Chaude enquête

- Par l'auteur HDS Antoine -
Récit érotique écrit par Antoine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Chaude enquête Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2003 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Chaude enquête
Cette affaire est vraiment une aubaine. Ce salopard de Morgin, ministre en exercice du gouvernement venait de prendre contact avec moi, par l´intermédiaire de son chef de cabinet. Il veut que je marque sa femme à la culotte et apporter les preuves de ses libertinages.

Madame Morgin occupe une vague fonction d´observatrice sociologique pour le ministère de la santé. Bref, elle voyage beaucoup, gribouille deux, trois phrases savamment agrémentées de termes techniques, les envois aux instances supérieures, et voilà, l´affaire est dans le sac.

Ma mission avait commencé hier. Mais, la jeune femme n´a pas bougé de chez elle. R.A.S.

La belette est plutôt jolie. La trentaine, blonde, un faux air de Grace Kelly, une poitrine généreuse et une jolie paire de fesses.


Lundi - aéroport de Roissy CDG, hall F.

Ca fait maintenant 1 heure que je lis et relis l´Equipe. Heureusement, le lundi, les articles sont plutôt fournis. PSG s´est encore fait battre, ce qui n´est pas pour me déplaire. Je relis donc d´un œil distrait l´article sur le piteux destin de Ronaldinho. D´un autre œil plus concentré, je reluque le postérieur de la Morgin. Son avion a du retard. Elle doit partir pour Atlanta si je me fis au guichet auquel elle s´est adressé. Et elle passe son temps entre téléphone portable, trousse de maquillage et magazines féminins. La voilà debout en train de téléphoner à je ne sais quelle personne. Mais ce qui m´intéresse pour le moment, c´est son cul. A en croire son mari, il doit plus servir à satisfaire ses instincts que ses intestins.

Elle s´est rassise. Une fois de plus.

Voilà qu´un homme de la compagnie, apparemment vient la saluer. Sûrement son interlocuteur téléphonique. Il doit bien la connaître car ils s´embrassent (sur la joue).

Je suis trop loin pour entendre leur conversation.

Elle se lève. Direction : les toilettes.

Je ne vais quand même pas la suivre jusque là ! Quoique … L´homme prend la même direction 2 minutes après. On ne me la fait pas !!

Je décide donc de m´y diriger également. Homme ou femme ? Va pour les hommes. 10 urinoirs et 5 cabines fermées. Je les inspecte toutes. Une seule est occupée. Serait- ce eux ? Je claque la porte d´entrée pour feinter une sortie.

La réponse ne se fait pas attendre.

- Alors ma salope, ça t´excite de me sucer dans les chiottes des hommes ?

- Mmm…mmm..ouiiiii….

- Tu l´aime ma grosse queue dans ta bouche de petite pute ?

- Aaaaa… ouiiiiiii…..

- Ca suffit… maintenant, tu va te retourner et baisser ta culotte.

- Oh oui… prend moi comme ça, j´adore…

- Mmmm….he he…

- Non ! attends ! Pas par là ! Je ne veux pas !

- Tu ne veux pas ou tu ne peux pas ?

- C´est á dire que… enfin, tu comprends…

- Ouais, parfaitement…t´as de la merde plein le cul… alors écarte les jambes

- Aaaaaaaaaaaahh…c´est bon…..

Bon, je dois avouer que là, j´ai la queue dressée dans mon caleçon. C´est alors qu´un grand black de l´entretien fait son apparition. Il tombe vraiment mal celui là. Les deux amants se taisent bien entendu. Et moi, je m´en vais pisser un coup dans l´urinoir. Histoire de passer le temps. Le black remet du savon et s´en va.

- Putain, je t´avais dit non !!! Ahhh… Tu me fais mal…

- Ouai, mais un cul plein de merde, ça m´excite trop…

- Aaaa…mmmmm…. Et puis vas-y, c´est trop bon…

- Oh que oui… je sens ta petite crotte au fond… tu va voir, je vais te la sortir en bouillie… Après tout, les chiottes, c´est fait pour ça !!

- Oh mon salaud, ce que c´est bon de se faire enculer comme ça… aaa…je jouie….

C´est alors qu´en voulant me retourner, j´ai du faire un peu trop de bruit…

- qui est là ? me demande le mec ?

je ne réponds pas… Mais il ouvre la porte.

- Enculé de petit voyeur, qu´est ce que tu veux ?

- Vous aidez par exemple !

Il me regarde alors d´une drôle de façon.

- ouais, pourquoi pas…. Viens là !

J´entre dans le chiotte. Il y règne une odeur mélangée de sueur, de syprine et de merde… C´est très excitant.

