COLLECTION FANTASME. Devenir prostituée. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FANTASME. Devenir prostituée. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FANTASME. Devenir prostituée. (1/1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J’avais 32 ans quand je me suis trouvé acculé à vendre mon corps ma dette étant devenue trop importante.
J’avais repéré une ruelle derrière la gare ou de nombreux hommes avaient l’air de tourner autour comme s’ils attendaient qu’une femme y entre.
C’est ce que j’ai fait un soir à la nuit tombée et rapidement un de ces hommes m’a tendu un billet en sortant sa queue.
Ce billet que je voyais dans sa main grâce à la petite lampe qui était au-dessus de notre tête m’a attiré comme un aimant et je m’en suis emparée voyant par ce geste une porte de sortie à mon problème.
À mon âge j’étais loin d’être une oie blanche même si la queue de mon homme avant qu’il quitte notre foyer me laissant sans un sou avec une fille de 12 ans et sans travail.
Pas une oie blanche mais une femme lui ayant toujours refusé de le sucer, trouvant ces pratiques dégradantes pour la femme mariée que j’étais mais du ressort de la prostituée devenue en saisissant cette queue et en la mettant dans ma bouche.
Ce soir-là, ils ont été cinq à se succéder attendant leur tour et chaque fois me donnant assez pour payer le tiers de mon loyer avec une partie de remboursement des mois en retard.
Le client suivant me faisait franchir l’étape définitive et décisive quand il me demanda s’il pouvait me baiser.
À part dans un lit ma sexualité s’arrêtait là aussi j’avais du mal à me dire qu’une queue allait me pénétrer debout dans cette ruelle.
Certes quand je me suis approché de cette impasse, j’avais prévu que ces hommes voudraient de mon corps aussi en plus d’une tenue sexy j’avais bien sûr oublié de mettre le moindre sous-vêtement.
Le paquet de billets qu’il me tendait m’a enlevé tout reste de pudeur et j’ai attendu qu’il me dirige dans son envie.
Je venais de me relever et il m’a sauvagement plaqué contre le mur qui donnait dans la gare et pendant qu’il sortait les seins de mon chemisier qui rapidement sont venus râper sur les aspérités des briques qui le composaient m’ayant écarté les jambes il est entré en moi.
Je me souviendrais toute ma vie que la première verge qui m’a assise dans ma nouvelle condition s’est passée au moment de l’entrée en gare du train pour Paris de 22 heures 34 avec un départ dans les trois minutes suivantes pour Lyon.
L’homme a été assez rapide pour remplir sa capote et j’ai eu l’impression d’avoir gagné cet argent très facilement voire trop facilement.
Les trois autres hommes qui m’ont pénétré cette nuit-là dont un qui m’a fait mettre en levrette terme que je découvrais les genoux sur les graviers qui composaient ce chemin m’a fait comprendre la sinécure que je venais d’accepter.
Rentré chez moi la liasse de billets que j’ai posée sur mon lit même si je me suis mise à pleurer toutes les larmes de mon corps avant d’aller passer une bonne heure sous ma douche aggravant ma facture d’eaux et le retard que j’avais a fini de me convaincre que cette ruelle était la solution à mon problème.

