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- Par l'auteur HDS Misous -
Récit érotique écrit par Misous [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Aide bienvenue Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

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Tout a commencé après la perte de mes géniteurs, perte toujours dure à s'assumer même si l'abandon ne datait pas d'aujourd'hui. Je n'avais pas eu jusqu'alors une vie très riche en événements car plutôt timide et isolé dans une belle maison bourgeoise.
Si ma vie sociale était à mon image c'est à dire plutôt fade, elle ne s'est pas améliorée au cours de ma vie d'étudiant. Très vite les aventures tentées tournèrent court. Pas uniquement par timidité mais aussi par un physique pas à la hauteur pour satisfaire la gente féminine. Mon sexe était le reflet de mon corps, de taille très moyenne.
Je dus donc rentrer en urgence suite à l'accident et régler toutes les affaires qui en découlèrent. Je découvris aussi que je n'avais pas à me soucier de trouver un travail car j'avais hérité de quoi subvenir largement à mes besoins. Mais le fait de se retrouver seul me perturba quand même beaucoup. Je restai dans cette grande maison essayant d'y retrouver mes marques. Mes études pouvaient attendre. Ce n'est que quinze jours plus tard que je fus interpellé par un couple entre 40 à 50 ans qui vint sonner à ma porte alors que je faisais ma sieste tout en feuilletant quelques revues pour alimenter ma libido. Ils étaient à la recherche d'une maison pour soi disant s'y établir. Enfin leur recherche ne m'apparut pas très claire. Comme j'étais emprunté dans mes réponses, connaissant en fait peu la région, je dus me justifier de ma méconnaissance. Ils prirent alors un ton de compassion qui me toucha. J'avais envie qu'ils me tiennent un peu compagnie, leur charme étant indéniable. Elle dans sa petite robe à fleurs très sexy et lui de bonne taille très sûre de lui m'impressionnait.
Je les invitai à boire le café ce qu'ils acceptèrent avec beaucoup d'enthousiasme .
Nous nous installames et je pus me confier à eux. Il faut dire qu'ils savaient poser les bonnes questions. En très peu de temps ils savaient tout sur moi enfin je crois. Je leur proposai ou bien il me firent comprendre qu'ils visiteraient bien la maison. Arrivé dans ma chambre je j'eus pas le temps de cacher les revues, que Robert retourna complice! L'après midi passa tres vite et quand ils voulurent partir ils me dirent qu'ils ne savaient pas où loger car il n'y avait pas d'hôtel à proximité et ils voulaient continuer à explorer le coin. Naturellement je proposai de les héberger ce qu'ils acceptèrent avec beaucoup d'entrain . Nous décidames que Valérie coucherait dans la chambre d'amis et Robert avec moi. Car ils étaient frère et sœur ou cousins je ne sais plus. Quand je précisai que mon lit était étroit (1,10m) Robert me rassura que malgré sa taille il saurait s'adapter! De toute façon les autres chambres n'étaient pas en état et ils voulaient le moins de dérangement possible.
Ils me mettaient tellement bien à l'aise que j'acceptai leur organisation. Cela me plaisait car ils savaient prendre les bonnes décisions et de façon simple. Tout ce que je ne savais pas faire. Je sentais que je pouvais me reposer sur eux, et j'en avais besoin.
Nous continuames nos discussions toute la soirée jusqu'au couché. Arrivé dans la chambre, Robert me dis tout naturellement :
- je suppose que tu couches tout nu! Te fais pas de soucis moi aussi.
- Euh ... oui.
- Alors au dodo!
Je m'enfilai dans le lit pendant qu'il était dans la salle de bain. Je me serrai côté mur en essayant de tenir le moins de place possible, et ce à plat ventre. Il vint s'allonger sur le côté tourné contre moi. Une fois la lumière fermée je cherchai le sommeil. Il repris les discussions que nous avions tout les 3 mais tout doucement en les amenant sur des sujets plus intimes. Je dus lui dire mes déboires avec les filles. Il me mettait tellement bien à l'aise que je lui donnai le maximum de détails.