- qui êtes vous ? me demande Mme Morgin ?

- Peu importe qui je suis. Prépare-toi plutôt à te prendre de gros coups de bite.

Je regarde mon compagnon de fortune et nous échangeons un clin d´œil. Il sort alors sa bite du cul de la bourgeoise. Il est enduit de merde. Elle ne peut s´empêcher de pousser un petit gémissement… de plaisir. Je m´assoit alors sur la cuvette. La Morgin me présente ses fesses. Elles sont maculées d´excrément. Avec ça, si je ne sali pas mon beau costume…

Elle écarte ses deux globes de chairs et présente son anus au bout de mon sexe. Je ne suis pas mécontent de constater que ma bitte est bien plus grosse que celle de l´autre. Ca, elle va la sentir passer… D´un seul coup, elle se laisse tomber de tout son poids sur moi. Je dois dire que c´est assez douloureux au début. D´ailleurs pour elle aussi car elle se met à gémir.

- Alors là, je l´ai vraiment au fond mon bon ami. Ta bite et ma crotte… Mais c´est bon…mmm…

Ca oui, c´est bon… et c´est chaud…

L´homme lui présente alors son sexe. Elle ne va quand même pas le lécher.

- Suce-moi putain, suce-moi, nettoie-moi la bite.

- Mais enfin… c´est dégueul…

Et il lui prend la tête pour la forcer à le sucer.

C´est sûrement un des plus grands moments dans ma vie de baiseur. J´encule une salope, qui assise sur mes genoux est en train de sucer une bite enduite de merde. La Morgins en a plein la bouche. C´est drôle, le scato ne m´a jamais attiré, ni excité, mais dans cette situation, cela décuple mon plaisir. J´ai l´impression de baiser la plus grosse salope de merde de la planète.

J´arrive maintenant au point de non retour. Vous savez : ce moment où on sait que l´on ne peut plus retenir le feu d´artifice plus longtemps. Tout s´accélère : je la prend par les hanches et la fais sauter décoller du sol tellement je l´encule avec vigueur. Elle gueule de plus en plus fort, sans se soucier des personnes qui pourrait entrer dans les chiottes. Mon camarade de jeu, quant à lui, se branle très rapidement. Je devine qu´il ne va pas tarder à exploser. Et 10 secondes plus tard, le voilà qui gicle son foutre sur la gueule de la Morgins. A ce moment, celle-ci se contracte, en gueulant comme une truie, et par enchaînement, je décide de me vider dans son cul. Je lui vide des litres et des litres de sperme au fond des intestins, une vidange qui n´en finit plus.

Le temps est suspendu. Les muscles sont contractés, les visages tendus. Puis, doucement nous nous relâchons, nous détendons. Savourons la jouissance passée, reprenons notre souffle et constatons les dégâts.

Il y a de la merde, du foutre, de la sueur, partout.. Sur les visages, les fringues, les corps.

La Morgins décide alors de se lever. Et mon pénis ressort accompagné d´un affreux bruit de pet. Je peux voir mon sperme couler de la raie de ses fesses, maculées de merde.

- excusez moi, dit-elle confuse, mais il faut que je prenne votre place…

Elle s´assoit alors sur la cuvette. C´est qu´on est vraiment serrés à trois dans cette cabine. Mais elle ne peut plus se retenir et relâche dans un fracas assourdissant ses intestins. On ne peut s´empêcher de rire de cette situation.

- c´est ça, marrez-vous. N´empêche que vous avez bien été content de me le labourer mon beau petit cul. Maintenant, vous pouvez voir le résultat… Et puis vous êtes bien ridicules vous deux avec ces traces sur la figure.

Elle détache quelques feuilles de PQ et nous les tends.

- tenez, essuyez vous !

Ce que nous faisons. Et la voila qui se lève, se tourne, se penche et écarte les fesses avec ses mains pour nous présenter son fion tout sale et bien élargi.

- et maintenant, torchez moi.

On se regarde, avec l´autre homme, interloqués…

- attends, j´ai une idée., lancais-je

Je prends alors une feuille, la place á l´entrée de son anus, et, ayant retrouvé une petite érection, je commence à enfoncer petit à petit ma bite au fond.

On se marre tous les 3.

- arrêtes, j´ai pas envie de me retrouver avec du PQ dans les intestins. Alors encule-moi franchement. J´en ai encore envie.

Ce que je ne manquais de faire. Mais après avoir enlevé la feuille de PQ.


Vous voulez la suite de cette magnifique sodomie, vous voulez connaître la suite de l’histoire ? Ecrivez moi… et je publierais la suite.

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Texte coquin : Chaude enquête
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