46.9 Dans le creux de ses pecs…

- Par l'auteur HDS Fab75du31 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : 46.9 Dans le creux de ses pecs… Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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46.9 Dans le creux de ses pecs…
(j’ai calé mon front et j’ai presque pleuré)


C’est beau de voir ce beau barbu prendre son pied en se faisant prendre par mon Jérém… c’est beau de voir passer sur son visages les grimaces au rythme des coups de reins de son maître… de le voir d’abord tendu et méfiant, presque sur ses gardes, se décrisper au fil des va-et-vient…
Petit à petit, ses muscles se détendent, son corps s’épanouit… je le vois passer du mode « maîtriser les assauts » au mode « jouir des assauts » de la queue de mon beau brun… je le vois glisser peu à peu de l’attitude visant à faire face au choc des premiers passages du beau gourdin… à celle envoûtée par le passage de ce beau gourdin…
Et lorsque le plaisir commence à envahir son corps, je vois sa respiration se faire ample, profonde, régulière… ses longues inspirations par le nez, tout comme ses expirations vibrantes par la bouche semblent parler de ce nouveau plaisir qui ravit ses sens…
Par moments sa bouche s’entrouvre, le bout de sa langue se faufile lentement entre les lèvres… elle disparaît… elle revient… ses paupières s’alourdissent, elles tombent… tous les signes du plaisir sont là… dans son corps, sur son visage…
Un plaisir qui semble monter en lui au fil des secondes, au fil de la baise… c’est comme si petit à petit ce plaisir se répandait dans son corps, dans sa chair, dans ses muscles, jusqu’à atteindre son cerveau, comme l’effet d’une drogue… l’extase commence à illuminer son visage… sa peau devient moite… les déglutitions de la salive se font rapides, répétées… sa bouche s’entrouvre comme si elle voulait laisser échapper des mots, comme s’il voulait parler…
J’ai l’impression qu’il voudrait dire quelque chose, mais qu’il se fait violence pour se contenir…
Quelque chose se passe dans sa tête, quelque chose bascule petit à petit… peut-être l’envie de céder au plaisir, l’envie profonde et débordante d’admettre que cela est tellement bon qu’il faut se rendre à l’évidence… avoir envie de le crier, de crier à quel point c’est bon !
C’est lorsque mon beau brun augmente la cadence de ses coups de reins que le déclic arrive, que le beau Romain capitule définitivement.
« Vas y, comme ça, vas-y, défonce-moi, vas-y, mec… » je l’entends murmurer à un instant, n’arrivant plus à contenir son plaisir.
Pendant que je regarde mon Jérém en train d’onduler son bassin et de coulisser sa queue entre les fesses du beau barbu, j’ai encore du mal à croire que ce dernier, ce coureur de caleçons célébré par son troupeau de groupies, se soit si facilement plié aux exigences d’un autre mec…
Comment le Romain « mâle conquerrant » rencontré devant l’entrée du On Off, a fini par accepter de se plier d’abord à une pipe qu’il a accepté d’assumer jusqu’au bout, pour se retrouver quelques minutes plus tard sur ce lit, les jambes écartées, les globes offerts, le ti trou limé par le passage de la queue d’un inconnu, si bogoss soit-t-il ?
Comment un mec qui a commencé sa soirée en annonçant fièrement :
« Moi je ne suce jamais »
Arrive quelques minutes plus tard à lâcher :
« Vas y, comme ça, vas-y, défonce-moi, vas-y, mec… » ?
Sur le moment, je me suis dit que le changement de Romain, de mâle très sur de lui à bon soumis de mon beau brun était un peu rapide… encore, une pipe, passe… mais là, accepter de se laisser prendre par-dessus le marché… le grand écart peut sembler insoutenable…
Soudainement, un déclic se produit dans ma tête. Une nouvelle lecture des derniers événements de la soirée semble se dévoiler.
Je me demande quelles étaient réellement ses intentions vis-à-vis de mon beau brun, après l’avoir capté à l’entrée du On Off, et après avoir décelé en lui un mâle qui lui ressemblait… devant le On Off, Romain, le grand chasseur, en impose du haut de son âge et du récit fait à demi mots de ses récents exploits sexuels… ses groupies sont là pour flatter son ego et pour conforter son aura de « serial baiseur », si besoin était…
Romain capte Jérém… il flashe sur Jérém… il a illico envie de le mettre dans son lit… l’envie de se taper « l’autre » plus bomec de la boite… un bel inconnu, un nouveau mâle dans son terrain de chasse, odieusement sexy, qui plus est très looké « hétéro », rien de tel pour attiser sa convoitise et son désir… un mec pareil, ça ferait bonne figure dans le tableau de chasse virtuel peint à grand renfort de coups de bite sur la toile de son ego masculin…
Sauter un mec pareil… ça n’arrive pas tous les jours… le défi qu’il s’était lancé était de taille…
A partir de là, il fait des pieds et des mains pour y parvenir… ses regards appuyés, le petit accident provoqué à l’entrée, ses excuses… en vain… il en vient même à me brancher, moi qu’à ses yeux je ne suis qu’un détail sans importance, en espérant que je l’amène à Jérém… chose que je fais tout naturellement, bien qu’involontairement, en sortant de la boite…
Hélas mon beau brun n’est pas un brun d’élevage… on ne le tire pas comme ça… Romain joue la carte ultime, celle de la provoc’… ça passe, mon beau brun se fait avoir à ce jeu là…
Jérém arrive quand même à imposer de jouer « à domicile »… et avec un « coéquipier »… moi, si je veux… Romain accepte… au fond, deux petites concessions pour faire le cul à ce super bogoss au t-shirt blanc… ça parait raisonnable…
Pendant le trajet à pied vers l’appart, Romain apparaît triomphant, Jérém mal à l’aise.
A l’apart, Romain a l’attitude d’un gars qui pense pouvoir faire craquer n’importe quel mec en claquant des doigts. N’importe quel mec, mais pas mon Jérém. Bah non, mon Jérém a beau être mal à l’aise, il ne se laisse pas faire… certes, ce beau barbu lui fait de l’effet, ce qui explique son trouble… hélas, ses barrières psychologiques son coriaces, ma présence le bloque, l’arrogance du barbu le crispe.
