SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (2/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (2/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (2/6)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Après le décès de ma nounou qui après m’avoir donné le sein m’a fait le cadeau de me dépuceler le jour de mes 18 ans, nous avons vécu ensemble bien que l’âge ait commencé à compter surtout pour elle qui avait vingt ans de plus que moi.
La différence d’âge a entraîné des changements sur son corps qui comme les personnes âgées se parcheminait et se ridait me laissant indifférent tellement l’amour était profond entre nous.
Nous avons vécu sur le pécule gagné par mes parents mais après la mort de Constance je suis allé m’installer dans un village près d’Auxerre ou contre toute règle j’ai enterré son urne dans mon jardin sous un massif de fleurs.
Je suis en train de tout biner quand une brave dame profitant des premiers beaux jours s’arrête pour me féliciter sur sa bonne tenue.
C’est ainsi que j’apprends que la grande bâtisse à deux cents mètres de là est une maison de retraite ou ses enfants l’ont placée.
Satisfait de ses félicitations je l’invite à entrer prendre un café ou un thé.

• Vous avez beaucoup de goût, votre intérieur est comme votre jardin impeccable.
C’est votre mère qui est partout en photo ?
• Regardé cette photo, vous croyez que j’embrasserais ma mère sur la bouche, non c’est Constance avec laquelle j’ai vécu toute ma vie depuis ma naissance ou elle était ma nounou et le moment où nous sommes devenus amant.
• Pardon, mais vous êtes bien plus jeune qu’elle.
• Vingt ans mais en amour ce petit détail reste insignifiant.
• Vous avez raison c’est comme moi avec Arthur, nous étions très soudés mais à la fin de sa vie j’ai souffert du manque de câlin car il lui était impossible de band…
Excusez, j’ai failli dire un mot qui est mal venu dans la bouche d’une vieille dame comme moi.
• Non, vous avez raison de dire qu’il lui était impossible de bander, bien sûr Constance avait à sa disposition un homme capable de la satisfaire et confidence pour confidence elle était très souvent demandeuse et adorait nos rapports sexuels.
Nous avons fait l’amour la veille de son hospitalisation sans penser que c’était la dernière fois hélas car elle me manque.
• Puis que nous en sommes aux confidences moi ce qui me manque ce sont les fellations que je faisais à Arthur et surtout son sperme que j’adorais avaler.
Si je m’écoutais je vous proposerais 50 francs pour avaler le vôtre à la place de ce thé.
Excusé moi, pas 50 francs, 50 € bien sûr, j’ai du mal à me faire à la nouvelle monnaie.
• 50 € la pipe et 100 € la baise comme vous avez hésité à le dire, est-ce bien raisonnable.
• Tenez, les voici baissés votre pantalon que je me délecte de mon nectar favori.

Ayant répondu sous forme de boutade me voila piégée car la dame dont le nom m’est inconnu profité de ce que je viens de lui servir l’eau de son thé par me prendre la main et m’attirer à elle.

• Allez, fais-moi voir ta queue, me voilà rajeuni de 10 ans. Arthur me sortait sa bite et venait vers moi pour que je le suce.
Que c’est bon de retrouver ces mots orduriers que nous adorions nous dire, souvent je l’entendais me dire, Gislaine tu es une pute mais j’aime que tu le sois et je lui répondais que j’allais le payer en liquide avant de l’avaler.

C’est ainsi que j’apprends qu’elle s’appelle Gislaine et que cette brave mamy a été une sacrée salope avec ou grâce à Arthur.
La manière dont elle défait ma ceinture alors qu’elle a pivoté sur sa chaise l’eau du thé refroidissant me montre une grande expérience surtout que sa main vient rapidement me saisir.

• Putain que c’est beau une belle queue surtout que la tienne est de bonne taille.
C’est malheureux de laisser un tel engin inexploité à ton âge.

Et c’est comme cela que grâce à ses lèvres qui me pompent goulûment je me trouve entièrement tendu et que la vieille dame indigne avale mon sperme quand je lâche la purée.
Je peux dire qu’elle en a pour ses 50 € car depuis la disparition de Constance mes couilles se sont bien remplies et jamais vidées.
Le plus naturellement du monde elle se lèche les babines pour éviter de perdre la moindre goutte de ce qu’elle appelle son nectar.

• Dommage que tu aies été un peu rapide pour décharger, j’aurais aimé te sucer plus longtemps, mais je reviendrais dès que j’aurais gagné la somme nécessaire au poker la nuit auprès des copines ou nous jouons dans une vieille cave de la maison de retraite que nous sommes quelqu’une à connaître.
Au début nous jouions pour des haricots mais très vite ils ont eu une valeur marchande même si pour revenir te sucer il va falloir que je sorte de bonnes mains.

C’est ainsi que Gislaine est partie après avoir bu une tasse de thé me laissant comme un grand couillons mon pantalon en bas des pieds et son billet de 50 € dans la main.
Tout est resté calme jusqu’au surlendemain où j’ai entendu sonner à ma porte.
Je vais ouvrir et j’ai la surprise de découvrir une petite mémé d’au moins 80 ans s’aidant d’une canne pour marcher.

• C’est ici que pour 100 € on peut se faire baiser.
Gislaine nous a donné plein de détails sur l’après-midi qu’elle a passé avec toi et elle nous a vanté la tasse de thé que tu lui as offert après.
Tiens voilà tes euros, recompte il y a 10 billets de 10.

