LA MANTE RELIGIEUSE. (5/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : LA MANTE RELIGIEUSE. (5/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA MANTE RELIGIEUSE. (5/14)
Je me rends à la gendarmerie pour répondre à leur convocation suite à la mort d’Antoine frère aîné de la famille dont je viens d’épouser le fils le plus jeune dans un accident de la route.
C’est ce frère aîné qui m’a ôté mes pucelages lors de ma nuit de noces.
Mal lui en a pris car la vengeance est un plat qui se mange froid comme il est dit.
Dans le même temps je perds mon beau-père certainement d’une cirrhose du foie et ma belle-mère en perd la raison et est hospitalisée.
Une rose rouge cueillie dans leur jardin que je jette là où ma vengeance s’est exercée sera ma seule marque de compassion pour celui qui s’est permis de me faire haïr mon mari légitime qui a accepté cet état de fait.

Arrivé à la gendarmerie je suis reçu par l’adjudant-chef en charge du dossier concernant la mort de mon beau-frère.

• Pour commencer je voudrais savoir pourquoi vous me convoquez suite à la mort d’Antoine mon beau-frère, celle-ci serait-elle suspecte ?
• Enquête de routine même si certains premiers éléments semblent nous faire suspecter que cette sortie de route aurait pu être prémédité.
• Donc je suis suspect, je demande un avocat.
• Il faut rester zen madame vous n’êtes en rien suspecte, par contre Henri le deuxième frère qui est intervenu sur les freins du véhicule et qui le reconnaît doit répondre à certaines de ces interrogations.
Vous savez cette enquête est difficile pour moi car je suis le seul cousin de cette famille encore vivant et voire deux personnes proches de moi partir est difficile.
Pour commencer, est-il vrai à ce qu’il nous déclare que dès le premier soir de vos noces vous avez été la maîtresse du défunt ?
• Dite carrément que ce frère aîné a eu un droit de cuissage sur moi et que je suis une pute qui a accepté, je suis outré.

Quand je prononce ces mots je suis toute rouge ce qui semble convaincre mon interrogateur.

• Calmez-vous, j’ai très nettement l’impression que votre beau-frère Henri a essayé de détourner les soupçons sur vous.
• Certainement, vous a-t-il dit qu’il m’a fait des avances quand j’ai voulu entrer dans la salle de bain sans savoir qu’il y était.
• Quelqu’un l’a entendu ?
• Oui Julien l’un des frères jumeaux qui sortaient de sa chambre.

Il faut savoir calculer rapidement dans ces moments-là.
Comment l’un ou l’autre des frères peuvent-ils reconnaître que dans leur famille on exerce au XXIe siècle un droit de cuissage sans passer pour des êtres arriérés.
Quant à Aurélien qu’ils vont certainement aller interroger à la fac ou convoquer pourrait-il dire qu’il est toujours puceau et qu’il a vu sa femme se faire défoncer d’abord par Antoine puis hier par Henri, qui le croirait ?

• Je vais vous poser une seule question, confirmez-vous ce que le gendarme venu annoncer avec son collègue l’accident de votre beau-frère que vous avez-vu Henri couché sous la voiture accident quelques minutes auparavant ?
• Une bible, pour que je jure, j’ai même dit qu’il était entré par l’avant et ressorti par l’arrière après c’être arrêté un long moment à cette hauteur.

Qui peut démentir, Antoine, paix à son âme, mon beau-père idem, ma belle-mère encore faudrait-il qu’elle recouvre la raison.
Enfin les trois autres aucuns ne se trouvaient là lorsque les choses se sont passées.

• Je vous le dis un livre de messe et je jure que cela est vrai.
• Une dernière question, vous y connaissez-vous en mécanique ?

Mon grand-père est mort il y a bien longtemps et les gendarmes seraient bien incapables de requérir son témoignage.