- je comprends les revues sur ton lit, te fais pas de soucis pour ça, mais ne me cache rien, ce sera plus facile pour moi pour t'aider à passer ce cap inérant à ton âge, dit il d'un ton très paternel, ton que malheureusement je n'avais jamais connu.
Je me dis que j'avais trouvé avec Robert la personne qui m'avait manqué et que je devais tout faire pour qu'il reste avec moi lui et Valérie.
Ce qu'il comprit en disant:
- tu sais on peut t'aider, car des situations comme la tienne sont toujours très difficile à vivre et pour trouver le bon chemin on a besoin de personnes compréhensives. Et tu peux compter sur nous. Allez je ne t'embête plus avec mes discours, essaie de dormir, dit il tout en posant sa main droite sur ma nuque, main que compte tenu de ce qu'il commençait à représenter pour moi, me satisfaisait plus que me gênait.
Je me sentais bien avec lui et j'oubliais que nous étions nu tout les deux dans un lit d'1,10m!
- ça te gêne pas ? Cela va t'aider à t'endormir! Dit il soucieux de ne pas me déranger.
- Non pas du tout.
Il avait fait ça avec tellement de naturel que je ne pouvais qu'accepter.
Sa main était juste sur ma nuque et la tenait assez fermement, et son avant bras posé sur mon dos. Il pesait assez fortement mais je trouvais cela normal.
Il s'était rapproché à un point tel que je sentis contre ma hanche sa queue, qui commençait à se redresser. Cela commençait par des frôlements puis de plus en plus s'appuyait. La journée ayant été riche en événements, je commençais à m'assoupir, malgré le fait que sa main était de plus en plus ferme. Il se plaquai alors contre moi et je le laissai faire. J'étais bien. Je ne me rappelle plus la suite car je m'endormis profondément. À mon réveil il n'était plus la. Je le retrouvai dans la cuisine en train de prendre le déjeuner avec Valérie. Celle ci était habillé d'une petite nuisette qui ne cachait rien de ses cuisses. Robert m'annonçant qu'il serait absent une bonne partie de la journée et qu'il me confiait Valérie. Je fus ravis de la confiance qu'il m'accordait.
Je le lui dit sans forfanterie. Ils sourirent de la naïveté de ma réponse. Ils avaient réussi à me mettre à l'aise ce qui ne m'étais jamais arrivé. Une fois Robert partis Valérie me dit son souhait d'utiliser la piscine. Elle monta se changer et vint me retrouver au bord du bassin. Quel ne fut pas ma surprise, elle avait un deux pièces qui ne cachait pratiquement rien. Ses gros seins débordaient et l'on voyait à moitié ses auréoles ! Quand au string, c'était une ficelle qui lui rentrait dans les fesses et un petit triangle devant qui laissait supposer qu'elle était rasé! Elle passa la journée ainsi à me provoquer, jusqu'au retour de Robert en fin de journée. Il nous annonça qu'il avait eu une dure journée sans en dire plus et décida que l'on devrait se coucher. J'avouerais que cela ne me déplaisait pas car j'avais hâte de me retrouver avec lui serré dans le petit lit. Je me mis en chien de fusil, tourné contre le mur et lui vint se serrer contre moi. Il me questionna sur ma journée avec Valérie et voulut savoir si elle ne m'avait pas trop provoqué. Il chuchotait à mes oreilles pour dit il ne pas la réveiller. Il passa alors son bras autour de ma taille, sa main venant se poser sur ma poitrine. Il glissa son bras gauche sous moi et me ceintura de même. Il me tenait fermement contre lui. J'avais sa queue collé sur mes fesses, disons posé sur ma raie du cul. Elle était déjà bien dure. Il voulut savoir si je faisais des choses avec mes copains. Comme je lui répondis que je n'en avais pas, il voulut savoir si cela me manquait. J'étais un peu gêné mais il sut une fois de plus me mettre à l'aise et me poussa dans mes retranchements.
