Indécence et Déshonneur - Dévergondages 12

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Indécence et Déshonneur - Dévergondages 12 Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Indécence et Déshonneur - Dévergondages 12
Indécence et Déshonneur - Dévergondages 12
Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile s’est laissée embrasser par son hôte. Victime d’un chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.

« Les femmes rougissent d'entendre nommer ce qu'elles ne craignent aucunement à faire. » de Montaigne

Odile est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes d’un restaurant. Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour qu’elle puisse y ranger ses tenues affriolantes. C’est dans ce lieu surprenant qu’il la prend en photo dans des poses plus qu’osée et qu’il la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud dans l’anus. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans qu’elle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsqu’elle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Puis il lui introduit un rosebud d’une taille supérieur dans l’anus. Puis, Edmond oblige Odile à s’exhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons d’un parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font l’amour entre elles.
Le lendemain matin, au réveil, Odile est presque violée par Michel, son mari, mais surtout il lui déflore le trou du cul sans vergogne… La journée se passe à faire l’amour, comme cela ne leur était jamais arrivé en vingt-cinq ans de mariage.

***********************************************************************t homme beaucoup plus âgé.
Odile, au moment de partir de chez elle croise Muriel qui revient de son jogging avant de rejoindre l’université. Elle contemple sa fille, nageuse émérite de compétition aux cuisses et aux jambes musclées, à la poitrine qui tend outrageusement son maillot mouillé et à la jolie tête blonde aux longs cheveux noués en chignon. Elle songe que sa fille va un jour connaître ce qu’elle apprécie à présent, une verge qu’elle commence à aimer prendre en bouche et qu’elle adore lorsqu’elle pénètre son antre vaginal, voire même entre ses fesses à présent. Elle n’ose s’imaginer le corps de sa petite fille, même si elle a désormais vingt-deux ans, se tordre de jouissance sous la domination d’un homme.

Lorsqu’elle arrive au bureau, angoissée par ce qui attend son derrière encore très douloureux. Quel soulagement lorsqu’Edmond lui téléphone pour lui dire qu’il annule leur rendez-vous de l’après-midi ! Il le reporte au surlendemain, lui demandant de l’attendre donc le mercredi à 10 heures pour la journée entière.

Comme d’habitude, elle déjeune avec ses collègues à la Taverne d’Or. Antoinette, qui a un poste important à la division financière, lui fait part de son étonnement, en la trouvant aussi changée depuis un certain temps. Elle la trouve beaucoup plus sexy et ouverte et elle lui demande carrément, si elle a un amant. La pauvre DRH défaille, se pourrait-il qu’elle soit découverte. Elle n’ose plus regarder sa collègue qui la rassure immédiatement.

- Pardonne-moi Odile, je ne voulais pas être indiscrète, mais permets-moi de te dire que je te trouve beaucoup plus agréable et que tu es magnifique. Si j’avais des tendances saphiques, je te draguerais à mort !

Odile s’est statufiée, devenant rouge pivoine, tellement cette attaque directe l’a surprise. Sa collègue une petite brune à la poitrine généreuse qui déborde toujours de ses chemisiers, a de belles jambes, des cuisses bien musclées, et possède un fessier des plus prometteurs. Odile songe qu’elle lui ferait bien l’amour ! Mais qu’est-elle en train devenir ? Elle bafouille des mots sans suite et se précipite aux toilettes de l’établissement. À peine assise sur le siège des WC, elle descend le pantalon de son tailleur et son shorty, puis, elle se branle avec vigueur, poussant des gémissements rauques, faisant entrer ses doigts dans la moule qui laisse couler une mouille abondante, jusqu’à ce qu’un violent orgasme la libère de la tension accumulée et de l’envie qu’elle avait d’embrasser soudainement cette femme et même de caresser et de sucer ses seins.

Une bonne vingtaine de minutes plus tard, elle remonte dans la salle alors que ses collègues sont déjà partis. Elle est soulagée de ne pas avoir à croiser le regard d’Antoinette. Pourtant l’envie de cette femme, d’une dizaine d’années sa cadette, est toujours aussi forte. Elle se promet d’essayer un jour… Même si elle pense qu’elle est en train de devenir une dépravée.

