LA MANTE RELIGIEUSE. (3/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA MANTE RELIGIEUSE. (3/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA MANTE RELIGIEUSE. (3/14)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Marié à Aurélien depuis hier, je dois me donner à son frère aîné comme le veut le droit de cuissage instauré dans leur famille depuis des générations sans qu’il me mette au courant de ce qu’il va arriver.
La grosse queue qui me prend mon hymen et mon cul me permet de faire éclater mon corps dans de nombreux orgasmes.
Au cours de nos ébats Antoine va chercher son frère qui m’a épousé pour lui montrer la pute qu’il a fait de moi alors que j’étais une jeune fille un peu fleur bleue.
Souhaitant que je me présente à lui ce soir dans une tenue affriolante nous venons d’aller dans une boutique de lingerie en acheter.

• Viens, je te paye un verre, allons près du canal il y a de nombreux cafés.

Après nous êtres assis à une terrasse j’ose poser une question à mon suborneur.

• Pourquoi écartez-vous mon mari en bout de table ?

J’ai peur d’en avoir trop dit mais l’éloignement de la fratrie semble donner plus de liberté à mon amant.

• Parce qu’il est blond et que nous sommes noirs.
• À cause de ses cheveux ?
• Non, la tromperie de ma mère il y a 22 ans l’année de mes neuf ans.
• Peux-tu m’expliquer ?
• Tout c’est passé en été, nous avons vu arriver à pied avec leurs sacs à dos trois garçons aussi blonds que celui qui aspire à devenir ton mari.
Ils ont demandé à mes parents s’ils pouvaient s’installer dans le champ à côté de la maison et mon père a accepté.
Un après-midi je suis rentré d’une façon impromptue étant allé chez un camarade pour faire mes maths.
J’avais oublié un de mes cahiers et je suis revenu.
Le spectacle auquel j’ai assisté était impensable pour moi.
Ma mère que je voyais nue pour la première fois de ma vie du moins depuis que j’avais l’âge de raison était prise en sandwich entre deux de ces Scandinaves.
La double pénétration qu’ils lui imposaient semblait lui plaire son corps étant tétanisé et sa bouche remplie par la dernière verge à sa disposition.
J’ai regardé cette femme que j’idolâtrais se comporter comme la truie que nous avions conduite à la saillie la veille auprès de son verrat et qui avait bourré sa femelle avec sa queue en tire-bouchon.
Certes les queues qu’elle se prenait étaient bien droites et elle semblait avoir une grande expérience de la manière de s’en servir.
Les mots qu’elle employait étaient à la hauteur de la vision que j’avais de ce corps pris par ses trois trous.
Chaque fois qu’elle lâchait la verge de celui qui se masturbait dans sa bouche j’étais outré que maman puisse dire des mots comme.

• Enculez-moi, mettez-la-moi bien profonde, plus fort les deux sexes défoncés moi.

Et la révélation qu’elle fit dépassait tous les entendements.

• C’est ça comme cela, quand je faisais la pute à Toulon avant que mon couillon de mari m’épouse quand je suis revenu chez mes parents à Aix les bains les sexes que je m’enfilais me donnait plus de plaisir que vos bites.
J’étais enceinte d’un client qui m’avait payé pour baiser sans capote, je vous dis tout cela car je sais que vous êtes incapable de comprendre le moindre mot de ce que je vous dis, allez plus fort je recouvre ma jeunesse, j’ai eu la chance une fois de monter avec cinq marins qui m’ont défoncé toute la nuit alors vous pouvez y aller.

C’est ainsi que j’ai vu ma mère hurler son plaisir après les révélations qu’elle venait de me faire sans savoir que j’étais au coin de la porte de la cuisine.
Apprendre que je suis le fruit d’une partie de baises d’une pute avec des hommes qui l’on payé et que mon père est un faire valoir alors que j’avais moins de dix ans m’ont marqué et tu peux comprendre pourquoi je suis célibataire, ma mère sans le savoir en épousant mon père a du passer dans le lit de mon grand père comme le voulait la tradition familiale ancestrale, mon père c’est trouvé dans la situation de celui qui est né de l’union avec les trois scandinaves et dont j’ai profité hier qu’il t’ai épouser pour mon plus grand plaisir.
Savoir celle qu’il venait de marier dans le lit de son père il a pris la bouteille et a commencé à boire jusqu’à devenir l’épave qu’il est devenu aujourd’hui.

• Pourquoi as-tu perpétué cette tradition alors que tu es étranger à cette lignée de salauds.
• Car dès que je t’ai vu il fallait que je te baise, j’ai bien fait je crois que tu as rencontré cette nuit la verge de ta vie et que tu vas divorcer pour m’épouser.
En faisant cela nous casserons cette tradition et je te promets de faire vibrer ton corps jusqu’à la fin de ta vie.

J’écoute et j’évite de lui répondre, même s’il me baise bien, la manière dont il s’est servi de moi et de mon corps ne peut s’oublier en quelques secondes.
Même si je me suis éclaté dans son lit, la fleur bleue qui espérait une autre nuit de noces va attendre son heure.
De retour à la ferme les confidences de mon amant raisonnent dans ma tête quand je rencontre ma belle-mère.
Cette petite femme rabougrie a été une péripatéticienne qui s’est fait engrosser par l’un de ses clients.
Depuis hier je me sentais salope mais je viens d’en rencontrer une plus grande que moi, arrivé de se faire épouser alors que l’on attend un enfant conçu avec un inconnu qui vous a payé la vie est étrange et plein d’imprévu dans ce coin retiré de France.
Dès que je suis dans sa chambre je dois me déshabiller, m’agenouiller pour avaler la bite d’Antoine qui semble bander à l’évocation des affres de sa famille.
Contrairement à la nuit dernière il m’empoigne de chaque côté de ma tête et m’oblige à l’avaler rapidement jusqu’au moment où il me remplit avec autant de quantité de sperme que la première fois.