- parle moi de tes fantasmes, tu sais on en a tous, tu dois me les dire si tu as confiance en moi.
- Oui j'ai confiance en vous, et je me sens bien avec vous mais j'ai du mal à en parler si on ne me pousse pas.
Il me serrai alors de plus en plus fort, se mît à me caresser les tétons, qui commencèrent à se redresser car j'étais excité de sentir sa queue contre mon cul. Il les prit entre ses doigts et les fit rouler tout en les pinçant. Je me laissais faire même si cela était douloureux.
- tu aimes ce que je te fais?
- Oui mais ça fait mal
- Normal et plus ça fera mal plus tu apprécieras.
Il avait pas tort, je n'avais pas envie qu'il arrête.
- tu veux que j'arrêtes?
- Non svp continuez.
- Tu aimes ?
- Oui j'aime.
- Alors demande moi de te pincer encore plus.
- Oui svp pincé moi plus, faites moi plus mal, ..... C'est bon.
- Alors dis moi tout tes fantasmes, allez j'écoutes.
- ..... J'ose pas.
Il s'arrêta alors de me pincer.
- non svp continuez.
- Allez je t'écoutes.
- Oui. En fait je pense souvent que je suis avec des garçons qui jouent avec moi, qui me martyrisent.
- Ils font ca ou?
- Ils m'ont coincé dans les toilettes de la fac.
- Ils se moquent de toi
- Oui car ils me font me mettre nu.
- Pourquoi ils se moquent
- Parce que .... j'ai une petite queue.
- Et t'as honte
- Oui et ils veulent le dire à tout le monde.
- Tu es leur esclave
- Oui et je ferai tout ce qu'ils voudront.
- Tu vois quand on te force un peu.
- Oui mais avec vous c'est plus facile.
- Écoutes si tu m'obéis je t'aiderai, ok?
- Ah oui je veux bien.
- C'est moi qui veut ok?
- Oui pardon.
Sa main est descendu vers mon bas ventre et il a pris à pleine main ma queue et mes couilles. Il les serra trés fort. Je ne pus résister et je me mis à jouir à gros jets, mouillant les draps.
- Ben dis donc tu en avais besoin, allez vient reste dans mes bras on va dormir.
Très vite je m'endormis dans ses bras qui me ceinturaient très fortement.
Il m'apportait une certaine sérénité.
Le lendemain il repartit et nous laissa Valérie et moi seul. J'avouerai que même de la voir dans ses tenues très sexy je restais non pas indifférent mais je ne voulais pas me trouver dans une situation que je ne saurais pas gérer. Et puis je ne sais pas ce que penserais Robert. Nous eûmes Valérie et moi des discussions plus chaleureuses, sous son air elle savait aussi provoquer la discussion. Quand je lui parlai de ma situation et des préoccupations qui étaient les miennes pour les gérer, elle me dit que Robert pourrait être utile pour moi car il maîtrisait tous les aspects de gestion. Elle me conseilla de lui demander de m'aider sans dire qu'elle me l'avait soufflé.
- Il faut que ça vienne de toi si non il ne le fera pas. Dit elle.
- Oui je comprends mais c'est vrai que ça me perturbe de gérer tout ça. Et puis c'est dure d'avoir confiance.
- Tu as confiance en Robert ?
- Ah oui, je me sens en sécurité avec lui, il est tellement fort qu'on a envie de se reposer sur lui.
- Tu as raison, tu l'as bien compris. Mais il ne faut pas trahir sa confiance car il déteste ça.
- Je te garantis que je n'y pense même pas.
