Un été des années 70

- Par l'auteur HDS Micky -
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Un été des années 70 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2016 dans la catégorie Plus on est
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Un été des années 70
L'histoire se passe durant les années soixante-dix. Une époque sans Sida, sans capote obligatoire, avec cheveux longs pour les hommes et mini jupes pour les femmes. Une époque de libération sexuelle un peu débridée où on enlevait facilement le haut et parfois le bas. Une époque où les femmes se mettaient à penser enfin à leur plaisir. Au coeur de l'été, Damien et son pote Cédric, étudiants en vacances dans une station balnéaire de la côte atlantique, se baladaient sur le front de mer en fin d'après-midi, à la recherche d'une bonne fortune pour la soirée. Les filles abondaient mais le plus souvent accompagnées ou trop laides pour être draguées.
- On va encore avoir recours à la veuve poignet ce soir, déplora Damien.
- Tu parles ! On va avoir une tendinite à la fin du séjour, confirma Cédric.
Tous deux se considéraient pourtant bien de leur personne : sportifs, propres sur eux, portant à leur avantage le slip de bain à la plage. Damien déplorait d'autant plus cet ostracisme à son égard qu'il savait disposer d'un atout majeur à l'intérieur de ce même slip, d'ailleurs parfaitement identifiable : une queue longue terminée par un gland proéminent qui prenait en érection un éclat majestueux propre à ravir les femelles les plus exigeantes. Les étudiantes de sa connaissance s'étaient d'ailleurs passées le mot si bien qu'il avait peu de difficulté à assouvir ses pulsions sexuelles, la difficulté étant simplement de "gérer les jalousies féminines", comme il aimait à le rappeler à Cédric, moins avantagé en la matière.
Mais là, sur le front de mer, il n'allait pas se balader le chibre à l'air. Et il ne connaissait personne.
C'est en méditant sur ces vacances mal engagées que le duo tomba nez à nez avec deux femmes d'âge mûr de leur connaissance. Les quatre se dévisagèrent et se reconnurent aussitôt :
- Tiens donc, madame Bonneau, si je m'attendais à vous voir ici, s'exclama Damien.
La femme, une quinqua à la chevelure acajou, bien en chair moulée dans une robe d'été émeraude lui arrivant nettement au-dessus du genou et dégageant un dos nu bien bronzé, répondit :
- Mais vous êtes un de mes anciens élèves ? Comment vous appelez-vous déjà ?
- Martin, Damien Martin. Vous étiez ma prof d'anglais en première et terminale, avant que je parte à la fac il y a deux ans. Et vous, madame Robert, vous étiez ma prof d'allemand, ajouta-t-il en désignant la blonde cendrée accompagnant madame Bonneau, vêtue pour sa part d'un pantalon corsaire rouge vif et d'un débardeur blanc sous lequel elle était tout aussi nue que sa collègue, ce qui magnifiait ses seins en poire, dont on percevait nettement les mamelons.
Damien présenta Cédric qui avait fréquenté le même lycée mais sans avoir eu les deux femmes pour prof, ce qui ne l'empêchait pas de les connaitre de réputation.


Pendant que le quatuor poursuivait une conversation banale de vacanciers, d'où il ressortit rapidement que les deux profs avaient joint leur solitude pour quelques jours à la mer (les deux étudiants en conclurent qu'elles étaient divorcées), attardons-nous sur cette réputation de Mmes Bonneau et Robert.
Dans cette collectivité adolescente et testéronée qu'est un lycée avec une représentation mâle au moins égale à la femelle, les deux dames alimentaient beaucoup de fantasmes liés aux femmes mûres. Mme Bonneau avait une prédilection pour la jupe courte et le cardigan légèrement déboutonné sur un vallon troublant tandis que Mme Robert ne se séparait que rarement d'une robe fendue sur le côté. Cela avait pour effet de dévoiler largement leurs cuisses une fois assises. Damien avait très vite occupé une position stratégique dans la salle, non en face du bureau (masqué par un panneau) mais sur le côté, de sorte que, quand madame Bonneau croisait les jambes (ce qui arrivait forcément plusieurs fois dans l'heure), il pouvait apercevoir son slip, généralement de couleur blanche et parfois noire. Il lui était tout aussi loisible de mater ses cuisses dodues, qu'elles fussent gainées de nylon ou pas, selon la saison.