Il est sur la défensive. Il est intraitable. Il annonce qu’il ne sucera pas. A Romain de choisir si pour lui c’est « quitte ou double ».
Face à un « os » plus dur qu’il ne l’avait estimé, face à ce petit con qui lui résiste sans rien lâcher, ce qui attise encore sa curiosité et son envie d’en faire une nouvelle proie, Romain accepte de faire le premier pas, même si ce n’était pas prévu à la base… il accepte de sucer mon Jérém… subtile stratégie qui consiste à lâcher du leste pour exiger davantage plus tard…
Désormais gagnant sur le premier tableau, Jérém reprend de l’assurance… voulant se débarrasser du trouble provoqué par la rencontre avec le barbu, Jérém ressent l’envie de soumettre ce dernier jusqu’au bout… comme pour lui faire payer l’effet qu’il a sur lui… d’où la nécessité absolue d’obtenir de Romain la soumission ultime…
Devant cette exigence, Romain tique d’abord, mais devant ce nouveau quitte ou double, il cède encore… se disant qu’après ça, le beau brun accepterait d’accéder enfin à ses envies…
Ce qui n’était pas prévu, c’est que Romain, tout en gardant en lui l’assurance que cette concession ultime lui ouvrirait certainement l’accès au cul de mon beau brun, prenne un plaisir inattendu mais réel à sucer mon brun…
Dans la tête de Jérém, au fur et à mesure que le barbu accède à ses requêtes, au fur et à mesure que l’orgasme approche, et jusqu’à qu’il explose, son assurance semble reprendre du poil de la bête… tout en pariant sur le fait que cette jouissance dans la domination totale de l’autre l’amène à se débarrasser de son trouble…
Le pari de Romain étant exactement l’inverse, basé sur la possibilité que le trouble de mon brun survive à ce premier orgasme…
En misant ainsi, le beau barbu avait misé juste…
En revenant de la terrasse, à la vue du beau Romain accoudées sur son lit, la lutte avait fait rage dans la tête de mon beau brun… tout dans son corps trahissait ce trouble persistant… une envie refoulée… c’est cette envie profonde qui l’avait fait approcher petit à petit de la queue bien droite du beau barbu… jusqu’à poser sa main dessus…
Et déjà le fait que Jérém arrive à poser une main sur une queue autre que la sienne est un exploit en soi… une main hésitante… pourtant, l’envie était bel et bien là…
Un Jérém hésitant, un Romain impatient…c’est à ce moment là, qui se situe à mon sens le point de bascule dans le rapport de force entre les deux bruns…
Je suis persuadé que si Romain avait su attendre, mon Jérém aurait été plus loin, beaucoup plus loin… même si je pense toujours que ma présence a du peser sur sa difficulté à se laisser aller… oui, est-ce que si je n’avais pas été là, les choses auraient évolué différemment entre eux ?
Quoi qu’il en soit, c’est à ce moment là que Jérém prend définitivement le dessus sur un Romain affaibli par la perte de son aplomb. Romain s’impatiente, s’agace. Jérém se braque ; son assurance et impertinence de petit con sortent au grand jour avec tout leur éclat…
Jérém a oublié son trouble, il passe de la défensive à l’attaque… il redevient intraitable, mais plus pour les mêmes raisons que tout à l’heure… ce coup ci, c’est en raison d’une assurance retrouvée…
Romain tente de résister, mais c’est fichu. Et il le sait. Il réalise qu’il n’aura rien de ce mâle, rien de ce qu’il avait imaginé obtenir de lui… ni sa bouche, et encore moins son cul…
D’une part, car de toute évidence ce jeune mâle n’est pas prêt à franchir à assumer le fait de lâcher prise… tout comme lui non plus, à son âge, il ne l’aurait pas été… d’autre part, Romain doit se rendre compte de son erreur tactique, du fait que sa tentative de bousculer le beau brun n’a eu d’autre effet que celui de le crisper…
Il a d’abord opposé une résistance à mon Jérém, car il ne voulait pas tout céder d’un coup… c’est dur de se laisser aller, de tomber les masques, faire face à soi même, surtout lorsque ce « soi-même » qui nous explose à la figure est si loin du « soi-même » qu’on s’entête à défendre bec et ongles autour de nous… et en nous avant tout…
Et encore plus dur, je pense, de céder devant un petit coq plus jeune, si insolemment sexy, et en plus en présence d’une tierce personne. Surtout après l’arrogance montré en amont.
Pendant une seconde, pendant qu’il faisait face à un Jérém lui sommant de lui passer une capote ou de se barrer, il a même du se poser la question s’il n’allait pas carrément choisir l’option de quitter le jeu…
Mais en bout de compte, devant la puissance du regard de mon Jérém, devant ce jeune male au physique puissant, devant ce petit con ultra sexy si débordant de beauté, de jeunesse, de testostérone et de déo insistant… avec cette putain de queue bien tendue… quelque chose bascule dans sa tête… une envie le rattrape, une envie peut être inconsciente en lui jusqu’à ce moment, mais bien présente… l’envie de passer de l’autre coté de la barrière…
L’envie de se laisser faire par un mec, un mec canon, un mec viril et, par-dessus tout, un mec qui lui résiste… l’envie de découvrir ce que ça fait de se faire sauter par un jeune coq impertinent qui ne lâche rien… le sentiment qu’il doit essayer ça avec ce mec, cette nuit là, à ce moment précis… le sentiment de ne pas pouvoir rater le coche… le sentiment que s’il ne se laisse pas aller avec ce mec, il n’en trouvera pas d’aussitôt un autre aussi canon, aussi bandant, aussi partant, et qui lui fasse « cet effet » capable de lui donner cette furieuse envie de « céder »…
Oui, céder, mais céder « dans l’honneur »… un peu comme perdre au jeu la tête haute devant un adversaire de taille, en ayant tout tenté et donné… se laisser baiser par un mec tellement mec que le fait de se soumettre à sa virilité ne devient plus une soumission mais un plaisir presque volé… se laisser baiser tout en restant « mec »…
Voilà pourquoi, lorsque mon beau brun a posé sa main entre ses pecs, le beau Romain a plié… plié son buste, posé son dos sur le matelas… plié ses exigences initiales… accepté de se soumettre à mon brun une fois encore…
Pourquoi ? Parce mon beau brun est sexy à ne pas pouvoir l’exprimer…. parce que, finalement, au fond de lui, c’est exactement ce qu’il voulait. Ou, du moins, AUSSI ce qu’il voulait. Inconsciemment, peut-être, mais il le voulait.
