L’ORGASME. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : L’ORGASME. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L’ORGASME. (1/1)
Je suis jolie fille du haut de mes dix-neuf ans, quand Serge mon copain a réussi à ce que nous nous isolions dans la chambre de ses parents pendant la sauterie qu’il organisait.
Être vierge jusqu’à cet âge paraissait incongru à mes copines quand nous parlions de nos mecs au lycée.
La plupart d’entre elles l’avaient fait deux à trois ans plus tôt.
Nous étions six copines et je fermais la marche les autres racontant presque journellement les orgasmes qui les dévastaient la soirée ou la nuit précédente.
Et puis ce soir-là Serge a eu l’honneur de pouvoir dire un jour à ces copains les soirs de beuverie que Jenifer c’est moi qui lui ai fait atteindre le premier le nirvana.
J’avais déjà eu des copains qui m’avaient couché sur un lit mais chaque fois tout avaient foiré.
J’ai même eu le cas de l’un d’eux qui au moment de bander c’est endormi alors que je commençais à le sucer.
Ce sont ses ronflements qui m’ont fait comprendre la situation alors que je cherchais désespérément à ce que sa queue prenne du volume pour pouvoir éclater mon hymen.

Serge lui a fait rouler mon string au bas de mes jambes et prestement la glisser dans la poche de son pantalon.
J’ai appris plus tard qu’il était fétichiste et qu’elle allait compléter la collection qu’il avait de tous les morceaux de tissu qu’il nous avait chipé.
Avec lui pas de fioriture droit au but et rapidement je me suis trouvé avec sa queue au fond de mon vagin sans qu’il prenne la peine de me brouter pour me faire lubrifier.
Un aller trois retours et il remplissait sa capote m’enlevant ma membrane mais oubliant de m’apporter le grand frisson que les autres copines avaient toute ressentie.
Le lendemain au bahut c’est dans les toilettes des filles que nous avons recommencées et une nouvelle fois, il a joui oubliant qu’il avait une partenaire qui attendait le grand plaisir.
Il a été presque trois mois mon amant sans jamais me donner l’ombre d’un frisson, vite entré et vite sortie ayant déchargé.
J’en ai eu rapidement mare de dire à mes copines.

• C’était bon, j’en mouille encore.

Ou encore.

• Avec lui je prends mon pied à chaque fois que sa bite me défonce.

Mon pied je l’ai pris pour lui mettre aux fesses le jour où je l’ai surpris dans une autre soirée à sauter une blonde siliconée d’une trentaine d’années profitant de ce que son mari était parti à l’étranger.
J’étais donc dépucelé mais sans jamais avoir ressenti le moindre orgasme.

Et puis après une période d’abstinence ou mes copines recommençait à m’emmerder pour savoir qui étaient le suivant j’ai été pendant six mois dans l’incapacité de leur dire qu’Adrien le père de Josette, l’une des six amies me faisait faire des cinq-à-sept dans un studio que l’un de ses amis lui prêtait avant de rentrer de son travail.
Avec lui j’ai appris à faire l’amour mais surtout le kama soûtra car nous baisions dans toutes les positions possibles que son cerveau malade lui faisait inventer.
Il me limait un temps infini et je restais toujours sur ma faim alors pour le satisfaire je suis devenu la reine des oh ! ah ! j’en passe et des meilleurs.
Chaque fois quand il déchargeait j’avais droit à la même petite musique.

•Qu’est-ce que cela te fait d’avoir un étalon comme amant ?

Ce que cela me faisait, « rien », tout juste quelques fois un léger frisonnement me faisait penser que le grand jour était enfin là mais je déchantais vite.
On s’est quitté le jour ou Josette m’a dit que sa mère avait des doutes sur la fidélité de son père et qu’elle l’avait entendu demander à une copine de le suivre à la sortie de son travail pour voir ou il allait.
Il s’est fait prendre un jour avec la suivante et Josette m’a dit que ses parents divorçaient.

