COLLECTION SM. Le chemin de ma cave voûtée. (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION SM. Le chemin de ma cave voûtée. (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SM. Le chemin de ma cave voûtée. (3/3)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Après avoir récupéré suite à la course folle que Vivian m’a fait faire dans les bois de la ferté mon corps étant couvert de griffures d’ecchymose et de rougeurs due aux orties nous avons signé l’achat de ma maison et surtout de sa cave voûtée.
Bien sûr c’est la maison de vigneron de la commune de Givry pour laquelle j’ai eu un coup de cœur me voyant déjà dans ma cave pour assouvir mon besoin de masochisme que Vivian a déclenché en moi après la course folle dans notre appartement.

Nous avons signé il y a quelque temps et mon mari a déjà transféré son bureau d’architecte là-bas, chaque matin quand il part il prend soin de m’attacher sur le lit de la chambre avec une chaîne qui arrive à mon cou où il m’a accroché un magnifique collier.
La seule chose que la longueur de cette attache me permet c’est de me rendre dans la salle de bain où un W.C. et une baignoire sont à ma disposition.
Sa situation me permet de rester à la maison et il limite mes mouvements car il a constaté que j’avais des propensions à dilapider les ressources de notre couple en faisant du shopping et en achetant bon nombre d’objets inutiles.
Il m’a fait plaisir en m’achetant ma nouvelle demeure et surtout sa cave aussi je suis satisfaite qu’il m’isole dans cette pièce pendant qu’il gagne l’argent de notre couple.
Ce que j’aime depuis que ma condition a évolué c’est qu’il refuse de répondre à mes questions.
Attention nous sommes un couple uni et quand je suis libéré de mon collier et de ma chaîne nous avons une vie tout à fait normale.
Midi et soir à table, nous avons les mêmes conversations qu’avant ma libération sexuelle car depuis qu’il est devenu sadique pour mon plaisir c’est quand nous franchissons la chambre de mes tortures que je suis à lui comme la soumise que j’aime être devenue.
Midi et soir pas tout le temps car certaines fois il a dû s’apercevoir que j’aime quand il m’enferme sans manger pendant deux ou trois jours, ces jours-là je n’entends aucun bruit dans l’appartement il doit partir pour son travail et m’enfermer.
Nous continuons à voir nos amis et surtout je vois souvent ma copine Aline qui reste une jeune fille sage se contentant de son travail d’infirmière.
Elle est chaste et je la soupçonne d’être encore vierge à 24 ans, une à deux fois alors que j’étais attaché elle a dû venir sonner car chaque fois c’était à ses heures habituelles mais il m’est impossible quand je la vois à lui dire pourquoi elle reste bredouille derrière la porte qui a vu le début de mon plaisir extrême et dégradant s’il en ait.
Pendant ces heures ou je suis seul Vivian refusant de me mettre la télé comme j’ai eu le malheur de lui demander une fois et ou la cravache m’a fait ravaler mes paroles j’ai le temps de méditer, pourquoi mon corps a-t-il réagi quand j’ai été fessé ?
Mes parents et surtout mon père était un être doux et la seule chose que j’ai en mémoire c’est un après-midi où je faisais la sieste les avoir entendus se disputer et comme j’entendais maman geindre je me suis approché de la chambre heureusement fermée et j’ai distinctement entendu un bruit de cuir sur un objet et chaque fois maman disait oui oui.
J’étais déjà adolescente quand avec du retard mon corps s’est ouvert à la sexualité et pour arriver à endormir le mal qui me taraudait les entrailles chaque fois qu’une crise me prenait j’avais comme seule solution de me tordre mes grandes lèvres et de pincer fortement mon clitoris et de finir par jouir en le caressant délicatement après qu’un premier orgasme m’est traversé.
Puis j’ai commencé à me mutiler me mangeant les doigts, non pas en m’enlevant les peaux mortes mais en me rognant les phalanges.
Heureusement Vivian est arrivé et dans un premier temps je me suis assagi et me suis contenté de sa verge en moi jusqu’au jour où il a eu le malheur, non le bonheur, de me fesser avant de m’enfiler sauvagement derrière la porte d’entrée.