Nous continuâmes notre discussion sur le même sujet. Je me rendais compte qu'il pouvait m'apporter l'aide dont j'avais besoin mais c'est toujours délicat de demander. c'est pourquoi Valérie me préparait à en faire la demande sans faire d'impair.
Elle me dit aussi de faire preuve de patience et d'attendre que mes relations avec Robert soit meilleures encore.
J'étais content de le voir revenir le soir et j'avais préparé un repas à la hauteur. Ils étaient mes invités. Une fois dans le lit, je me tournai contre lui. Il s'était mis au milieu du lit, je dus donc me coller dos au mur. Nous étions très proche. Il voulut savoir ce que j'avais fait dans la journée et si Valérie m'avait provoqué. Je le rassurai. Nous chuchotions le visage proche l'un de l'autre. La pénombre était propice aux confidences. Il me demanda si j'avais aimé qu'il me fasse jouir la nuit précédente. Je pouvais difficilement lui cacher et j'avouais que je ne m'étais jamais sentis aussi bien. Sa bouche était très proche de la mienne.
- donne moi ta langue, dit il alors d'un ton ferme.
- Oui
Je sortis ma langue de la bouche et sans me prévenir il me l'a prit entre ses dents. Il me morda pendant un moment. Cela déclencha en point une excitation surprenante. Ma langue glissa et il voulut que je lui redonne, ce que je fis en m'excusant.
- sors la plus, dit il.
Il me prit alors les tétons et me pinca comme la veille. Il me les tordit de plus en plus au point de me faire venir les larmes aux yeux. J'aimais bien l'ascendant qu'il avait sur moi. Je l'avais confié à Valérie. Nos corps étaient de plus en plus proche, que je sentis sa queue frotter contre la mienne. Disons que la sienne plus grosse et plus longue écrasait la mienne.
- caresses moi la bite, dit il alors.
J'obéis sans hésiter attendant ce moment et me mis à le branler. De mon autre main je pris l'initiative de lui caresser les couilles.
- qui t'a dit de faire ca, m'interpella t il.
J'étais confus. Il se mît sur le dos et me dit:
- suce moi, t'en as trop envie.
Je me précipitai sur sa queue, je me mis à lui lécher le gland qui était bien humide puis excité j'enfournais sa queue dans ma bouche. Je le pompai avec la rage du novice. Sa queue était de plus en plus dure. Il me fit mettre sur le dos et me remit sa bite dans la bouche et se servit de ma bouche comme d'un sexe. Il me brutalisait et je me laissais faire. Il prit son temps de se vider les couilles qu'il avait bien pleine. Il me souffla de bien tout avaler. Je m'efforçaî de n'en perdre aucune gouttes.
Puis vidé de son jus il se retourna pour dormir. Il m'avait passablement excité et je crois que j'étais prêt à aller plus loin encore. Je ne me reconnaissait pas. Le sommeil eu du mal à venir. Le lendemain avec Valérie notre discussion pris un autre tour.
- ça va avec Robert, tu arrives à dormir dans le petit lit
- Oui pourquoi
- Vous devez être serré?
- Oh un peu mais ça va.
- Il prend pas toute la place?
- Si un peu mais ça me gêne pas.
- 2 hommes tout nu dans un petit lit!!!! Mmmm ca doit être chaud
- .....
- Je me trompe?
- Je comprends pas
- Je le connais Robert , il a tendance à s'étaler. N'est ce pas.
- Oui un peu
- Un peu beaucoup .
- Oui mais ça me gêne pas.
- Il se colle pas contre toi
- Si un peu
- Et ça te fait quoi?
- euh ....
- Tu peux me dire, ça restera entre nous.
- Oui
- Oui quoi
- Ca m'excite quand il se colle contre moi
- Et tu aimes qu'il se colle
- Oui j'aime bien
- Il t'as caressé ou tripoté
- Il aime me pincer les tétons
- Et tu aimes ?