Plus mes amis parlaient de leur mec qui chaque fois les faisait jouir et plus je devenais muette sur les soi-disant amants que je m’inventais.
Un jour j’ai eu l’idée saugrenue de penser que j’étais peut-être lesbienne et que seule une femme pouvant arriver à satisfaire mon corps.
C’est Véronique l’une des six copines qui un jour m’a demandé que je vienne l’aider à comprendre un devoir de math qui si est attelée.
Nous étions devant nos cahiers et je me suis permis de lui mettre la main sur la cuisse.
Il faut dire que depuis plusieurs jours elle me faisait son regard de velours et qu’elle l’a accepté la prenant même pour la faire remonter jusqu’à sa chatte entièrement épilée que je venais de trouver sans aucune petite culotte.
Elle m’a pris la bouche et nous nous sommes rapidement trouvé nue sur son lit de jeunes filles manquant plusieurs fois de nous retrouver dans la rigole.
Quand je lui demandais si elle mentait quand elle parlait de ses nombreux amants elle m’a avoué.

• Non, Jenifer, j’ai dit la vérité mais je suis bi et j’ai eu de nombreuses liaisons féminines.

Comme souvent avec les femmes entre elles, nous aimions nous mettre dans la position du 69 et les nombreux mois que notre liaison a duré, j’ai eu le plaisir de récolter sur ma langue ou sur mes doigts les nombreux orgasmes que je lui faisais prendre me contentant de mes mots oh et ah ! allant même jusqu’au ah ! ah !

C’est à cette époque que nous avons passé le bac que j’ai eu avec mention « très bien » que notre groupe a éclaté.
Véronique est partie pour une école d’infirmières et moi vers un BTS de comptabilité.
Un soir elle m’a demandé si je jouissais quand nous faisions l’amour ou si je feignais.
C’est en pleurs que je lui avouais que depuis que j’avais perdu mon pucelage jamais je n’avais joui.

• Tu en as peut-être besoin d’énorme qui te remplisse le vagin ?
Viens, on va chercher sur Internet.

C’est comme cela que le lendemain soir Nicolas rencontrait Pimprenelle ignorant qu’il fallait écrire ce prénom au pluriel.
Il était beau, il était grand et il était entièrement noir.
Véronique a eu la délicatesse de taire mon infirmité et elle a orienté nos jeux de manière que ce soit moi la première qui se fasse enfiler par cette véritable bat de base-ball qu’il me présentait.
Sa verge était semblable à celle que nous avions vue à l’écran et qu’il exhibait fièrement.
Je l’ai sucé, plutôt lécher car dans l’impossibilité de la mettre dans ma bouche avant de m’empaler sur ce bâton qui a explosé ma chatte sans pour autant mettre le feu en moi.
Il a fini par me remplir la bouche de longs jets pour s’en avoir débandés puis pénétrer mon amie, la faire jouir et finir par lui apporter l’orgasme que je cherchais désespérément.
Nous avons vécu chez Véronique ses parents étant partis pour deux ans avec un voilier faire le tour du monde.
Ils étaient restés toute leur vie des enfants de mai 68, et des bobos gentilles qui avaient enfin réussi à vivre leur rêve de jeunesse.

C’est ainsi que j’ai réussi mon BTS et que je viens de trouver un emploi dans Paris dans une jeune société d’informatique qui développe des jeux vidéo.
Les locaux sont occupés par 25 personnes et avec la possibilité d’en recevoir le double.
Ce travail est un coup de chance car Pimprenelle vient de convoler en justes noces avec Nicolas qui est son vrai prénom.
J’ai été le témoin de la mariée mais avec pour conséquence le besoin de trouver un logement car leurs parents auraient vu d’un mauvais œil que notre ménage à trois continu.

Aujourd’hui je viens de faire ma première journée de travail et pour m’accueillir Léa la secrétaire du patron absent jusqu’à ce jour étant parti aux États-Unis à organiser un pot de bienvenue.
J’ai une coupe de champagne à la main et je trinque avec chacun me disant leur plaisir de me connaître.
Je discute avec la secrétaire du patron que je suis en quête d’un logement quand j’entends quelqu’un me parler.

• Bonjour mademoiselle enchantée de vous compter parmi nous, le contrat que je ramène des U.S va booster notre travail et j’avais bien besoin qu’une comptable s’occupe de toutes les obligations légales.

Je me retourne et un court instant j’ai l’impression d’entendre des voix.

• Jenifer je vous présente monsieur Benoit notre patron.

Monsieur Benoit est bien à mon côté et est un nain, pardon un homme de petite taille.

• Bienvenue.

