La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 687)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 687) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 687)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°686) - Sur deux étages -

Monsieur le Marquis d’Evans et David étaient dans l’ivresse de la jouissance, comme dévastés par une violente tempête et émergés sur un autre rivage, nus et défaits, prêts à se relever pour une nouvelle vie, pour un nouvel amour plus fort encore… Tous deux avaient atteint l’Extase parfaite dans l’oubli de soi, dans l’exacerbation pleinement consentie de tous leurs sens, et dans une sublime osmose charnelle comme si tous deux avaient plongés en apnée dans l’océan même du pur bonheur d’un amour fou qui les réunissait depuis une décennie. Ils s’étaient donnés l’un à l’autre et s’étaient abandonnés dans un érotisme de haut délice, mais aussi dans la plus grande obscénité possible, sans aucun tabou à en jouir librement, sereinement !

Deux étages plus bas, Endymion MDE jouissait lui aussi, d’une bien différente manière. Point d’orgasme, mais de sublimes supplices enflammant ses sens, attisant sa perversion et son masochisme. Mademoiselle Lucie et Monsieur Julien s’acharnaient depuis maintenant un certain temps sur ses pauvres petites burnes d’esclave. D’après eux, la nature n’aurait jamais du doter un esclave mâle d’une paire de couilles, seuls les hommes, les vrais auraient du en être pourvus. Alors, selon eux toujours, pour contrecarrer cette erreur de Dame Nature, les esclaves mâles étaient contraints et obliger d’accepter les tourments imposés sur cette partie de leur anatomie, puisque leurs couilles ne leur servaient à pas grand-chose sinon à rien. D’ailleurs, Mademoiselle Lucie se référait à ce grand philosophe Aristote : « Est, en effet, esclave par nature, celui qui, en puissance, appartient à un autre »… « L’utilité d’un esclave consiste à se servir de son corps, c’est le meilleur parti que l’on peut en tirer » Elle était bien la digne fille de son Noble Père, puisqu’elle aussi s’intéressait sinon se passionnait pour ces pensées philosophies, les adaptait à son gré et s’en servait de modèle pour asseoir toute Sa Domination sur ceux qu’elle considérait d’une classe « inférieure ».

Elle avait fait tenir l’esclave MDE debout, jambes quelque peu fléchies, lui avait entouré et enroulé à la base, les burnes avec un lien noué fermement. Chaque extrémité de la corde avait été attachée à chacun des gros orteils de l’esclave. Et lorsque le cordage fut tendu, elle exigea qu’Endymion MDE se redresse et se tienne bien droit, jambes tendues. Il lui était bien difficile de se tenir ainsi, avec ses couilles étirées au maximum vers le bas, avec ce gros plug lui comblant et encombrant son cul de lope. La douleur lui était pénible et difficile et lui demandait beaucoup d’efforts. Pourtant, il l’acceptait, parce qu’il savait, qu’aujourd’hui, il était conduit sur des chemins tortueux, que lui-même avait choisi. Il savait qu’il lui était impossible de faire marche arrière, ou simplement de dire stop, car sa vie était ainsi faite, il en était convaincu et il en tirait un plaisir inouï. Il était dans l’acceptation et la bienveillance, sa logique masochiste l’emmenait à prendre ce qui lui était donné, et au-delà embrassait pleinement et sans réserve ce qu’il recevait, fut-ce la douleur ! Endymion MDE avait compris qu’accepter n’était pas de se sentir mieux, mais bien de s’ouvrir à la vitalité du moment, et d’agir de façon plus efficace dans les directives et les obligations qu’il recevait. Pour lui, il se devait de traverser les marécages de son histoire personnelle car ceux-ci se trouvaient dans la direction de là où il voulait aller. Bref, il avait trouvé son bonheur sublimé, sa raison jubilatoire et enivrante d’être et si heureux d’être ce qu’il était devenu…

Monsieur Julien et Mademoiselle Lucie avait bien compris qu’ils avaient à faire à un esclave un peu particulier, tenace, endurant, volontaire, exprimant sa soif de soumission et d’obéissance fut-ce dans la contrainte et la douleur physique. Alors tous deux poursuivirent l’expérience, testèrent plus encore les capacités de cet Endymion MDE. Ils voulaient savoir jusqu’où ils pouvaient l’asservir, le ridiculiser et voulait voir où étaient ses propres limites. Mademoiselle Lucie avait pris deux planchettes, reliées entre elles par quatre vis. Elle plaça les couilles de ce chien soumis entre elle et commença à serrer lentement, doucement…

- Mais quelle putain, une vraie salope ! Lançait Monsieur Julien…

La queue de l’esclave MDE s’était redressée telle une mécanique, un peu plus à chaque fois qu’un tour de vis était donné pour comprimer plus encore ses burnes, un peu comme s’il y avait un lien de cause à effet, entre la pression exercée sur ses testicules et sa bite.

- Avance catin, marche en te tenant bien droit, mains sur la tête, fais le tour de la pièce !

Endymion MDE, visage crispé par la douleur faisait les cents pas autour de la pièce. Ces lourdes planchettes tiraient et tiraillaient son scrotum. A chaque pas, celles-ci se heurtaient contre ses cuisses, les poussaient vers l’avant, lui provoquant des sensations terriblement lancinantes, obsédantes, presque odieuses et pourtant… Pourtant il bandait comme un âne en rut.