Quant à madame Robert, la salle où elle faisait cours le plus souvent était moins favorable à l'exploration visuelle mais Damien s'était entendu rapporter par des élèves chanceux des scènes fantasmagoriques où la prof d'allemand avait dévoilé de manière impromptue (?) un porte-jarretelles digne d'un film d'Emmanuelle, fort en vogue à l'époque.
Toute cette mythologie hantait l'esprit des deux lascars pendant qu'ils devisaient avec les deux enseignantes en vacances, aux formes aussi complaisamment exposées. Damien tenta de savoir sur quelle plage elles allaient bronzer mais elle restèrent évasives, signalant simplement qu'elles se rendaient "sur la côte sauvage", longue de plusieurs kilomètres. Les deux étudiants en conclurent in petto qu'elles bronzaient nues, ce qui ne fit qu'augmenter la boule au creux de leur estomac. Et l'on se sépara en se promettant de prendre un pot ensemble un de ces soirs :
- Maintenant, ce n'est pas possible, on va au cinéma, confia madame Bonneau.
Et les deux gars en furent quittes pour une poignée de main. Chaleureuse certes mais sans perspective immédiate.

En poursuivant leur promenade, ils se confièrent leurs espoirs :
- Tu crois qu'elles baisent ? interrogea Cédric.
- Sans doute, oui, mais avec nous, ça me parait mal engagé, sinon elles ne seraient pas allées au cinoche. On doit être trop jeunes pour elles.
- Putain, tu as vu ces nibards ? Elles n'ont pas peur de les montrer, les salopes.
- Ne dis pas ça. Ce ne sont pas des salopes. Elles sont bien dans leur corps, c'est tout, et puis c'est l'été, non ?
- Ouais c'est vrai. N'empêche, je me souviens qu'on discutait souvent des roberts de madame Robert.
- N'en parle pas. Si tu savais le nombre de fois où je me suis branlé en y pensant, comme aux cuisses de la mère Bonneau. Je constate d'ailleurs qu'elle est toujours bandante, celle-là. Elles ne doivent pas avoir de mal toutes les deux à s'envoyer en l'air.
- Et si on allait sur la côte sauvage pour les draguer à poil ? suggéra Cédric.
Damien devint pensif. Il n'était pas adepte du nudisme en vacances, qu'il trouvait un peu vulgaire. Mais Cédric insistait et il rétorqua :
- Cela risque de prendre du temps car on ne sait pas exactement où elles vont. Ni quand. Il faudra avoir du bol.
- Tentons quand même le coup et après tout, il y aura peut-être d'autres rencontres à faire.
Mais comme le temps était au beau, ils décidèrent de se lancer dès le lendemain à l'aventure.

Ce que les deux étudiants ne savaient pas, c'est que les deux femmes, sur le chemin du cinéma, avaient aussi discuté de leur rencontre. S'ils croyaient qu'elles n'avaient que l'embarras du choix pour la bagatelle, ils se trompaient : elles étaient aussi frustrées qu'eux. Depuis leur arrivée en vacances, elles avaient connu une seule aventure sexuelle avec un représentant de commerce, qu'elles avaient partagé dans le même lit. Mais le pauvre homme s'était montré bien incapable de satisfaire deux aussi solides appétits et les deux profs en avaient éprouvé une certaine amertume. D'autant qu'elles assistaient régulièrement, sur la plage naturiste, à des accouplements à peine dissimulés qui leur mettaient les sens en feu. Hélas, là encore, tous les hommes étaient accompagnés ou "imbaisables", selon leur expression. Aussi, la conversation avec les deux jeunes gens leur donnèrent à penser :
- Ils ont drôlement grandi, nos élèves, ils sont très mignons et craquants, constata Geneviève Bonneau.
- Oui, ils ont l'air plein de vitalité, confirma Nicole Robert. Pas comme ce pauvre mec de l'autre jour qui a débandé au bout d'un quart d'heure.
- Ne m'en parle pas, de celui-là. Tu ne les trouves pas un peu jeunes, nos deux élèves ? Un peu inexpérimentés ?
- C'est plutôt nous qui sommes trop vieilles pour eux. Et trop grosses. Avec toutes les petites nanas qui trainent, ils doivent avoir l'embarras du choix. Les jeunes d'aujourd'hui sont plus avancés sexuellement que nos ex-maris dans leur jeunesse.
On voit par là que ni les uns ni les autres n'avaient correctement appréhendé la situation.