Nous trinquons et pour la première fois je baisse ma coupe pour tinquer avec la sienne.
Tout le restant du vin d’honneur il me colle au basque mais j’ai tellement besoin de ce travail que je me tais jusqu’au moment où j’émets l’idée de rentrer car j’ai du chemin pour retourner chez mes amis.

• Je vous accompagne, l’heure avance et les rues de Paris sont quelquefois dangereuses, Léa je vous laisse fermer à demain.

Vingt heures dans Paris c’est certain je vais me faire violer c’est sûr !
Nous prenons l’ascenseur mal à l’aise car dans l’impossibilité de trouver des mots.
Arrivé dans la rue le métro est à cinq cents mètres environ des bureaux.
Benoit est à mon côté et quand je tourne la tête j’aperçois juste le haut de son crâne.
Pour mon travail j’ai mis un tailleur et je suis perché sur des chaussures avec des talons plus haut qu’à mon habitude.
Une plaque de métro me fait perdre l’équilibre et le bras de Benoit me rattrape mais vue sa taille s’est sur mes fesses qu’il se pose.
Une fraction de seconde j’ai l’impression qu’un bâton rougi vient de me toucher et quand nous continuons notre chemin je garde ce bras et cette main sur mon fessier.
Extraordinaire, au fure et à mesure que nous nous rapprochons de l’entrée du métro je sens que je mouille.
Cette sensation est la première que je la ressens venant de mon sexe.

• Jenifer, j’habite ici, venez boire un dernier verre.

Nous sommes devant un immeuble neuf en pierre de taille et sans pouvoir comprendre ce qui m’arrive je me retrouve dans un ascenseur qui nous propulse au 7e ciel.
Je suis folle, 7e et dernier étage.

• Entre.

Avant que j’aie eu le temps de réaliser ce que nous faisons il me fait asseoir sur un transat recouvert de coussin moelleux sur la terrasse qui surplombe Paris.
Il me quitte et revient avec deux coupes et une bouteille de champagne dont il fait sauter le bouchon m’arrosant copieusement.

• Excuse-moi je suis maladroit, tu me troubles.

Il s’assied à mes côtés et avec la serviette qu’il a apportée avec la bouteille essaye d’enlever le plus de liquide possible.
Dans cette manœuvre il me touche le sein et mon corps s’enflamme de nouveau Nos bouches se trouvent car contrairement au moment où nous sommes debout son buste est relativement de la même hauteur que le mien.
Je brûle de partout surtout ma chatte qui semble être dégoulinante de cyprine, je lui ôte ses affaires et surtout son pantalon alors qu’il en fait de même avec mes vêtements.
Au passage mon chemisier est arraché comme ma petite culotte et nous roulons sur la pelouse qui constitue le sol de sa terrasse.
Tout naturellement j’ouvre mes cuisses et il me pénètre.
Je les referme sur son dos car là, là , là.
Orgasme quand tu me rattrapes après t’avoir couru après désespérément.
Toute la nuit il me prend m’apportant chaque fois un énorme, non un magnifique orgasme et quand dans la quiétude de la fin de nuit au soleil levant sur la tour Effel que je vois devant moi nous restons blottis dans les bras l’un de l’autre je sais qu’enfin j’ai trouvé l’homme de ma vie.

• Allo Léa, je viens de recevoir un coup de téléphone de Jenifer, elle est souffrante et sera là demain.
Pendant que je vous ai annulé tous mes rendez-vous, je serais là aussi demain, bonne journée.

C’est comme cela que toute la boîte a appris que le patron avait une maîtresse, non une femme car il m’a épousé huit mois plus tard à la veille de la naissance de Léon bientôt suivi de Juliette tous les deux de taille normale et de Roméo que nous regardons à l’écographie que nous montre la gynéco et qui est un tout petit bébé.
Aucun problème pour chercher un logement, nous vivons tous à la hauteur des toits de Paris et la gouvernante qui s’occupe des enfants me permet de voyager avec mon mari aux quatre coins du monde où l’on s’occupe de technologie nouvelle sauf en ce moment bien sûr, l’avion m’étant proscrit.
Sexuellement je suis comblé d’ailleurs mes enfants sont là pour le prouver mais je me garde bien d’être une simple femme pour mon mari mais une maîtresse attentionnée prête à jouir et à avoir des orgasmes chaque fois qu’il me touche et que sa queue pénètre en moi…

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