LA MANTE RELIGIEUSE. (9/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LA MANTE RELIGIEUSE. (9/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LA MANTE RELIGIEUSE. (9/14)
Après avoir baisé avec les jumeaux qui m’ont prise par une double pénétration adorant sentir ces deux queues d’hommes en moi je les ai vus partir dans la nuit pour finir la moisson avant l’orage qui monte.
Après leur départ j’ai repris la lecture des cahiers de Camille qui parle du changement des billets de francs en euros ou elle se retrouve en prise avec Albert banquier qui lui propose la botte pour cacher les dépassements de transferts illégaux dans ces années-là.
Au matin William le cousin gendarme vient me dire que mon mari a été boulé de ses études de médecine et que nul ne sait ou il est.
Pour couronner le tout celle qui commençait à m’être sympathique dans cette famille j’apprends qu’elle a sauté du toit de l’établissement où elle avait été internée en échappant à la vigilance du personnel.
Enfin sous couvert d’une perquisition William me déclare sa flamme allant même jusqu’à mettre sa main sur ma chatte découverte trouvant que je mouille pour lui.
Je lui promets que s’il retrouve mon mari il pourra m’avoir ce qui me laisse du temps pour remettre en état les chambres car s’il était monté il aurait découvert que mon lit dans la chambre d’Aurélien était fermé et qu’il aurait pu trouver les cahiers de Camille que j’ai laissé négligement posé sur le couvre lit de leur chambre.
Mon travail terminé je vais chercher les cahiers pour lire la suite de celui qui est marqué « Les jumeaux »

• Après la première fellation que je fais à Albert qui me laisse des traces sur ma joue faisant sourire la caissière qui m’a préparé mon enveloppe d’euros je suis impatiente de revenir dans ce bureau car mon vagin souffre de plus en plus du manque de verge depuis la mort de mes amants.
Albert est un vicieux qui profite de ses clientes ayant des problèmes mais il est très séduisant et propre sur lui.
Sa queue que j’ai longuement eue en bouche est fort intéressante car assez grosse.
J’aurais pu le satisfaire en écartant mes cuisses dès qu’il m’a empli la bouche mais je souhaite qu’il me change mon argent et je préfère souffrir du manque de baise plutôt que d’être virée comme un vulgaire mouchoir en papier car la crise aidant il a certainement de nombreuses maîtresses.

C’est une bonne calculatrice ma belle-doche, il semble qu’elle pense à tout, comme moi je le fais avec mes amants qui me contraignent qui passent sous mes pinces de mante religieuse avant que je les dévore les uns après les autres.

• La semaine suivante j’ai amené encore plus d’argent car je sais qu’il va me prendre certainement sur son bureau et qu’après j’espère qu’il aura assez d’honneur pour me conserver comme son trou à bite.
J’emploie cette expression car depuis que Luigi m’a pris mes pucelages j’ai nettement l’impression d’être venue sur terre dans le but d’écarter les cuisses pour que ces messieurs se servent de moi comme une caverne à foutre.
Albert même si j’en prends du plaisir fait partie de cette longue série.
Il faut que je sois honnête, Victor a été le seul homme que j’ai choisi comme amant et il a fallu que j’aille très loin dans mes provocations pour qu’il accepte de m’en mettre plein mes intimités.
Avec lui j’ai retrouvé mes élans de jeunesse que j’avais pour celui qui a fini par calcul à m’entraîner sur le trottoir, le seul problème c’est qu’il pleurait chaque fois que son sperme coulait en moi finissant par donner la naissance d’Henri prénom de son père qu’il a choisi car il avait du mal à tromper Denise.
Ce qu’il ignorait c’est que quand il partait pour quelques jours en déplacement nous nous retrouvions avec Denise chez elle et que je la gougnottais comme je le faisais avec les filles à Toulon quand nos corps réclamaient de la douceur.
Denise femme ronde mais très sensuelle jouie en poussant des petits cris surtout quand je me sers des godemichets de toutes formes et de toutes grosseurs qu’elle range au fond de son armoire comme moi je range dans le fond de la mienne mes trésors.