Voilà comment un mec qui a commencé sa soirée en annonçant fièrement :
« Moi je ne suce jamais »
Arrive quelques minutes plus tard à lâcher :
« Vas y, comme ça, vas-y, défonce-moi, vas-y, mec… ».
« Tu prend ton pied, là, mec ? » répond illico mon Jérém.
« Putain que c’est bon… » laisse échapper le beau barbu sans se faire prier. Et il enchaîne, au sommet de l’excitation, avide d’entendre encore la voix de mon Jérém, ses mots e dominant, de sentir sur lui cette partie de la domination qui passe justement par la voix.
« Et toi, ça te plait, mec, tu prends ton pied, là, mec ? »
Vas-y Jérém, réponds… vas y réponds, dis-le que tu n’as jamais pris autant ton pied que depuis que tu baises des mecs… dis le que ta belle queue a quand même besoin d’un ti cul de mec bien serré pour prendre son pied… et que ta queue a autant besoin d’un bon petit trou que ce ti trou a besoin de ta queue… voilà l’écho qu’il me semble d’entendre dans la contre question du beau barbu à mon Jérém…
Une idée qui m’a traversé l’esprit souvent, en recevant les assauts de mon beau brun. Tu me baises… mais moi aussi je te baise…
« Profite bien… t’auras qu’un essai… » j’entends mon brun lui balancer sèchement. Réponse d’esquive, mais réponse qui sonne comme la plus douce des caresses à mes oreilles.
Et il enchaîne à son tour, lui balançant du tac-au-tac :
« C’est comme ça que prenait son pied le type du magasin que t’as baisé ? »
Aaaaahh… il parle du beau vendeur du magasin de portables, le charmant Mathieu… je suis surpris de découvrir que cette conversation que j'avais captée avant l’entrée du On Off et que je croyais passée inaperçue pour mon Jérém… soit quand même arrivée à son oreille…
« Oui, oui, il a adoré se faire défoncer… » admet le beau Romain, la voix étouffée par une respiration saccadée et par une excitation vibrante.
« Un bon coup de queue… ça calme… » finit d’asséner Jérém, tout en augmentant la cadence de ses coups de reins… ça aussi il l’a entendu… sacré Jérém…
« T’aimes ça… » balance encore Jérém avec une assurance de petit con qui semble déborder dans le mépris.
« Tu verras le jour que tu te fera sauter toi aussi… » répond l’autre du tac au tac.
« Ca risque pas d’arriver… » répond le beau brun, sur un ton péremptoire, tout en augmentant la cadence de ses coups de reins.
Et là, malgré une élocution entravée par les vagues de plaisir qui traversent son corps, le beau Romain arrive quand même à lâcher, avec la puissance d’un coup de massue :
« Toi aussi un jour tu réclamera un bon coup de queue… ».
Oui, Romain capitule. Mais non pas devant mon Jérém… Non, ce n’est pas devant lui qu’il capitule. C’est face à ses envies, à son plaisir. Ce n’est pas une capitulation en fait. C’est une découverte assumée. Quant à sa position par rapport à mon beau brun… Romain a beau avoir sa queue enfoncé entre ses fesses jusqu’à la garde, il n’est pas sa chose pour autant… Romain a accepté d’endosser le rôle de passif… mais il ne s’est pas transformé en passif pour autant… il a moins cédé à mon Jérém qu’à son plaisir, qu’à ses envies jusqu’à la refoulées…
« Ta gueule… » fait mon Jérém.
Mon beau brun ralentit ses coups de reins, il inspire profondément… son regard s’est soudainement couvert comme dans les mauvais jours… mon dieu qu’il est beau lorsqu’il est énervé… et lorsqu’il est énervé ET en train de baiser… là ça frôle le divin.
Pendant un instant, j’ai l’impression qu’il va se décoincer des fesses du beau barbu et le cogner…
Non, il ne va pas faire ça si près de l’orgasme… oui, la proximité de l’orgasme… ça ne tient qu’à ça cette inhabituelle maîtrise de lui-même… je suis persuadé que si le barbu lui avait balancé ça dans une autre circonstance, le mec aurait déjà sa main dans la gueule…
Non, là, vu la « circonstance » je crois que mon Jérém va juste lui balancer un truc puissant… mais rien ne vient… le seul truc puissant qu’il va lui mettre ce sont ses coups de bassin entre ses fesses d’une puissance presque rageuse… on dirait que les mots du beau Romain ont touché quelque chose de sensible quelque part au plus profond de mon beau brun…
Qu’est ce que c’est, je ne sais pas… envie de savoir, mais, en attendant, la scène est trop riche, pas envie de fouiller davantage… en attendant, si c’est pas beau mon Jérém en train de mettre de bons coups de bite dans le cul de ce mec… c’est juste démentiel…
Oui, effectivement, Élodie t’as raison… comme d’hab… oui, c'est super excitant, super bandant de voir son mec baiser quelqu'un d'autre, prendre du plaisir ailleurs mais sous ses propres yeux… excitant au possible… et d’autant plus excitant que cela peut être très instructif, car source de découvertes inattendues sur les désirs profonds de l’autre, des découvertes que souvent seul la nouvelle alchimie avec un autre partenaire, ainsi qu’une situation inhabituelle, peuvent faire remonter…
Il faut vraiment que je lui raconte ça… ou pas…
Ma main toujours sur ma queue, je sens que je ne vais pas pouvoir me retenir beaucoup plus longtemps…
Jérém enchaîne avec un nouveau changement de cadence de ses va-et-vient… c’est désormais avec des grands coups de reins puissants, espacés, sauvages, chargés d’une certaine dose de brutalité, presque des coups de bélier, des coups mettant à rude épreuve l’endurance de son passif, que mon Jérém goûte à son plaisir de mec… des coups tellement puissants, capables de secouer violemment le corps du beau Romain…
J’entends le claquement des muscles qui s’entrechoquent, il me semble de distinguer le bruit si particulier des couilles de mon beau brun qui frappent lourdement des fesses offertes… un traitement qui semble par ailleurs être parfaitement au goût du beau Romain…
Je ne peux pas le quitter du regard… c’est beau un mâle en rut… alors, comme j’ai adoré tout à l’heure le regarder se faire sucer par ce bogoss arrogant, j’adore le voir en train de lui faire le cul…
Et puis à un moment, mon regard et celui de mon beau brun finissent par se croiser… c’est un regard qui me parle de son esprit embrumé par l’alcool, la fumette, l’excitation sexuelle, l’explosion proche de sa jouissance, la fatigue… en un mot, ce cocktail explosif qui adoucit tous les mœurs et qui rend tout possible… d’abord il me fixe droit dans les yeux… un regard empreint d’une puissance qui me défonce carrément… ensuite son regard change de visée, il tombe et s’attarde sur ma main posée sur ma queue…
Un instant plus tard, les coups de reins s’arrêtent… Jérém attrape le bassin du beau Romain abandonné sur le matelas en l’obligeant à se mettre à quatre pattes… la queue enfoncée au fond de lui, il l’oblige à avancer vers le bord du lit…
Romain s’exécute… le regard de Jérém semble happé par ces cuisses légèrement écartées, par ces globes musclés bien rebondis juste devant lui… mon beau brun ne tarde pas à revenir fougueusement à l’assaut de ce beau cul musclé, à recommencer à faire coulisser son manche dans ce petit trou offert, à faire frissonner le beau barbu sous la vibration d’un plaisir intense…
Voir le tableau… Romain a 4 pattes, Jérém le défonçant furieusement sur la route d’un orgasme sauvage… et le beau barbu, le ptit con se retenant de justesse de crier « Merci » et « Encore »… son arrogance de mâle trop sûr de lui calmée par un bon gros coup de queue de mon Jérém...