- Oui j'aime bien et il me pince très fort
- Il ne fait que ca?
- Nonnnn
- Il te fait quoi
- Il me serre très fort et me serre la nuque
- Et tu te laisses faire
- Ouiiii
- T'es un petit vicieux
- Tu crois
- Oui un peu
- Mais j'ai aimé aussi quand il m'a mordu la langue
- Ah bon ca doit faire mal
- Oui mais ca excite beaucoup
- C'est tout ce que vous avez fait
- Non
- Il te fait sentir sa bite
- Oui
- Dis moi
Je devenais intarissable mais elle savait tellement bien me faire parler et surtout j'avais envie de me confier.
- je l'ai sucé, dis je brutalement. Mais elle ne paru pas choquée.
- T'as aimé?
- Ah oui j'adore le sucer, elle est tellement grosse.
- Plus grosse que la tienne?
- ..... Oui dis je timidement
- Il faut pas avoir honte, tu es comme tu es.
- Tu as avaler
- Ah oui tout, il a voulu.
- Tu lui refuses rien.
- Non
- Si ça te plaît profites en bien.Tu aimerais faire quoi maintenant avec Robert?
- Je sais pas tout ce qu'il veut
- Tu lui as dit
- J'ose pas
- Faut pas avoir peur
- Oui je sais mais j'ose pas, il faut que je soit poussé ou forcé.
- Tu es bien tombé avec lui
- Tu crois
- C'est sûre lui il te fera faire ce qu'il veut tu verras.
On arrêta notre discussion là dessus car il rentrait dans la maison.
En tout les cas j'étais heureux de pouvoir en parler avec quelqu'un.
La nuit suivante j'étais impatient de le retrouver. Il se colla contre moi, me serra très fort, plaqua sa bouche sur la mienne. Instinctivement je sortis ma langue.
Il comprit le message car il me mordu bien fort.
Il voulut alors que je me mette à plat ventre et il s'allongea sur moi, m'écrasant de tout son poids. Cela me fut difficile de m'endormir ce qui ne fut pas son cas. J'avais sa queue bien posé sur mes fesses dans mon sillon. Je fus réveillé dans la nuit car il était toujours sur moi et il bougeait. Je réalisais qu'il avait la queue à nouveau bien dure. Il me caressa la raie des fesses avec son gland, jusqu'à ma rondelle. Puis il se mît à pousser pour me perforer. J'étais très inquiet car jamais je n'avais été enculé. Tout était nouveau pour moi, il était en train de faire mon éducation. Et je me laissais faire.
Tout doucement son gland força mon petit trou.
- petite salope je vais t'enculer à sec, tu vas aimer. Dit il alors.
Je compris que j'allais y passer. C'est ce que j'attendais.
Ce fut très douloureux, j'avais beau serré les dents. Je n'en voyait pas la fin.
Il donnait des coups de queue pour avancer malgré l'étroitesse. Il avait de toute façon décider de me perforer. Et il était en train d'y arriver. Il se retira tout en me faisant autant mal. Puis se replanta. Il répéta l'opération je ne sais combien de fois. C'est alors que tout doucement la douleur fut remplacé par le plaisir.
- tu aimes te faire enculer?
- Ouiiii c'est bon continuez svp encore .
- Tu vas en avoir pour ton compte ma petite salope.
- Ouiii mmmmm
Il y avait beaucoup de violence dans sa façon de me baiser mais j'aimais trop ca. Je voulais lui appartenir totalement. Il le comprit .
- tu aimes ça te faire violer comme une bonne salope que tu es
- Oui svp
- Tu m'appartiens salope
- Ouiiiii
- Tu vas être mon esclave, conclu t il.
Il avait trop donné et son jus me gicla jusqu'au fond de mon fondement.
- je t'engrosse salope.