*******

Le surlendemain, Geneviève et Nicole avaient posé leur serviette à l'endroit de la côte qu'elles préféraient : pas trop loin de leur voiture pour ne pas avoir à marcher trop longtemps dans le sable brûlant mais néanmoins préservé des gêneurs afin de pouvoir bronzer nues en compagnie d'autres naturistes dans un espace vaste. Geneviève était à plat ventre et rôtissait son postérieur charnu tandis que Nicole adoptait la position inverse, ses seins en poire étalés sur son buste et le pubis châtain bien exposé. Toutes deux feuilletaient un magazine en gardant un oeil sur la plage pour capter le moindre passage. Leurs jambes étaient légèrement écartées de sorte que les passants ne pouvaient guère manquer leur vulve au repos. A quelques dizaines de mètres, un couple faisait l'amour, à peine masqué par un paravent de toile, mais d'où elles étaient, les deux femmes ne pouvaient pas échapper aux mouvements de bassin puissants de l'homme et surtout aux gémissements de plaisir de la femme ponctués de "ja ja ja !" ne laissant aucun doute sur l'origine des deux amants :
- Ils commencent à nous embêter, ces Teutons, grogna Geneviève. Peuvent pas aller plus loin ?
- Sois indulgente. Si tu étais à la place de la fille, tu gueulerais encore plus telle que je te connais, répliqua la prof d'allemand, dans un élan de solidarité linguistique.
- Je ne suis pas bruyante quand je baise, je m'exprime, riposta la rouquine.
- Ah ça oui et ce n'est pas toujours beau à entendre...
Car les deux amies avaient connu plusieurs aventures coquines en simultané.

Pendant cet échange, deux jeunes gens avançaient nonchalamment sur la plage, flamberges au vent et le maillot à la main. Damien et Cédric, puisqu'il s'agissait d'eux, avaient commencé leur exploration la veille à la recherche des deux profs mais avaient marché presque toute la journée en vain dans le sable au point de finir complètement vannés. Damien avait marqué une certaine réticence à enlever le bas et exposer la corde à noeud qui lui ballottait entre les jambes alors qu'au contraire, Cédric exhibait fièrement un costume trois pièces standard et moins lourd à porter. Le duo avait bien remarqué quelques regards féminins dans leur direction mais comme ils étaient toujours flanqués de mâles, il était hors de question de pousser l'avantage et la résignation guettait :
- Si on ne les trouve pas demain, on arrête tout, c'est épuisant cette recherche, avait grogné Cédric. Et puis, on ne sait même pas si elles viennent tous les jours. Elles sont peut-être parties ailleurs.
- Donnons-nous encore la journée et on avisera. Si on ne les trouve pas, on en repèrera peut-être d'autres, qui sait. Il y a peut-être des nanas esseulées qui ne demandent que ça.

C'est alors que le regard aiguisé de la prof d'allemand attrapa au vol le duo masculin qui s'avançait à quelques mètres au bord de l'eau. L'objectivité oblige à préciser que ses yeux se portèrent en priorité sur le pénis ballottant de Damien avec ce gland proéminent qui lui taquinait les cuisses. Elle tapota la cuisse de Geneviève et murmura :
- Vise un peu l'un des deux gars qui arrivent. Il a plus belle bite que j'ai vue depuis le début de nos vacances.
Mme Bonneau se retourna et regarda :
- T'as raison dis donc, quel équipement... mais... mais c'est notre ancien élève !
- Mais oui, c'est vrai ! Hou hou, les garçons, c'est nous, venez par là ! cria Mme Robert, qui ôta son bob pour se faire reconnaitre.
- Bon Dieu, c'est elles ! s'exclama Damien, un moment tenté de mettre son maillot mais réalisant l'absurdité de la situation s'il s'exécutait.
Le duo obliqua vers les deux baigneuses qui s'étaient redressées pour les accueillir, fort heureuses de rompre la monotonie et surtout d'oublier la fornication voisine. Une conversation inattendue s'engagea entre interlocuteurs feignant d'oublier leur absence totale de vêtements et surtout la nature antérieure de leurs relations. Les deux garçons se gardèrent bien de préciser qu'ils étaient à leur recherche et surtout qu'ils avaient marché la veille pendant six bonnes heures pour les trouver, affectant d'y voir "un heureux hasard". Les lunettes noires des uns et des autres étaient bien commodes pour masquer qu'ils se dévoraient mutuellement des yeux. Après quelques minutes, tous décidèrent d'aller au bain, histoire de briser une tension qui devenait de plus en plus évidente entre ces corps nus frustrés de relations sexuelles. Le tout sur fond d'orgasme du couple voisin...

