LA MANTE RELIGIEUSE. (11/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LA MANTE RELIGIEUSE. (11/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA MANTE RELIGIEUSE. (11/14)
La ferme avec à l’intérieur les jumeaux est partie en fumé.
La police a trouvé le sèche-cheveux dans la baignoire dès que les flammes leur ont permis d’approcher.
William le cousin a décidé de faire comme les autres hommes de cette famille et me donne ses clefs pour que je rejoigne sa maison dans le village au pied de la ferme.
Je vais pour les prendre quand je me ravise.

• Ton droit, je te le donnerais quand comme je te l’ai dit tu auras retrouvé mon mari, en attendant je vais couché chez mamy qui doit être morte d’inquiétude car je lui ai dit que la ferme de sa voisine brûlait.
• Salope, tu marques un point mais je suis sûr que rapidement j’aurais tes miches dans mes mains.
Parlons d’autre chose, ma gendarmette revient de la voiture.
• Tu l’as baisé.
• Il faut bien passer les jours où nous sommes coincés par la neige.

J’en ai assez entendu, je repars chez ma grand-mère qui est catastrophée d’apprendre que toute la famille de sa copine Camille a été décimée à l’exception de mon mari qui je lui apprends a disparu de la circulation.
Je l’aide à aller se coucher dans la pièce au rez-de-chaussée qui lui a été installé par mes beaux-frères pour qu’elle évite de monter à l’étage.
Pendant deux jours je suis tranquille, William semble avoir du mal à retrouver Aurélien, j’ai en tête l‘enterrement de la famille aussi pour le narguer je descends le troisième jour à la gendarmerie dans une tenue provocante acheté avec Antoine à la gendarmerie.
Il me fait entrer dans son bureau.

• Noami, tu tombes mal et bien à la fois, nous venons d’avoir une piste où se trouve ton mari et nous partons voir si elle est valable, prépare ton petit cul pour ce soir.
• Je peux venir avec vous.
• Non le règlement l’interdit mais rien ne t’empêche de nous suivre avec ta voiture.

Nous sortons, toute la gendarmerie est en effervescence et trois voitures dont l’une avec un chien démarre toute sirène hurlante.
Nous sortons d’Alby pour monter la côte qui mène à Gruffy.
Je suis bon pilote ayant été formé par mon grand-père dès que j’ai pu mettre mes pieds sur les pédales et encore une chance qu’il y ait des lignes droites car la gendarmerie en mission ignore les limitations de vitesse.
Gruffy avalé, nous tournons vers Viuz-la-chiésaz avant d’entamer la montée vers la ferme et la maison de mamy.
Nous les passons et j’ai le temps de voir ma grand-mère assise derrière ses carreaux intrigués par tout ce déploiement de forces.
Deux cents mètres après non loin du chemin qui m’a permis de rejoindre la ferme sans que l’on me voie les voitures sont arrêtés à l’entrer d’un sentier montant vers le sommet.
J’avance et deux cents mètres plus loin William et son équipe a coupé le passage par des bandes déjà placées entre plusieurs arbres.

• Noami reste où tu es, nous avons trouvé une tente qui semble être celle où Aurélien a séjourné depuis qu’il est parti soi-disant pour sa fac de médecine.
Le chien a plusieurs pistes à suivre.

Un gendarme revient précipitamment.

• Adjudant, on a trouvé un homme pendu à 20 mètres d’ici, les premières constatations semblent nous indiquer que c’est le suspect que nous recherchons.

Apprendre que l’on est veuve de cette manière à de quoi retourner une femme honnête et même une mante religieuse s’écroule à l’annonce du suicide de celui qui l’a tenu dans ses bras sans pour autant la baiser.

• Viviane, emmenez Noami chez sa grand-mère et restez auprès d’elle jusqu’à ce que je vous appelle, prenez ma voiture je redescendrais avec la voiture du maître-chien.
Noami soit forte.

En disant cela il m’aide à me relever s’appuyant d’une façon plus que suspect aux yeux de Viviane qui est la gendarmette qui aide William à passer ses longues soirées d’hiver les jours de neige à Alby.

• Venez, montrez-moi le chemin.
• Ma voiture, il est impossible de la laisser.

On a beau être atteinte par le deuil qui vient de m’atteindre, ma voiture est un bien précieux et j’en ai besoin.

• Viviane cet un peu hors de la règle, prenez-le volant-je vous rejoins dès que j’en ai fini ici.
Noami excuse-moi je dois aller faire les constatations.

Il est étrange que William me laisse partir sans qu’il m’ait dit qu’il avait rempli sa mission et que ce soir malgré mon deuil je devrais passer à la casserole pour respecter notre accord et son droit de cuissage.
Arrivé chez mamy, je lui annonce la nouvelle sans en rajouter.
Avec Viviane nous montons à l‘étage dans la chambre que j’occupe et que j’ai retrouvé l’ayant quitté après mon mariage.

• Il semble avoir quelque chose entre vous et l’adjudant.
• Je devrais me taire mais je suis folle amoureuse, nous allons nous marier dès qu’il aura quitté la gendarmerie, il a acheté une petite maison à Alby où nous allons habiter.

Encore un fumier, il souhaitait me sauter dans leur maison il y a quelques heures alors qu’il va convoler.
En apprenant la mort d’Aurélien je me suis affaissé sur mes jambes là où j’étais et l’orage étant passé je suis tombé dans un endroit du chemin boueux ayant maculé mes jambes.

