COLLECTION SM. Mon nouvel environnement. (5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION SM. Mon nouvel environnement. (5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SM. Mon nouvel environnement. (5)
Vivian m’a fait découvrir ma cave.
« Découvrir » grand mot car il m’a fait subir quelques sévices que mon corps a acceptés et surtout appréciés mais sans à aucun moment me montrer l’intérieur de mon lieu de plaisir.

Il vient de me libérer de mon collier, ma laisse et ma cagoule afin que je prenne un bain salvateur.
La robe vaporeuse qu’il a mise sur notre lit cache mon corps sans pour autant grâce à sa transparence cacher mes seins et mon intimité.
La parure de bijoux, je l’ai attachée autour de mon cou me donnant l’allure et la beauté d’une vestale ignorant la chasteté.

Une coupe en main je suis fière d’avoir choisi Vivian comme mari qui sait exactement ce dont j’ai envie et besoin au moment où j’en ai envie et besoin.
La coupe de champagne que nous buvons après avoir trinqué mais surtout avec le baiser langoureux qu’il me donne avant de replacer ma chaise pour que je m’assoie me donne l’impression d’être arrivée dans un lieu paradisiaque.
Il a tout prévu, même la table réfrigérée qui lui permet de mettre dans mon assiette des mets succulents surtout après le jeune qu’il m’a imposé quand j’étais pendu à son appareil de torture.
La manière dont il semble vouloir orienter notre vie me sied à ravir, moment de plaisir comme en ce moment et moment de douleur quand il va m’emmener dans ma cave.
Est-ce le soleil et l’eau bleue qui me tend les bras mais à laquelle je résiste pour écouter mon chéri m’expliquer tout ce qu’il a fait pour arriver à ce que les travaux arrivent à nous donner ce cadre merveilleux où il va me faire vivre.
Je bois du champagne mais je bois aussi ses paroles quand il me parle du nouveau contrat qu’il vient de signer et qui va lui permettre de créer son village cent pour cent écologique et qui va payer largement l’investissement de notre nouvelle maison.
Bien sûr, il reste fidèle à la règle qu’il semble avoir établie il ne dit mot de ce qu’il a fait sous la maison pour obtenir le résultat dont j’ai goûté un échantillon avant de m’offrir ce repas succulent.
La bouteille de champagne terminée et le sorbet ingurgité, la tentation est trop forte.

• Viens mon cœur.

