LE CHANTIER (47)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE CHANTIER (47) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (47)
Je me suis souvent demandé comment Hilda avait pu devenir une prostituée même si avec ses passes elle a pu se reclasser dans le retraitement des déchets de bois afin de fabriquer des granulés et de commencer à bâtir un empire.
Comment une fille libre comme elle a-t-elle choisi à un moment de sa vie de recevoir des bites d’hommes en manque de sexe moyennant finance.
La question est résolue depuis qu’en début de soirée je me suis fait mon premier client quand j’ai été piégé par notre hôtesse dans sa boîte où elle nous a invité Nadia et moi à son inauguration même si ce fut bref mon client étant du genre pressé.
Nadia semble être dans son élément pensant à l’usage qu’elle va faire de l’argent qu’elle est en train de gagner après le nombre toujours plus grand de clients auquel elle dit oui avant de rejoindre l’étage où se trouvent les chambres qu’Hilda met à la disposition de ces filles moyennant une redevance sur chacune des passes.
Persuadé que cette expérience sera là seule, j’ai l’honneur de recevoir la demande de Claude un jeune puceau fiancé à Séverine et qui vient de me relancer pour monter et l’aider à perdre son acné.
Quel plaisir de le sentir en moi comme en ce moment ou pour la première fois il vient de plonger sa bite dans mon vagin.
Claude est fougueux comme un jeune pur sang pratiquant sa première saillie.
Je le bloque avec mes muscles intimes car ayant refusé son argent mieux même lui ayant offert l’argent gagné avec mon premier client je me retrouve à être sa formatrice pour que le jour de ses noces au mois de juillet il soit un amant exceptionnel pour la jeune fille même si elle semble coincée du cul par des préceptes religieux qu’il lui faudra surmonter.

• Oh ! madame que c’est bon, j’oserais presque dire que vous êtes bonne, j’ai rêvé de cet instant qui est immensément meilleur que le plus érotique de mes rêves.
Dans les semaines prochaines avant que Séverine accepte que je lui enlève son pucelage après m’avoir dit oui je me masturberais en pensant à vous si vous le permettez.
• Non, pense à elle, tu l’as choisi et elle t’a choisi alors tu peux aller à fond en moi je sens que je vais jouir.

Les préjugés qui veulent qu’une fille de joie n’ait aucun plaisir avec son client sont vite balayés quand un magnifique orgasme monte en moi, Un orgasme de ceux que j’ai découverts cet été dans mon jardin suite à l’installation de la cabane de chantier installé près de ma haie et qui m’a permis de rencontrer Christian mon amant à qui moi aussi je vais dire oui certainement en Juillet comme Claude et Séverine.
Que fait-il en ce moment, est-il comme moi infidèle avec une de nos amies dans ma maison des plaisirs ?
Infidèle non libertin plutôt car comme moi en ce moment le sexe est devenu le sel de ma vie et j’aurais du mal à concevoir l’amour comme je le faisais avec Gaétan croyant à l’amour éternel.

• Je jouis, salope que tu es bonne, je t’avais bien dit que je t’aurais.

Les jets de spermes qu’il propulse dans sa capote semblent destinés à une autre mais je l’accepte bien volontiers aussi quand il s’affaisse sur moi je recois tout le poids de son corps avec délice.

• Eh bien, mon cœur tu avais une grosse envie, relève-toi que nous continuons à t’apprendre les rudiments du bon amant.
• Et tes autres clients ?
• Un jour peut-être je t’expliquerais certaines choses mais en attendant viens me rebrouter la chatte et surtout mon clitoris comme tu l’as fait tout à l’heure, je suis sûr que dans quelques minutes à ton âge tu vas pouvoir me prendre une nouvelle fois.
Connais-tu la levrette ?
• Oui la femme se met à quatre pattes.
• C’est cela laisse-moi me placer et vient me lécher tu vas-y trouver ton plaisir et moi le mien.

Je me positionne et je sens son souffle sur mon anus quand il commence à me sucer le con, mieux même il laisse tomber tout tabou et me fait une magnifique feuille de rose.

• Tu veux m’enculer, tu sais j’ai appris à aimer.
• Au oui, je suis sûr que Séverine me refusera ce plaisir et que je vais m’éclater au moins une fois dans ma vie en te sodomisant, j’ai bien fait de te choisir à la place de la dame en blanc.

Certes il a raison, Hilda est une pragmatique et un sous-reste un sous alors que moi depuis que j’ai découvert ce que cachait les trois Aphrodite l’argent est loin d’être un problème, sans compter depuis que j’ai hérité de la maison mitoyenne à la mienne et qui va être une grande source de revenus le monde des libertins augmentant chaque année du moins d’après ce que m’en a dit Sosso.
La grande mode des clubs libertins devrait me rapporter de belles sommes d’argent quand Criss aura fait faire les transformations nous permettant de recevoir de nombreux clients.
Bordel et clients, club libertin et clients ou sera la frontière entre Hilda et moi ?

En attendant Claude est de nouveau tendu et se place pour me sodomiser, je suis une nouvelle fois fière d’être la première à lui faire connaître les plaisirs dits défendus.
Comme j’ai appris à me servir des muscles de mon vagin je me sers de ceux de mon anus pour augmenter les sensations que mon jeune étalon semble avoir en me pénétrant par ma rosette.
J’ai le plaisir de voir qu’il s’enhardit en me claquant les fesses à plusieurs reprises tout au long des grands coups de queue qu’il m’assène mettant le feu à mon fessier qui en redemande.
Je suis tout sauf Maso mais un peu de rudesse est un stimulant supplémentaire au plaisir que j’ai appris à avoir quand on me sodomise.

