FORETS BLONDES EN FORET NOIRE - histoire érotique

Comme chaque année, nous avions notre meeting européen. Cette fois, nous allions nous retrouver dans un magnifique hôtel club en Forêt Noire et je me réjouissais de faire enfin la connaissance de mes collègues allemandes Uschi et Greta. Nous convînmes donc d'arriver sur les lieux dès l'après-midi, avant le début du meeting.
Quelle ne fut pas ma surprise, en arrivant dans le hall de l'hôtel, de découvrir deux superbes blondes germaines, comme on les imagine, grandes, bien faites, la trentaine bien portée. Une fois les présentations faites, et comme il faisait un temps superbe, Uschi et Greta suggérèrent de profiter de la piscine en extérieur. Je ne pouvais qu'acquiescer et m'empressais de défaire ma valise à la chambre afin de vite rejoindre mes collègues.
Elles ne m'avaient pas attendu et je les retrouvais nageant avec élégance dans la piscine olympique. Après quelques longueurs en commun, nous nous allongeâmes au soleil sur des chaises longues confortables. Je pus ainsi mieux découvrir le corps de mes deux collègues. Greta, près de 1m75, très carrée, de longues jambes galbées et une poitrine comme je les aime, dont les tétons pointaient déjà au travers du maillot une pièce. Uschi, plus petite et plus mince, un bikini dont elle avait déjà enlevé le haut afin de parfaire le bronzage de ses deux seins bien fermes. Comme le soleil disparaissait sous une épaisse couche de nuages, Greta suggéra que nous allions faire un sauna. N’étant pas un habitué de ces lieux, je suivais timidement mes deux collègues, lesquelles se déshabillèrent complètement, en me précisant que l'endroit était " sans textile ". Me voilà donc obligé d'enlever mon caleçon de bain devant mes deux collègues, déjà en train de se doucher avant d'entrer dans le sauna. Et je ne pus cacher une érection naissante qui fit sourire mes deux collègues. Greta s'installa sur le niveau haut et me fit signe de m'allonger sur le niveau du milieu cependant qu'Uschi versa de l'eau sur le brasero avant de s'allonger sur le niveau bas. J’étais donc allongé entre ces deux superbes nixes. Je commençais à transpirer et sentis le regard de Greta sur moi. "
Ca va, collègue Français, comment te sens-tu ? " "Bien mais un peu chaud "répondis-je péniblement, gêné par mon érection qui semblait quand même amuser ma voisine du dessus. " Si tu veux, on va aller prendre une douche " et, joignant le geste à la parole, elle s'assit et descendit d'un étage, en profitant pour me marcher brièvement sur le sexe
. ... Nous nous retrouvâmes tous les deux dans une douche à différents mouvements et températures qu'elle programma avec habitude. " Tu te sens mieux ? " se hasarda-t-elle, en profitant pour orienter la douche froide à jets tournants sur mon sexe dans un grand rire. " Oui, oui, merci " Et nous retournâmes dans le sauna, Uschi étant montée sur la partie haute pour profiter à son tour de la situation .... J'essayais vainement de m'entourer pudiquement de ma serviette blanche. Mais cette fois, ce fut le pied gauche d' Uschi qui fit s'ouvrir toute grande ma serviette. Je ne pouvais décidément rien leur cacher .... J’hésitais entre fermer les yeux pour tenir dans cette chaleur et jeter un coup d'oeil sur les corps transpirants de mes collègues. Uschi proposa que nous allions dans le whirlpool en extérieur. J'acceptais volontiers non sans que nous ne prenions d'abord une douche réparatrice. Une fois dans le
whirlpool, je tentais de me relaxer mais, très vite, mes deux collègues qui, bien entendu, m'encadraient, profitèrent de l'anonymat du bouillonnement pour venir me frotter le sexe chacune avec un pied. Je ne pouvais que leur rendre la politesse et commençais par leur palper les seins qui émergeaient à peine du bain bouillonnant. A l’évidence, cela du leur plaire, puisque, très vite, leurs mains remplacèrent leurs pieds et je sentis deux mains conjuguées commencer à me masturber énergiquement. Je ne sais si elles avaient l'habitude de ce genre d'exercice en binôme, en tout état de cause, la coordination était parfaite ! Tour à tour, ma verge puis mes bourses, puis les deux de concert, bénéficièrent de la manoeuvre germanique. Pour ne pas être en reste, je caressais leur mont de venus abondant (les Allemandes se rasent rarement ), leur clitoris en érection, et pénétrais leur abricot avec la même énergie que la leur. Soudain, au comble de l'excitation, je me mis à jouir dans le whirlpool , ce qui engendra un grand éclat de rire de mes collègues, d'autant que je n'avais pu les faire jouir de concert ... L'heure du rassemblement ayant sonné, Uschi et Greta sortirent du whirlpool non sans m'avoir déposé un baiser qui suggérait d'autres aventures en commun
...

A suivre