Je lui tends la main par-dessus la table qu’il saisit et me levant je l’entraîne vers l’onde bleue.
Il me suit comme moi je le suivais à quatre pattes ma cagoule m’empêchant de voir mais quand je saute dans l’eau les deux pieds en avant il saute à mon côté.
Nous faisons une belle gerbe qui éclabousse la margelle en pierre de pays qui entoure la piscine ainsi que l’un des deux transats placés là.
Ma robe doit faire une jolie corolle autour de moi, mais le costume de Vivian ressemble à tout sauf au magnifique smoking à part sa blancheur qu’il avait quand je suis entrée sur notre terrasse.
Je lui lâche la main et je tourne sur moi-même pour entourer ma robe autour de mon corps, avant de rejoindre le bord que j’attrape d’une main.
Nager avec un smoking est difficile mais Vivian s’en sort très bien et rapidement me rejoint.
Nos bouches se soudent et quand son corps vient au contact du mien, je sens qu’il bande.
C’est à ce moment que je prends conscience que l’eau de notre piscine est chauffée certainement dans le local qui se trouve à quelques mètres et qui déverse l’eau régénérée en cascade par la statue de tigre, la gueule ouverte menaçante qui est placée en son milieu.
Vivian tenant la margelle à son tour, je prends une bouffée d’air et je plonge pour parvenir à hauteur de sa ceinture.
La défaire est difficile car elle est mouillée mais sans le vouloir à l’endroit où j’ai sauté il a pied.
Finissant par céder, je suis dans l’obligation d’aller respirer avant de replonger pour retrouver ma convoitise.
J’ai déjà eu mon dessert mais la hampe que je mets dans ma bouche est la cerise sur le gâteau.
Faire l’amour dans une piscine et surtout sous l’eau reste un exercice périlleux alors je ressors et me pendant à son cou je réussis à m’empaler sur le pieu qu’il me propose.
J’arrive à le faire glisser en moi l’enserrant de mes bras et je sens rapidement le plaisir monter en moi.
Plaisir bien différent que celui qu’il y a quelques heures sa machine maudite me distillait mais plaisir aussi intense que celui de la langue qui m’a taraudé supputant qu’une femme est entrée dans notre vie.
La façon dont outre le repas divin, Vivian me montre la hauteur de son amour me rassure sur celle qui secrètement je l’espère restera à notre service pour notre simple plaisir même si j’ignore qui elle est.
Un peu vicieuse, je m’échappe et le temps qu’il enlève son pantalon tombé à ses pieds je me pose sur les marches attendant son arrivée pour que sa verge retrouve ma grotte.
L’angle des marches martyrise le bas de mon dos mais j’ai appris à être baiser entre plaisir et douleur et j’accepte la situation sans me plaindre.
Pour me plaindre il faudrait qu’il libère ma bouche qui semble lui avoir manqué depuis la dernière fois où nous avons fait l’amour comme un couple normal.
Cette question en amène une autre dans ma tête, quel jour sommes-nous, combien de temps s’est écoulé depuis le jour où je l’ai laissé m’attacher sur mon lit à Beaune.
Le temps semble devenu immatériel pour moi mais je suis sûr que cela va faire partie de ma nouvelle vie.
En attendant une nouvelle fois je lui échappe remontant les quatre marches pour courir sur cette belle pelouse qui me donne envie de batifoler.
Il me suit et j’ai l’impression de me retrouver dans ma forêt à courir devant lui avec une seule différence c’est qu’aujourd’hui je sais que c’est lui et que je sais que s’il me rattrape j’échapperais aux dents d’un sanglier pour retrouver pleinement sa queue.
Je tiens la forme même s’il y a peu il m’a rempli l’estomac et j’arrive à contourner la maison, le chai ou le viticulteur faisait son vin et surtout la descente qui permet d’atteindre ma cave de mes plaisirs.
Le gravier me fait mal au pied mais aujourd’hui je suis à égalité avec ce beau satyre qui me court après car en sortant de l’eau il a été obligé d’ôter ses chaussures car elles étaient remplies d’eau.
Courir avec une robe longue même vaporeuse est difficile, un pan de ce tissu se prend sous mon pied et je m’étale lamentablement de tout mon long.
Comme dans mon carré d’herbe dans la forêt il me rattrape et me couvre mais j’ai la chance d’être protégée par ma robe qui est collée à mon corps.
Chance très limité car sans faire cas de la somme qu’elle a dû lui coûter il l’a saisie et me l’arrache, me faisant sentir de nouveau son sexe prêt à me pénétrer de nouveau.
J’écarte les cuisses pour lui permettre de trouver son chemin et c’est mon anus qu’il investit.
Me faire prendre comme la belle salope que j’aime être pour lui, fait monter mon plaisir dans toutes mes fibres.
J’adore être malaxée, torturée dans ma cave, mais depuis la première fois où il m’a fait exploser sur l’herbe au milieu de la forêt en me faisant l’amour je pense que je suis programmée pour me vautrer sur des tapis verts et lui apporter aussi un plaisir maximum.
Les longs traits de spermes qui inondent ma rosette en sont la preuve et sans aucune retenue, vivant maintenant dans un espace assez grand et protégé par ses murs j’exprime mon plaisir par mes cris.
C’est sur les transats qu’il me fait allonger après avoir fini de m’enlever les derniers lambeaux de ma robe.
Pour la première soit de l’année je profite de ma nudité à l’exception de la parure pour prendre notre premier bain de soleil.

