Mon beau facteur.

- Par l'auteur HDS Pasal -
Récit érotique écrit par Pasal [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mon beau facteur. Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Mon beau facteur.
Six mois, il m’a fallu six mois pour arriver à mes fins ! Je suis un peu timide et pas super doué en matière de drague mais là, j’ai dû me faire violence. Ce mec, je le voulais et je l’ai eu !

Tout a commencé un samedi matin en décembre 2015, vers 9h15, on sonne à la porte. Moi, j’étais dans mon pieu, réveillé avec une gaule matinale, j’avais la main droite dans mon caleçon en train de m’astiquer le manche. J’ai entendu la sonnerie mais je n’ai pas bougé, j’ai continué à m’occuper de ma bite. Ça sonne à nouveau ! Bon, je me lève, c’est peut-être important, j’enfile un peignoir attrapé à la hâte, j’ai encore une sacrée érection, il faut que je me calme. J’arrive à la porte :
« Oui, qu’est-ce que c’est ? ».
« Bonjour monsieur, désolé de vous déranger, c’est le facteur, j’ai un recommandé avec accusé de réception».
« Ah oui, j’ouvre ! »
Je déverrouille la porte, ma trique n’a pas l’air de vouloir passer, je noue la ceinture du peignoir en passant ma bite dessous pour bien la plaquer sur mon ventre et j’ouvre.
Là, le choc ! Un mec d’une beauté renversante se tient devant moi, je n’avais jamais vu ça ! Alors là, ma trique reprend instantanément de la vigueur, j’ai dû marquer un temps d’arrêt, j’imagine le loup de Tex Avery avec les yeux qui sortent de la tête et la langue qui de déroule jusqu’à terre.
« Bonjour monsieur, voilà le plis, j’ai besoin d’une signature. »
« Oui, bien sûr, entrez, je suis pas habillé ».
Il entre, je signe. Il va partir, je ne veux pas, il faut que je trouve un moyen pour le retenir mais là, je n’ai pas vraiment d’idée… Ah si, j’en ai une :
« Tant que vous êtes là, avez-vous encore des calendriers ? »
Il a l’air un peu surpris, un jeune qui lui demande un calendrier ça ne doit pas être très fréquent ! En effet, j’en ai rien à faire mais je n’ai rien trouvé de mieux pour le retenir !
« Euh, oui, il doit m’en rester quelques-uns, je vais vous les chercher dans la voiture. »
« Super ! »
Je le regarde s’en aller, une petite trentaine, 1m 80 au moins, mince, les cheveux châtains, frisés, il a les yeux verts, des traits du visage assez fins, un sourire à rendre fou. Il porte un blouson de la Poste, un pull noir à col roulé, un jeans noir coupe droite qui moule bien son joli petit cul, il a les jambes très légèrement arquées. Je le trouve super excitant.
Il revient en souriant, j’en peux plus, je vais lui sauter dessus ! Je baisse les yeux, je vois une grosse bosse sous sa braguette. Je pense que je bave, une partie de mon cerveau me demande de m’agenouiller pour lui ouvrir la braguette et avaler ce qu’il y a dessous mais l’autre partie me dit de me retenir ! C’est cette dernière qui l’emporte, la barbe !!!
Il me montre les calendriers, tous plus moches les uns que les autres mais je m’en fous, je les regarde tous. Il est debout à côté de moi, ma main, qui feuillette les calendriers est à 25cm de son paquet. J’ai envie de le toucher, je bande comme un âne. Il entame la conversation :
« Ça fait peu de temps que vous êtes dans cet appartement ? »
« J’ai emménagé il y a 15 jours, j’ai trouvé du boulot au bout de la rue, à la médiathèque, j’y vais à pieds, c’est cool ».
