Bastien - chapitre 1 - réunion

- Par l'auteur HDS AZIMOV -
Récit érotique écrit par AZIMOV [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Bastien - chapitre 1 - réunion Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Bastien - chapitre 1 - réunion
Partie 5
« J’ai envie de te sentir en moi Noah »
« Moi aussi j’en ai envie »
J’ouvre le tiroir sous le lit, j’attrape de la boite deux préservatifs perlés et nervurés. Je les pose à côté de moi sur le lit. Je prends le flacon de gel, je l’ouvre et glisse une noix de liquide sur mes doigts et je viens détendre mon œillet intrigué. Un doigt … deux doigts … je coulisse et étale le gel froid sur mes chairs. Noah me regarde faire, sa main glissant sur son sceptre turgescent, je le regarde – il m’excite – il me sourit – il est excité – je déchire l’enveloppe du préso et me retourne vers lui. Je souris à mon tour.
Il tient son pénis dur par la base et me laisse tout le loisir de dérouler la gangue en latex sur son vît. Il frémit à mes caresses, je l’embrasse doucement. Un baiser … un second … déposé sur ses lèvres charnues … un troisième et nos langues se caressent de nouveau langoureusement … pendant que mes doigts vérifient la bonne installation du préservatif. Je reprends le tube de gel et enduit sa queue délicatement. Le reste du liquide, je l’étale dans mon fort intérieur. Il m’embrasse de nouveau, sa langue s’enroule autour de la mienne. Il me rend fou et je le veux, je veux me donner à lui, je veux le sentir prendre possession de mon corps.
« Prêt ? »
«Oui … tu veux faire comment ? »
Je m’allonge sur le ventre, lui demande de venir sur moi, son sexe glisse dans ma raie, je respire fort.
J’attrape son pénis, le dirige sur ma rosette, il appuie. Ça glisse … deuxième essai. Il appuie de nouveau, ça rentre doucement, délicatement il fait glisser son sexe entre mes sphincters. Ça résiste, ma main sur sa cuisse lui dit de patienter, il attend. Je bouge un peu, son sexe entre un peu plus, il appuie et glisse d’un ou deux centimètres. Ma main caresse son fessier, il se retire un peu puis s’enfonce de nouveau et gagne du terrain. Je souffle.
« Tu as mal ? »
« Non … ça va … continue Noah »
Doucement il appuie encore, il pénètre encore un peu plus ma grotte intime. Tantôt, il avance en prenant bien soin de voir mes réactions. Tantôt il recule, il ressort presque pour mieux revenir et gagner encore quelques millimètres. Cela me tire à chaque fois un soupir, une respiration plus forte, une exclamation de plaisir qui me gagne petit à petit. Bientôt je sens ses cuisses me toucher les fesses. Son sexe ne bouge plus. Ses lèvres déposent un doux baiser dans mon cou. Ses mains se glissent sous mes épaules et viennent entourer mon torse. Je sens sa peau contre la mienne sur toute la longueur de son corps. Je tourne la tête et nous nous embrassons tendrement.
Par un effet de ses reins, il retire provisoirement sa queue de mon conduit avant de s’enfoncer de plus belle de suite. Il accélère le mouvement et à chaque fois son glaive écarte mes chairs, glisse contre la paroi de ma muqueuse, titille mes terminaisons nerveuses, chatouille les muscles. Ce traitement délicat devient plus rapide et surtout moins routinier. Des coups plus secs viennent ponctuer les coups longs et lents. Ce changement m’intrigue. La chaleur du mouvement me fait glisser vers le plaisir absolu, je me laisse aller petit à petit et m’apprête à lâcher prise sous peu. Cela vient plus vite que prévu, lorsqu’il sort de moi, écarte mes jambes avec ses genoux et me fait remonter le bassin grâce à ses mains solidement agrippées à mes hanches. Je me retrouve à genoux, la tête contre le matelas, le cul offert et ouvert, et sa queue me transperce d’un seul coup. Il ressort aussi sec pour entrer de nouveau. Ses coups de reins deviennent plus sauvages et me font gémir à chaque pénétration.
