La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 695)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 695) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 695)
Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode précédent N°694) –

Olivier baissa la tête, la réponse était attendu, prenant une respiration, il constata que son sexe ramolli reprenait de la vigueur. Il avait la sensation que le sang affluait, la pression sur la cravate exercée par Monsieur le Marquis ainsi que Son regard Dominant et surtout Son discours produisant son effet. Ainsi sa verge prenait de l'épaisseur son sexe se déployait son corps avouait son désir, Monsieur le Marquis le constata et sourit, il avait trop l'habitude de ce genre de situation pour se douter de la réponse. Olivier ne put réprimer un tremblement, son sexe bandait tendu vers le désir de soumission et la réponse fut dite d'un souffle presque sans hésitation tant Olivier était obnubilé par la scène :

- Oui
- Oui qui ? espèce de chien !
- Oui Maî… Maître …
- C’est bien le chien, tu commences à comprendre, mais le stage te sera profitable.

Olivier baissa la tête face à la toute puissance du Maître des lieux qui commençait à produire une Emprise forte sur sa petite personne. Monsieur Le Marquis d’Evans lâcha la cravate et congédia Olivier.

- Tu peux t’en aller, espèce de chien, Walter va te mener à ton cachot. Moi je vais m’occuper de cette soumise de chienne… Il y a fort longtemps que je n’ai pas visité son cul …

Olivier osa demander s’il pouvait se rhabiller.

- Non, tu n'as donc pas compris que tu te dois d’offrir ton intimité, qui n’est plus tienne désormais car elle m’appartiendra totalement. Walter, n’en doute pas, saura te reluquer car il sait que tu seras Ma propriété absolue une fois que Ma marque te sera apposée. Il aura droit sur toi tu ne t’appartiendras plus, espèce de chien …

Olivier penaud quitta la pièce. Walter effectivement l’attendait :

- Ah, te voilà maintenant dans une tenue qui me montre que tu as accepté de répondre positivement à la proposition de Monsieur le Marquis d Evans. C’est un grand honneur qu’il te fait de daigner s’occuper de ta petite personne, espèce de vermine insignifiante ! Alors il faut que tu sois digne de cela. L’obéissance est le bon chemin car elle t’apportera beaucoup. Mais pour l’instant, suit moi …

Olivier nu, docile, n’avait plus le choix et sa première nuit au Château allait commencer. Ce qu’il ne savait pas, c’est qu’elle serait la plus inconfortable. Walter l’installa dans un cachot. Walter lui indiqua

- Tu trouveras sur la petite table, le programme de la journée de demain. Ton petit déjeuner, tu le prendras dans cette gamelle, à même le sol et à quatre pattes et ensuite tu iras subir toute la mâtinée des examens. Monsieur le Marquis te recevra dans l’après-midi si les tests du matin sont positifs.

Walter laissa Olivier seul. Dans ce cachot, le sommeil serait long à trouver sur ce vieux matelas posé directement à terre et avec la seule couverture qu’il disposait. Il se demandait ce que Monsieur le Marquis Evans faisait avec Émilie ? Aux dires du Noble, elle devait se faire sodomiser… Lui-même avait bu Ses divines paroles, son moi avait été comblé et le Marquis Evans savait ce dont il avait besoin. Être soumis à une Autorité, pas dans un cadre professionnel mais plutôt plus personnel, c’était son intimité la plus profonde qu’il voulait offrir au Maître. Et cela allait se produire demain alors une sensation de renaître face à son Seigneur et Maître lui irradiait l’esprit. C’est cela que souhaitait offrir Olivier. Demain serait un autre jour … Olivier passa une nuit agitée dans l’inconfort de la couche et le fait de se trouver dans un cachot humide. Mais aussi à la pensée de se trouver face à Monsieur le Marquis d’Evans dans l’après-midi si les tests étaient concluants. Mais il ne pouvait reculer car il savait pourquoi il était là et le souhaitait le plus au monde : Etre aux pieds du Maître. Et c’est vers 8 heures, qu’il fut réveillé par Marie la cuisinière sans ménagement en lui donnant des coups de cravache sur son fessier. Elle lui apporta un grand bol d’une pitance riche en protéines et vitamines qu’il dut avaler tel un chien à quatre pattes… Après être passé à la douche en étant lavé à grands coups de jets d’eau par Walter, le programme Stage 1 allait commencer Marie l’emmena pour cela en lui précisant :