• Tu aimes ma bite ma pute, je te le répète je t’ai eu et toute ma vie je t’aurais, ton pasteur aura beau faire quand tu iras à confesse, même si tu demandes que l’on te pardonne tu en recevras deux fois plus.

Je comprends qu’à ce moment c’est le cul de Séverine qu’il sodomise et qu’il traite de pute, je pourrais me sentir frustrer mais le plaisir qui monte en moi est bien le mien et peu importe s’il fait un transfert vers sa fiancée.
Bien au contraire je sens qu’il se libère des tabous de son enfance et qu’il se lâche comme au moment où il lâche son foutre en moi me faisant hurler de plaisir.
Je mets u moment à reprendre pied me souvenant que je suis dans le bordel d’Hilda et afin d’éviter de me retrouver une nouvelle fois avec le même dilemme si l’un de ses clients me demande de faire une passe, je prends Claude dans mes bras comme je le faisait avec mon fils avant qu’il me quitte pour partir dans la marine.
J’ai dû dormir mais un mouvement de sa jambe me réveille.

• Dit-moi tu m’as dit que Séverine et toi vous aviez une petite situation, as-tu loupé tes études ?
• Non, je travaille pour me payer des études de comptabilité et Séverine de gestionnaires d’affaires, mais le chômage est de plus en plus important ici et il sera peut-être nécessaire à la fin de cette année et de nos examens que nous restions à notre travail actuel même si nous gagnons peu.
• Je comprends, viens retournons voir celle que tu appelles la dame en blanc qui m’a invité avec mon amie Nadia à l’inauguration de son établissement.
• Mais alors tu es une dame moi qui croyait que tu étais une pute, excuse-moi de ma méprise.
• Qui sait si tu t’es trompé, si tu sais y faire avec ta fiancée tu t’apercevras qu’il y a une courtisane qui s’ignore dans chaque femme, à toi de lui faire découvrir la vie et surtout le sexe qui régit le monde.

Nous redescendons et je m’aperçois que tout le temps passé avec mon puceau l’heure a beaucoup avancé et qu’il est proche de l’heure pour Hilda de fermer son bordel mais avant elle souhaite faire un cadeau à toutes les personnes présentes en demandant à Hildegarde de déboucher ses bouteilles favorites.

• Merci pas pour moi, Séverine refuse que je boive de l’alcool.
• Séverine on s’en fiche, un dépucelage surtout aussi long cela se fête et si tu le souhaites mon chauffeur te raccompagneras.
• Hilda, ce jeune homme avec sa fiancée font des études tout en travaillant, peux-tu les prendre sous ton aile et leur trouver un emploi pérenne correspondant à leurs études ?

Elle lui donne sa coupe et de l’autre lui prend le menton.

• Surement que je vais les aider, tu vas venir avec elle à un rendez-vous que je vais vous donner et nous envisagerons votre avenir.
• Madame je vous remercie mais Séverine refusera d’entrer dans votre bordel.
• Il est mignon ton ex-puceau Valérie, il croit que c’est ici au milieu de mes filles que je vais le recevoir au risque que comme pour toi un des clients prenne sa fiancée pour une professionnelle du sexe et lui demande de monter faire une passe.
Tu pourras venir tranquille c’est à mon entreprise de retraitement que vous pourrez travailler, l’extension de mon activité vers la France m’obligeant à augmenter les personnes employées aux Pays-bas.
Hildegarde donne ma carte à ce jeune homme pour qu’il appelle mon secrétariat et que dans les jours prochains nous nous retrouvions.
• Merci madame, j’ai bien fait de venir chez vous-même si c’est votre amie qui m’a retiré mon pucelage.
Dès que je rentre chez moi, j’appelle Séverine et son pasteur pourra lui dire ce qu’il veut, je me sens de force à la coucher sur mon lit et à son tour de lui enlever son hymen, après ce que je viens de vivre avec vous madame rien ne pourra me résister.
• Avant de partir, mes poches son vide, Hilda tu donneras mon numéro de téléphone personnel à Claude quand il viendra j’aimerais rester en contact avec eux.

Il pose sa coupe sur le bar et tournant les talons il part vers la sortie ses poches pleines de billets et ses bourses vides.
Il est trois heures du matin quand nous décidons d’aller nous coucher, les coupes succédant aux coupes de champagne les gagneuses qui travaillent chez mon amie se retirent certains ensembles le chauffeur les reconduisant car prendre le volant serait une idiotie.

• Mon amie, donne-moi une dernière bouteille nous allons en avoir besoin avec Nadia et Valérie, je me sens en pleine forme, montons dans ma chambre, ferme tout avant que ton mari vous raccompagne avec ma limousine.

En montant j’apprends que la belle Hildegarde est la femme du chauffeur d’Hilda et qu’elle est jalouse comme une tigresse, Benoit c’est à quoi il s’expose s’il avait un geste déplacé avec une des filles de sa patronne et comme il tient à ses bijoux de famille, tout se passe toujours bien.
Quand Hilda nous a fait visiter son domaine j’étais loin d’avoir remarqué la chambre et surtout le lit d’une largeur qui va nous permettre de dormir toutes les trois sans nous gêner.
Dormir c’est hélas ce que je crois après avoir pris ma douche et de rejoindre Hilda et Nadia douchées avant moi étant déjà en train de s’embrasser…

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