« Putain mec… tu me défonces là… » annonce le beau Romain en grimaçant de plaisir…
Oui, parfois, dans la sodomie… pain is so close to pleasure… pour citer quelqu’un qui devait s’y connaître un peu en la matière…
Je trouve cette scène fascinante… car elle se prête à une double lecture… si je m’arrête à la surface, je ne verrai qu’un Jérém qui a tout pouvoir sur le beau barbu, qui le domine d’une façon totale et définitive… mais lorsque je regarde de plus près, je me demande si le sentiment de toute puissance de Jérém n’est pas une illusion… certes Romain se laisse faire, car « se laisser faire » est désormais sa seule et unique envie… oui, Jérém a l’impression de faire de ce mec ce qu’il veut… alors qu’à bien regarder, Jérém fait de Romain ce que Romain lui permet de faire de lui… car Romain a vraiment l’air de prendre son pied… et quand on prend à ce point son pied, est ce que l’idée de se soumettre à l’autre n’est pas éclipsée par le pur plaisir des sens ?
Au fil des coups de reins, le beau barbu semble découvrir avec bonheur que le fait de se soumettre à un autre beau mâle lui apporte au final un plaisir entier, un plaisir tellement important et inattendu, un plaisir capable de faire sauter d’un seul coup tous les obstacles posé dans sa tête faisant barrage à l’expression de tout un pan de sa sexualité… une partie de sa sexualité qui était au fond de lui bien tapie et que la queue de mon Jérém n’a fait que révéler…
Ca ressemble à une réaction entre deux éléments chimiques instables mis en présence l’un de l’autre… instables comme la sexualité de deux jeunes garçons… on les fait se rencontrer et ça peut faire booooom !
Et là, dans la tête et dans le corps du beau barbu, décidemment, ça fait booooom !
Alors, entre celui qui ne fait qu’essayer de conforter sa position de mâle dominant pour faire taire ses fantasmes inavouables et inacceptables, qui tente une fois de plus d’échapper à l’inéluctabilité de sa nature profonde et qui, de fait, ne fait qu’éloigner un règlement de comptes avec soi même de plus en plus dur à affronter ; entre celui qui prend la fuite et celui qui cède à l’autre, qui fait face à sa nature profonde et qui assume ses fantasmes, les assouvit et en jouit… qui est le véritable « gagnant » dans ce jeu de mâles ?
Je me demande encore si jamais le beau Romain avait été un peu plus patient, de quelle manière mon Jérém aurait cédé… de quelle manière ça aurait fait booooom ! dans sa tête et dans son corps…
Me voilà une fois de plus simple spectateur de cette scène épique… j’ai imaginé un plan a trois… j’ai fantasmé sur le fait de me faire défoncer par deux mecs magnifiques… j’ai accepte comme un con… mais avec Jérém, rien ne passe jamais comme prévu… et à ce niveau là, la suite de cette nuit allait bien confirmer la règle…
« Tu vas adorer te faire défoncer, comme tout le monde… il faut juste que tu essaies… » surenchérit le beau Romain en frissonnant sous les assauts de mon beau brun.
Jérém ne relève pas, continuant à faire onduler son bassin, les mains appuyés sur les épaules du beau barbu pour donner plus d’élan à son ouvrage.
« Il faut vraiment que tu essaies ça… » se laisse à nouveau échapper le beau barbu, débordé par le plaisir des sens… comme en recherchant à tout prix une réaction de la part de mon beau brun, avec une insistance qui a des allures à la fois de provocation volontaire et d’inconscience liée à cette altération de la conscience et de la volonté qui nous guette lorsqu’on est pris dans la tourmente d’un plaisir débordant…
Jérém ne réplique pas. Du moins pas avec des mots. C’est son corps, sa virilité, qu’il laisse s’exprimer.
Il arrête brusquement ses va-et-vient… la queue enfoncée jusqu’à la garde, il reste là, immobile, à jouir du bonheur de sentir sa queue envahir et dominer cette intimité offerte… malgré les provocations de Romain, Jérém se sent le maître…
Je ne sais par vraiment pourquoi, à cet instant précis, son regard vient à nouveau chercher le mien, avant de revenir à ma main posée sur ma queue…
Et là j’entends Jérém balancer au beau barbu :
« Maintenant tu vas le sucer lui aussi… pendant que je te baise… ».
Je rêve… c’est de moi qu’il cause ?