- Tu vas me suivre et bien évidemment, tu vas rester nu

La première partie du programme consiste en un rasage des poils qui recouvrent tes parties intimes. Monsieur le Marquis exige que la nudité soit totale de plus cela est plus confortable pour les officiants du Château. C’est ainsi que la première étape allait commencer. Olivier fut amené dans une pièce toute carrelée et dédiée à cet effet. Une table d’examen gynécologique y trônait et à côté s’y trouvait une table roulante où il put voir les différents instruments servant à obtenir une épilation parfaite. Olivier comprit qu’il devait s’installer. Et à sa grande surprise, c’est Émilie qui rentra dans la pièce. Elle était nue avec un collier de cuir noir au cou. Marie la cuisinière s’exclama :

- Cette chienne a déjà été épilée, elle sait maintenant ce qu’elle doit faire. Je reste là pour constater le résultat. Tu vois le martinet, eh bien si tu bandes, tu recevras un coup car tu dois apprendre à obéir. Même que pour ça, le stage 1 prévoit que tu puisses bander uniquement sur ordre …

Olivier fut sanglé sur la table solidement par Marie la cuisinière. Les cuisses écartées, il laissait à Émilie la possibilité de travailler à rendre glabre son sexe. A la vue de la soumise, de sa nudité complète et de sa beauté plastique, de ses seins, Olivier ne put réprimer ce mouvement naturel et son sexe se gorgeai de sang, il allait bander. Voyant cela, la cuisinière le cingla d’un coup de martinet sur son ventre

- Arrête, ne bande pas ta petite nouille ridicule

Le coup porta Olivier débanda instantanément. Émilie commença à appliquer une mousse à raser. Marie la cuisinière dit alors.

- Non, rase le à sec. Émilie s’exécuta et c’est avec un simple rasoir qu’elle commença. Le rasage débuta par le pubis. Olivier vit que les poils qui jusqu’à présent le protégeait un peu des regards disparaissaient. Émile porta ses doigts à sa verge pour la déplacer … Le contact des doigts sur le sexe du soumis provoqua de nouveau un début d'érection, un deuxième coup de martinet s'abattit alors.

- Espèce de chien, tu n'as pas compris, tu ne dois pas bander, maintenant si cela continue, ce n’est pas un coup que tu vas recevoir mais deux...

Olivier s'obligea à penser à autre chose mais le supplice de se savoir entre les mains d'une si jolie femme au corps superbe et ne pas pouvoir montrer son désir était intense. Quand à Emilie, elle continuait son ouvrage, elle avait dépoilé le pubis et attaquait les bourses et l'entrejambe, dans quelques minutes, c'est un sexe entièrement lisse exempt de tous poils qu'allait présenter Olivier. Marie La cuisinière rigolait :

- Tu vois, c'est mieux maintenant, tu commences à comprendre, ton sexe ne t'appartient plus, c'est nous qui allons te contrôler. D'ailleurs, sache que pour finir ce travail, Emilie va encager ton petit oiseau, tu sais ce que cela veut dire ?

Olivier craignait de comprendre et quand la vision d'un objet, en plastique en forme de verge, posé sur la table d'auscultation, il comprit encore plus les propos de la matrone. On allait lui mettre une cage de chasteté et ainsi son sexe serait emprisonné. Emilie terminait son travail toujours sans un mot, satisfaite elle fit rouler les bourses d'Olivier, son sexe automatiquement enfla, et Marie en ricanant abattit le martinet, un coup sur la poitrine et un autre coup sur le bas ventre. Marie la cuisinière exigea à Emilie de mettre en place la cage. Olivier honteux compris que dans un instant tout mouvement de sa verge allait être douloureux, il devait penser à autre chose pour ne pas bander et faciliter la pose de la cage de chasteté. Ce ne fut pas évident et après multiples efforts pour penser à sa vie vanille, sa verge devint molle et enfin elle fut emprisonnée, encagée. Olivier était prêt à passer le deuxième examen. La cuisinière lui délia ses liens :

- Bon, maintenant tu peux te lever, regarde toi dans la glace, tu vois, ce n’est pas compliqué d'obéir, tu ne trouves pas mieux maintenant ainsi équipé.

Olivier se regarda nu, sexe encagé, on commençait à le projeter vers sa future existence. Marie la cuisinière exigea de venir dans la deuxième pièce entièrement carrelée de carreaux en damier noir et blanc :

- Bien maintenant que tu as bien mémorisé dans ton esprit et grâce à cette glace qui te renvoie la vision de ta nouille encagée, Nous allons tester la capacité de ton anus à accepter l'intromission de gode, nous devons te préparer à la cérémonie d'appartenance… Mais pour ça, je vais te retirer cette cage. Pour l’instant, elle t’a été posée juste pour que te tu vois encagé et que tu gardes en toi profondément dans ta mémoire ton image où tu es nu, sexe rasé et encagé. Mais ne t’inquiète pas je t’encagerai de nouveau après ce deuxième test ! …