Ses mains quittent mes hanches et viennent appuyer sur mes reins, il creuse ma cambrure pour mieux positionner sa queue en moi. A chaque coup de butoir, il touche ma prostate. Et comme il accélère toujours plus, cela me déclenche des gémissements continus. Peu à peu, sa peau claque contre mes fesses. Il tape ma fesse droite du plat de sa main. Je retiens mon souffle de surprise.
Il ressort son sexe et me demande de me retourner sur le dos. Il attrape mes jambes et repositionne son pénis bien au fond de mon trou béant. Il donne maintenant des coups rapides mais très réguliers. Je suis en nage. Il respire fort aussi. Il me regarde, j’aime ça … il prend son pied, ça se voit et j’aime ça. Il me donne énormément de plaisir, j’adore ça.
Il se penche vers moi, m’embrasse et dit qu’il adore mon cul. Il donne alors de violents petits coups de bite. Je suffoque, je râle de plaisir. Il s’arrête. Il respire fort. Au bout de quelques secondes, il reprend plus calmement. Je le regarde fixement. Sa sueur perle sur son front. Mes mains glissent sur sa peau chaude, tantôt son torse, tantôt son dos. Il s’arrête de nouveau. Je glisse alors un oreiller sous mes reins. Et il repart de plus belle dans un enchainement de coups rapides, secs puis plus lents mais plus profond aussi.
La position de mon bassin permet à sa queue de masser, cajoler et exciter toujours un peu plus ma prostate qui irradie de bonheur et de chaleur dans tout mon bas ventre. Je gémis sans discontinuer. Ça devient une sorte de plainte langoureuse, parfois augmentée d’un râle guttural quand le coup de bite est plus fort ou surprenant. Alors mon regard se fait sauvage, et ne demande qu’une seule chose : « baise-moi ! ». Lui me sourit, et son air coquin me fait dire qu’il aime me provoquer, qu’il aime voir ces réactions, qu’il veut faire monter de plusieurs crans la tension sexuelle entre nous.
Ses coups s’accélèrent. Il halète maintenant. Ma prostate est en feu, le plaisir bouillonne dans mon ventre, j’ai chaud, terriblement chaud. Sa queue me chauffe le conduit. Je sens monter la lave et d’un coup, tel un geyser, ma queue expulse un flot de lait blanchâtre sur mon ventre. Noah attrape ma queue et la fait coulisser dans ma main. Je ne gémis plus, je suis en apnée, un volcan de plaisir m’a emporté, l’air est bloqué dans mes poumons, la bouche ouverte, mes yeux fermés, je sens encore sa queue coulisser dans mon conduit resserré autour de son pénis qui ne tarde pas à cracher sa semence à son tour. J’entends Noah pousser un cri viril. J’ouvre les yeux et le découvre en plein orgasme. Il est beau. Je reprends ma respiration et m’abandonne au plaisir définitivement.
Il enfonce son sexe encore en moi cinq ou six fois avant de se ficher bien au fond et de se pencher sur moi pour m’embrasser délicatement, tendrement. Le temps s’arrête, nous sommes collés par cet emboitement que je ne veux pas rompre, par nos peaux moites et nos lèvres soudées. Il finit par attraper sa queue, maintiens le préservatif de ces doigts et se retire doucement. Je gémis une nouvelle fois par ce dernier frottis sur toute la longueur de son pénis et l’air frais qui entre de nouveau dans ma caverne. Maladroitement, il vient se poser à coté de moi. Me sourit. Et me demande : « ça va ? ».