Après bien des hésitations le soir suivant j’y suis retournée. Rapidement je me suis rendu compte que ma place était prise par une grande noire qui me voyant arriver m’a apostrophé me demandant de dégager de son secteur de travail.
J’ai eu peur d’être obligé de défendre ma place en faisant le coup de poing mais la chance des débutantes était avec moi quand un grand noir s’est interposé demandant à celle qu’il a appelée Margueritte qu’elle se détende car du sexe neuf dans le secteur allait nous être bénéfique.
C’est au passage du rapide 127 qu’il m’a baisé lui aussi debout le long du mur sa verge étant tellement démesurée qu’il me faisait décoller sur la pointe de mes pieds chaque fois qu’il avançait son pieu au fond de moi.
Mes seins râpaient le mur plus haut que la veille, je me suis surprise à mouiller et je dois l’avoué à avoir un orgasme avant qu’il ne décharge lui aussi dans sa protection.
Quand il a été parti Marguerite qui venait de finir une fellation s’est approché et voyant que les clients semblaient se donner le mot qu’une nouvelle pute travaillait derrière la gare comme l’avait dit Mambo nous sommes devenues vite copine de galère.
Mambo car c’est mon client le plus fidèle, le seul qui me fait jouir bien qu’il me prenne toujours de la même manière mes seins étant marqué par le mur.
Avec elle j’ai su que quelques mètres plus loin ou la première fois j’avais été prise en levrette sous un auvent donnant dans la gare mais condamné, il y avait de vieux cartons qui protégeaient nos genoux chaque fois qu’un client voulait nous sauter en levrette.
En plus d’une copine je commençais à apercevoir le bout du tunnel mes passes me rapportant rapidement de quoi assainir mes finances.
Ma copine ayant des problèmes de logement nous nous sommes installés ensemble sans que ma fille ne trouve à redire que je sous-loue la chambre libre de mon appartement.
Il est vrai qu’à son âge le faîte que sa mère sorte tous les soirs mais qu’elle lui achète les tenues les plus à la mode aplanis bien des problèmes.
Marguerite était contente de notre arrangement.
Elle était sans papier et avait engagé une demande de nationalisation mais qui lui avait été refusée la plongeant dans la clandestinité.
Pour survivre malgré les risques d’expulsions cette fille venue du Cameroun s’était vu elle aussi avoir recouru à vendre son corps la clandestinité coûtant fort cher.
Elle était devenue une pute sans aucun problème dans son Cameroun natal elle avait un salaire de misère en étant bonne dans une maison bourgeoise où le patron après l’avoir déflorée la baisait sans lui donner la moindre pièce de monnaie.
Elle a vite compris qu’elle était devenue sa chose et que s’il elle restait dans cette maison il lui arriverait de gros problèmes de santé son baiseur refusant tous préservatif et qu’elle est la moindre contraception.
Comme beaucoup de ses congénères elle avait rêvé de grande liberté et se voyait dans dix ans avec deux ou trois bâtardes à faire la pute pour cet homme ou un autre s’il la renvoyait aussi est-elle partie profitant d’un voyage à Paris ou le couple l’avait emmenée pour garder leurs deux gosses pendant qu’ils faisaient la fête dans les meilleures boîtes parisiennes.
Elle était sans domicile fixe et un jour qu’elle était à l’intérieur de la gare de Lyon une descente de police l’a contraint à fuir en montant dans le premier train en partance.
Le nom de la ville où elle est descendue lui a plus et c’est comme cela qu’ayant trouvé la ruelle ou elle a mis des cartons pour au début pour dormir c’est transformé en passage de travail.
Le jour ou je suis arrivé et que la première soirée j’avais trouvé la ruelle vide, elle avait accompagné un client qui lui avait donné une fortune pour elle ou pour moi si cela se produisait pour l’emmener un week-end à la montagne.
C’est pour la première fois qu’elle découvrait la neige et qu’elle a eu plaisir même si elle était froide de se faire baiser se roulant dedans.
La fellation qu’elle a pratiquée à son client a été dur à le faire bander à cause du froid mais quand il y est arrivé la sodomie qu’il lui a pratiquée lui a donné bien du plaisir.
Sodomie, le mot est lâché, dans la voie que j’ai choisie pour me remettre à flot on est vite rejeté par les clients si notre corps est à moitié à leur disposition.
Je m’ouvrais du problème à Marguerite qui ayant été défloré par tous ses trous par son patron au Cameroun.
Grâce à la sodomie cela est devenu un avantage en France pour prendre plus de pognon à ses clients, le nombre d’entre eu lui rapportant davantage.
Je me voyais mal me faire prendre par la rosette même si je savais que cela était courant chez certains couples.
À l’intérieur du mien il était loin d’en être question cela expliquait peut-être qu’il m’est abandonné.
Le lendemain je l’ai vu sortir ce qu’elle faisait rarement et dès son retour profitant que ma fille était partie à l’école à sorti d’une pochette un gode ceinture aussi noir qu’elle.
Elle se l’est fixé et c’est avec cette bite en latex mais d’une grosseur supportable qu’elle m’a enfilé par le cul.
La main qu’elle a placée sur mon intimité m’ayant fait placer en levrette à stimuler mon appareil sexuel et c’est par le cul et le clito qu’elle caressait, j’ai senti mon corps partir vers des sommets jamais atteints.
Nos bouches pour la première fois se sont trouvé et le baiser que nous nous sommes donné à celer notre bonheur et plaisir de nous être trouvée.
Le soir suivant alors que je suçais une bite un coup de sifflet strident m’a surprise. C’était les flics qui venaient faire une descente dans notre ruelle la prostitution étant interdite sur la voie publique.
C’est Marguerite qui s’est fait prendre la première alors j’ai crié très fort.

