Première fois avec un homme - histoire érotique

Je suis un jeune homme de désormais 26 ans sortant exclusivement avec des femmes. Cependant, il m'est arrivé à plusieurs reprises d'avoir des relations sexuelles avec des hommes murs. En approchant la vingtaine d’années, j’ai été très attiré par l’idée d’une relation avec un homme mur plus grand, plus imposant, plus mature et actif dans tous les sens du terme.
Alors que je pensais à ça assez souvent, bien qu’épanoui sexuellement avec des femmes, j’avais très envie de gouter à ce plaisir dont la simple pensée me fait rougir. Depuis les premières pensées de ce genre, je m’étais inscrit sur des sites de rencontres entre hommes, j’avais répondu à des annonces et en avais posté moi-même. Tout cela m’excitait terriblement mais jamais je n’avais réussi à sauter le pas. Les années passèrent, le désir grandit en moi autant que la gêne apportée par celui-ci. J’avais pourtant bien correspondu avec un homme charmant et très compréhensif, puis un second, pourtant je restais frileux quant à l’idée d’une rencontre concrête.
L’été de mes 24 ans, je passais mes vacances chez ma grand-mère dans le sud, comme très souvent. La plage, le soleil, j’adorais mon fief méridional mais ne connaissait pas de jeunes avec qui sortir. Je regardais les filles sur la plage avec ardeur et discrétion, tout comme je scrutais les formes non moins excitantes de certaines femmes plus âgées que moi. Les femmes m’excitaient terriblement mais je remarquais qu’intimement, j’espérais voir un homme mature, costaud et bronzé poser sa serviette et s’allonger à côté de moi. Les cheveux poivres et sel sur un corps bronzé et grand, cela m’a toujours fait un petit effet. Une forme de respect et d’envie qui plus tard se transforma en réel désir.
Les sens en éveil, je reprenais machinalement mon smartphone sur la plage. Saloperie de machine qui nous empoisonne la vie pendant vos vacances. Pire qu’une clope. Cependant, il fut pour une part l’instigateur de ma première fois avec un homme.
Plus pour passer le temps entre deux baignades solitaires, je regardais les hommes connectés sur un site de rencontres entre hommes. Un profil m’intriguait puisqu’un homme d’une cinquantaine d’années habitait non loin de la plage où j’avais l’habitude d’aller bronzer et courir. Ses quelques photos montraient un physique plutôt viril, un peu poilu, un visage souriant, de belles cuisses musclées et un boxer d’apparence plutôt remplie. Les premiers messages furent agréables, drôle et me rendaient très curieux sur sa personne. Une chose rare sur ce genre de site ou les trois quarts des hommes veulent justes tirer leur coup rapidement. Une heure d’échange virtuel avec lui m’avait donné très envie de le rencontrer et très envie de sexe. J’étais loin de chez moi, je ne connaissais personne, j’étais à la plage et en vacances. Tout était réuni pour enfin tenter l’expérience. Il me proposa un rendez-vous, sur la plage en fin d’après-midi pour se rencontrer. Après avoir dit non et donné une fausse excuse, je me ravisai alors et acceptai. Mon cœur s’accélérait, j’avais peur de me retrouver face à un homme et son désir et ne plus vouloir de cette aventure. Je stressais deux bonnes heures sur la plage. Je n’avais que ma serviette et un petit sac de sport avec moi. Je n’étais pas vraiment préparé à avoir une relation sexuelle avec un homme… Pourtant, le cœur battant et l’estomac noué, j’allais le rejoindre au point de rendez-vous que nous nous étions fixé. Je n’avais que quelques centaines de mètres à faire sur la plage mais j’eu l’impression de parcourir des kilomètres. Je craignais les gens autour de nous, je craignais d’être face à un inconnu déplaisant. L’endroit était calme. Je me rapprochai du point de non-retour et un homme était assis dans le sable tout en me fixant. Ma poitrine me brulait, mon visage était crispé et j’aurais voulu être partout sauf sur cette plage. Il se releva et d’un large sourire m’annonça qu’il avait hâte de me rencontrer. Le courant passait déjà. Nous discutâmes un long moment sur le sable. Mes études, sa vie d’homme hétéro et marié, mes histoires avec les filles, le sport, ses envies de sexe avec un jeune homme, mes envies de sexe avec un homme mur. Très vite je compris qu’il était le genre d’homme