Plus haut, dans les étages de cette Auguste Demeure, Monsieur le Marquis d’Evans regardait ce beau corps frissonnant et nu, alangui près de lui. David dormait paisiblement, une main derrière la tête, l’autre posée sur son abdomen. Sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration calme. Le Maître aimait ce corps, ce fin duvet entourant ces petits tétons, ce sexe amolli et encore décalotté, posé sur ce pubis peu poilu, ces jambes restées entrouvertes, ces cuisses à peine velues. Il était de toute beauté. Contempler David, l’excitait. Sa Noble queue s’était tendue, elle arborait fièrement une virilité incroyable, Lui donnant presque envie de se caresser. Il y renonça préférant remonter le drap froissé tout contre le corps de son amant.

Plus bas, les choses allaient de mal en pis, l’esclave MDE avec moult difficultés s’était, sur ordre, mis à quatre pattes. Certes les liens reliant ses couilles à ses orteils s’étaient détendus, mais juste avant Mademoiselle Lucie avait donné un dernier tour de vis à ces planchettes fixées à ses burnes, lui coupant quasiment la respiration. Sans le prévenir, la fille du Noble arrachait le plug ancré dans son cul. Endymion MDE crut qu’il était dépouiller de toutes ses entrailles tant l’aspiration fut violente. Il ne put retenir d’ailleurs quelques flatulences.

- Je vous prie de bien vouloir m’excuser ! Lançait-il

Ce n’était pas la préoccupation du couple. Monsieur Julien avait sorti de son pantalon de toile son membre fier et droit, une main de ses mains avait agrippé la chevelure de l’esclave MDE.

- Ouvre ta petite gueule salope ! Ordonnait-il

Il enfonçait violemment sa bite dans cette bouche, tel un dard perçant ses lèvres entrouvertes, telle une pointe de fer portée par une hampe de chair, comme s’il voulait déchirer ou fendre cette cavité. L’esclave MDE crut étouffer et chercha même à s’échapper d’un tel assaut. Mais Monsieur Julien, tenait appuyé ses deux mains contre la nuque du chien mâle MDE, lui imposant une fellation profonde presque abyssale. Il n’avait que faire de ces soubresauts, de ces hauts le cœur, sa seule préoccupation était de faire tenir toute entière sa bite dans cette cavité humide et chaude. Mais les choses se compliquaient encore… Mademoiselle Lucie à son tour le pénétrait, l’enculait profondément à l’aide d’un gros gode ceinture. Elle allait et venait en lui en lui claquant sauvagement le derrière à chaque fois qu’elle se retirait de lui, pour mieux l’enfourner ensuite. Dieu merci, le cul d’Endymion était parfaitement dilaté, sinon, jamais il n’aurait pu accepter un tel morceau fouillant ses entrailles… Pris par tous les trous, Endymion MDE gémissait, des gémissements étouffés par cette bite énorme, qui centimètres par centimètres s’était installé totalement dans cette bouche grande ouverte. Les lèvres de l’esclave MDE étaient maintenant en contact avec le pubis poilu de Monsieur Julien. Lui ne bougeait pas, comme concentré, il restait enfoncé profondément. D’ailleurs sa queue s’amollissait lentement. L’esclave sentit de nouveau les mains de Monsieur Julien se poser sur sa nuque, puis sitôt après, un jet chaud d’urine lui envahir la gorge. Surpris, il crut qu’il ne pourrait jamais déglutir.

- Avale chien ! Ordonnait Monsieur Julien

Et au même moment son cul subissait une ruade extraordinaire, Mademoiselle Lucie s’activait à vive allure, le gode allait et venait, cheminait de plus en plus rapidement dans son conduit intime, entrait et ressortait, s’enfonçait et s’extirpait telle une furie… et à chaque fois une rasade de pisse éclaboussait son arrière gorge…

Au second étage, dans ce grand lit baldaquin, la main du Maître s’était posée sur l’entrejambe de David qui s’était réveillé. Il le regardait d’un air tendre et amoureux. David se laissait caresser gentiment les couilles tout en parlant tendrement sur un ton amoureux et avec une note philosophique

- Comment nourrir son cœur et ne pas se laisser engloutir par ses émotions face aux difficultés de la vie ? Je me souviens d’une période lointaine où j’écoutais avec délice, lorsque j’étais enfant, tout ce qui était musique. Ces notes, me parvenant aux oreilles, me berçaient en m’emmenant vers des univers baignés de doux rêves aux mille couleurs. La musique berçait mes émotions en les enlaçant de tendresse et d’amour. La musique a été pour moi comme un pansement cicatrisant bien des plaies menant ainsi à un certain bien-être. Aujourd’hui Edouard, mon cher Edouard, tu es cette douce musique, et ta musique est la langue de mes émotions. C’est de ta musique que je tire mon énergie, ta musique est toute émotion. Avec toi, tout peut s’exprimer, là où les mots me manquent, tes notes prennent délicieusement le relais. Connexion des sens avec l’univers dans lequel nous ne faisons plus qu’un, c’est magique ne trouves-tu pas ?

Monsieur le Marquis souriait, puis doucement approchaient ses lèvres contre celles de David. Il lui donnait des petits baisers, doux et tendres…. Ses doigts s’inséraient dans le sillon anal de son amant, son majeur s’arrêtait tout contre son petit bouton… Sous cette petite pression l’anus s’ouvrait, s’offrait.

- J’ai encore envie de toi, David…
- Moi pas ! lui répondit-il malicieusement avec un sourire qui voulait dire ‘’Moi aussi !’’

Alors, il avait écarté un peu plus les jambes, et laissé ce divin doigt le pénétrer et l’envahir…

(A suivre…)

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