- Ouiiiiiii
Il resta allongé sur moi sa queue débandant quelque peu mais restait en partie dans mon cul. J'étais bien. Son poids m'écrasait. J'avais l'impression que l'on ne faisait plus qu'un. La violence de la baise nous avait épuisé et il se retira et se retourna pour dormir et se mît en chien de fusil. Je me tournai contre lui et me collai contre son dos, le ceinturant de mes bras. Il était en travers du lit et ma tête se trouvait au niveau de son bas du dos. Lui s'endormi enfin je crois, moi encore sous le choc de l'enculage je restai éveillé. Il bougea quelque peu et je me retrouvai au niveau de ses reins. Je plaquai mes lèvres contre lui. Sa main en arrière vint se poser sur ma nuque.
Il me tenait fermement et peu à peu il appuya pour qu'elle glisse plus bas. Très vite je me retrouvai a la naissance de sa raie du cul. Mes lèvres toujours plaqué je realisai ou je me trouvai. Il appuya encore et ma bouche était alors entre ses fesses.
Je l'entendais dire fermement:
- lèche moi le cul ma salope
Je ne me posai une fois de plus pas de question et je sortis ma langue. Je léchai de bas en haut. Peu à peu je me retrouvai au niveau de son trou du cul.
Je plaquai ma bouche sur sa rondelle. Je sentai son cul palpiter.
- lèche mon trou du cul
J'obéis et lui léchai méthodiquement la rondelle. Il lacha alors ma nuque et avec ses 2 mains écarta ses fesses.
- enfile ta langue salope.
Son trou s'ouvrait et la pointe de ma langue put pénétrer dans son trou du cul.
- allez suce moi bien le cul
Les lèvres plaquées sur la rondelle , la langue à moitié enfoncée dans son cul, j'aspirais pour bien le sucer.
J'étais en train de lui sucer le cul comme sa chienne que j'étais.
- c'est bien t'es une bonne chienne, on fera quelque chose de toi.
Je reçus cela comme un compliment même si c'était dit en plaisantant .
Le lendemain je fus impatient d'en parler avec Valérie. Tout de suite elle le comprit car elle me dit:
- ca s'est bien passé cette nuit
- Oui, oui
- Racontes moi, t'en brûle d'envie
- Il m'a tout fait
- Racontes moi je te dis
Je décris alors ce que Robert m'a fait et comment il m'a baisé.
- et alors c'était bon
- Ben au début ça fait mal, c'était la première fois
- Tu as pris du plaisir
- Ah oui c'était trop
- Tu veux recommencer
- Oui j'aimerais tant
- Avec lui
- Ah oui, il me veut
- En tout les cas tu as dû prendre ton pied car je t'ai entendu, tu couinai comme une femme
- Ah bon je ne m'en suis pas rendu compte
- C'est normal quand on se fait bien baiser on n'oublie tout n'est ce pas
- Ah oui
- Tu lui a fait des petites gateries pour le remercier de te faire jouir
- Oui
- Quoi
- Je euh j'ose pas dire
- Dis moi
- J'ai léché son cul
- Ça te plaisait
- Oui il m'a dit que j'étais une bonne chienne
- Ça te plaît de lui être soumis comme le sont les femmes quand elles ont un mec dans la peau
- Tu crois
- C'est sûre t'es sa femelle. Ça te plaît d'être ainsi
- Oui je crois que j'aime comme il me traite, il veut que je sois son esclave
- Tu es sur le bon chemin, dit elle mystérieusement
C'est vrai qu'il me traitait comme une femme. En rigolant je crois Valérie me dit qu'elle allait m'habiller comme tel!
Je ne dis pas non mais je n'osai pas dire oui.
En rentrant Robert me donna du " ma chérie " ! Je vis un sourire en coin de Valérie.