Mamy était ou est une gougnotte car à 80 ans a-t-elle encore une sexualité.
Et ses godes les a-t-elle toujours au fond de son armoire ?
Le monde et la vie sont étranges en rencontrant Aurélien et en l’épousant, tout un pan de ma vie remonte au grand jour, maman avait un demi-frère, mon grand-père avait une maîtresse qui était la même que celle de ma grand-mère sans qu’il le sache, que vais-je encore découvrir dans ce cahier.
Il est quinze heures les jumeaux mon donné rendez-vous pour une douche commune à 17 heures j’ai le temps de lire la fin.

• Je peux considérer Denise comme une maîtresse qui me fait assez jouir quand je dis que depuis la mort de son mari les verges me manquent mais je dois à la vérité de dire qu’avant Albert nous avons eu un amant commun avec ma copine.
Un après-midi où nous étions nues dans les bras l’une de l’autre après avoir fait jouir nos corps jusqu’à l’orgasme le nom de Denise nous parvient.
C’était Étienne le boucher faisant sa tournée et qui ayant klaxonné sans réponse de notre part alors qu’il savait ma copine présente est entré car elle s’endort quelquefois d’un sommet si profond qu’il entre systématiquement comme elle lui a demandé de le faire suite à une engueulade de Victor la fois ou le midi elle avait oublié d’acheter la viande de la semaine.
Il voit la situation où nous sommes et il s’est approché de nous.
Trouvant la situation intéressante en moins de mots qu’il en faut il sort sa verge bien plus grosse des derniers amants, dont Albert, qui m’a honoré ces derniers temps et tout en la présentant à Denise qui a saisi le bâton dans sa bouche le pompant goulûment comme une morte de bite qu’elle semble être.
Tout y passe, la verge, le gland qu’elle léchouille et les testicules qu’elle gobe une par une les relâchant avec un bruit de succion bien vicieux.
Je me suis posé la question avec l’expérience qu’elle semblait avoir si un certain Luigi l’a elle aussi fait travailler dans un autre coin du quartier de Chicago à Toulon dans notre jeunesse.
Étienne semble flashé plus sur elle que sur moi, quelle complicité les unissent. Entre-t-il régulièrement dans la maison pour l’honorer quand il passe dans ses tournées ?
Aussi je m’écarte alors qu’elle offre sa chatte très poilue au sexe qui prétend la prendre et il en profite pour plonger au plus loin de ses possibilités.
Denise est une bonne chanteuse et j’apprécie les sons qu’elle émet pour encourager son pourfendeur.
J’ai vu des corps de copines se tendrent quand l’orgasme les tétanisait le sien rejoint cette règle et je suis un peu jalouse que ce soit elle qui jouisse la première.
Je suis jalouse pour rien car voyant où il l’a emmené il l’a quitte pour me faire mettre en levrette et continuée à baiser donnant l’impression qu’il est resté dans le même sexe.
Quel plaisir de jouir avec cette queue, Étienne après Denise passe chez moi dans sa tournée et à ce jour je l’ai regardé sans penser qu’il pouvait être un amant potentiel.
Mais aujourd’hui c’est Albert qui m’intéresse ayant encore quelques liasses de billets à échanger.

Ma grand-mère chez qui je dois aller dans quelques minutes, semble avoir eu une sexualité assez intense et je pense la regarder d’une autre manière que je le fais chaque fois que je la rencontre.
Quelques pages sur le cahier et je vais me mettre en route.