******

L'entrée dans les vagues marqua une nouvelle étape dans les relations entre les deux femmes et les deux jeunes hommes. On commença par se tenir par la main puis on se rapprocha et dans la houle et les éclaboussures, des contacts furtifs ou insistants eurent lieu entre un sein, une cuisse, une fesse, un ventre, voire un entrejambes. L'arrivée dans la mer du couple fornicateur et germanophone provoqua une petite diversion. Nicole Robert put faire valoir sa compétence linguistique auprès de ce couple athlétique (la femme mesurait pas loin d'1,80m) et transmit un message d'excuse des deux Allemands à sa collègue et aux deux garçons, lesquels leur donnèrent l'absolution par un grand sourire pour leurs élans amoureux.
Puis on se sécha au soleil, mais Damien et Cédric, fort éloignés de leur véhicule, manifestèrent leur intention de quitter les lieux. Geneviève Bonneau se lança à l'eau, si l'on peut dire :
- Et si on se revoyait ce soir pour dîner ?
Les deux garçons acceptèrent l'invitation d'enthousiasme. Rendez-vous fut pris dans une guinguette.
Les deux femmes les regardèrent partir, l'oeil gourmand :
- Cédric, il a un petit cul, j'en mangerais...
- Moi, c'est ce que Damien a devant qui m'intéresse.
- En tout cas, on va se les faire. Je n'en peux plus de cette chasteté, surtout après ce qu'on a vu et entendu cet après-midi.
- J'espère bien moi aussi. Je pense qu'ils ont envie de nous, même si on pourrait presque être leur mère. Mais attention. Surtout, on ne va pas en boite après le resto. C'est bourré de minettes et on ne fera pas le poids à côté avec nos rides et nos rondeurs. Après le resto, on les emmène chez nous et on voit.
- C'est ça on voit mais on a déjà pas mal vu et ça donne envie d'en voir plus...

Pendant que les deux profs échangeaient ces propos badins, les deux étudiants regagnaient leur voiture d'un pas lourd et sablonneux. Ils s'étaient reculottés moins par convenance que pour masquer un début d'érection lié à leurs propos sur leurs interlocutrices.
- Voir la mère Bonneau et la mère Robert à poil, c'est quand même quelque chose. Si on m'avait dit ça quand j'étais leur élève, je ne l'aurais pas cru possible.
- Et le pire, c'est qu'elles nous ont vu à poil aussi. Je me demande si on leur a fait de l'effet. Tu crois qu'on peut les baiser ce soir ?
- Je pense, oui. La mère Bonneau m'a mis la main à la queue dans l'eau, c'est quand même un signe. J'ai l'impression qu'elles sont un peu en manque, comme nous. Mais je peux me tromper et on peut se prendre encore un bide.
- Ou un râteau. D'ici qu'elles ne soient pas au resto ce soir. Ce serait triste car elles me font bander avec leurs gros nichons. Tiens, rien que d'y penser, j'ai la gaule.
- Elles ne me font pas l'effet d'être des allumeuses. A leur âge, on sait ce qu'on veut, non ?
On voit par là que les deux étudiants n'étaient pas plus sûrs de leur coup que leurs supposées conquêtes.