Certainement des billets gagnés au poker mais l’argent est inodore et je commence à entrevoir le plaisir que je vais avoir à gagner de l’argent tout en retrouvant les plaisirs que je prenais avec ma nounou dans les derniers jours de sa vie quand sa peau était de plus en plus ridée.
Je dois reconnaître que la vue de cette vieille femme m’apporte tout le plaisir que j’ai à avoir sous ma queue une de ces femmes ayant vécu une vie avant la maison de retraite et qui aspire à retrouver les élans de leur jeunesse.

• Bon elle a raison tu es un beau mec dans la force de l’âge mais voyons si tu sais faire couiner les filles sous toi, est-ce que je peux entrer ?

Je me suis effacé et c’est d’un pas alerte quelle à rejoint ma salle à manger où Gislaine m’avait sucé pour la première fois pour de l’argent.

• Ou on fait cela, dans ta chambre ?
A oui tu as perdu ta compagne qui avait environ mon âge et ce lit doit être sacré pour toi, je vois ce canapé qui fera très bien l’affaire, déshabille-moi.

Nous nous sommes rapprochés de cette banquette où je m’assoie pour défaire un par un les boutons de son chemisier.
Elle a mis un soutien gorge à bal-connait aidant ses seins à se tenir en l’air.
Dès que je le détache ses seins tombent magnifiquement vers le bas comme j’aime contrairement aux seins des filles plus jeunes qui se tiennent droits.
J’aspire son droit tout en caressant celui de gauche.
Sa respiration s’accélère et c’est d’elle-même quelle détache sa jupe qui tombe à ses pieds.
Sa petite culotte en dentelle et ses bas tenues par un beau porte-jarretelle comme peu de femmes en porte de nos jours sont des meilleurs effets.
Je retrouve mon aimé qui portait toujours ce genre de sous-vêtement à la place de ces collants disgracieux.
La dame devant moi est comme je l’espérais quand je l’ai laissé entrer ayant accepté les billets qu’elle me tendait et c’est sans qu’elle me touche que je bande d’envie pour elle.
Je retire délicatement cette culotte pour découvrir son abricot tout blanc bien que quelques-uns de ses poils soient encore grisonnants.
Le mouvement du bassin qu’elle fait me fait comprendre que ma langue doit venir caresser son clitoris très proéminent et que j’arrive à aspirer.
Elle ploie sous ma charge se retenant grâce à sa canne qu’elle a encore en main.
Pour éviter la chute je me relève l’assoie à ma place et c’est très naturellement avec une bonne souplesse qu’elle écarte ses cuisses me dévoilant l’intégralité de son intimité.
Je m’agenouille rapidement après avoir défait ma ceinture et baissé mon pantalon ma hampe étant déjà prête à entrer en elle.
Mais contrairement à l’autre après-midi avec Gislaine où j’ai déchargé trop rapidement je veux que ce qui est j’en conçoive ma cliente en est pour ses 100 € et moi qui prenne un plaisir à retrouver les après-midi chauds dans des siestes crapuleuses que nous prenions ces dernières années avec Constance.
Je prends conscience au moment où ma bouche se pose sur sa bouche intime que c’est seulement la deuxième fois de ma vie que je vois un sexe féminin baillant d’envie car malgré son grand âge la dame mouille abondamment.
Je suis en train de comparer le goût de ce que ma langue récupère dans cet antre avec le goût de celle de Constance mais je recentre mon cerveau sur la dame qui commence à se contorsionner sous moi car faire des comparatifs serait illusoire car chaque femme a sa spécificité en amour.
Elle, ce sont des petits jets qui sortent de son corps et que je bois avec avidité permettant à ce que ses premiers cris d’amour sortent de sa bouche.
Ces petits couinements sont vite remplacés au fur et à mesure que ma bouche et ma langue la lèche par des propos aussi salace que ceux que Gislaine aimait prononcer.

• Putain 20 ans que personne ne m’a brouté, je jouis mieux qu’avec ma main quand dans mon lit je me masturbe me remémorant les parties carrées que nous faisions avec mes copains et copines qui étaient mes amants et amantes.

Je relève la tête.

• As-tu été mariée ?
• Dieu m’en garde, j’ai vécu une vie de travail où je gagnais largement ma vie et de débauche dans des soirées ou nous étions les précurseurs du libertinage actuel.
J’ai fait partie des premières femmes à prendre la pilule et qui s’est éclatée chaque fois qu’une belle bite comme la tienne ou une belle chatte passait à sa portée.
Assez parler, donne-moi ton pieu que je le suce.

Je me suis exécuté car rapidement je comprends que je suis devenu un objet sexuel pour ces dames qui retrouvent par mon intermédiaire leur jeunesse.
Pour la deuxième fois une bouche me pompe mais une bouche vorace qui sait prendre mes boules une à une pour mon plus grand plaisir.
Je trique comme jamais et afin de l’honorer je la fais mettre à quatre pattes sur le canapé ou ma bitte vient pénétrer sa chatte qui semblait m’attendre tellement elle ruisselle.
Si cela fait vingt ans qu’aucune bite le n’a pénétré sa grotte est restée bien ouverte car je trouve le fond naturellement.
Je lui empoigne les seins que je malaxe sans ménagement et c’est ainsi que je fini par décharger sous ses cris de plaisir finissant même par un orgasme, un oh ! montant de ses tréfonds.
J’ai peur un instant que le cœur de ma cliente n’ait cédé quand elle s’affaisse sur le dossier semblant avoir perdu le souffle.

• Quelle conne, pourquoi j’ai attendu 20 ans pour me payer un sexe boy…

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