• Si tu le permets, tutoyons-nous.
• Bien sûr, nous avons le même âge c’est naturel.
• Tu es beaucoup plus jeune que ton adjudant, tu veux épouser un vieux.
• À mes yeux il est jeune, il court tous les jours plus de 10 kilomètres et je t’assure que dans un lit il assume, je suis dingue de lui, je crois que si j’apprenais qu’il me trompait je serais capable de le massacrer.
Ma famille est originaire de Sicile et là-bas l’honneur de la parole donné c’est sacré.

William a qu’a bien se tenir car il est cerné par une passionaria et une mante religieuse.

• Je vais me doucher, j’ai de la boue du chemin partout, entre filles pas de pudeur, je vais me déshabiller.

Aussitôt dit aussitôt fait, j’enlève mes vêtements osés que j’avais mis pour allumer mon cousin par alliance et je me retrouve nue devant la gendarmette.

• Tu as de chance de porter de telle tenue, dans mon métier l’uniforme est loin d’être sexy pour les femmes et dans la vie normale il faut que nous ayons des tenus sobres pour éviter de provoquer les hommes voire les femmes que nous risquons un jour d’interpeller et qu’ils aient une possibilité de nous déstabiliser lors de leur interrogatoire.
• Tu veux les essayer.
• J’aimerais, tu sais les constatations et le début de l’enquête pour voir qu’il y a bien suicide et pas un meurtre va prendre du temps, William va me rejoindre en fin d’après-midi mais hélas ce soir il est de service à la gendarmerie et je serais seul dans notre grand lit dans sa maison.
• Pauvre choupinette, tu sais moi aussi ici.

En prononçant ces mots naturellement mes bras nus viennent enserrer la jolie fille qui répond favorablement à ma sollicitation et à ma nudité, Je prends sa bouche dans un baiser fougueux que la passion d’un instant peut déclencher entre deux êtres fussent-ils du même sexe.
Le ceinturon qu’elle dégrafe et qui tombe au sol fait un bruit sourd sur le plancher pendant que je dégraphe sa chemise de service découvrant des trésors emprisonnés dans un joli soutien-gorge rose.
Le string de même couleur fait partie de l’ensemble, seul touché caché de sa féminité.
Mes doigts entrent facilement, sa conque déjà acquise à ma pénétration.
Pour la première fois de ma vie j’embrasse une autre fille oubliant que je viens de perdre mon mari qui se trouve à quelques centaines de mètres de moi.
Une pensée saugrenue à cet instant vient à mon esprit.

Comme il est dit dans les films du Moyen Âge, un pendu à une dernière érection avant de partir et il a une dernière éjaculation au moment fatidique.
Aurélien aura eu une belle mort seule fois ou il aura joui sans me voir me faire enfiler par l’un de ses frères.

Viviane, elle aussi est active vers mon intimité et je suis surprise que ses doigts entre comme dans du beurre dans ma motte qui dégouline d’envie.
Contrairement à moi elle a de l’expérience et son pouce qui titille mon clitoris le surprend et le fait démarrer pour finir dans une gerbe irradiant ma tête et l’ensemble de mon corps.

• Eh bien, Noami tu as un corps magnifique et tu sais prendre du plaisir, les hommes que tu as eus dans ta vie ont dû passer de bons moments.
Oui, comme cela, passe le de bas en haut sans appuyer fortement, mais viens sur ton lit, je vais te le faire découvrir.

Elle joint le geste à la parole et tombe sur le lit m’entraînant sur elle.
Je repense à ce qu’elle vient de dire et à tous les hommes que j’ai eus dans ma vie et qui l’ont payé de la leur après m’avoir contrainte même si chaque fois j’y ai pris du plaisir.
Viviane elle a la chance que je l’ai choisi et grâce à cela va échapper comme échapperont ceux que j’aurais comme amant dans les semaines et les mois prochains profitant de mon veuvage pour m’éclater chaque fois que je le pourrais.
Présentement c’est le clito de ma petite maîtresse qui a toute mon attention et les mains vigoureuses qui appuient sur ma tête pour me diriger vers lui me permettent de passer ma langue dessus et de le faire éclater lui aussi de plaisir.
Pendant une heure j’apprends tous les jeux des amours féminins avec elle et principalement quand nous rejoignons nos deux chattes pour les frotter l’une contre l’autre.
Viviane me montre toute sa dextérité en passant sa main entre nous pour évaser nos grandes lèvres en corolle qui permet à nos chaires roses intimes de se souder plus complétement.
Camille dans ses écrits parle de ses expériences saphiques avec ses collègues prostitués et avec ma grand-mère qui en bas si elle a des difficultés à marcher est loin d’être sourde doit comprendre que la perte de mon mari a été vite oubliée quand un orgasme simultané nous fait hurler de plaisir.
Des pensés lubriques se bousculent dans ma tête et contrairement à ma belle-mère certes mon argent sera caché mais surtout en profiter pour partir à travers le monde découvrir si toutes les queues que je choisirais valent les queues blanches que j’ai connues depuis mon mariage. Avec en plus des chattes de toutes couleurs et une prédilection pour l’Afrique persuadée d’y trouver des calibres de celle d’Antoine mon dépuceleur.
La journée avance, nous nous levons pour aller prendre une douche mes jambes ont perdu la terre qui était dessus au profit de mon couvre-lit car William risque d’arriver…

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