Ce matin il y a quatre jours que je suis enfermé et que mon ventre est vide, j’aime quand je suis libéré voir dans la glace de ma salle de bain mon ventre creusé ce que j’avais perdu l’habitude car comme toute fille devenue sédentaire mes formes s’arrondissaient.
Toute la journée j’entends des allées et venues allant même jusqu’au bruit de la poignée de ma chambre que l’on touche sans possibilité d’ouvrir Vivian m’enfermant systématiquement et partant avec la clef.
La pièce où je me trouve est fermée par des volets roulants quand je vois que la nuit est tombée.
Je suis sur le bidet en train de me laver la chatte car malgré mon isolement mon hygiène est primordiale surtout que jusqu’à hier j’eusse mes, bref, quand j’entends la porte s’ouvrir.
Mon tortionnaire tend aimé surtout depuis qu’il a découvert mon secret de domination vient devant moi et sans un mot me met une cagoule certainement en cuir sur le visage.
Tous mes sens sont obstrués sauf ma bouche qui reste libérée grâce à un trou lui permettant de placer sa verge qu’il me fait sucer.
Je le prends par les couilles que je caresse les serrant légèrement.
Un coup de cravache sur mon dos me rappelle que je dois être douce.
Quand son estomac est vide depuis des heures la sève qu’il m’envoie est suave même si elle manque de saveur surtout maintenant ou je ne vois rien et n’entends rien le goût étant le seul qu’il me reste libre.
Quand j’ai bien dégluti, je sens qu’il tire sur une fermeture qui m’empêche de parler m’isolant définitivement de ce monde.
Un coup de sa cravache me fait comprendre que je dois le suivre, un autre alors que je suis debout me fait comprendre que je dois marcher à quatre pattes comme la chienne que je suis devenue pour lui.
Le noir me fait penser à un nouveau jeu et qu’il va me faire faire le tour de l’appartement avant de me faire rentrer à ma niche.
Un léger courant d’air frais malgré la chaleur de cet été me fait voir que je me trompe et un bref instant les picotements que le tapis de notre appartement se fait sentir sous mes genoux me montrent que nous sortons.
La honte me prend d’être nue pour aller dehors et j’ai des velléités de me relever, le coup de cravache qu’il m’assène doit zébrer mon postérieur et je reprends ma position surtout que nous avançons de nouveau.
La surface froide et les trépidations avec un bruit assourdi qui me parviennent me font comprendre que nous sommes dans l’ascenseur.
J’espère qu’aucun voisin ne va sortir ou entrer chez eux leur faisant voir que je suis soumise à mon maître mari.
La sensation qui m’assaille est très étrange et bien plus jouissive que celle que j’ai ressentie dans les bois de la Ferté.
Comme aujourd’hui j’étais nue mais à part le chauffeur qui est venu à notre secours j’ai échappé à la vue d’autres personnes.
Il est drôle de vivre sans voir et d’avoir des sensations par le toucher.
Présentement c’est le froid du béton qui déchire mes genoux qui me font voir que nous sommes certainement dans le garage à voitures.
Depuis notre aventure dans les bois je suis resté à la maison soit enfermée nue soit à regarder la télé, sortir même de nuit va me faire du bien et surtout je vais autant mouiller qu’en ce moment ou s’il passait sa main sur ma chatte il s’apercevrait que je suis ruisselante.
Un bruit de coffre qui s’ouvre et la cravache me donne l’ordre de monter, je me redresse tâte le pare-choc et je roule à l’intérieur.
Je loupe mon coup et je m’affale aux pieds de mon dominateur qui pour me punir m’assène un grand coup de cravache sur ma fente qui me fait hurler au travers de ma cagoule.
Je me redresse et je recommence la manœuvre, j’ai tellement aimé ce coup reçu me déchirant la chatte que je retombe de la même façon mais Vivian doit comprendre que je le fais par goût et rien ne vient, j’apprécie le masochisme à l’envers que j’aimerais qu’il me fasse subir plus souvent.
J’entre donc et étant déjà dans le noir le léger bruit du coffre qui se referme après qu’il a jeté la chaîne à l’intérieur atterrissant sur mon corps mais sans me faire mal me confirme que je sors avant de revenir et de faire le chemin à l’envers mourant de honte si l’on me voit dans ma déchéance volontaire.
Nous roulons de longues minutes et à chaque fois que la voiture passe dans un trou ou un ralentisseur Vivian qui doit être au volant accélère et je suis ballotté comme un vulgaire sac dans tous les sens.
Je suis sûr qu’à notre retour j’aurais des bleus mais que voulez-vous quand on aime souffrir ces chocs sont doux à supporter.
Nous nous arrêtons après une nouvelle fois que je suis ballotté de droite à gauche ou de gauche à droite.
Un chemin de terre, nous venons de prendre un chemin de terre, la voiture fait demi-tour comme si Vivian voulait être dans le sens du retour.
Le coffre s’ouvre et sans ménagement il me balance au sol.
Je sens que l’on me passe des menottes aux chevilles entravant mes mouvements.
J’entends sourdement la voiture partir et le silence de la nuit s’installer en moi.
Un long moment j’attends pétrifié de peur alors que quand nous sommes arrivés j’étais confiante, je tâte le sol je suis bien dans un chemin, je trouve une partie de la chaîne que je réduis afin que j’évite de me prendre dedans.
Vivian en aurait-il assez d’avoir une femme maso et m’a-t-il abandonné pour retrouver une pouffiasse qu’il aurait trouvée au cours de ses voyages où je lui faisais confiance.
J’essaye de me relever mais les menottes font leur office et je retombe lourdement qui plus est sur un caillou qui a dû m’entailler le haut de la cuisse.
C’est à quatre pattes traînant mes jambes inutiles derrière moi que j’essaye de retourner vers la route afin d’éviter que l’on ne me trouve dans quelques jours morts de faim car il faut se souvenir qu’il a oublié de me nourrir depuis plusieurs jours.
Je parcours quelques mètres et ma tête tape dans un poteau de bois.
J’avance mes mains et je constate que je suis contre une barrière du même genre que celle qui m’a servie le jour de la visite de la maison que nous avons acheté et où se trouve ma cave.
J’ai l’intuition que cette barrière départ de ma course folle qui a fini dans les ronces et les orties et qui a permis à mon mari de me faire jouir comme jamais je ne l’avais fait est là à l’affût même si le coup du sanglier est éculé et qu’il est hors de question que je cours sans voir ou je vais, j’aime souffrir, il aime me faire souffrir mais se manger un chêne de plein fouet serait trop gros pour moi.
L’autre fois il a souhaité que je me caresse la chatte avec le bois horizontal de la barrière qui a échauffé mes sens.
Veut-il que je renouvelle cela aussi je veux passer ma jambe oubliant les menottes mais j’arrive à me mettre dans une position mes seins étant en appui dessus et ce sont eux qui subissent la punition qu’il souhaite que je me donne ?
Je me sers de mes mains et je fais deux allée retour sentant que des échardes pénètrent mes seins.
J’espère que je suis dans le vrai car si je suis retrouvé par des promeneurs sur cette poutre les jambes entravées une cagoule de cuir sur la tête sans oublier le collier avec la chaîne de plusieurs mètres ils risquent d’avoir la peur de leur vie et la police demandera des comptes à mon mari ce qui me rassure une nouvelle fois car je le vois mal trouver un motif à ce qu’il me sera arrivé.
« Monsieur l’agent ma femme est masochiste et moi qui suit devenu par sa faute sado je l’ai abandonné dans ce chemin dans ce bois pour éviter de subir ses dépravations qu’elle souhaite de plus en plus osées. »
Si pour couronner le tout ils investissent notre maison de Givry ou à part le jour de mon coup de cœur Vivian me l’a cachée s’en sortira-t-il s’il a déjà fait des installations dans la cave, but de notre achat.