« Carrément ! Je connais bien cet appart, j’y ai vécu il y a quelques années avec ma copine de l’époque. »
Oh merde, un hétéro ! Et là, je pense qu’il a dû baiser sa copine partout, j’imagine son chibre raide, droit, luisant de mouille qui gicle des litres de jus dans tout l’appart, mon érection repars de plus belle.
« Ah ouais ! C’est marrant ça. Il est bien cet appart, très fonctionnel et lumineux. Pourquoi avez-vous déménagé ? »
« Ah, on s’est séparés, c’était compliqué ».
« Désolé, je suis trop curieux. Je vous fais un café pendant que je choisis ? »
« Si vous voulez, c’est gentil. »
Il est resté un petit quart d’heure, il s’appelle Damien et adore le footing. Je lui ai dit que moi aussi. En fait, j’ai horreur de ça ! Le mot courir me fatigue, je n’ai aucun souffle, aucune endurance, je déteste transpirer et je frôle la crise cardiaque au bout de trente mètres !
Et là, il me dit :
« Si vous voulez, on peut aller courir ensemble ».
« Ah ouais, super ! En plus, je ne connais pas grand monde, c’est cool. »
On s’échange nos 06 et il repart !
Je n’ai pas pu attendre, sitôt la porte refermée, je me suis fini en quelques secondes, je me suis inondé le vent et le torse.
Ça c’était le plus agréable ! Dans l’immédiat, il fallait que j’achète des baskets de course et que je m’entraîne un peu pour ne pas passer pour le gros nase et le boulet de base.
A partir de ce jour, j’ai couru tous les jours et par tous les temps, j’ai cru crever à chaque fois, mes poumons m’ont brûlé comme jamais, j’ai sué sang et eau, j’ai eu des courbatures et des ampoules aux pieds qui m’empêchaient presque de marcher mais j’ai tenu bon et j’ai senti les progrès. Je pouvais désormais courir 45 minutes. Bon, pour les coureurs qui lisent, ça doit vous faire marrer mais je partais de tellement loin, c‘est miraculeux ! Qu’est-ce que je ne ferais pas pour un beau mec !
Parallèlement, j’ai effectué tous mes cadeaux de noël par internet et en décalé bien sûr pour qu’il m’amène, chaque jour un colis. On discutait un peu à chaque fois, dès qu’il sonnait mon rythme cardiaque s’accélérait et je me mettais à bander. J’imaginais la tenue qu’il avait, j’ai remarqué qu’il avait plusieurs jeans différents, tous à peu-près coupés pareils mais de couleurs différentes. Tous mettent son cul et son paquet bien en valeur. A chaque fois, je me branlais comme un fou dès son départ. A 26 ans, je me comportais à nouveau comme un adolescent qui fantasme tout seul dans sa chambre et qui se branle à la moindre occasion.
Après les fêtes de fin d’année, il m’a rapporté un énième colis, il est parti, je me suis branlé et là, ça sonne à nouveau, je range tant bien que mal le matos, je me mets de la mouille sur la main, j’ouvre quand même la porte, c’est lui qui est revenu, il me dit :
« Ça te dis un petit footing ce soir ? »
« Ouais, pas de problème ! »
On finalise l’affaire, il me tend la main, je la lui sers et lui dépose un peu de mouille dessus, ça m’excite encore plus ! Je me suis fini en le regardant partir par la fenêtre caché derrière les rideaux.
A partir de ce jour, on a pris l’habitude de courir deux ou trois fois par semaine. Pour moi, tout était dur ! Je devais gérer l’effort, mon souffle, le voir en short me donnait envie de bander, du coup, pour me maîtriser un peu plus, je me branlais avant la course mais, du coup, j’étais vidé et amorphe ! Le top est que j’ai perdu 5 Kg !