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Partie 6
Nous sommes restés là de longues minutes. Un waaaaaa a coupé le silence post-coïtal. Je me suis blotti contre lui et sa main est venue flatter mes fesses qui venaient de martyriser pour mon plus grand plaisir.
« On a fait du bruit ! »
« Pas grave »
« Non pas grave. C’était bon … très bon ! »
« Oui … merci Noah ! …. …… je n’ai jamais connu un tel orgasme »
« Ah oui ? …. ….. Moi non plus …. J’ai vraiment aimé »
Un baiser. Deux baisers. Deux langues qui se retrouvent. Des mains qui caressent, câlinent, excitent encore, étalent les fluides. Un doigt qui permet de goûter la crème. Des regards qui en disent long sur le plaisir que nous avons ont eu … et que nous sommes prêts à renouveler.
« Tu veux prendre une douche ? ….. …. Avec moi ? »
« Mmmmmm oui »

Je prends du gel douche dans la main, je frotte un peu avec l’autre main pour faire apparaître une mousse aux parfums délicats de café et d’huile de macadamia. L’eau chaude glisse sur la peau de nos deux corps qui se frôlent. Je dépose mes mains sur son torse et appliquent la mousse odorante. Par de lentes caresses, je passe à la nuque, aux épaules, au dos, aux hanches, aux cuisses, aux mollets, aux plantes des pieds. Comme je remonte doucement via l’intérieur des cuisses, je regarde sa belle verge qui durcit à l’approche de mes doigts. Je nettoie bien les bourses et la queue de mon bel amant. La mousse redouble alors que mes mains flattent et caressent son appareil génital.
Une fois bien dure, je délaisse cette queue de nouveau très appétissante. Mes mains partent à l’assaut de ses fesses rebondies, je les malaxe, je les enduis de cette belle mousse, et quand – de mes doigts experts – je trouve le bel œillet vierge, je prends le temps de le caresser, de le titiller. Pas d’empressement, il n’est pas question d’effrayer mon bel amant mais d’apprivoiser de nouveaux centimètres carrés de peau, de lui faire gouter de doux plaisirs jusqu’ici interdits.
Passé le moment de surprise, mes doigts glissent de nouveau sur sa peau et remontent vers ses tétons. Ils pointent, m’appellent, je joue avec la corolle brune, pince et je lui souris. Il grimace. Je quitte sa peau pour mieux attraper la pomme de douche et faire couler sur son corps l’eau bien chaude. Je repasse dans chaque coin pour faire disparaître toute trace de mousse. Je m’attarde de nouveau sur son bel œillet qu’il me tarde de flatter de la pointe de ma langue. Ce fût fait dès le pommeau reposé. L’eau coule de nouveau sur nous deux, je plaque mon amant contre le mur et m’accroupit derrière lui. Je dépose des baisers charnus sur ses lobes bombés. Je fil en aiguille mes baisers se rapprochent de sa belle raie. Mes mains écartent ses fessiers et je découvre la corolle convoitée. Mes baisers sont plus précis et ma langue finit par chatouiller l’endroit, par laper l’eau présente là et pointer les plis interdits. Plus dure que jamais, elle va à l’aventure dans sa grotte qui petit à petit s’ouvre, se libère, se donne à l’explorateur que je suis devenu. Plus tendre que jamais, elle caresse, rassure et libère un plaisir que Noah découvre dans mes mains expertes. Mon amant respire fort, me dit des « oh oui » évocateurs, gémit même sous mes coups de langue.
Un doigt s’aventure dans ma bouche, s’humidifie avant d’aller jouer dans ce rond nouvellement accessible. S’aventurant avec ou sans la langue, il appuie légèrement, pénètre doucement pour donner de nouvelles sensations. Noah se laisse faire, l’eau chaude lui coule dans le dos, la buée s’échappe de la cabine de douche et se fixe sur la glace du miroir. Noah a un hoquet de surprise au moment où deux phalanges se glissent en lui. Mon doigt tourne, ressort puis retourne dans son trou. Ma langue revient titiller l’œillet défloré avant que mon doigt chargé de salive s’enfonce de nouveau pour explorer plus loin la caverne secrète de mon amour de bonhomme.
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Noah souffle dans mon cou, il halète tellement ses coups de reins enfoncent lourdement sa queue dans mon trou. Je gémis, plaqué contre la faïence de la douche. Il ne faiblit pas et c’est maintenant de violents coups de butoir qui me transpercent l’anus. Mes pieds décollent un peu à chaque avancée dans mon antre. Mon plaisir décuple et bientôt l’orgasme nous emporte tous les deux dans un même effort. La crème jaillit sur le carrelage et dans le fourreau bien chaud. Nous avons du mal à reprendre notre respiration, mais lentement il sort de mon cul et se nettoie la bite. Je me tourne, je l’embrasse et m’exclame « quel amant ! ».
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Je l’ai regardé s’habiller, pièce de vêtement l’une après l’autre. Il lace ses chaussures, rajuste son pantalon et sa chemise. Il met sa veste. Il est prêt à partir. Je n’en ai pas envie. Son regard doux vient transpercer mon âme.
« J’aimerai beaucoup te revoir »
« Moi aussi Noah ! Beaucoup ! »
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Je l’ai aimé très longtemps. Il m’a offert sa virginité. Il m’a offert deux ans de bonheur, d’amour inconditionnel. Mais j’étais son premier amant, et il était avide de nouveaux territoires.
Je l’ai laissé partir, triste de le voir quitter mon nid, mon lit, mes bras. Je l’embrassé une dernière fois. Il m’a laissé non sans avoir fait une magnifique séance de photos où il posait nu et amoureux … j’étais comblé. Je regarde ces clichés avec un mélange de tristesse, d’envie de lui et de sa queue bandée qu’il arborait ce jour là pour moi, et moi seul !

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Chapitre 2 / MADE FANTASIES
à suivre dans une semaine ... avec des épisodes plus longs et très chauds !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Alors là, c'est du grand art ! Superbement bien décrit, le récit emporte le désir ...J'ai joui Akileditu

Histoire Erotique
merci pour ce texte magnifique!



Texte coquin : Bastien - chapitre 1 - réunion
Histoire sexe : Une rose rouge
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