ai envi de baiser ta bouche aujourd'hui » et joignant le geste à la parole j'enfoncai ma bite dans sa gorge comme s'il s'agissait de son sexe.L'effet, qui pour moi était nouveau, était extraordinaire. J'avais l'impression de baiser une pute qui m'aimait. Fabienne, elle, semblait apprécier ma nouvelle façon de faire et avançait sa bouche à chacun de mes coups de rein. Je la vis même descendre sa main sur son sexe et commencer à se caresser avec frénésie ce qui ne lui arrivait que très rarement. Me rappelant soudain mon adorable beau fils, je me mis en devoir de bien mettre en exposition la magnifique bouche de sa mère violentée par mon sexe imposant. Rien que le fait de penser que quelqu'un regarderait film me fit pratiquement jouir dans la bouche de Fabienne. Je me retirai avec regret, sachant que le film devait devenir plus hot.
Fabienne me regardant me dit «  tu était très gros, tu aurais pu jouir dans ma bouche »
«  oh oui, mais aujourd'hui je veux que ton petit cul déborde de sperme, ma belle » lui dis-je
«  mets toi à 4 pattes, j'ai très envie de ta magnifique croupe »
Fabienne se positionna de telle façon que son cul faisait face au téléphone de Thibault. Il allait pouvoir profiter de la vue de sa mère sodomisée par ma bite.
Sans la moindre hésitation, je me positionnai à l'entrée de ses fesses et pesait de tout mon poids pour m'introduire. Cette entrée dans son cul avec une telle facilité était toujours pour moi un bonheur sans nom. Elle adorai la sodomie et se laissai perforer par mon sexe sans aucune difficulté.
Je commençai à la besogner en silence, seul ses gémissements trouaient le silence du jardin. J'effectuai de grands mouvements de hanche pour aller et venir le plus violemment en elle, ce qu'elle adorait m'avait elle confié un jour. Je lui ordonnai «  caresses toi « , ce qu'elle fit aussitôt
Décidé à la faire jouir de manière spectaculaire , je la déplaçai à nouveau sur le lit afin que le téléphone puisse la filmer de côté. Elle était à quatre pattes, filmé de côté, moi derrière elle. Je m'introduisait alors à nouveau lui demandant de continuer à se caresser. Son visage étant tourné du bon côté la caméra ne perdrai pas une miette des ses émotions.Ainsi placer derrière elle, je pouvais à la fois m'occuper alternativement de ses seins avec ma main gauche et la cambrer au maximum en tirant sur ses cheveux. Le fait à nouveau de penser au fait que nous étions filmé, me mis dans un tel état d'excitation que mes barrières habituelles de la bienséance craquèrent. Je me mis à l'insulter et à m'occuper de son corps de manière beaucoup plus dur.
«  ça te fait quoi que je t'encules, belle petite salope ? Tu sais que j'en parle avec mes copains et qu'ils ne croient toujours pas que t'aime te faire enculé. T'aimes ça la sodomie, hein réponds t'aimes ça magnifique petite pute « et comme elle ne répondais pas assez vite je triturai avec force ses tétons.
« oui » me répondit-elle dans un souffle en fermant les yeux
« Quoi, je n'entends pas parles plus fort « lui criais- je en prenant son menton dans ma main et en le tirant vers l'arrière « cries le que tu es une pute qui aime se faire enculer par une grosse bite, dis le ma jolie salope »
Pendant que je lui parlais, je l'avais mise sur le ventre et j'allais et venait dans ses reins avec toute la force que je pouvait. Elle était dans une position où elle ne pouvait plus bouger et où elle ne pouvait que subir mes pénétrations .
Aussi , d'un seul coup, elle parla en gémissant , presque suppliante «  continues comme cela ,j'adore me faire enculer par ta grosse bite » puis presque aussitôt elle me cria «  oh je jouis, je jouiiiis «  ce qui déclencha chez moi une envie d'éjaculer dans sa jolie bouche.Je me retirai de son cul et eus à peine le temps de prendre possession de sa bouche que déjà je jouissait.
Tous les deux éreintés mais apaisés, nous nous mirent dans les bras l'un de l'autre et plongèrent avec délice dans les bras de Morphée.



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Les avis des lecteurs

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