Au début, sa copine est venue courir avec nous. D’un côté ça m’arrangeait car, étant elle-même débutante, on allait doucement. Une fille sympa, canon mais bon, sa présence m’embêtait ! Les pires séances étaient quand son collègue Martin venait. Un marathonien inépuisable, là, j’en bavais. Enfin, quelque fois, nous étions tous les deux, j’adorais ! On discutait de tout et de rien puis un jour, il me dit :
« Mais, dis donc Pascal, t’es seul ? Un beau mec comme toi, t’as pas encore trouvé de copine ? »
« Ah, tu me trouves beau ? »
« Oh, oui, quand même ! »
J’ai 26 ans, 1m 71, 62 Kg depuis peu ! Les cheveux bruns et en bataille, les yeux marron. Un torse qui aurait tendance à être un peu poilu mais que je rase ainsi que mes couilles et ma raie. Tous les mecs avec qui j’ai baisé ont préféré caresser une peau bien lisse. Je porte une petite barbe de trois jours. Moi, je me trouve plutôt dans la moyenne, du coup, j’ai répondu :
« Merci, c’est gentil. Pour ce qui est de ma vie amoureuse, j’ai plus souvent le rôle de la copine ! »
Il m’a regardé d’un air surpris mais pas hostile :
« Ah ouais, t’aime les mecs ? »
« Ben oui ! J’espère que ça ne te pose aucun problème ? »
« Je m’en fous. »
On a repris la course, on a plus reparlé de ça ! Moi, j’avais tellement envie de lui que j’attendais mon moment !
A partir du mois de mars, on courait seuls le plus souvent, je le sentais énervé, préoccupé. Il a fini par m’avouer qu’avec sa copine les choses tournaient mal J’ai failli lui sauter au cou pour l’embrasser ! J’ai quand même compati. Qu’est-ce qu’on peut être faux-cul quand on veut baiser ! A partir de ce jour, quand je le voyais, je me disais : Il n’a pas dû baiser depuis un moment, il doit avoir les couilles bien pleines ! C’est con de se mettre des idées comme ça en tête !
Cette nouvelle m’a redonné espoir. Du coup, j’avais rencontré quelques mecs qui m’avaient bien baisé. J’ai décidé de tous les larguer pour me concentrer sur le cas Damien, une virginité retrouvée !