• J’aurais besoin d’aide pour changer une roue, alors la mécanique vous pensez !
• Je vais vous donner mon numéro de portable appelé moi si vous crevez.

Gendarme mais homme avant tout, même dans le cadre de son enquête il faut qu’il me drague.

• Merci d’être venue, j’attends vos deux beaux-frères et j’espère que Julien confirmera les avances de son frère envers vous.

Je rentre à la ferme sans un regard dans la montée à l’endroit ou ma vengeance s’est exercée et arrivée étant seul j’investis la chambre de mes beaux-parents à la recherche d’un hypothétique magot.
J’ai en mémoire les quelques mots prononcés en boucle par Camille et je me dirige vers l’armoire.
J’ai beau chercher rien dans le fond autre que des cartons avec de vieilles chaussures et surtout dans l’un d’eux un peu plus grand je trouve la parfaite panoplie de la pute des années 50.
Jupe fendue sur le côté permettant de montrer les bas résille soigneusement pliés avec un chemisier très échancré et un faux vison qu’elle devait mettre sur ses épaules les soirs ou le temps était froid.
J’ai sensiblement les mensurations de belle maman aussi je m’amuse à mettre cet attirail persuadé que j’ai obtenu avec mon cul lors de mes dépucelages par Antoine le droit au titre que sa mère revendiquait à Toulon lorsqu’elle montait des petits marins.
Je pense aux cahiers et je retourne les chercher avant de m’allonger sur le couvre-lit.
Dans ces cahiers il y en a un intitulé « Ma vie d’avant ».

Je sens le besoin d’écrire ce qui m’est arrivé quand j’étais une jeune fille dite de bonne famille.
Je faisais partie d’un groupe de majorettes étant même deuxième et remplaçante de notre majorette-chef.
Notre formation prenant de l’importance nous avions été invités au championnat de France de notre discipline à Nice lors du carnaval.
Nous venions de finir deuxième derrière les indécrottables niçoises favorisées en leur pays quand un beau jeune homme s’est approché de moi me félicitant de ma belle prestation.
Pour lui je magnais le bâton comme personne à ce moment là sans savoir qu’il espérait sournoisement me faire manœuvrer d’autres sortes de ces engins.
Il m’a invité à boire un verre et comme nous avions deux heures de quartier libre avant que notre car nous ramène à Aix les bains j’ai accepté.
Nous sommes allés dans un café devant lequel une magnifique voiture de sport rouge dont j’ignorais la marque était garée.
Je le faisais remarquer à Luigi bel italien de passage à Nice habitant à Toulon du moins c’est ce qu’il m’a dit cette belle voiture quand il m’a proposé d’aller faire un tour dans sa Ferrari.
J’appris du même coup la marque et le plaisir de rouler à grande vitesse dans son bolide.
Je voyais bien que nous nous éloignons de Nice mais la main nonchalante qu’il m’a posée sur ma cuisse recouverte d’un bas m’a électrisé et j’étais impatience de voir où cette escapade allait me conduire.
À Toulon c’est devant un hôtel de grand luxe qu’il s’est arrêté et m’a fait descendre dans mon costume de majorette interrogeant tous les passants.
Pourquoi l’ai-je suivi dans sa chambre sans me poser de questions, ai-je été subjugué par le luxe qu’il me présentait.
C’est dans cette chambre sans m’avoir embrassé qu’il m’a appuyé sur la tête pour que je m’agenouille pendant qu’il sortait le premier bâton que j’ai eu à prendre en bouche afin qu’il bande au maximum avant la suite qu’il prévoyait de me faire découvrir.
Je me suis rapidement trouvée nue sans savoir comment mes vêtements étaient tombés un à un et quand il m’a couché sur le lit d’un bras puissant, j’ai senti sa verge à l’orée de ma grotte essayer de me pénétrer.
Comprenant que j’étais vierge il a eu un moment de recul mais son regard froid qui me regardait lui a fait faire le geste suprême que j’attendais depuis que ma main venait le soir caresser ma chatte.
J’ai eu un peu mal vite remplacé par un plaisir intense et je crois qu’à ce moment là j’étais la plus grande amoureuse que la terre pouvait porter.
Il m’a retourné et mise en levrette pour mieux me pourfendre une nouvelle fois, j’étais contente sans avoir eu à décider j’étais tombé sur le plus bel amant que j’aurais pu rêver et qui m’a attaché à lui persuadé qu’il en était de même pour lui.
Fini les questions existentielles sur ma famille, mon travail et les autres peccadilles qui jalonnait ma vie à ce jour.
Seul ce bâton qui m’a pris le cul dans la nuit m’importait, au matin j’étais sûr que ce morceau de roi qu’il savait si bien faire entrer en moi là où les filles rêvent un jour d’en trouver un qui les emportent vers les sommets de la jouissance comme a su le faire Luigi.
Pendant cinq jours il m’a baisé comme une reine, comme sa reine m’emmenant dans les meilleurs restaurants, les boutiques les plus chics où il m’achetait des tenues très provocantes hélas avec un but bien précis.