• Comme je le pensais ma visite suivante dans le bureau d’Albert se termine par une partie de baise.
Je suis humilié quand il me demande de me mettre à quatre pattes et qu’il vient s’asseoir sur mon dos comme mes fils le font avec leurs chevaux.
Il soulève ma jupe et me claque les fesses d’une main et me tire les cheveux de l’autre.
Il me fait faire le tour de son bureau pour finir par se relever quand je m’écroule sous son poids.
L’ordre de me remettre en position claque et sans attendre sa queue qu’il a dû sortir sans que je le voie il me la plante dans la chatte.
Une de plus que je reçois contre ma volonté mais pour mon plaisir car j’ai pris le parti que depuis que j’ai intégré notre ferme que si je veux avoir une vie sexuelle vue l’état de déchéance d’Hubert je dois accepter ces humiliations.
Il me bourre et je jouis surtout en pensant qu’en sortant j’aurais presque échangé la totalité de mon argent sans en perdre un centime comme je l’espérais.
Il me fait relever et asseoir sur son bureau comme je pensais en entrant qu’il allait me prendre, il s’agenouille et sa bouche vient lécher mon sexe de haut en bas.
Comme je le pensais il doit avoir de nombreuses maîtresses qui passent dans son bureau et il a acquis une grande expérience dans son jeu buccal.
Je m’attendais à un butor pensant qu’à son plaisir mais je découvre un amant qui prend soin de sa partenaire même si en me suçant il écarte mon chemisier et saisi un de mes seins qu’il tord manquant de me faire hurler.
Sachant pourquoi je venais j’ai bien sûr enlevé tout sous-vêtement et chaque partie sexuels de moi est entièrement à sa merci et je m’aperçois quand il change de sein tournant la pointe de mon mamelon qu’il aime le vice ce que j’accepte bien volontiers.
En se relevant il veut m’embrasser, un vieux réflexe du temps de la basse ville de Toulon me fait tourner la tête une pute refusant sa bouche à un client, cela le surprend mais il reste stoïque et cherche à me mettre sa verge dans l’anus.
Je me suis tellement souvent fait enculer, qu’une nouvelle fois pourquoi pas mais pas aujourd’hui.
La promesse qu’il me prendra le petit la semaine suivante me permet de me rapprocher de la fin de mon change et si je le garde comme amant par la suite ce sera simplement car il m’a repris le vagin et me pilonne comme un fou me faisant jouir et m’envoyant de longues jiclées de sperme au fond de mon corps.

Je mouille littéralement à lire les lignes écrites par celle qui vient de disparaître et qui semble m’avoir laissé en héritage son vice et sa luxure aussi je me mets deux doigts dans le vagin et je me masturbe jusqu’à moi aussi jouir.
Il faut que je me dépêche de finir ce récit car si le plan que j’ai élaboré fonctionne j’aurais de longues semaines avant de pouvoir savourer son épilogue.

• Pendant plusieurs semaines j’ai été l’une des maîtresses d’Albert, comme je l’ai dit à part sa bouche sur la mienne je lui cède tout, il a pris l’habitude de m’humilier à chaque rendez-vous en me traitant comme un cheval.
Depuis quelques heures je sais que je suis enceinte de jumeaux, je finis par lui en parler et sa réponse est sans appel, je dois prendre la porte.
Je suis en train de me rajuster quand son téléphone sonne.
Son pantalon au bas des pieds il répond et au moment où je vais sortir j’entends qu’il donne rendez-vous à une femme pour dans deux jours étant absents le lendemain en prenant la précaution de lui demander si elle avait bien compris ce qui allait lui arriver et si elle acceptait le contrat qui allait les lier.
J’ai compris qu’Albert avait déjà trouvé une remplaçante et je suis sorti dignement sans donner l’impression d’avoir entendu.
La semaine suivante je me suis présenté au guichet auprès de la jolie blonde et quand je lui ai demandé de voir monsieur Albert je me suis entendu répondre qu’il avait été licencié pour avoir abusé d’une de ses clientes, sa hiérarchie suite à une dénonciation l’a trouvé dans une situation très compromettante surtout que la cliente qui le subissait étant en pleurs.
J’ai mis au monde Julien et Jules quelques mois plus tard sans savoir qui d’Albert ou d’Étienne étaient le père m’en fichant royalement ayant un mari légitime.
Qui sait qu’Hubert est incapable de les avoir conçus ?

Ainsi se termine le dernier cahier écrit par Camille, non je dois reconnaître qu’il y en a un dernier marqué « Aurélien et Noami » dessus avec la même écriture bien léchée mais quand je l’ouvre, ma belle-mère a fini de raconter sa vie et aucune ligne n’est écrite sur notre aventure.
Je retape le lit, prends les cahiers, ferme la ferme et je pars en courant chez ma grand-mère.
Dans la remise je retrouve le sac qui sent bon ma fortune et j’y place les cahiers bien à l’abri des regards indiscrets.

• Bonjour ma chérie, le mariage te rend resplendissante, merci de venir prendre le temps de visiter ta grand-mère, on fait une crapette, tu sais que j’adore cela…

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