Au mois de mai, un lundi matin, il sonne, j’ouvre en caleçon et torse nu. Il me tend mon courrier, il a un visage défait. Je lui demande ce qu’il a, les larmes lui montent aux yeux et me dit :
« Ça y est, on s’est séparés ce week-end. Je morfle ! Je crèche chez un pote depuis samedi mais je ne vais pas pouvoir y rester, c’est la galère. »
Je l’ai convaincu de venir chez moi, l’occasion était trop bonne ! Il est arrivé le soir même avec ses affaires. J’avais lentement poussé mes pions, j’étais en train de le ferrer, il fallait maintenant que je l’attire dans mon lit et entre mes cuisses.
Une semaine est passée, je l’ai laissé prendre ses marques, moi je n’en pouvais plus de cette cohabitation sans sexe. Il se lavait la bite dans ma douche, il lavait ses boxers, ses shorts et ses jeans moulants dans mon lave-linge, il se grattait les couilles et se branlait peut-être dans les draps que je lui avais prêtés. Non, ça ne pouvait pas durer comme ça ! J’ai tenté le tout pour le tout un mardi soir. On avait discuté toute la soirée sur le canapé. On est partis se coucher, un quart d’heure après, je me suis relevé, j’ai ouvert la porte de sa chambre, il feuilletait un magazine, a levé la tête et, l’air surpris, il m’a dit :
« Qu’est-ce que tu veux ? »
« Ta bite ! »
Là, je me suis approché du lit, j’ai soulevé la couette, il était nu et bandait ! J’ai avalé son chibre avant qu’il réagisse, je me suis mis à lui caresser la poitrine, il s’est rallongé, le magazine est tombé par terre et il a poussé un très long soupir de plaisir. Enfin, il était à moi mon beau facteur !
Sa bite était aussi bonne que dans mes rêves, au moins 20 cm par 5, un gland dur, rouge de désir, bouillant, de la mouille sortait du méat, ma langue s’enroulait autour, je salivais un maximum, il gémissait de plus en plus, ses mains se sont posées sur ma tête et m’ont caressé les cheveux. J’ai léché la hampe puis je l’ai avalée, j’ai planté mon nez dans ses poils pubiens et j’ai inspiré fort pour m’imprégner de son odeur de mâle. J’étais comme shooté ! Ça m’a donné de la vigueur, j’ai accéléré le mouvement. Il se laissait faire, complètement abandonné, à ma merci, sa queue coulissait dans ma bouche et s’enfonçait parfois dans ma gorge. Je l’ai sucé comme un affamé pendant de longues minutes. J’ai soudain senti ses mains se crisper sur ma tête, il a donné un léger coup de reins, sa bite s’est encore raidie, son gland a grossi et s’est durci et là, ma récompense est arrivée en 7 jets épais, chauds, salés qui m’ont rempli la bouche. J’ai avalé ce précieux nectar et je me suis encore acharné sur sa bite pour en extraire les dernières gouttes dont je me suis délecté comme d’un grand cru de vin. En même temps, comme je me branlais, j’ai joui comme un fou, mon jus est tombé sur les pages de son magazine !
Je l’ai regardé, il m’a souri et m’a dit :
« Toi, tu me voulais depuis longtemps, je me trompe ? »
« Depuis le jour où je t’ai vu mais j’ai été patient ! »
« Et, ça valait le coup d’attendre ? »
« Ah oui alors ! »
« Crois pas que tu m’as dépucelé, t’es le deuxième mec à me sucer, le premier, j’avais 18 ans, j’avais détesté. Toi, t’es un sacré suceur, j’ai adoré. »
« T’as pas idée de tout ce que je sais faire ! »
« J’en doute pas, il va falloir que je vois ça. En tout cas, j’espère qu’au lit t’es meilleur qu’au footing car, permets-moi de te le dire, t’es une vraie bille ! »
J’ai éclaté de rire, je suis monté dans son lit, on s’est allongé l’un contre l’autre, il m’a embrassé et a éteint la lumière. Il a approché sa bouche du creux de mon oreille, a sucé le lobe et m’a dit, tout bas : « J’espère que t’as pas prévu de beaucoup dormir cette nuit ! », sa main caressait mes fesses, je mouillais déjà !

La suite bientôt, peut-être…

Les avis des lecteurs

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vite vite vite la suite maintenant j'ai une trique monstre moi aussi

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Ah bah maintenant il nous faut la suite ! Tu peux pas nous laisser avec la trique comme ça !

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Très belle histoire qui tient la route !
Bravo !

Félicitations Pascal. Ton récit est bien mené, excitant, sensuel. J'ai adoré le lire. Merci pour ce bon moment de désir de drague et de sexe ou tout est parfaitement dosé. Fabien

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tenace le coquin ! super

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Wouaou !! C'est une très belle histoire qui m'a bien fait bander !!
J'espère pour toi qu'il restera vivre chez toi, et qu'il continuera à partager ton lit !
Et ..., si l'envie te prend de nous raconter tes autres plans cul avec ce belle hetero, surtout ne te gène pas !!

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Belle histoire Damien à vraiment le charme qu'il lui faut, Merci !

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beau récit, bien mené sur la durée. J'ai joui.. Continue, tu as du talent. Akileditu

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salut a toi merci pour ton histoire j ai kiff vivement la suite bisous

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Ça c'est la vraie conception du service public ! Moi aussi je suis facteur et il m'arrive de me faire draguer, jusque là, j'ai toujours résisté mais bon, après t'avoir lu, je crois que je ne vais plus toujours dire non ! Vas-y, profites-en de ton beau facteur temps qu'il est dans ton lit !

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oui ,la suite ,je suis impatient !
merci et bisous

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Belle écriture. Que de talent, de désir et d amour. Vite, la suite avec Damien.

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Magnifique récit. Tu m as fait bander et gicler!

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Oui! Vite la suite



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