Un matin où nous étions couché la queue de mon amant dans ma main, on a frappé à notre porte et quand Luigi a ouvert je me suis retrouvé avec une arme sur la poitrine.
Les deux hommes qui sont entrés avaient des airs qui m’ont fait peur.
Rapidement ils ont réclamé à mon homme les milliers de francs qu’il leur devait.
Il leur a donné les clefs de la Ferrari mais cela était insuffisant, il avait deux jours pour leur donner le reste.
Ils sont partis en suggérant que Luigi me fasse gagner de l’argent car j’étais un beau brin de fille.
C’est comme cela que j’ai accepté d’aider pendant quelques jours celui qui avait su prendre mon corps et mon cœur et qu’il m’a amené dans la basse ville appelée plus communément Chicago et où je suis monté dans deux pièces cuisine et chambre, un simple évier étant à ma disposition pour me laver.
Le soir même alors que lui si froid d’habitude était presque en pleurs d’être obligé de me demander de faire cela mais me serait éternellement reconnaissant de l’aider à payer sa dette.
Il était exactement 20 heures 02 quand il m’a fait descendre dans la rue et c’est là que j’ai eu conscience du pourquoi des tenues sexy achetées quand il m’a fait rejoindre deux autres filles qui par la suite j’ai comprises que c’étaient deux de ses gagneuses comme ils disent dans le milieu.
À 20 heures 10 un jeune marin assez séduisant je dois dire m’a demandé combien je prenais.
La somme étant conforme a ce qu’il souhaitait payer, j’entendis mes talons hauts pour la première fois claquer sur les marches de l’escalier jusqu’au deuxième étage.
Pour la première fois je savonnais la queue d’un garçon sans avoir envie de la recevoir en moi mais Luigi avant de me faire descendre m’avait bien expliqué ce que je devais faire.
Quand j’ai pris l’argent avant de sucer cette queue sentant encore un peu le savon j’ai fermé les yeux et j’ai jeté en l’air mon bâton de majorette afin de penser à autre chose.
Le jeune marin avait beau être séduisant c’est avec une larme à l’œil que je l’ai fait entrer en moi après avoir soulevé ma jupe et fait glisser ma culotte en dentelle que j’avais aimé que mon mac m’offre.
Mon mac car dès le premier soir ou Luigi est passé ramasser les compteurs au volant de sa Ferrari bizarrement retrouvé j’ai compris à mes dépens que les douze fois ou j’avais entendu mes talons claqués dans les escaliers était un minimum que je devais réaliser pour le satisfaire.
Bien qu’il ait fait de moi une péripatéticienne qui pendant deux ans va vivre de montée et de descente dans ces maudits escaliers chaque fois que je le vois mon cœur se met à battre tellement fort que je retourne m’occuper des bâtons des clients aussi bien qu’au premier soir…

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