La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 618)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 618) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 618)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°617) - Toujours entre les mains de ces pervers orientaux -

Les Dignitaires arabes s’étaient mis à table, une immense table en demi-cercle, sur laquelle ils avaient fait installer, face à eux, nu et encore poisseux de leur jus intime, soumis Endymion MDE. Il avait reçu pour ordre de divertir ces Princes pendant le temps de leur repas. Sur cette table, posée sur ses lombes et son fessier, les bras pliés en appui sur ses coudes, l’esclave MDE obéissait aux ordres dictés. Là, pour l’heure, il se tenait jambes repliées, cuisses écartées et laissait face à eux son trou béant de son anus bien dégagé et bien exposé devant les regards vicieux de ces mâles orientaux affamés. Un peu plus tard, un nouvel ordre était donné : soumis Endymion MDE devait se fouiller lui-même son petit trou de lope. Il glissa un doigt puis deux, toujours sur ordre, il s’écarta l’anus avec ses deux index, puis fit aller et venir en lui son majeur en une cadence infernale, sous les vivats et les applaudissements de son Excellence l’Emir Abdallah. Mais l’indécence ne s’arrêtait pas là, les ordres fusaient de part et d’autre, il lui fallut encore se caresser l’entrecuisse, se tenir outrageusement cambré, à genoux sur cette table et tantôt se pincer et vriller ses petits tétons ou se masser la queue et les couilles, selon les volontés de ceux présents. Pire qu’une simple putain, soumis Endymion MDE n’était autre qu’une chienne en chaleur à tout faire, y compris des actes de putasserie d’une vulgarité insensée. Dans cet exercice de style imposé, il avait bien du mal à se reconnaitre et pourtant malgré lui, il y prenait plaisir ! Plus de moralité, plus d’honneur, encore moins de pudeur, Il avait tout abandonné, tout… sauf son excitation !

- Approche chienne, reste sur cette table et vient à quatre pattes, près de moi ! Ordonnait l’Emir.

soumis Endymion MDE avançait lentement, se déhanchant exagérément. Totalement désinhibé, il était presque dans la provocation, langue pendante, le regard posé sur l’assiette de l’Emir, il se déplaçait lentement, comme s’il voulait plus encore exacerber les sens de ces Princes déjà passablement excités. L’Emir d’un revers de main poussa son assiette, se recula un tant soit peu et exigea que l’esclave MDE avance encore, que ses mains viennent saisir le rebord de la table, qu’il relève bien le cul tout en baissant la tête en dehors de la table afin que sa bouche vienne se poser sur sa dishdash distendue.

- Lèche mon chibre chienne, passe bien ta langue sur ma robe ! Dictait l’Emir

Telle une mécanique bien huilée, l’esclave MDE ne réfléchissait plus, ne pensait plus, malgré un équilibre un peu précaire, il gobait ce sexe tendu sous ce tissu de cette robe blanche, tout en se faisant triturer la queue et les burnes par une main hardie et entreprenante… Tandis qu’il se faisait pomper, l’Emir se pencha et approcha ses lèvres près des oreilles de soumis Endymion MDE. Il lui susurra quelques mots en arabe, puis se reprit et lui fit la traduction :

- Je te réserve une surprise le chien !

Il attrapa soumis Endymion MDE sous le menton l’obligeant à le regarder droit dans les yeux, seulement à quelques centimètres de son visage :

- J’en avais parlé à ton Maître, au si Honorable Monsieur le Marquis d’Evans. Je lui avais annoncé que si ton comportement était conforme à ce que j’attendais de toi, alors tu serais récompensé…

Ces yeux anthracite et dominants s’éclairaient, son regard sombre s’illuminait avec en sus un petit sourire aux coins des lèvres des plus pervers :

- Tu es vraiment une bonne et belle salope, alors oui je vais te récompenser.

Cette main toujours accrochée à ses couilles venait subitement d’exercer une douloureuse pression. L’esclave MDE ne put retenir un éprouvant gémissement, l’obligeant à se cambrer plus encore et à lâcher le regard soutenu de l’Emir.