Monsieur le Marquis d'Evans avait une belle collection de godemichet. Le stage 1 permettait aussi de vérifier les capacités de dilatation anale des soumises et soumis, ainsi un programme était établi suivant les préconisations de Monsieur le Marquis. Olivier allait être ausculté pour vérifier si son anus avait des prédispositions physiques à la sodomie autant que mentales, car la décontraction des muscles anaux, pour faciliter la pénétration, était bien évidemment commandée par le cerveau pour éviter tout blocage. Un (e) soumis (se) prédestiné (e) et préparé (e) mentalement, était donc beaucoup plus ouvert, plus offert au sodomite. Le test consistait à voir si lors d'un godage, le soumis avait une attitude penchant à cette ouverture anale appelée ‘’attitude active’’ qui se démontrait, entre autres, par les mouvements de bassins volontaires encourageant la pénétration, par exemple. Ainsi Monsieur le Marquis pouvait cataloguer les capacités de chaque soumise et soumis en devenir en évaluant leur potentiel à la sodomie. Olivier allait donc subir ce test, il allait être godé.

A même le carrelage sur le sol, un épais et haut gode ventouse était fixé à la verticale et enduit de vaseline. Marie la cuisinière exigea d’Olivier qu’il se positionne accroupi juste au-dessus. Celui-ci commença donc à se positionner dessus comme exigé. Sur ordre de la matrone, il devait plier les genoux afin de s’empaler. Et centimètre après centimètre, son cul avala le sexe en plastique énorme dans ses entrailles, Olivier se cambrait pour mieux le recevoir en ouvrant largement ses muscles anaux et commençait à réveiller ses pulsions de soumission avec un aller-retour doucement puis deux, puis d’autres, etc… Au bout de quelques minutes, le rythme se faisait de plus en plus rapide, il accélérait, le soumis se baisait seul dans cette grande pièce carrelée. Olivier en avait oublié le contexte de l’interdiction de bander car en quelques minutes, le plaisir trop fort monta en lui. Mais Marie, perversement, n’intervint pas et le laissait en érection comme pour mieux le punir en cas d’éjaculation (la perversité de Marie était de lui avoir volontairement enlevé la cage afin de voir le comportement de la nouille d’Olivier face à l’intromission d’un gode). Celui-ci se prenait profondément montant au sommet de ce magnifique sexe droit et se laissant tomber de toutes ses forces pour se faire prendre jusqu’au bout, Olivier grognait de plaisir, en effet, le plaisir montait par vague au creux de ses entrailles, le soumis agissait telle une belle petite lope à utiliser. Cette idée l’excitait encore plus autant qu’elle l’humiliait. Olivier se défonçait lui-même, le plaisir montait encore toujours plus fort, ses entrailles était en feu lorsque subitement, il éjacula sans se branler en criant bruyamment son plaisir et il continua encore et encore à s’empaler, son sexe était flasque après cet orgasme involontaire et le mouvement de ce sexe mou au rythme de ses allers et retours était ridicule, mais il continuait à se prendre, il avait la preuve qu’il ne s’appartenait plus, il se baisait juste parce qu’il en avait reçu l’ordre. Il réalisa qu’il avait joui et pourtant il ne pouvait pas s’arrêter de maltraiter son fondement. Son anus chauffait, et il continuait sans faiblir, son sexe reprenait de la vigueur, il voyait les petites taches de plaisir, de spermes laissés quelques minutes auparavant devant lui sur le carrelage froid… Quand une voix résonna autoritaire, forte et sans appel :

- Stop, espèce de chien, qui t’a autorisé à bander et à gicler ton foutre ? Tu ne perds rien pour attendre et donc tu seras puni pour ça. Le seul point positif pour toi, c’est que je constate que tu es prédisposé à la sodomie, c’est une évidence à voir comment tu t’es empalé et comment tu en as tiré du plaisir. Alors maintenant à quatre pattes et lèche ton foutre de chien et tu n’en laisses aucunes gouttes … Tu as eu l’affront de souiller ce beau carrelage, alors nettoie le avec ta langue …

Olivier se mit sans tarder à quatre pattes et commença à lécher son propre sperme gisant sur le carrelage tel un chien renifleur, le visage à ras le sol, il tirait sa langue pour lécher et avaler… Le test au potentiel à la sodomie était donc concluant et Olivier allait, en début d'après-midi, se trouver face Monsieur le Marquis d'Evans. On lui rappela ses obligations impératives devant le Noble soit baisser la tête, ne pas parler sans y être invité, répondre positivement à toutes les exigences de Monsieur le marquis d'Evans. Olivier était un chien, Monsieur le Marquis d'Evans était son Maître. La rencontre était prévue dans deux heures, avec un Olivier nu et de nouveau encagé…

(À suivre…)

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