Soudainement l’image s’affiche dans mon esprit… me faire sucer par le mec que mon beau brun est en train de baiser et, qui plus es, sur demande de Jérém lui-même… prendre mon pied à quelques centimètres de mon Jérém en train de prendre le sien… je n’aurais jamais osé y penser… mais mon Jérém, si… et je dois dire que l’idée ne me déplait guère…
« Non je ne vais pas faire ça… » répond le beau Romain.
Ah, ça c’est encore autre chose… ça paraissait déjà trop beau…
Jérém recule son bassin et sort illico de lui. Je regarde Romain à quatre pattes, languissant, s’ennuyant instantanément de la présence de la queue de mon beau brun entre ses fesses…
« Reviens, mec… reviens… » supplie le mec, la voix coupée par une excitation totale.
« Tu vas le sucer… » insiste mon beau brun.
Romain ne répond pas, se contentant de respirer bruyamment.
Long moment de silence lesté de plomb et de béton…
« Putain… je peux rien te refuser à toi… » finit par balancer Romain sur un ton qui semble presque enjoué… une attitude qui semble traduire la volonté de désamorcer la tension qui épaissit à nouveau l’air dans le petit séjour… et peut-être une ruse pour placer sa nouvelle soumission sur un plan d’acceptation volontaire et assumée qui rendrait le triomphe de mon beau brun moins flagrant… « Sucer deux bogoss dans la même nuit… si on m’avait dit ç… aaaaahhhh… »…
Oui, le beau barbu n’aura pas le loisir de terminer sa phrase car le passage de la queue de mon beau brun reprenant son poste récemment délaissé lui coupera carrément la parole.
Apparemment, le feu semblerait passé au vert… pourtant, j’hésite toujours… je suis timide, moi…
Jérém me fait un signe de la tête pour m’indiquer d’approcher… même si l’idée m’excite au plus haut point, j’hésite à rentrer dans ce jeu de mâles… peur d’être ridicule… et surtout pas envie d’imposer un truc que le mec n’a pas envie de faire…
Un deuxième signe de la tête assorti d’un « Allez ! » est désormais une sommation à ne pas lui gâcher le coup… il a obtenu ça pour moi… je me dois d’être à la hauteur…
Alors j’approche du beau barbu et je pose timidement mon gland sur ses lèvres… celles-ci s’ouvrent illico, laissant échapper une langue qui vient s’enrouler autour de mon gland… l’invitation est claire… devant un tel feu vert, j’avance mon bassin, rassuré…
Et pendant que ma queue disparaît petit à petit dans sa bouche, le manche de mon beau brun se remet à coulisser entre les fesses du beau Romain…
Me voilà face à mon Jérém, son beau visage traversé par les grimaces du plaisir montant… sa chaînette s’agitant entre ses pecs juste devant moi, son odeur de mec à portée de narines, sa peau, ses tétons à portée de mes doigts, de ma bouche… et ses lèvres… ses lèvres à portée des miennes…
Ma queue calée dans la bouche du beau Romain, je me rends compte que ce dernier n’a pas vraiment l’amplitude pour l’astiquer… il faut que je me débrouille pour prendre mon pied… alors j’entreprends de lui limer doucement la bouche, d’abord plus préoccupé de ne pas lui faire mal et troublé par la proximité de Jérém que de prendre mon plaisir…
Oui, la proximité de Jérém… le parfum du déo se mélangeant à une légère odeur de transpiration, ainsi qu’à une autre odeur comme « de mâle Jérém », une nuance olfactive qui semble flotter dans l’air du petit séjour et qui me fait tourner la tête… Jérém si beau de près… trop envie de le toucher, de profiter de sa proximité pour essayer d’amplifier une nouvelle fois son plaisir… son plaisir est mon plaisir…
Alors, je ne peux pas longuement résister à la tentation de me pencher vers lui et de lui lécher les tétons…
Et voilà s’en profiler une autre, encore une de ces baises qu’on appellerait aujourd’hui, avec une expression à la mode… une baise participative…
Jérém frissonne… et, pour mon grand bonheur, tout en continuant à mettre ses coups de reins, il porte les deux mains sur ma nuque, m’obligeant à y aller franco sur ses pecs…
Pour l’heure je suis au Paradis… le plaisir de ma queue, face à mon Jérém en train de prendre le sien… qu’est ce qu’on peut demander de mieux… à part peut-être me faire sauter par Jérém à la place de Romain… pourtant, il faut admettre que cette configuration a quelque chose de résolument excitant…
Ainsi, au fur et à mesure que mon excitation monte, mes coups de reins dans la bouche du beau barbu se font de plus en plus amples, rapides…
Je deviens fou… je relève mon cou, nos regards se croisent… le plaisir de ma queue me rend dingue… je ne réponds plus de mes actes… sa bouche est si proche… ses lèvres entrouvertes pour laisser le passage libre à ses halètements de mâle en rut me narguent… je veux l’embrasser, j’ai besoin de l’embrasser…
Alors, inconscient face au danger qui me guette, je me penche tout doucement pour approcher mes lèvres des siennes… et là, bonheur absolu… non seulement je ne me fais pas jeter, mais son torse s’incline à son tour vers le mien… et, au final, ce sont ses lèvres qui se posent sur les miennes en premier… oui, si cette histoire était un roman du XIXème, c’est ici qu’on trouverait écrit (ainsi qu’il l’a souhaité un lecteur lors de la première soirée chat, mdr) :
« Et c'est à cet instant que Jérém se rapprocha de Nico afin de poser ses lèvres contre les siennes ».