- Regarde-moi chien, ne t’inquiète donc pas de tes couilles, laisse-toi tripoter, tu es là pour ça, tu es fait pour ça !

Soupirant et haletant soumis Endymion MDE remit son regard imposé dans celui de l’Emir. Il tremblait, tant par la douleur que par l’inquiétude. Que lui réservait-on ? Une certaine anxiété venait de l’envahir. Même s’il tentait de rester impassible et de ne pas montrer son angoisse, il était loin d’être rassuré. Qui plus était, cette main agrippée à ses burnes, les faisant rouler et les écrasant l’une contre l’autre, l’obligeait à craindre les pires tourments. Il ne put retenir un cri, lorsque la pression devint insupportable.

- Combien d’esclaves mâles aimeraient ne plus avoir ces attributs pendants d’entre leurs jambes, je suis sûr qu’au moment où je te parle, tu préfèrerais être castré !

La douleur était insoutenable, la peur d’être châtré, là, sur place, en guise de récompense épouvantait soumis Endymion MDE. Des images en flash revenaient à son esprit, ce sabre, avec cette lame finement aiguisées…. Il s’affaissa, à plat ventre sur la table en hurlant :

- Nooooonnnn pas ça pitié… pitié !

L’Emir lui caressait la tête et s’approcha encore de son oreille, il s’adressa vicieusement à lui :

- Ne t’inquiète pas mon garçon, tu vas les garder tes couilles, elles nous sont trop indispensables pour te procurer de bons supplices… Et puis j’ai promis à Monsieur le Marquis d’Evans de te rendre en entier !

L’Emir ricana vicieusement puis claqua des doigts, et la main aussitôt se dégagea du bas ventre de soumis Endymion MDE. Il put reprendre son souffle et ses esprits, enfin presque. L’Emir fit claquer une seconde fois ses doigts, alors trois Princes arabes se précipitèrent sur l’esclave MDE, l’attrapèrent tel un vulgaire objet et le transportèrent sur une table de massage. Ils le retournèrent à plat sur le dos et attachèrent ses membres aux pieds de cette table étroite, laissant jambes et bras liés pendre de part et d’autre. L’Emir arriva d’un pas léger, toisa l’esclave MDE, regarda sa proie prise au piège… Il caressa son membre flasque, cherchant à le décalotter.

- Mourad ! Appela-t-il

Le servant esclave accourut, il reçut un ordre en arabe et dès que l’Emir eut fini sa phrase, Mourad se précipita sur le sexe inconsistant d’Endymion MDE et le suça tout en le branlant énergiquement jusqu’à ce que celui-ci reprenne un beau volume.

- Je préfère te voir la queue en l’air, bien excité…

L’Emir se tut quelques instants puis caressa les mamelons de celui qu’il tenait bondé, puis sa main palpa le haut de sa poitrine droite, tout près de sa clavicule.

- C’est ici que je vais te tatouer mes armoiries BDSM, juste un croissant de lune surmonté de trois petits points et d’une virgule. Voilà ce que sera ma récompense chien. Tu as déjà la marque sur ton cul de ce Vénérable Maître à qui tu appartiens, maintenant tu vas avoir ma propre signature ici !

L’Emir appuya fortement à l’emplacement prévu, à tel point que soumis Endymion MDE grimaça.

- Tu sauras apprécier cette récompense petite chienne… Seulement ceux qui le méritent, portent mes armoiries. Toi, tu en es digne, parce que tu es un bon esclave ! Et puis je suis fier que tu puisses porter Mes inscriptions indélébiles sur ton corps de salope. Peut-être seront-elles le tout début d’un ornement qui, un jour, sera, si ce très Cher Ami Monsieur le Marquis d’Evans le souhaite… et c’est ce que j’ai cru comprendre… complétées par d’autres signatures de Grands Dominants voulant eux aussi, inscrire dans tes chairs, ton passage entre leurs mains… Ainsi chacun de nous initiés saurons, chez qui tu t’es fait ‘loper’, chez qui tu as été prêté, tout ton pédigrée noté, dévoilant au grand jour, ton circuit élaboré par ce Grand Maître qu’est Monsieur le Marquis d’Evans !