Le mercredi suivant, Odile s’apprête à rejoindre le baisodrome, mis à sa disposition par son suborneur. Après une toilette attentive, elle enfonce le rosebud dans son œillet qui s’ouvre sans difficulté, puis elle glisse une culotte et un soutien-gorge dans une pochette pour les mettre avant son retour au domicile conjugal. Lorsqu’elle s’assoit dans son automobile, elle soulève sa mini jupe, imposée par Edmond et apprécie le contact du siège en cuir sur ses fesses nues, la faisant frissonner d’un trouble plaisir pervers et certainement immoral, mais qui l’émoustille, sachant qu’elle va passer, encore une fois, une journée de découvertes enivrantes.

Lorsqu’Edmond pénètre dans l’appartement, il a la surprise de voir Odile, entièrement nue, à quatre pattes sur le lit rond, le cul haut levé et les cuisses écartées, attendant son bon vouloir. Posé à côté d’elle, l’écrin aux rosebud, où se trouvent le plus petit et le plus gros ; le moyen est engagé complètement dans l’œillet de la belle. Il se doute qu’il y a « anguille sous roche », aussi il lui demande si elle a quelque chose à se faire pardonner.

- Odile, ma petite salope adorée, je pense que vous avez fait une bêtise et que vous devez mériter une bonne fessée pour vous présenter à moi dans cette position. Je vous écoute !

La pauvre ne sait plus où se mettre, alors qu’Edmond vient de la traiter de salope et lui promettre une fessée. Pourtant, elle sent sa moule s’humidifier, tandis que des idées perverses traversent sa pensée.

- Oh ! Je vous demande pardon, je sais que ce n’est pas ce que vous attendiez de moi Edmond, mais, mais, dimanche dernier, mon mari a violé mon derrière et je n’ai rien pu faire. Je suis, je suis désolé. Heureusement que vous m’aviez préparé d’ailleurs, car malgré tout j’ai eu affreusement mal. J’ai peur à présent, car…., car votre sexe est beaucoup plus gros que celui de Michel, je ne pourrai pas le supporter ou vous allez me déchirer l’anus…
Edmond contemple la belle mature, qui toujours à genoux sur le lit, se lamente, mais elle a toujours le cul haut levé et, passant la main entre les cuisses nues, il tâte la chatte qu’il trouve engluée de secrétions.

- Vous n’êtes qu’une petite chienne lubrique qui mouille et se réjouit des propos que vous me tenez. Ce n’est pas une fessée que vous méritez, mais la bonne correction des lanières d’un martinet.

En disant cela, Edmond est allé chercher la serviette en cuir qu’il ne quitte jamais, en bon notaire qu’il est. Il en retire un martinet aux longues lanières souples d’un rouge soutenu, dont le manche en cuir lui aussi, de couleur noir et rouge fait bien six centimètres de diamètre.

Odile, réalisant qu’il va mettre sa menace à exécution, exprime ses peurs.

- Je vous en prie, ne me marquez pas. Il ne faut pas que mon mari ou ma fille s’en aperçoivent. Je ne pourrai jamais trouver une explication.
- Tranquillisez-vous, ce sont des lanières pour les débutantes, comme vous ma chérie. Cela va vous rougir les fesses provisoirement, ce soir il n’y aura plus de traces.

Tout en parlant, Edmond agite les lanières entre les cuisses d’Odile, qui n’en mène pas large, surtout lorsqu’il fait tournoyer le manche entre ses doigts, les lanières frappant légèrement les fesses dodues de la mère de famille. Puis, d’un seul coup, il frappe durement le cul rebondi de la femme qui hurle, plus de la surprise que de la douleur ressentie. Edmond lui caresse la fesse de la paume de sa main, apaisant le tremblement de tout le corps de celle qu’il est en train de soumettre. Il reprend ses tournoiements et abat cinq coups bien appuyés. Odile crie et éclate en sanglots. Puis, il lui masse ses rondeurs, rougies par le martinet et il lui applique un onguent apaisant sorti du cartable.

- Ne bougez pas Odile, je vais vous ôter le rosebud de votre cul bien mignon. Je suis certain que vous l’avez gardé pour que j’ai le plaisir de vous enculer !

