L'étranger

- Par l'auteur HDS Misous -
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Auteur homme.
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Récit libertin : L'étranger Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L'étranger
L'étranger

(Même personnage que dans réfugié mais correspond mieux car est le fait d'une tierce personne venant s'inclure dans un couple!)

Moi Luc
À dire vrai j'avais le sentiment que les choses étaient en train de changer. Le comportement de Julie particulièrement, en s'affirmant plus. Cela correspondait avec la dernière soirée de son association. Rachid notre futur locataire y était peut être pour quelque chose ou Jeanne avec son caractère de meneuse? Ce qui est sûre ce n'est pas moi qui allait pouvoir l'empêcher, je ne m'en sentais pas la force de caractère.
Rachid vint le mardi suivant s'installer chez nous. Julie s'était mis sur son trente et un! Très sexy! Jupe très courte qui montrait une bonne partie de ses grosses cuisses. Et un corsage léger qui dévoilait une bonne partie de sa poitrine. Nous avions mis les petits plats dans les grands, mais la conversation avec Rachid fut assez difficile car visiblement son français était très sommaire. D'ailleurs Julie devait lui donner son premier cours le lendemain mercredi car ce jour là elle ne travaillait pas et Jeanne l'avait dispensé d'aller à l'association pour se consacrer à Rachid. Moi j'avais une journée chargée, je devais rentrer tard. Ils avaient donc tout le temps de bien faire connaissance. Je n'osais lui dire de s'habiller un peu plus stricte.
Nous allâmes donc nous coucher assez tôt. La pièce où était installé notre invité était contiguë à notre chambre et pour aller à la salle de bain il devait la traverser.
Je rejoignis Julie dans le lit où elle était couchée complètement nue comme d'habitude. Elle était à plat ventre et je savais que dans ce cas elle voulait que je lui masse le dos puis les cuisses avant de remonter jusqu'à ses fesses. Je la sentais assez excitée. Je me glissai entre ses cuisses et je me mis à lui embrasser les fesses puis ma bouche se dirigea dans sa raie du cul que j'ouvrais avec mes mains. Peu à peu je remontai jusqu'à son petit trou. Elle se laissait faire. J'y plaquai ma bouche et lui léchai la rondelle un bon moment. Elle devait apprécier car elle gémissait sans retenue. Je pensais alors à notre invité qui devait tout entendre. Elle me frottait la bite avec son pied jusqu'a me faire jouir. Je remontai alors et attendit le sommeil. Cela avait du l'échauffer car elle repoussa le drap et toujours à plat ventre nue.
C'est alors que j'entendis Rachid se lever, il traversa notre chambre, et dût voir le corps nu de Julie car la lumière de sa pièce le permettait. Il resta quelque temps dans la salle de bain, pour mieux jouer les voyeurs. Ca promettait!!!