• Colette réveilles-toi.
• Oui mon cœur, tu m’as épuisé, je crois que je me suis endormie.
• Juste une petite heure, je te propose de descendre jusqu’au village afin de marcher un peu et profiter de la fin de cette belle journée.
Rejoins notre chambre et prépare-toi toutes tes affaires sont dans les armoires, je passe par mon bureau au-dessus du chai pour donner un coup de téléphone.

Je la rejoins et je prends rapidement une douche la salle de bain très vaste me donnant la possibilité du choix entre baignoire et douche.
Dans la chambre je découvre ses affaires me montrant le côté qu’il a choisi pour dormir et les miennes dans des armoires tout en glace de l’autre.
Dans un tiroir de son côté je découvre la cagoule avec le collier identique à celui d’un chien avec ses clous métalliques, la laisse et surtout la cravache.
Je le referme prestement et j’enlève la serviette qui enserre mes seins et je m’installe pour me maquiller et au moment où je finis de mettre mon chemisier il arrive.

• Je suis prêt en cinq minutes, tu peux m’attendre dans le chai j’ai laissé la porte ouverte je t’ai préparé une surprise.

Je descends et effectivement la porte est ouverte et dans un espace qui devait servir au viticulteur à conditionner son vin pour le mettre jusque dans les cartons une jolie surprise m’attend.
Il a fait ouvrir une grande surface d’un des murs, mis une baie vitrée donnant sur la piscine mais surtout je trouve tous le matériel possible pour dessiner et faire des tableaux.
Vivian s’est souvenu que quand nous nous sommes connues je suivais des cours de peinture et que je parlais toujours de cette envie de peindre mais que notre appartement trop exigu à Beaune m’empêchait de le faire.
Il a même prévu les toiles blanches de diverses grandeurs, je vais pour en placer une sur le chevalet quand il arrive.

• Viens voir mon bureau il est au-dessus de ton espace de travail.
Tu es contente tu vas pouvoir peindre.
• Mon amour tu devances toujours mes désirs.


Nous grimpons l’escalier et là aussi mais côté opposé, une baie vitrée lui permet de voir au-dessus du mur les coteaux couverts de vignes.

• Viens, je vais te faire découvrir Givry.

Nous marchons en descendant un chemin goudronné et non loin de moi un homme bêche un carré de terre.

• Bonjours monsieur et madame, je vois que la patronne est de retour.
• Oui Albert, elle est rentrée d’Espagne ce matin.
• Joséphine elle est descendue à Chalon acheter tout ce qu’il faut pour votre repas de demain avec votre invitée, vous avez vu madame Colette j’ai tout tondu hier avant votre retour, vous en avez de la chance d’avoir une aussi jolie propriété.
Attention j’ai de la chance moi aussi, vous voyez, je bêche ce carré ou je vais planter des patates et dans quelques jours les légumes que nous mangerons comme nous en avons convenu monsieur Vivian quand vous nous avez engagés avec la patronne pour entretenir votre propriété.
Vous avez apprécié le repas ce midi, j’ai la chance d’avoir épousé un vrai cordon-bleu.
• Oui, c’était succulent Vivian a bien fait de vous embaucher, dommage qu’elle soit absente, mais je ferais sa connaissance demain.
• Elle viendra vers 10 heures, le dimanche s’est grâce mâtinée et comme nous vous l’avons dit monsieur c’est bien beau d’épouser une jeunette mais après vous comprendrez, il faut que j’assume, elle est très demandeuse.
• Ma chérie, Albert a connu Joséphine quand elle était en classe de cuisine à l’école hôtelière de Mercurey un village voisin en livrant ses légumes et il l’a épousée, il a dix ans de plus qu’elle.
• Non monsieur Vivian j’éviterais de vous contredire mais c’est elle qui est plus jeune que moi de dix ans.
• Toujours prêt à faire un bon mot Albert.
• On commence à se connaître je suis trop vieux pour me refaire.
Bon, il faut que je travaille, je vois que vous allez au village, bonne promenade, si vous voulez des patates nouvelles dans quelques semaines il faut que je finisse avant la nuit…

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