• Met la tenue qui fait voir ta chatte et descend aider ma mère, je veux faire voir à ceux qui me croient leur frère que notre ivrogne de père est un inconnu pour moi et la chance que j’ai de t’avoir dans mon lit.

Je descends dix minutes après lui ayant entre-temps eu un petit problème qui risque d’être lourd de conséquences.
Après avoir bu son sperme je veux aller dans la salle de bain me laver les dents, quand j’entre Henri le cadet d’Antoine me prends dans ses bras me serrant sur sa poitrine.

• Belle pute, quand Antoine te quittera ce qui sera rapide c’est moi qui ferais valoir mon droit de cuissage.

Au moment où il dit cela je vois dans la glace dans son dos Julien sortir de sa chambre et entendre ce qu’il me dit.
Il quitte la salle de bain et je vais me laver les dents ayant bien entendu les aspirations que ce troisième frère a pour mon cul si je compte mon mari dans les trois.
Je descends dans la salle sous le regard de tous les hommes sauf de mon beau-père qui préfère regarder son verre et mon mari qui a le nez plongé dans sa soupe.
Les marches où je descends montrent l’intégralité de ma chatte et je suis sûr que les quatre hommes bandent.

Au repas du soir je comprends pourquoi Aurélien est en bout de table esseulée, les quatre autres frères sont informés que leur mère a trompé leur père avec les Scandinaves et considère ce demi-frère venu de nulle part comme l’affreux petit canard de leur famille.
Par compte même si je fais celle qui est ailleurs, j’écoute avidement la conversation entre les deux frères aînés.

• Henri, tu peux voir mon quatre-quatre, je trouve les freins avant un peu mous.
• Demain matin à la première heure je regarderai avant que tu partes.
• Merci à dix heures j’ai rendez-vous chez le vétérinaire et je veux rouler en toute sécurité, tu sais que dans la descente j’ai tendance à appuyer un peu trop fort sur le champignon mais j’ai la vitesse dans le sang et j’oublie toujours de ralentir.

Ils sont tous montés sauf mes beaux-parents.

• Noami tu sais comment faire la vaisselle et la salle, je vais monter coucher mon poivrot de mari peux-tu fermer la maison.

Je m’exécute et avant de fermer la porte je sors quelques minutes à l’extérieur avant de monter retrouver la bite de mon pourfendeur.
Personne ne me voit, je me couche sous le quatre-quatre à l’arrière vers le pont moteur et les freins.
Je vais dans le local où Henri à son outillage et je fais une petite opération rapidement avant de ramener la clef à molette à sa place la tenant avec un mouchoir en papier.
Ce que ces frères ignorent c’est que mon grand-père paternel avait un garage et si je viens souvent chez mamy Denise maman de ma maman je l’ai vu souvent intervenir sur des voitures de ce type, son plaisir étant de m’expliquer son travail même si je suis une fille.
Contente de mon petit travail je monte me coucher.

En entrant dans la chambre Antoine a déjà installé Adrien sur la chaise entièrement nue et m’attend dans la même tenue la queue déjà raide.
J’ignore Adrien et je me mets dans la même tenue avant de sauter sur le lit et engamer ma verge gigantesque comparée au petit bout de chair molle que du coin de l’œil j’aperçois entre les jambes de mon mari.
En deux jours je viens d’acquérir une grande expérience pour faire des fellations malgré les dimensions intéressantes de celle qui vient toucher ma glotte, mais ce que j’attends c’est le moment où je vais l’avoir dans ma chatte qui en bave de l’attendre.

• Continu à me pomper tu es divine, je vais te gâter, j’ai beaucoup de fric et je vais t’en faire profiter.
Promets-moi quelque chose, regarde ce puceau, dit moi que tu le laisseras puceau toute sa vie en divorçant pour moi.

Je le sors de ma bouche.

• Que veux-tu que je fasse d’un sexe dont il faudrait que je prenne une loupe avant de l’avaler alors que j’ai dans les mains un bâton qui me comble ?
• C’est bien, enfile-toi dessus dans la position où je suis, je vais te mordre les seins.

Je le fais, il le fait nous le faisons et très rapidement mes cris de plaisir emplissent la maison et tous les frères une nouvelle fois savent que je suis une grande jouisseuse.
Je pense qu’ils doivent tous se masturber espérant un jour être à la place du frère aîné.
Après plus d’une heure de ce traitement une nouvelle fois exceptionnel je me love dans ses bras mon cocu de mari sortant de la chambre ayant une nouvelle fois constaté la déchéance de notre mariage alors qu’il savait ce qu’il risquait de m’arriver en m’amenant ici.

Au matin c’est mon cul qui est honoré avant qu’Antoine s’habille et descende pour déjeuner.
Je le suis dans une des tenues affriolantes qu’il m’a achetée refaisant bander les frères.

• J’ai déjà déjeuné je vais voir ta voiture avant que tu partes.

Je vois Henri sortir allé sous l’avant de la voiture en ressortir aller dans son local et en ressortir avec la clef à molette.
Il ressort, je vois Antoine s’avancer vers lui, lui parler, lui serrer la main et monter en voiture pour démarrer vers son rendez-vous…

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