avec qui j’aurais voulu essayer. Pourtant, cette pensée me paralysait. Il me proposa d’aller dans l’eau. On regardait le paysage, l’eau à hauteur de hanche, le soleil se couchant doucement derrière les collines varoises et ses derniers rayons traçaient sur lui des muscles volumineux. Je l’admirais, mon physique de grand mince à côté ne faisait pas le poids. Il avait un grand torse, de gros bras et des cuisses fortes. Je lui avouai que je le trouvais incroyablement bien fait. Il me complimenta à son tour, puis il y eut un blanc. Moi, l’hétéro, j’avais envie de toucher ses pectoraux alors qu’une heure avant, juste avant le moment de la rencontre, j’avais envie de le fuir. J’étais déstabilisé par toute cette testostérone qui émanait de lui. Moi qui avais l’habitude de scruter la plage à la recherche d’une jolie fille aux beaux seins et aux fesses rebondies, je n’attendais plus que sortir de l’eau pour voir son short de bain se coller contre son sexe. Je n’osais pas réellement le draguer ou bien le regarder mais je savais qu’il m’avait compris. Il savait qu’il me plaisait. La plage devenait déserte et il me proposa de faire une petite balade pour ne pas se refroidir. Notre conversation tournait autour de la sexualité et de ce que nous attendions chacun de cette rencontre. Lui m’avoua clairement être tombé son mon charme. J’ai ce côté jeune, mince mais jamais efféminé dans le comportement. J’étais heureux de lui plaire. Flatté mais aussi heureux. J’avais pourtant peur de la suite. Dès ses premiers messages sur le site, il m’avait annoncé ne pas pouvoir recevoir. De mon côté, c’était tout bonnement impossible. Il n’y avait que deux solutions, l’hôtel ou la plage.
Nous décidions de nous arrêter juste après une canisse appartenant à un restaurant de plage fermé. Tout était fait pour que je saute le pas. Une plage déserte à la nuit tombante, un endroit en partie abrité des regards des passants, un homme magnifique et beau intérieurement, une excitation à son maximum…
On s’allongea alors sur nos serviettes collées l’une à l’autre. Nous devînmes tactiles. Ma main parcourait son bras quand je rigolais, puis quand j’étais allongé sur le ventre, il posait sa main sur le bas de mon dos. J’étais tombé sur une perle. Il savait y faire. Pas trop brusque pour ne pas me refroidir mais suffisamment sensuel pour me donner envie de lui offrir mon corps pour la première fois. Sa main posée sur le bas de mon dos devenait une caresse. Je commençais à bander en sentant cette chaleur et en regardant le corps de cet homme. Sa façon d’être et de faire me renversaient. J’avais envie de le caresser, de toucher entièrement ce corps. Nous ne parlions plus, nos sourires en disaient bien plus. Je le caressais timidement. Je parcourais son torse de taureau viril mais me retenait de ne pas le mordre tellement l’excitation était forte. Ça y est, j’allais y avoir droit. Je me sentais pris dans quelque chose qui je ne contrôlais plus. Je savais que c’était le genre de moment où les paroles s’effacent et où les corps s’enlacent sans contrôle. Le côté animal de l’homme reprend ses droits. Mon côté animal voulait tendre les fesses et laisser le contrôle à un autre. Il me regardait toujours droit dans les yeux, m’allumant un peu plus. Il profita d’un moment où j’étais totalement sur le ventre pour se positionner au-dessus de moi afin de me masser. Des mains fermes et tendres à la fois. Il appuyait à chaque fois au bon endroit. Je n’aurais pas pu rêver mieux comme rencontre. Il me détendait et m’excitait en même temps. Son bas ventre s’appuyait sur mes fesses. Je sentais son sexe à travers le tissu de nos maillots de bain. Je me sentais prêt, j’en salivais. Je lui proposais alors de lui rendre la pareille. Il se mit sur le ventre et je pus alors me délecter de son corps. Je lui massais alors le dos, les épaules rougies par le soleil, les bras, je lui agrippais les mains pour qu’il sente mon désir. Alors que je lui massais les cuisses et les mollets, il se retourna. Levant les yeux pour lui sourire, je fus arrêté par une bosse énorme dans son short de bain. Il me dit alors que mon massage appliqué lui avait fait beaucoup d’effet. Je ne pouvais que constater en rigolant. Elle m’appelait. J’allais découvrir la première queue d’un homme.