Moi Julie.
J'étais très excité à l'idée de recevoir Rachid et sur les conseils de Jeanne je m'habillais super sexy. Luc apparemment n'y vit aucun inconvénient, elle avait donc raison. Peut être que cela l'excite que sa femme s'exhibe? En fait je m'en moque.
Le repas fut assez court car le dialogue était assez difficile vu la barrière de la langue. J'avais du boulot qui m'attendait. Jeanne avait été claire, je devais totalement me consacrer à lui. Une fois couchée l'excitation ne m'avait pas quittée et je fis comprendre à Luc de s'occuper un peu de moi, ce qu'il fit mais sans me satisfaire, éjaculant assez vite me laissant frustrée. La chaleur toujours présente, je repoussais les draps, c'est alors que Rachid traversa la pièce, c'était trop tard pour me couvrir. Et puis, l'exciter ne me déplaisait pas. Il prit son temps je suis sûre pour se rincer les yeux, j'en rajoutai un peu en écartant les cuisses.
Le lendemain, Apres le départ de Luc, je préparais le déjeuner à Rachid. Je m'étais habillé d'une jupe en jeans tres court et d'un pull très moulant et très échancré que m'avait conseillé la vendeuse. Elle m'avait même conseillé de ne pas mettre de soutien gorge car elle disait que mes seins tenait assez bien. Mais l'excitation ne m'ayant pas quitté j'avais les tétons qui pointaient et cela se voyait! Le mercredi étant seul à la maison habituellement souvent je ne mettais pas de culotte, donc je n'y pensai pas. C'était peu être risqué!
Le regard de Rachid était significatif de l'effet que je lui faisais.
Apres le déjeuner nous nous installames sur le canapé pour son premier cours de français. Au début ce fut laborieux car il avait du mal à être concentré.
Puis il me fit comprendre qu'il aimerait bien que je lui donne le nom des différentes partie du corps. Je commencai par la tête, je posai mes doigt sur son nez et donnait l'appellation et il répétait en posant son doigt sur le mien et ainsi de suite. Cela lui plaisait et je me dis que la méthode avait l'air efficace. Nous fimes les bras puis les jambes. Quand je posai mes mains sur ses cuisses il fit de même sur les miennes mais il les posa très haut à la limite de ma jupe. Il répéta plusieurs fois et il laissait traîner ses mains. Puis ce fut le tour du torse. Il posa ses 2 mains sur mes seins. Je n'avais pas testé mon programme !!!! Il les laissa plus longtemps que nécessaire. Je commençais à me rendre compte que j'étais en train de me brûler les doigts!
Arrive le bas ventre. Comme j'hésitais il me prit la main et la posa .... sur son sexe déjà bien gonflé. D'une main il me tena la mienne et l'autre il la glissa sous ma jupe jusqu'à ma chatte. J'étais sans voix. Pas lui,Il voulut en connaître l'appellation française. Je lui dis en bégayant "chatte". Il me lâcha surpris que je ne porte pas de culotte. Profitant de mon trouble il sortit son sexe de son pantalon et me fit poser mes doigts sur son gland pour que nous continuons le jeu! Ma main parcourait les différents partie et les nommai tout en le caressant. Cela eut de l'effet car sa bite commença à se redresser. Voyant que je m'appliquais dans ma "tâche" il reposa ses doigts sur ma chatte, me la caressant. Puis à ma grande surprise alors que j'avais une main sur sa bite et l'autre sur ses couilles il me dit en français "suce moi"!
Ou avait il appris cela? Je préférais ne pas le savoir. Il insista très fermement. Je perdais complètement pied et il me fit me plier pour venir poser ma bouche sur son gland. " allez suce". Mes lèvres s'ouvrirent et je le pris en bouche, ma langue léchant son gland. Il appuya fermement sur ma nuque et m'enfila sa bite jusqu'à ma glotte. Il avait une queue d'une telle taille, longue, large, doté d'un gland pas moins gros. Rien à voir avec celle de mon quotidien!!! J'étais à genoux entre ses jambes et j'étais en train de lui tailler une pipe comme jamais je l'avais fait. Plus rien ne comptait que sa queue. Il en profitait pour enlever mon pull et mettre mes seins à l'air. Il se mît à me mes malaxer puis pris mes tétons entre ses doigts et me les pinça très fort à me faire venir les larmes aux yeux. Comme je ralentissais dans ma succion il me bouscula un peu, " allez suce salope". Cela me stimula plutôt que m'énerver. Oui j'étais bien une salope. Je commençais à sérieusement mouillé entre les cuisses. Il me releva alors et me poussa pour que l'on aille dans ma chambre. Le lit était encore ouvert chaud de la nuit. Il me poussa sur le dos et vint s'allonger sur moi. Naturellement j'ouvrais grand mes cuisses lui montrant ce que j'attendais de lui. Il l'avait d'ailleurs bien compris depuis le premier jour. Je sentis sa queue raide se poser sur ma chatte. Il n'eut aucune difficultés pour amener son gland entre mes lèvres et comme j'étais trempée il s'enfonça sans problème. Il se planta au plus profond et se mît à me pistonner à grand coups de bite. Je le ceinturais avec mes jambes et