Ce disant, il tire sur le rubis qui orne l’engin et le fait coulisser lentement hors la rosace qui s’ouvre comme un pétale. Il le fait aller et venir lentement, observant les chairs qui se sont assouplies depuis deux semaines. Il le pose dans l’écrin, puis, il badigeonne de gel le goulet étroit et présente la pointe du nouveau rosebud, qui lui, fait bien cinq centimètres de diamètre dans sa plus grande largeur, lorsqu’il atteint la moitié de l’obus en acier, La belle mature se contracte soudain, ses fesses se refermant. Edmond lui applique une grande claque sur le cul.

- Petite putain, ouvre-toi et reste docile, ma queue te fera beaucoup plus mal si tu n’acceptes pas l’engin qui va faciliter l’ouverture de ton cul.

Sous l’insulte et la claque qui vient de la ramener à la réalité, Odile retient ses larmes et obéit en essayant de rendre son postérieur le plus disponible possible à l’homme qui va, elle en est certaine, lui défoncer la rondelle dans quelques jours. Heureusement, il la prépare patiemment avec ces rosebuds successifs, ne voulant certainement pas la brusquer et la dégoûter. Lorsque l’olisbos perce enfin entièrement l’œillet trop serré, Odile pousse un cri rauque, mais l’engin est à présent bien fiché au fond de son cul.

Edmond enduit de gel le manche du martinet, puis, des doigts d’une main il écarte la vulve qui suinte de mouille. Malgré la douleur, l’excitation d’Odile est à son comble, il introduit de son autre main le manche en cuir jusqu’au fond de l’antre vaginal, le ramonant à grands coups et faisant feuler sa proie.

Le notaire se déshabille en un tour de main, puis, se glissant sous Odile, il lui demande de venir le chevaucher et de s’empaler sur sa queue. Celle-ci, toute honte bue, écarte elle-même les chairs de la chatte encore toute gluante, puis elle prend l’énorme vit qu’elle fait glisser jusqu’à toucher l’utérus. Elle n’ose pas croiser le regard d’Edmond en face d’elle, aussi celui-ci l’apostrophe.

- Regarde-moi, chienne perverse, et remue-toi pour me faire jouir salope. Allons, balance-toi d’avant en arrière et fais-toi jouir aussi ma putain chérie !

Sous les mots crûs et les insultes proférés par le notaire, Odile s’agite comme une folle sur le mandrin qui lui laboure les entrailles. Elle se projette de plus en plus vite, à une cadence infernale, jouissant du frottement de la chair dans la sienne, accentué par le rosebud dans son cul. Les deux conduits amplement remplis, la rendent complètement hystérique. Elle ondule de tout son corps à présent, comme une toupie, prenant un plaisir inouï à se masturber sur l’énorme bite qui la transperce. Lorsque un orgasme terrible l’envahit, Edmond éjecte son foutre au fond de la matrice et Odile s’écroule sur le torse de l’homme, vaincue par l’incroyable jouissance qu’elle vient d’éprouver. Elle l’embrasse sauvagement sur la bouche, le remerciant ainsi du plaisir inouï qu’elle vient d’éprouver.

Edmond laisse Odile se remettre doucement et il l’incite à prendre un bain, préparant lui même l’eau chaude, à laquelle il adjoint des sels parfumés et un flacon de bain moussant. Puis, il allume une quinzaine de bougies et vient lui-même aider sa maîtresse à se glisser dans la baignoire. Cette gentille attention fait fondre Odile, qui est toujours aussi troublée, par ces gestes de tendresse, succédant aux actes ignobles auxquels elle se complait et aux paroles offensantes qui, à son grand désarroi, excitent son imaginaire.

Il est midi passé lorsque le couple va déjeuner dans une brasserie, près du jardin public.
Comme c’est à deux pas, ils y vont à pied. Pour la circonstance, Edmond a voulu qu’Odile revête un chemisier en soie, presque transparent, sous lequel se devinent les seins et surtout les tétons turgescents qui pointent outrageusement sous le tissu diaphane. La jupe évasée arrive à mi-cuisses, faisant sentir le vent qui s’infiltre sur la vulve dénudée et entre les fesses du cul nu de la femme mature. Elle sent encore sa chatte s’humidifier sous l’excitation, quasi permanente lorsqu’elle se trouve avec ce coquin de notaire.


Alors qu’ils profitent de leur repas, sur la terrasse de la brasserie, sous l’abri d’un parasol, une exclamation jaillit d’une silhouette en contre-jour.


- Maman, quelle surprise, tu es bien loin de ton bureau !