• Non pas elle.

Je me suis réveillé assise dans mon lit Paul mon mari me secouant pour que je me réveille.

• Chérie, pourquoi as-tu crié, tu m’as fait peur, pourquoi « pas elle. »
• Va savoir mon chéri j’ai dû faire un cauchemar et j’ai crié.
• Viens dans mes bras que je te câline, vas-y raconte-moi.
• Je suis incapable de me souvenir de ce que j’ai rêvé, tu sais c’est souvent le cas, combien de fois ai-je rêvé sans aucun souvenir

Comment lui dire que dans mon rêve pendant plusieurs années j’étais une pute qui se faisait sauter pour gagner son pognon ?
La seule chose que je suis sur c’est que si mon rêve est prémonitoire, notre pratique sexuelle, je dirais même mieux ma pratique sexuelle que j’accepte ces dernières années dans la seule position du missionnaire il risque de me quitter.
Comme tous nos biens sont à lui car nous sommes mariés avec un contrat je risque de me retrouver dans la situation de mon rêve et d’être obligé de me prostituer pour vivre.
Je sais seulement me servir de mes dix doigts pour le masturber rapidement afin de l’aider à bander pour qu’il me prenne le plus vite possible et qu’il décharge et me laisse dormir.

Je prends conscience du danger d’être une femme qu’il peut percevoir comme frigide et c’est ainsi que dans la position ou nous sommes ma bouche descend sur son sexe et que je le prends en bouche.
Il semble étonné et me laisse faire, je le suce comme j’ai appris à le faire avec mes clients dans mon rêve de prostitution.
Trouvant qu’il est assez tendu au lieu de le faire venir sur moi comme d’habitude je me positionne en levrette.

• Que t’arrive-t-il chérie pourquoi te mets-tu à quatre pattes, tu cherches quelque chose sous ton oreiller ?
• Idiot vient derrière moi et enfile ta verge dans ma chatte, mets tes doigts devant et saisit mon clitoris, je dégouline d’envie.

Il le fait semblant encore plus étonné quand je lui demande de me la mettre dans le cul.
Voyant qu’il hésite je l’attrape et alors qu’il pense encore être dans ma chatte il m’encule me défonçant ma rosette pour la première fois.
Il décharge, se retourne et dort.
J’entends Jade ma fille de dix-huit ans rentrer de boîte avec son petit ami et un quart d’heure après je l’entant chanter son plaisir sous les coups de sexe qu’il doit lui donner.
Dans cette maison une femme au moins semble heureuse alors que moi j’ai beau pour la première fois me masturber les ronflements de mon mari tempèrent mes envies et toute la nuit je compte les moutons.

Dans les jours qui suivent la nuit où il m’a sodomisé en levrette je suis convoquée chez un avocat à qui mon mari a confié le soin de gérer son divorce pour incompatibilité sexuelle, sa femme étant devenue une salope baisant comme une pute, son éducation lui interdisant de vivre avec une telle catin.

Le divorce est prononcé à mes torts comme de bien entendu.

Peut m’importe pour payer l’avocat qui m’a représenté, j’accepte de passer dans son lit où j’accepte sexuellement tout ce qu’il souhaite me faire.
Mon livret de caisse d’épargne personnel me permet de subsister en attendant de trouver un travail.
Malgré mes 36 ans je suis assez bien foutu aussi je m’inscris volontairement sur un site d’escorte girl et depuis deux ans je trouve des clients officiellement pour me sortir dans des lieux publics mais en réalité pour me baiser à des tarifs sans commune mesure avec ce que je pratiquais dans ma ruelle.
Coïncidence si l’on va sur le site vous verrez la fille à côté de moi la photo ressemblant étrangement à Marguerite, nous sommes amies et même amantes et chaque fois que nous le pouvons, nous faisons les putes ensemble avec nos clients.

Les putes et oui je suis devenue la pute de mon fantasme que j’avais souvent avant de faire mon cauchemar.
Cauchemar qui a entraîné mon changement de vie et il est sûr que toutes les bites ou les chattes que je suce ou qui m’enfile son bien réelle et que je suis fière et contente de ma nouvelle manière de vivre et de me payer tout ce que je veux.

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