Alors que je les servai à table pour le repas du soir ils voulurent que je mette un petit tablier. Je n'osai refuser. Comme j'étais en short, cela devait être assez sexy. Ils me laissèrent ranger la table et faire la vaisselle qui s'était accumulée. Alors que je les rejoignait au salon, Robert voulut que je nettoie ses chaussures et les cirer ce qui me prit pas mal de temps les laissant seul. Visiblement ils voulaient parler sans ma présence. Quand je les rejoignis Robert me fit remarquer qu'il y avait un certain désordre et que le ménage laissait à désirer.
- tu ne te sens pas concerné
- Si si oui je le ferai
- Voit avec Valérie elle te dira comment faire ok
- Oui promis
- Allez vient te coucher, tu as du boulot demain
Je le rejoignis au lit. Visiblement il n'avait pas prévu de me baiser. Il se retourna et sa position était comme hier. Je me collai contre lui et plaquai ma bouche sur ses reins.
- t'en as envie allez lèche moi le cul chérie.
Je glissai et vint coller ma figure entre ses fesses et me mît à l'œuvre , jusqu'à ce que je m'endorme épuisé.
Le lendemain seul avec Valérie j'entrepris les tâches ménagères exigées par Robert. Valérie venait régulièrement vérifier ou j'en étais et si le travail était bien fait. Elle me confia que Robert était sur le point de trouver la maison qu'il cherchait. Ce fut un choc car je n'envisageais pas de les voir me quitter. Je m'écroulai en pleur. Valérie eu beaucoup de mal à me consoler. Mais elle me fit remarquer que je n'avais jamais proposé de rester.
- Il faut savoir ce que tu veux. Tu voulais lui demander de s'occuper de tes comptes et tu ne l'a pas fait. Il a le sentiment que tu ne tiens pas à nous.
- C'est complètement faux, répondis je complètement paniqué à cette idée.
- C'est à toi de voir
- Qu'est ce que je peux faire pour vous retenir.
- Proposes quelque chose de sérieux. Tu n'as plus beaucoup de temps.
- Je suis tellement heureux avec vous que tout le reste ne compte pas.
- Qu'est ce que t'appelle le reste?
- Ben autres que les sentiments, le matériel tout ca , les biens je m'en fout, ca n'a pas de valeur si on est pas avec les gens qu'on aime.
- Tu l'aimes vraiment Robert ?
- Ah oui totalement
- Même quand il te bouscule et te traite de salope.
- Oui c'est comme ça que je l'aime, il a tout les droits avec moi.
- Tu crois qu'il le sait
- Je sais pas.
Et je répartis en pleur me consacrer aux ménages. L'ambiance était plombée.
Quand Robert rentra il s'en rendit compte et demanda à Valérie la raison. J'étais dans la cuisine et je l'entendis tout expliquer. Il m'appela et me dit:
- allez chérie explique toi.
- Je ne veux pas que vous partiez
- Oui mais on n'est pas chez nous
- Si vous êtes chez vous, tout ce qui est à moi et à vous dis je emporté dans ma détresse.
- Écoute ça ce sont des mots
- Non pas uniquement, et puis je ne sais pas gérer tout ça, je voulais te demander de le faire...
- Oui mais tu ne l'as pas fait, et je ne suis pas juste un comptable j'espère.
- Non c'est pas ca que je voulais dire. Je t'aime et je veux que tu reste avec moi.
- Je t'ai déjà dit, c'est moi qui dit je veux, ok?
- Oui pardon, je t'en prie ne me quitte pas.
- Alors que propose tu?
- Je t'ai dit tout ce qui est à moi est à toi.
- Tu peux l'écrire ?
- Oui quand tu veux?
Il demanda à Valérie de sortir un bloc pour que je mette noir sur blanc ce que je venais de dire le plus détaillé possible avec les documents.
Je me précipitai dans le bureau pour sortir tout les actes que je possédais.
Il me dit tu feras cela demain avec Valérie calmement. Allons manger et sert nous à boire. Et il m'embrasse fougueusement sur la bouche sous le regard ironique de Valérie.

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