Oui, Jérém m’embrasse… plus que ça… il me roule carrément une pelle… de son propre chef… sa langue s’enfonce entre mes lèvres qui s’ouvrent avec bonheur… comment pourraient-elles lui résister ? Elle s’insinue dans ma bouche, puissante, virulente, sensuelle, en mode exploration musclée… j’ai l’impression de me faire pénétrer par cette langue, presque aussi puissante et fougueuse que sa queue…
Et que dire du bonheur de découvrir le goût de sa bouche, un mélange d’arrière goût de cigarette, de bière, un ensemble un peu sucré qui me donne envie de ne jamais quitter les lieux…
D’autant plus que, tout en m’embrassant, mon beau brun a pris le soin de porter à nouveau ses deux mains derrière ma tête pour m’attirer fermement à lui, pour me retenir dans cette étreinte… au cas où l’envie d’en partir me prenait… précaution inutile, évidemment, marque de domination dans sa tête ? Quoi qu’il en soit, mais il me faut admettre que le contact de ses main sur ma tête contribue à l’excitation et au bonheur de ce moment…
Sa langue s’insinue profondément dans ma bouche, elle cherche la mienne, la trouve, la titille, part à son assaut… c’est puissant, c’est dominateur, c’est profondément excitant… je me laisse faire, mais au bout d’un moment j’essaie de réagir, je veux lui montrer à quel point cet assaut inattendu me ravit et me fait plaisir… alors j’ordonne à ma langue inexpérimentée de bouger, histoire de ne pas paraître trop con… mais sans vraiment savoir quoi et comment faire… je lance ma langue à l’assaut de la sienne m’enhardissant de seconde en seconde, j’essaye de contrer ses assauts… hélas, la puissance de la langue de mon beaubrun est telle que la mienne est régulièrement repoussée au fond de ma bouche…
C’est tellement bon ce que Jérém est en train de me faire que j’en oublie de mettre des coups de reins dans la bouche du beau Romain… je m’en rends compte lorsque je sens le contact de la main de ce dernier sur mes fesses, m’indiquant de continuer…
Mais moi je n’ai qu’une envie, me laisser embrasser par mon beau brun, si fougueux, si chaud,si sensuel, si excitant, si beau, si touchant, si sexe, si « tout-ce-dont-j-ai-besoin-et-envie »… à cet instant précis, j’ai juste envie que ce beau Romain disparaisse par enchantement et que je puisse me retrouver seul à rouler des pelles à mon beau brun à tout jamais…
C’est trop bon ce baiser de Jérém… mais qu’est ce que cela veut bien dire ? Réelle envie ? Envie dictée par l’excitation des sens ? Par l’alcool et la fumette ? Par la débauche de l’instant ? Quelle intention dans sa petite tête de nœuds, quelle signification en amont de ce baiser ?
Hélas, j’ai bien peur que sans le cul de Romain enserrant sa queue, cet acte de Jérém à mon égard ne serait pas possible… alors, me voilà très reconnaissant de la présence du beau Romain…
Et lorsque l’étreinte de ses mains derrière ma nuque se défait, lorsque sa langue quitte ma bouche, lorsque ses lèvres quittent les miennes, je suis à bout de souffle, car en apnée depuis un moment… je suis retourné comme une chaussette… sacré Jérém… le voyage a été aussi inattendu qu’intense et bouleversant…
Lorsque je retrouve enfin mes esprits, je me rends compte que chez mon beau brun, à force de coulisser entre les fesses du beau barbu, l’orgasme c’est vraiment pour bientôt.
J’ai envie de jouir avec lui… mais j’imagine que ce serait trop demander au beau barbu que de me laisser ne serait-ce que jouir dans sa bouche, sans forcement l’obliger à avaler… pourtant cette idée me plait bien… jouir dans la bouche d’un mec, de ce mec… depuis que j’ai connu ça avec Stéphane, j’avoue que c’est un plaisir qui me hante assez souvent…
Alors, sans trop savoir comment je vais jouir et surtout où je vais jouir, je recommence à mettre des petits coups de reins dans la bouche du beau barbu… je dose la montée de mon plaisir… je voudrais tant jouir en même temps que mon Jérém, jouir en le regardant jouir… en le regardant remplir la capote dans le cul du beau barbu…
Je sens que je ne suis vraiment pas loin… Jérém non plus n’est pas loin… alors j’ai envie de précipiter sa jouissance… la synchroniser avec la mienne… ou plutôt me synchroniser avec la sienne… je porte les mains sur ses pecs, je pince légèrement ses tétons… je sais qu’il adore ça, je sais l’effet de dingue que ça lui fait… j’ai envie de l’aider à jouir, de le faire jouir encore plus fort… pendant qu’il baise un autre… je suis fou…
« Jérém… » je lui chuchote, l’esprit et la voix déformés par la vague de plaisir qui passe sur moi comme un rouleau compresseur « Jérém… tu es fou Jérém… tu me rends fou… »…
Et pour toute réponse, mon beau brun me mate droit dans les yeux avec un regard chargé de sensualité… et là, délicieuse surprise, il allonge ses bras à son tour, il vient pincer mes tétons à son tour… il me fait plaisir… il veut me faire plaisir… il veut me faire jouir encore plus fort… je suis fou !!!!!!!!!!!!!!!!
« Vas-y, lâche toi… » je l’entends me chuchoter, son regard toujours enfoncé dans le mien.
