La réaction violente d'un mari cocu

- Par l'auteur HDS Laure60 -
Récit érotique écrit par Laure60 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : La réaction violente d'un mari cocu Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La réaction violente d'un mari cocu
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
J'ai eu deux enfants et je me suis marié avec Pierre mon amoureux
Dans le village ou nous sommes installés je commence à faire des connaissances et comme maintenant Pierre est souvent en déplacement je passe beaucoup de temps avec Michèle (mariée cinq enfants) chez elle ou chez moi.
Au début c'est parfait puis petit à petit les choses changent.
Beaucoup de jeunes hommes viennent chez elle et je m'aperçois qu'elle a des amants surtout un du village voisin et qui est un peu fêlé.
Elle m'encourage à profiter des jeunes qu'elle reçoit, je refuse.
Pour me décider elle m'affirme que mon mari ne raterait pas l'occasion avec une belle fille et me propose d'envoyer sa fille aînée Marie Line (connue comme étant une sacrée salope) chez moi quand Pierre est là. Quand ils auront couché ensemble je serais libre d'en faire autant.
J'accepte puis je réfléchis et je refuse.

Michèle dit que j'ai des belles jambes et que je dois les montrer. Comme elle est douée en couture elle raccourcit mes jupes qui sont déjà courtes puis elle échange un de mes pantalons qui lui plait contre une de ses jupes mini et voyante, naïve je marche dans sa combine.


Un jour Pierre vient avec moi chez elle, en sortant il me dit:<<c'est un bordel chez ta copine ou quoi, méfies toi car ça sent les problèmes>>.
Mon tort c'est de faire trop confiance aux personnes
Roger, un beau gars, vient souvent la voir et me tourne autour, il insiste dans sa drague. Il me dit que je suis belle et que j'ai un beau corps. Je résiste bien qu'il me plaise.
Michèle m'encourage à me laisser tenter:<<tu vois comme il te cherche, il en a une grosse et d'après Solange (une de ses amies) il fait ça plusieurs fois, vas y>>.
Michèle est amie et reçoit Claire la mère de Roger, elle l'a branchée avec un jeune (au moins 20 ans d'écart) et leur prête son lit pour leurs ébats sexuels.

Je me lie aussi avec Claire et un jour elle m'invite à boire un café. Je me rends chez elle accompagnée de mes enfants. Son fils est là.
Nous parlons en buvant un café puis Claire décrète qu'elle doit aller voir Solange et quelle emmène mes enfants, ce qu'elle fait sans me demander mon avis.
Je reste seule avec Roger, je comprends que je suis piégée et ne vois pas comment m'en sortir et comme la chair est faible.
Il insiste pour me montrer sa chambre, je le suis.
Arrivés dans sa chambre il m'enlace, m'embrasse. Je réponds à son baiser puis il caresse mon corps par dessus les vêtements, j'en fais autant sur lui.
Il sort son sexe et là stupeur il est de belles dimensions ce qui me laisse bouche bée.
<<elle belle et grosse ma bite,elle te plait, caresse la>>.
Je m'exécute sans répondre et la caresse de tous les côtés et sur toute la longueur jusqu'à ce qu'il dise:<<embrasse la et fais moi une pipe>>.
Toujours muette je m'accroupis, je tiens son monstre avec une main et je l'embrasse partout.
J'ouvre la bouche au maximum et fais pénétrer son pénis dedans. Je fais des aller-retour en essayant d'en engloutir le maximum et d'éviter la nausée.
Je m'active pour son plus grand plaisir à en avoir mal à la mâchoire et je me recule quand il dit qu'il va éjaculer dans ma bouche.
<<non! je ne veux pas avaler ton sperme>>.
<<enlèves ta culotte et couches toi sur le lit>>.
Je retire ma culotte et la jette sur le lit puis je m'allonge.
Il s'allonge sur moi en écartant mes jambes, il remonte le peu de la jupe qui cache mon sexe.
Sa queue bute contre mon intimité. J'ai peur qu'elle ne rentre pas ou que je sois déchirée car il n'y a pas eu de préliminaires. Il exerce une pesée avec le poids de son corps, son monstre pénètre difficilement mais inexorablement jusqu'à buter au fond de mon vagin.
Il se met à remuer et je ressens fortement les aller-retour de son pénis dans ma chatte dont il repousse les parois.
Très rapidement il se retire et se dirige vers les toilettes pour y éjaculer et s'essuyer. Je n'ai pas eu le temps de ressentir grand chose et je reste allongée à l'attendre pensant qu'il va y avoir une suite?
Il revient rhabillé et me dit:<<on va boire un café>>. je me lève déçue, remets ma culotte et le suis.
Nous attendons le retour de sa mère en buvant du café et parlant de tout sauf de ce qui vient de se passer, ni de sexe.