L’Emir claqua encore des doigts. Un des princes s’approcha et nettoya à l’alcool l’emplacement réservé à cette marque indélébile, puis un autre entreprit le tatouage, un long travail méticuleux parfois douloureux, d’une taille tout à fait raisonnable, de deux à trois centimètres seulement...

La nuit était tombée sur New York City, après avoir partagé avec Mourad, au sol et à quatre pattes, une gamelle d’un délicieux et nourrissant couscous, soumis Endymion MDE fut emmené dans un petit local et couché sur un matelas moelleux posés sur une table. Là, en chien de fusil sur le côté droit, il fut attaché serré, jambes l’une contre l’autre et tenues repliées, les mains dans le dos, un cordage tout autour de son buste. On l’équipa également d’une cagoule en cuir, le plongeant dans la totale obscurité, on lui mit aussi des boules Quies dans les oreilles l’enfonçant dans le silence le plus total. Mourad, caressa la tête d’Endymion MDE, lui posa un baiser volé sur sa tempe et quitta la pièce en éteignant la lumière. Il ne fallut pas longtemps à soumis Endymion MDE pour s’endormir profondément, tant il était épuisé, malgré les différentes contraintes qu’il devait encore subir… A deux ou trois reprises, il fut réveillé par quelques courbatures ankylosantes presque douloureuses mais se rendormit très vite…

Rêvait-il ? Sa queue coincée derrière ses jambes s’était subitement tendue suite à une agréable sensation, comme un souffle tiède sur son arrière train. Non Endymion MDE ne rêvait pas, une langue glissait maintenant sur sa raie et tendait de s’introduire dans son petit trou laissé à disposition. Une langue mais aussi un doigt effleurait son orifice intime alors qu’une main glissait sur sa nouille érigée et ses couilles. Dans l’impossibilité de bouger, l’esclave MDE ne put retenir quelques gémissements sonores. La langue, le doigt, furent remplacer rapidement par une queue, et des mouvements lents de va et vient s’imprimèrent entre ses chairs intimes. Une bien belle et douce sodomisation, qui réveillait tous les sens de soumis Endymion MDE et qui se terminait trop vite à son goût, par une grosse éjaculation au bout d’une dizaine de minutes. Cette queue se dégageait rapidement de son cul et se logeait prestement dans sa bouche. Endymion MDE avide et gourmand la nettoya, la suça espérant ne rien perdre de cette semence. C’est alors qu’il sentit qu’on lui dégrafait cette cagoule qu’il portait sur le visage. Aveuglé par l’intensité de la lumière du jour, il ouvrit les yeux avec difficulté et là, il s’aperçut que la queue qu’il avait dans la bouche n’était autre que celle de Monsieur le Vicomte d’Evans…

- Ca va Mon Chien ? Il semblerait que tu aies bien dormi ! Allez, je vais te détacher, il est l’heure pour toi de regagner l’Académie, mais aussi d’aller présenter tes respectueuses salutations à Monsieur l’Emir Abdallah et ses Hôtes, les remercier sincèrement et chaleureusement de tous les pervers sévices qu’ils t’ont fait subir.

soumis Endymion MDE, se prosterna devant eux, embrassa chacun de leurs pieds, puis enfila une simple djellaba, et une paire de babouche aux pieds. Juste avant de quitter la chambre, l’Emir interpella encore Maître CharlEd :

- Tenez Charles-Edouard, ceci est pour votre Oncle, mon très cher et vieil Ami, Monsieur le Marquis d’Evans.

Il ouvrit une valise remplie de dollars en grosses coupures…

- Mais non Votre Excellence ! Répliquait confus Maître CharlEd
- Chut, cher Ami, ce n’est rien… une pute ça se monnaye, celle qui est Votre possession en est une belle. Remercier chaleureusement votre Oncle et dites-lui tout le bien que je pense de Votre salope.

Les deux hommes se serrèrent chaleureusement les mains. Endymion MDE, humilié, bafoué et relégué au rang de pute sentit une nouvelle fois son membre se tendre sous sa djellaba. Il eut bien du mal à cacher son érection au sortir de l’hôtel.

(A suivre…)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 618)
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