C’est tellement intense tout ça… tellement fou… j’ai comme l’impression que mon Jérém est en train de me baiser moi tout en baisant ce mec…
Alors, dès que les bouts de ses doigts se posent sur me tétons, je sens que je vais jouir très vite…
« Je vais jouir… » j’annonce d’ailleurs, la voix coupée par le plaisir qui commence à me submerger… je ne sais toujours pas comment je vais jouir, comment j’ai le droit de jouir… alors je préviens, laissant la latitude au beau barbu concerné par ma jouissance imminente de m’imposer son choix, son envie, dans ma voix la fameuse supplique de surtout ne pas gâcher « la fête » à son feu d’artifice final…
Pas de réaction de la part du beau barbu… qui ne dit mot consent, certes… mais celui qui a une queue entre ses fesses et une autre dans la bouche doit quand même avoir du mal à faire entendre sa voix…
Ça vient… je vais me lâcher… tant pis… oui, je vais me lâcher.. oui…
Oui… mais non…
En fait, je n’ose pas… même au bord de l’orgasme, je n’ose pas… alors, je me fais violence pour m’obliger à quitter la bouche du beau barbu avant que ça vienne, je n’ai pas le cran de lui imposer ça sans avoir eu son consentement préalable… je ne m’appelle pas Jérémie T, capable d’exiger et d’obtenir d’être avalé à chaque coup…
Je commence à reculer mon bassin, ma queue quitte sa bouche, résignée à se laisser finir par ma main… et là le beau barbu m’attrape carrément par la queue et commence à me branler… ses doigts enserrant mon gland en feu ont le pouvoir d’appeler l’orgasme comme en sifflant et de le faire rappliquer comme un labrador bien dressé… c’est presque instantanément que je sens que j’ai atteint le point de non retour… là je n’ai plus le choix, de ne peux plus me contrôler, je ne maîtrise plus rien… là c’est acté, je vais jouir… je ne sais pas où, je ne sais pas comment, mais je vais jouir dans sa main…
« Vas-y… lâche toi… » m’encourage Jérém en me voyant décoller pour ce petit voyage parmi les étoiles… tout en continuant à agacer mes deux tétons avec le bout de ses doigts…
Et ça vient… je frissonne, j’en tremble… je suis obligé de fermer les yeux tellement le plaisir me submerge… je jouis en me faisant branler par un super bogoss pendant que mon Jérém joue avec mes tétons avec une adresse surprenant, proche d’un Art à part entière… je jouis, je deviens fou, c’est tellement intense que j’ai l’impression que mon corps est traversé par une décharge électrique puissante, tellement puissante que je perds le contrôle de mes jambes, de mon équilibre… et lorsque je me sens partir à l’avant, je ne trouve mieux à faire que de chercher appui en portant mes bras sur les épaules de mon Jérém et en appuyant mon front dégoulinant de transpiration dans le creux de ses pectoraux…
Je tente de me redresser, mais je n’y arrive pas… car une des mains de mon beau brun vient promptement se poser à l’arrière de ma nuque pour maintenir et appuyer encore plus fermement mon front dans le creux de ses pectoraux… c’est fou, c’est tout simplement insensé…
Tellement insensé et incroyable que je commence à croire que je viens de faire un arrêt cardiaque sans m’en rendre compte et que par un concours de circonstances inexpliqué, je me retrouve au Paradis…
Et je jouis en sentant la chaleur de la peau de ses épaules musclées dans les paumes de mes mains, les tétons caressés par ses doigts habiles… sa main appuyée dans l’une des régions les plus sensibles de mon corps, le bas de ma nuque… je jouis en sentant la douceur de la peau de son torse sur mon visage, en mélangeant ma transpiration à la sienne, le nez saturé par les odeurs et les parfums de son corps, les battements accélérés de son cœur se propageant dans ma tête, sa respiration résonnant dans la mienne, dans une étreinte que je ne voudrais jamais défaire…
J’ai envie de pleurer tellement c’est bon, beau et inattendu… tellement bouleversant que j’en oublie la présence du beau barbu… oui, sur le moment, tout ce qui compte est ma complicité sensuelle avec mon beau brun… truc de dingue, truc de fou… cette étreinte… cette main qui m’empêche de partir, cette main qui m’offre un appui et le plus puissant des réconforts… un geste qui ressemble à un câlin… au milieu d’une baise insensée, certes, mais un câlin quand même… quand même…
Lorsque je reviens à moi, lorsque mon la reprise de mon souffle me permet de retrouver mes esprits, je me relève et je regarde mon beau Jérém dans les yeux… il est beau… et après tout ce qu’il vient de faire pour découpler mon bonheur… j’ai encore envie de l’embrasser… une envie déchirante…
C’est là que je me rends compte que mon beau brun a arrêté ses coups de reins… merde… il a du jouir pendant que j’étais dans ses bras… j’ai raté ça pendant mon court mais intense voyage entre les étoiles…
Pourtant… je ne l’ai pas entendu gémir, je ne l’ai pas senti trembler de tout son corps… de plus, à bien regarder, il n’a pas du tout l’air d’un mec qui vient de jouir… non, finalement je crois que mon Jérém n’a pas encore joui… je pense même qu’il a arrêté de pilonner le beau barbu pour assister et accompagner ma jouissance… si c’est pas beau, ça…
D’ailleurs, un instant plus tard, les mains prenant appui sur mes épaules, il recommence à mettre de bons coups de reins dans le cul du beau barbu…
Ce dernier, dont la bouche a été enfin dégagée, sentant que l’essai va bientôt être transformé, encourage le beau rugbyman :
« Vas y, mec, fais toi plaisir…».
Oui, Romain, lorsqu’on baise avec mon Jérém, les mots qui viennent rapidement à l’esprit ce sont « Merci » et « Encore ».
Quand je vous dis que la queue de mon Jérém rendrait dingue un saint…
Jérém est très près de venir, je le sais, je connais cette expression sur son visage annonçant l’orgasme… c’est beau, ses mains toujours appuyées sur mes épaules, désormais resserrées dans une prise solide pour donner plus d’amplitude à ses coups de reins… c’est beau au delà de l’imaginable…
Et il jouit. Oui, il jouit… je vois passer sur son visage cette grimace que je connais si bien, cette grimace qui notifie le moment où le plaisir explose si intense dans son bas ventre qu’il se transforme presque en souffrance…
Du moins j’ai l’impression qu’il jouit… en réalité, après être arrivé très très près de l’orgasme, mon beau brun arrête soudainement ses coups de reins… une fois de plus, juste avant de venir…
Je le vois fermer les yeux, se concentrer, respirer et écouter sa respiration, reprendre le contrôle de son beau corps… il respire très profondément pour faire retomber l’excitation d’un cran… putain… il baise comme un dieu et en plus il a une maîtrise parfaite de sa queue… il arrive même à gérer la montée de son orgasme… si c’est pas beau ça, si c’est pas du grand art… notamment pour un mec de 19 ans…