Je glissais à genou sur la serviette pour me mettre à hauteur de ses cuisses. Un coup d’œil à droite et à gauche, la plage était toujours déserte. Après avoir défait le nœud de son short, je lui baissais délicatement celui-ci. Mon cœur allait exploser et je tremblais de partout. Il le sentait et lachait un rire tout en me caressant un bras. Sa large queue m’apparaissait enfin. Déjà bandée, elle vint alors se coller sur son ventre dans un sursaut sanguin. Voilà, il était là, il s’offrait à moi et j’allais m’offrir à lui. Il avait déjà dû rendre beaucoup d’hommes et de femmes heureuses avec son membre, il était désormais pour moi. Un sentiment de peur et d’excitation m’envahit alors. Son manche m’aimantait et je le pris en main. Impossible d’en faire le tour entièrement avec mes doigts, mon quinqua au corps d’apollon était membré comme un étalon. J’aurais pu être honteux de la comparaison avec mon propre sexe, même si je n’avais jamais réellement complexé. Je ne pouvais que me soumettre à ce magnifique sexe qui dépassait la vingtaine de centimètres. Il avait tout prévu, les préservatifs et le gel contrairement à moi qui était venu sur un coup de tête sans réellement penser au côté pratique tellement je ne croyais pas en cette rencontre. Une capote installée sur son gros sexe, je me lançais ; je n’avais jamais vu de sexe d’hommes auparavant et je finissais ma journée par lécher les belles et grosses couilles de cet homme. Hors de contrôle, mon instinct me dictait de sucer cet homme avec la plus grande des applications. La succion faisait déjà son effet. Il fermait les yeux et gémissait doucement. Je me sentais rougir, j’avais chaud à cause de ma timidité et de l’excitation. Je ne savais pas trop ce que je faisais, pourtant je donnais tout pour le satisfaire. Il était ce genre de personne dont on s’évertue à faire plaisir. J’aurais tout donné à ce moment-ci pour qu’il prenne son pied. Ainsi, je m’activais sur son manche dur comme du bois. Son sexe encore en bouche pour notre plus grand plaisir, il baissa mon short et je sentis un de ses doigts charnu s’enfoncer en moi. Il me pénétrait doucement, si bien que je ne lui opposais aucune résistance. Au contraire je tendais mon cul tout en gémissant. Ajoutant du gel, il enfonçait deux doigts. Ses caresses étaient divines, de mes couilles à mes épaules, il touchait à tout, effleurait mon dos, me claquait doucement les fesses. Je lui caressais les cuisses, le ventre, ma langue tournant autour de son énorme queue je m’attelais à le regarder dans les yeux alors quand j’enfonçais avec difficulté son gland au plus profond de ma bouche. Il se redressa pour se mettre debout. Je restais sur les genoux continuant ma pipe pleine de salive. Je devenais progressivement son objet, j’étais dévoué à sa verge. Entre deux râles, il me demanda en souriant si j’étais bien sûr de n’avoir jamais couché avec un homme car je le suçais avec application, dévotion et il y prenait un pied énorme. Il tenait ma tête et limait désormais ma bouche de novice. Puis il se pencha vers moi, me prit la nuque et m’embrassa langoureusement. Je n’avais jamais embrassé un homme, pire, l’idée même de cela m’aurait rendue malade. Lui était différent. Son baiser était plein de fougue, je fermais les yeux et me laissais envahir par l’intensité de celui-ci. Son corps me guidait doucement mais fermement. Un vrai homme ferme et plein d’autorité naturelle. Je me retrouvai alors allongé sur le dos, ma queue dans son bouche alors qu’il reprenait son travail d’assouplissement de mes fesses. Je ne pensais plus à rien, excepté au plaisir. Il s’arrêta pile au moment où je me sentais venir. Je retrouvais mes esprits alors qu’il appliquait du gel sur sa queue qui n’avait pas mollit. Enfin. Il me releva alors les jambes qu’il posa sur ses épaules et positionna son pilonne sur ma rondelle entre-ouverte. J’avais peur d’avoir mal, peur qu’il me fasse mal. Je tremblais comme une feuille mais je voulais cette queue au fond de moi. Je voulais être sa chose, je voulais l’exciter à fond pour qu’il bande dur et qu’il me baise comme je l’avais mérité. Son sexe peinait à rentrer du fait de ma contraction mais il savait me détendre. Des mots doux, des mots coquins, et me voilà souriant et accueillant. Il s’enfonçait doucement en moi pendant