je m'offrais totalement. Je ne sais combien de temps cela dura mais je prenais mon pied. Il était en train de me baisser dans le lit conjugal. J'aimais comme il me prenait, c'était brutal. Mais c'est ce que j'attendais. Alors que son gland était dans mon utérus il me lâcha son jus violemment. Il était en train de me remplir de sa semence. Je poussai un cri de plaisir. Je suis sûre que les habitants de l'immeuble l'entendirent mais je m'en moquais, que ce soit de passer pour une salope ou de faire cocu mon mari. Rien ne comptait plus que mon plaisir. Il se retira et voulut que je lui nettoie la bite pleine encore de foutre et de mon jus mélangé. Il était sur le dos et se laissait faire se contentant de me caresser le cul. Ses doigts glissait dans la raie. Je tortillais pour qu'il puisse le faire facilement. Je m'offrais à lui. Son doigt vint se poser sur ma rondelle. J'écartais mes grosses cuisses pour qu il me l'enfile. Il ne se gène pas et me força de son gros doigts. Puis il me mît 2 doigts, j'eus plus de mal à l'accueillir. Mais une fois dedans il les tourna pour bien travailler ma rondelle. Un troisième doigt vint s'y ajouter. J'eus conscience qu'il préparais le passage. J'étais vierge de ce côté mais j'en rêvais et ce n'est pas Luc qui aurait pu y faire quelque chose avec sa petite nouille. Quand j'y pense!!!
Il ne savait y mettre que sa langue. Son plaisir était de mettre son nez dans mon cul! Rachid lui n'avait pas le même genre d'intention. Lui il voulait me sauter. Moi aussi je voulais qu'il me saute. Ces caresses nous avaient à nouveau mis en condition pour continuer les opérations. Il me fit mettre à plat ventre le cul bien relevé. Il m'écarta les genoux et me cracha sur le trou du cul. Je sentis très vite son gland sur ma rondelle. Il appuyait de plus en plus fort et pouf son gros gland s'enfonça. Je compris que j'allais passer à la casserole. Il se mît à pousser encore plus fort et je sentis sa grosse bite s'enfoncer. Elle me remplissait de plus en plus et de plus en plus profond. Je me donnais à lui. Je lui donnais mon cul. Je sentis alors ses couilles contre ma chatte. Il était enfoncé totalement . Wouah quel pied. J'étais pleine. Il m'écrasait de tout son poids et se mît à me pistonner encore plus violemment . Il me ramonait le cul. Cela dura encore plus longtemps que dans ma chatte car il avait déchargé. Et ce n'était pas pour me déplaire. Je couinais comme la salope que je devenais. Cela ne m'était jamais arrivé . Il me triturait en même temps les seins. Sa brutalité montrait qu'il prenait possession de mon corps. En tout les cas il ne rencontrait pas beaucoup de résistance et il en profitait. Je reçus au plus profond alors un jet de foutre, de ce qui en restait. Il resta couché sur moi et planté dans mon cul. Nous nous assoupimes alors. Il était près de midi quand le téléphone sonna, je décrochais avec Rachid toujours couché sur moi. C'était mon mari qui m'appelait. Il s'étonne de mon ton quelque peu embrumé. Je le rassurai. Il me dit qu'il rentrerait tard ce soir la. Visiblement il avait envie de parler car il me parla aussi de choses et d'autres insignifiantes. J'avouerai que lui parler avec mon amant sur le dos m'excitait. Je fais donc continuer la conversation. Rachid s'étant réveillé et comprenant ce qui se passait glissa sa main sur ma chatte et se mît à me branler. Il prit ma main libre et la posa sur sa bite. Comme la conversation dura, il se releva et vint se mettre juste devant moi et approcha sa bite de ma bouche. Elle était entre le Tph et mes lèvres. Je sortis ma langue et lui léchai le gland humide pendant que Luc parlait. Je sentis un doigt me fouiller le cul. Hum quel délire! Je commençais à être trop excité je décidai d'abréger. Quand je raccrochai, je sautai au coup de Rachid et lui rouler une pelle tellement passionné qu'il comprit le pourquoi de mon excitation.
- toi salope, me dit il.
Apres manger, tout nu, nous repartîmes dans la chambre "faire une sieste".
Je me précipitai à nouveau sur sa merveilleuse bite pour lui donner la vigueur qui m'intéressait, ce qui ne fut pas long. Il m'embrocha aussitôt et me baisa tel un vrai mâle baise sa femelle en chaleur comme je l'étais. C'est avec délice après un temps indéfini qu'il me lâcha son foutre au plus profond en me donnant le sentiment qu'il était en train de m'engrosser!
L'après midi fut courte ! Quand Luc rentra nous étions sur le canapé en train de regarder la télé, sagement! Apres une bonne douche j'avais mis une blouse très légère et très courte qui ne cachait rien de mes cuisses lorsque j'étais assise, et déboutonnée sur le haut pour que l'on puisse voir une très grande partie de mes seins. J'avais replié mes jambes et ainsi Rachid avait une vue imprenable sur ma chatte car je n'avais pas mis de culotte. Et cela pendant que Luc mangeait seul à table.
(À suivre)

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