Odile, stupéfaite, vient de réaliser que c’est Muriel, sa fille qui vient de l’apostropher ainsi. Elle manque défaillir. Comment va t’elle lui expliquer sa présence en compagnie d’Edmond ? En plus sa fille détaille sa tenue avec un étonnement certain. Jamais elle n’a vu sa mère en mini-jupe et avec un corsage transparent où aucun soutien-gorge n’apparaît dessous. Odile en bafouille pour présenter son compagnon.

- Chérie, voici Monsieur Gardel, le notaire de notre société. Nous avons travaillé toute la matinée sur un dossier important, et Monsieur Gardel a bien voulu m’inviter à déjeuner.

Puis, se tournant vers le notaire.

- Je vous présente ma fille, Muriel, qui est universitaire, à Bordeaux Montaigne ; elle fait des études pour devenir avocate et se spécialise en droit international humanitaire.

C’est alors qu’Edmond, amusé, propose à Muriel de partager leur repas. Celle-ci accepte, augmentant encore la confusion de sa mère. La jeune fille, habillée d’une robe à fleur printanière et chaussée de ballerines, est attentive à tout ce qui se dit, curieuse de voir sa mère avec ce vieux Monsieur qu’elle trouve charmant malgré son âge. La conversation tourne autour des études de Muriel et des stages qu’elle doit effectuer. Edmond, faisant état de sa charge notariale et des nombreux contacts qu’il entretient avec ses confrères, lui propose de lui chercher des cabinets qui pourraient l’employer. Il lui donne sa carte et Muriel lui confie son numéro de smartphone. Lorsque la jeune fille prend congé pour rejoindre ses cours, le notaire l’embrasse sur les deux joues, comme si c’était une parente, sous le regard inquiet de la mère qui a peur que son suborneur puisse s’intéresser à sa petite fille !

- Votre fille est charmante ma chère Odile. Elle est aussi jolie que sa mère et je la pense assez intelligente pour ne pas faire état à votre mari de cette rencontre.

- Mais que vais-je lui dire sur notre relation ?

- Vous vous en êtes admirablement sortie. Je suis le notaire de votre société croit-elle, aussi, il n’y a aucune raison qu’elle ait des doutes sur notre relation.

- Mais vous avez vu Edmond comment elle m’a examiné de la tête au pied. Avec les vêtements que vous m’avez obligé à porter, j’ai l’air d’une catin, ma poitrine que tout le monde peut voir et mes cuisses qui s’étalent, alors que je n’ai même pas de culotte et que… que vous… vous vous complaisez à faire voir mon minou aux passants ! Oh ! Comme j’ai honte !....

À ce moment, la pauvre Odile éclate en sanglots. Heureusement, à cette heure tardive, il n’y a plus de convives sur la terrasse ; seul un garçon, sur le pas de la porte de l’établissement leur porte attention par intermittence. Edmond attend calmement qu’elle se calme, puis, la prenant par le bras, il l’emmène de nouveau dans le parc Dans un fourré épais, il se débraguette et sort sa queue épaisse et longue. Appuyant fermement sur l’épaule d’Odile, il l’oblige à ‘agenouiller, la tient par les cheveux qu’il a empoignés, il agite son chibre devant les lèvres serrées en lui intimant.

- Suce, chienne perverse
La pauvre Odile se résigne à engloutir la pine énorme du notaire qui grossit encore dans sa bouche. Mais au bout de quelques minutes, celui-ci se retire, lui soulève la jupe qu’il rabat dans son dos, et lui donne quelques claques sur le cul entièrement nu. Puis, il s’accroupit, ouvre les lèvres de la vulve qu’il maltraite de ses doigts et d’un seul élan, il pousse son pieu jusqu’au fond de la matrice. Odile, pousse un cri et se retrouve à quatre pattes sous la poussée du mandrin qui l’a projetée en avant. Encore une fois, elle sent la queue qui se meut dans sa chatte détrempée, jouissant de se faire pénétrer comme à chaque fois que son tortionnaire en a envie. Au fond d’elle-même elle doit reconnaître, qu’elle se complait à lui céder, même si son honneur doit en pâtir. Si sa fille la voyait ainsi se faire prendre en levrette et en tirer un immense plaisir, c’est certain, elle la perdrait à jamais……….

À suivre…

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