que ma bouche s’ouvrait en grand. J’avais une sacrée chance. Je le sentais passer en moi, les murmures et les soupirs laissaient places à des cris. Il entamait un va et vient très contrôlé pour m’habituer. Je lui faisais confiance, il savait comment prendre soin d’un jeune mec passif. Une douceur alliée à une fermeté pareille, je ne pouvais que crier de plaisir. Ça y est, sa queue est en moi. Il m’embrasse et me regarde m’habituer à son chibre. Ses premiers va et viens ne me font pas réellement du bien mais je m’y fais vite. Je suis dans une position où je suis dominé et j’aime ça. J’ai du mal à respirer tant mon souffle est court. Après quelques minutes intenses, il veut que je lui grimpe dessus. Je le regarde avant de le chevaucher, il est superbe, ses muscles ont pris de l’ampleur et je me demande encore comment son sexe a pu rentrer entier en moi. Je me positionne à califourchon sur lui et je peux l’admirer. Je me plante sur sa queue et commence à bouger. Mes ondulations sont lentes car je veux en profiter. Je sens sa queue se durcir encore plus entre mes fesses qu’il écarte avec ses mains. Je me penche au-dessus de son visage et il reprend le contrôle. Désormais, il bouge le bassin et me lime de plus en plus rapidement. J’admire ce magnifique torse alors qu’il me fait l’amour. Sa queue est imposante, son travail est intense et je suis au bord de l’explosion. Je me crispe alors qu’il me claque les fesses. Mon beau partenaire me frustre en se retirant ; il sait que je veux qu’il me délivre et fait prolonger le plaisir. Je ne tiens plus mais je me soumets à lui. Il me fera jouir sans peiner, je le sais, cet homme est un véritable étalon. A peine est-il à genou que je me positionne juste devant lui, lui montrant mon dos. Lui comme moi voulons la même chose. Je sens son corps transpirant derrière moi et sa queue puissante se colle contre mon derrière. Il m’enlace fort, m’embrasse en me tenant la nuque. Il caresse mon ventre alors que je sens encore une fois son gland se frayer un chemin entre mes fesses. Il s’enfonce doucement pendant que je me mets à quatre pattes. La pénétration est vive et profonde et je suis à sa merci. Je sens ses cuisses frotter, il me tient fermement. Je crie, encore. Quelle petite salope je fais… Il pourrait tenir des heures, mon étalon. Je me retourne pour le regarder droit dans les yeux et pour lui dire que j’aime quand il me baise. Je sais alors que cela va lui donner de la force. Il intensifie ses coups de reins, j’entends nos peaux s’entrechoquer et mon souffle redevient court. Sa main se met devant ma bouche pour camoufler mes cris. Il me tient d’une main la nuque et la hanche de l’autre. Je me mets alors à sucer un de ses doigts, puis un second. On y est, il me baise ardemment. Il ressert mes jambes pour me donner encore plus de plaisir. Je sens encore plus son membre et mon beau quinqua colle son torse contre dos. Il me murmure des vilaines choses. Il me procure un bien fou et je suis proche de l’orgasme, alors il peut me dire que je suis une belle petite salope s’il veut, il a bien raison. Je ne peux plus résister à sa cadence d’athlète. Mes spasmes viennent lui serrer la teub ; un énième coup de piston me fait jouir comme rarement j’ai joui. De longs jets partent un peu partout et j’en rigole. Mon orgasme est long lorsque j’attends l’extase. Je sens qu’il ne va pas tarder à arriver alors je donne les dernières force qu’il me reste pour qu’il jouisse aussi fort que moi. Je le complimente sur sa grosse bite travailleuse et sa baise énergique. Il est rouge de partout et grogne. Il se retire de mon cul alors je bougeais mes fesses pour le faire venir. D’un geste tonique, il enlève la capote et jouit partout sur mes fesses. Sa queue crache de gros jets et il m’embrasse encore une fois. Je n’en reviens pas de ce qui vient de se passer. J’ai rencontré un homme qui m’a plu, puis j’ai connu ma première fois sur la plage. Un vrai fantasme devenu réalité presque par hasard. Il a joui, s’est mis sur le ventre tandis que son sperme coule encore sur ma cuisse. Je me sens vidé et comblé. Comment ai-je fait pour attendre aussi longtemps de me faire enfiler ? En tant qu’hétéro comblé, je venais juste de me faire démonter par un homme monté comme un cheval. Et c’était que le début de mes vacances…