Le salaud, un grand coup sur mes fesses que j’ai par imprudence en me mettant dans cette position s’abat sur mon fessier.
Plusieurs coups et je sens que ce sont avec des orties qu’il a dû aller cueillir qu’il me frappe, dix coups et mon cul me brûle comme jamais.
Je crie et l’on doit m’entendre bien que ma bouche soit obstruée.
Et puis il reprend ma laisse de chaîne et j’arrive à le suivre en sautant à pieds joints sur une dizaine de mètres.
Il me laisse de nouveau là mais le bruit du moteur me montre qu’il vient de reprendre le volant et qu’il la recule jusqu’à moi.
Même scénario qu’au départ de Beaune et je reprends ma place dans mon coffre soulagé qu’il est choisi de me faire du bien sur les lieux de nos exploits dans ce chemin ou si j’avais pu voir j’aurais certainement trouvé des lambeaux de mes vêtements.

Nous roulons bien moins longtemps qu’à l’aller, la voiture s’arrête quelques secondes et repart.
Quelques mètres, le coffre s’ouvre il me fait descendre et m’ayant enlevé les menottes le coup de cravache me ramène à quatre pattes.
C’est sur du gravier que je me déplace sans savoir où je suis, ce qu’il m’a fait subir depuis quelques heures et le manque de nourriture obstrue mon cerveau et je suis contente de retrouver le froid d’une pierre au sol avant qu’il me fasse descendre des marches…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Passionnant !

Rudy



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