la semaine suivante je me promène dans les rues avec mes enfants et je passe devant chez Roger (certainement pas par hasard). Sa mère m'aperçoit, elle ouvre sa fenêtre et me demande d'entrer un moment.
J'acquièsce et pénètre chez elle.
Roger est là installé dans un fauteuil.
Elle nous sert un café que nous buvons tranquillement en parlant de choses et d'autres.
D'un seul coup elle se lève et dit:<<venez les enfants on va rendre visite à Solange elle a fait un bon gâteau>>.
Elle part emmenant mes enfants.
Roger se lève et me dit de le suivre.
J'obéis et le suis dans sa chambre, arrivés la, tout en déboutonnant son pantalon et sortant son gros sexe qui se dresse fièrement, il dit:<<enlèves ta culotte et couches toi sur le côté>>.
je retire ma culotte qui atterrit sur le lit. Je m'allonge dans la position qu'il m'a indiquée. IL se couche derrière moi, replie mes jambes les genoux touchant ma poitrine.
Il place son monstre à l'entrée de ma grotte et exerce une poussée, je sens le coulissement du pénis qui force le passage et écarte les chairs jusqu'à ce qu'il tape au fond de mon vagin.
Il s'agrippe à mes hanches et sa queue commence ses va-et-vient dans mon ventre, son pilonnage ne dure pas très longtemps, il se retire et éjacule dans une serviette qu'il avait posée à côté de lui.
Il se lève et rajuste sa tenue, voyant cela je remets ma culotte et me lève.
<<viens boire un café>>.
Je le suis dans la cuisine et nous buvons une tasse de café et parlons en attendant que sa mère revienne.

La semaine suivante nouvelle invitation de la part de Claire, je m'y rends. Le processus est le même sauf que je me retrouve à genoux la tête sur l'oreiller et il me prend en levrette pour un coït toujours aussi rapide.

Je laisse tomber car je pense qu'il me prend pour une "vide-couilles", lui se soulage, il n'y a pas de sentiments et mon plaisir il est ou???.
De plus je sais qu'il va voir Solange qui lui fait souvent surtout des pipes. Ensuite j'ai appris fortuitement qu'en même temps il entretenait une relation avec Marie Laure une fille de Michèle ce que cette dernière m'avait caché.

Je continue à voir Roger en copain, parfois il passe me voir le matin de bonne heure (il travaille de nuit), mon mari est parti au travail à cette heure.
Un matin pas de chance mon mari revient à la maison, son bus n'est pas passé, Roger se cache dans un cagibi et fait tomber des bouteilles.
C'est le drame, Pierre le sort de la maison par la peau du dos, tremblante de peur je vais me cacher derrière la maison. Cela ne sert à rien il me trouve facilement et je dérouille: les gifles pleuvent, j'en pisse dans ma culotte.
<<je pars travailler, si tu es encore là ce soir il va falloir t'expliquer et ça va barder pour ton matricule, tu ne vas pas t'en tirer facilement.

Le soir je l'attends à genoux dans l'entrée, je lui demande pardon avec seule excuse qu'avec ses déplacements lui et son pénis me manquaient.
<<ton excuse est minable, prépare toi pour la fessée et demain tu iras acheter un martinet pour une deuxième correction>>.
<<non! pas du martinet ça fait trop mal>>.
<<Et le mal que tu m'as fait ce n'est rien>>.
Vaincue j'enlève ma jupe et ma culotte, je m'approche de lui craintive.
Il s'assoit sur une chaise, attache mes mains ensemble côté ventre, il me couche sur lui et commence à frapper mes fesses sans retenue.
Je le supplie d'arrêter, il m'ordonne de me taire sinon il frappera plus fort. J'essaie de ne pas crier mais la douleur due à la violence des coups est trop importante. je pleure et je crie mais il ne cesse pas de me frapper.
La punition semble durer une éternité. mes fesses sont enflées, tuméfiées et écarlates.
Il m'envoie coucher sur le sol à côté du lit avec juste un oreiller.
le lendemain matin j'achète le martinet et le soir il s'en sert sur mes fesses (très douloureuses de la fessée reçue) et sur mes cuisses. La douleur est pire que celle ressentie la veille.
J'ai encore le droit de dormir à même le sol. j'ai vraiment mal dormi la nuit dernière et je me suis levée avec le corps endolori.
Il m'explique la suite de ma punition:<<1) Pendant un mois pas de bite dans ton cul, tu me feras une pipe le matin et une le soir, si je ne suis pas satisfait tu dormiras sur le sol>>.
<<2) pendant un mois tu porteras la robe que je t'aie préparée sans culotte et ni soutien-gorge et si quelqu'un vient tu peux le recevoir mais en portant cette robe, essaie la>>.
Il me tend une robe qui était dans l'armoire et que je ne mets plus, je l'enfile et surprise: il l'a découpée en divers endroits. je me regarde dans un miroir: le sein gauche est visible et le droit sort à moitié, un rond est découpé au niveau du sexe, pareil côté fesses, sur les côtés une fente qui monte très haut.
<<je ne peux pas mettre ça dans la journée, elle ne cache rien>>.
<<c'est ton problème, c'est ça ou la porte>>Je baisse les yeux, il a gagné.
<<ah oui j'ai oublié les deux weekend à venir j'emmène les enfants chez leurs grands parents et puisque je serais là tu passeras les journées attachée sur une chaise, tu ne sera libre que pour manger ou aller aux toilettes. D'accord>>.
<<oui! je ferai ce que tu voudras même si je trouve ta punition trop dure et trop longue>>.

Finalement j'ai laissé tomber Michèle et noué une relation amicale (amitié qui a durée longtemps) avec Françoise une femme de mon âge qui venait d'arriver dans le villageLa première fois que Roger a profité de mon corps il a couru chez elle en disant;<<ça y est je l'ai eu, je l'ai sauté>>.
Il s'est également vanté dans le village ou je passe maintenant pour une putain qui couche avec tout le monde.
Suite à ça des hommes m'ont fait des propositions, certains n'arrêtaient pas de passer devant mes fenêtres attendant que je leur accorde mes faveurs sexuelles..
Mon écart de conduite n'a pas été une réussite.


Pour la suite mon comportement ne va pas s'améliorer bien au contraire.

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Texte coquin : La réaction violente d'un mari cocu
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