Il reste immobile pendant un petit moment, la queue toujours coincée dans le cul du beau Romain... mais qu’est-ce qu’il a derrière la tête ? Juste l’envie de retarder son orgasme pour faire languir le beau barbu et le dominer un peu plus avec sa puissance sexuelle ? Si près du but, la manœuvre est risquée…
Mais une fois de plus, Jérém n’est jamais là où on l’attend…
Et là, alors que je m’attends à le voir entreprendre la dernière série de coups de reins qui l’amèneront tout droit à l’orgasme, Jérém se dégage carrément d’entre les fesses offertes, provoquant un frisson chez le beau barbu, presque un sursaut… son cul tremble encore de plaisir et attend de sentir en lui la puissante vibration du plaisir de ce mec qui l’a retourné comme une chaussette… je comprends sa frustration en se sentant ainsi délaissé…
Je regarde Jérém, le regard fixement posé sur les fesses du beau barbu… je me dis qu’il se prépare à l’assaut final, qu’il va s’enfoncer une fois de plus entre ces globes offerts et… jouir…
Mais là, sans que je l’aie vu arriver… je vois ses deux mains se coordonner en un seul geste rapide, précis, aussi assuré que discret… un instant plus tard, le petit bout de caoutchouc quitte sa queue…
Le beau Romain, le corps et l’esprit traversés par la vibration puissante d’une excitation extrême, son physique de petit coq sexy secoué par le plaisir de fou qui l’a carrément retourné, semble comme plongé dans un état second… il a l’air de ne s’être rendu compte de rien, rien des petites manigances de Jérém dans son dos… le barbu a juste l’air ravi, l’air de se demander quand le mâle va venir visiter encore son intimité… « Merci » et « Encore »…
Mon Jérém fixe toujours avec insistance les fesses qu’il vient de quitter… comme irrésistiblement attiré, presque subjugué par ce petit trou complètement offert à son plaisir…
C’est là que je suis cueilli par ce double frisson… d’excitation et d’inquiétude… excitante idée, mais bien trop risquée pour être envisageable… pourtant… il a tout l’air de vouloir se lancer dans ce que je pense…
Mais putain… il ne va quand même pas faire ça… finir en lui sans capote… non, il ne va pas tremper la queue dans le cul de cet inconnu, si canon soit-t-il, et prendre un tel risque juste parce qu’il ne sait pas résister au plaisir de fourrer son jus dans le cul d’un mec… il ne va pas lui faire ça dans le dos…
Naaaan, mon Jérém… ne fais pas ça… même si tu prends davantage ton pied sans capote… là c’est trop risqué… et en plus c’est vraiment pas correct vis-à-vis de lui…
Mais comment faire pour lui en empêcher s’il a décidé, ou si l’alcool et le joint l’ont décidé à sa place, qu’il en serait ainsi ?
Je le regarde fixement, ahuri… je le vois s’essuyer le front moite avec le revers de la main, passer la même main entre les pecs, pour tenter d’essuyer la transpiration là aussi… l’autre main court dans les cheveux pour les aérer, dans la tentative de dégager de ce beau corps cette sensation de chaleur étouffante…
J’ai le cœur qui bat à mille… il faut que je trouve le moyen de l’en empêcher…

Et un instant plus tard, Jérém s’enfonce sans plus hésiter entre ces fesses offertes… et lorsqu’il commence ses va-et-vient puissants, je sais qu’il va jouir très vite, qu’il va fourrer sa semence dans ce cul qui lui fait envie…

[Baiser sans capote avec un inconnu est super dangereux, si canon soit-t-il, pour l’un comme pour l’autre. Alors, n’oublie jamais de sortir couvert et de te couvrir même au beau milieu de l’excitation la plus dingue, et même si l’autre te dit qu’il est clean. Faire confiance est une qualité. Se protéger soi-même est une nécessité].

Bonjour,

Comme je vous l’ai annoncé lors du dernier épisode, la page tipeee (www.tipeee.com/jerem-nico-s1) est ouverte depuis le 1er juin.
UN GRAND MERCI à VIRGINIE-AUX-ACCENTS, à GIANLUCA76, à RomainB, à Gripsou22, à JP7704, à Olivier et à Cyril, les tout premiers contributeurs de l’aventure Jérém&Nico sur Tipeee.com.
Merci à ceux qui ont pris part à la soirée chat de mercredi dernier. Une autre soirée bien sympa.
A partir de ce jour, dans la limite du possible, la publication des nouveaux épisodes se fera ainsi :
Le mardi ou mercredi par mail à ceux qui ont choisi l’abonnement J-3.
Le vendredi minuit parution sur www.jerem-nico.com rubrique nouvel épisode.
Le samedi minuit (ou en tout cas dans le week end) sur HDS.
Le site www.jerem-nico.com, admirablement mis en ouvre par la « Super Gonzesse » Maud, comprend désormais une rubrique NEWS/Coups de cœur.
N’hésitez pas à y revenir régulièrement : chaque jour,il y aura du nouveau : une news autour du projet Jérém&Nico, parfois un épisode (ou des parties d’épisode) inédit, ou alors un coup de cœur de Fabien, dans l’univers de l’actu bogossistique ou autre.
N’hésitez pas à me laisser vos mails si vous souhaitez faire partie de la mailing list à laquelle j’envoie parfois des avant premières.
Pour finir, dans la rubrique « Une histoire et ses lecteurs », il existe désormais un forum pour faire un peu connaissance ; vous pourrez vous présenter un peu, en laissant juste des infos assez génériques style « votre pseudo », « votre région », « votre tranche d’age », « votre métier », vos « passions ».
Ces infos seront uniquement utilisées dans le but de réaliser un truc du style « La carte de France et d’ailleurs des followers de Jérém&Nico ».
Voilà.
Merci à tous de votre fidélité.
Fabien

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Je crois que c'est vraiment l'un de mes épisodes préférés. Un beau mélange de sexe, de sensualité et surtout d'amour entre jerem et nico. Je trouve ça magnifique et magique... Même s'il y aura des rebondissements je n'en doute pas, ce chapitre a lui tout seul balaye les moments de doutes et de mal-être. C'est purement splendide.

Histoire Erotique
Cet épisode est encore plus empreint de sensualité.
L'étreinte de Nico et Jerem est un pur instant de bonheur. On a envie qu'il s'éternise. Il traduit certainement le désir et aussi les sentiments profonds que ressent le beau brun pour son partenaire.
On aurait presque envie qu'il demande à Romain de partir pour réellement faire enfin l'amour à son Nico. Bien que cela saboterait l'intrigue amoureuse.

Merci pour ces moments de bonheur. L'aspect sexuel devient secondaire car on se laisse attraper entre guillemets par tout l'érotisme et les sentiments inavoués sous-jacents qui semblent transparaître.

Merci Fabien pour ce pur moment de volupté. On en redemanderait.
Bien amicalement PF

Histoire Erotique
waouh, t Romain a raison : un jour il l'aura ......jerem, sa jouissance anale



Texte coquin : 46.9 Dans le creux de ses pecs…
Histoire sexe : Une rose rouge
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