********

Tout se passa beaucoup plus simplement que ne l'avaient envisagé les quatre protagonistes de cette histoire. Non seulement les deux profs en vacances étaient présentes mais elles abordaient des tenues à réveiller des morts. L'une et l'autre portaient des robes à dos nu, profondément décolletées sur un sillon mammaire bien marqué. En position assise, ces mini robes ne couvraient plus que la partie supérieure de leurs cuisses, au ras du slip. Les deux étudiants connurent immédiatement une érection qui ne les quitta plus de tout le repas. Les deux femmes s'aperçurent vite du trouble de leur commensaux. Elles seraient volontiers allées le vérifier de leur main si un reste de décence en un lieu public et aussi une volonté de maintenir la pression d'incertitude ne les avaient incité à la réserve, du reste toute relative vu leurs mines, leurs chatteries et leurs allusions au regard torve que jetaient les deux étudiants sur leur décolleté palpitant.
Aussi, quand elles proposèrent aux deux étudiants de "prendre le café" dans leur appartement sur le front de mer, elles ne rencontrèrent évidemment aucune opposition. Et ce furent quatre sujets chauds comme la braise qui se retrouvèrent un peu plus tard sur un canapé et deux fauteuils en attendant que la cafetière fît son office.
Une fois le breuvage bu, Geneviève Bonneau se leva et alla s'asseoir sur les genoux de Damien tandis que Nicole Robert invitait Cédric à venir la rejoindre sur le canapé. Voyant l'embarras de leurs anciens élèves, les deux profs avaient décidé de prendre les choses en mains. Après qu'elles eurent vérifié l'une et l'autre que leurs invités étaient en état de les honorer, elles firent simultanément passer leur robe très légère par-dessus leur tête et les deux étudiants se retrouvèrent le museau entre leurs seins généreux.
Alors, ils retrouvèrent leurs automatismes de jeunes clébards et oublièrent leur carcan d'anciens élèves. Geneviève et Nicole furent rapidement délestées de leur slip et ouvrirent la porte à la découverte buccale autant que digitale. Les deux étudiants s'étaient, dans le même temps, débarrassés de leurs frusques sommaires et exhibaient un membre viril congestionné par le désir. Celui de Damien, véritable matraque avec une boule de chair brune disproportionnée au bout, provoqua une double exclamation de surprise admirative de la part de l'élément féminin présent. Bien que les deux mâles eussent entamé des préliminaires par un cunnilingus où ils avaient encore senti l'odeur marine de l'après-midi, Geneviève Bonneau et Nicole Robert manifestèrent très vite leur besoin d'être pénétrées, de peur peut-être que leurs chevaliers servants ne débandent prématurément.

Ce en quoi elles se trompaient car les deux gaillards étaient conquis par ces chairs abondantes, juteuses et frémissantes, ouvertes en grand. Damien prit Geneviève par les chevilles, les leva, les écarta et enfonça lentement son gros chibre dans la vulve trempée de son ancien prof d'anglais qui gémit d'abord puis brama de plaisir, le noeud proéminent du jeune homme ayant atteint des replis inexplorés depuis des lustres. Sur le canapé, Nicole était venue s'empaler sur Cédric et lui fourrer ses nichons dans le museau. Quand celui-ci fut totalement enfoncé en elle, son staccato provoqua chez la prof d'allemand, très chahutée, une série de cris gutturaux qui rappelèrent aux acteurs de la scène ceux poussés à la plage par l'athlétique blonde au moment où son partenaire avait accéléré le rythme.
Les deux couples baisaient et baisaient avec ardeur au point de mettre leurs supports mobiliers à rude épreuve. Après une longue frustration, les uns assouvissaient leur penchant pour ces femmes mûres, à la chair mouvante et exigeante, tandis que les autres se régalaient de ces corps durs, actifs, endurants, sans concession. Les mots crus fleurirent, en particulier dans la bouche des deux profs, ce qui ne laissa pas d'étonner leurs anciens élèves. Geneviève Bonneau célébrait de manière précise et anatomique le pénis hors normes de Damien qui, à entendre la récipiendaire, lui procurait des sensations inédites.
Quant à Nicole Robert, écartelée sur le canapé, les mains crispées sur les fesses de son jeune amant, elle manifestait à haute voix son appréhension de le voir se retirer trop vite de son intimité et l'invitait à persévérer très longtemps avec une collection d'adverbes explicites.

A l'expérience, les deux profs comprirent qu'elles avaient tiré le gros lot avec ces deux fringants étalons capables de conserver immuablement leur rigidité initiale, de les prendre par devant, par derrière et par en-dessous au gré de leurs désirs à elles, de leur donner à manger et d'être mangées elles-mêmes, d'oser aussi quelques fantaisies anales qui les instruisirent définitivement sur le degré d'information sexuelle de la nouvelle génération. Les deux gaillards, littéralement survoltés, se gavèrent de chair féminine comme d'un repas pantagruélique au point de sortir de ces ébats la bouche poisseuse de sueur et de cyprine et des poils entre les dents. Dévorées des orteils à la nuque, saoulées de coups de bite dans tous leurs orifices, pétries et malaxées, les deux femmes, trempées de la tête aux pieds, quasi aphones à force d'avoir joui et les yeux cernés d'épuisement, finirent par demander grâce et par implorer le sperme. Les deux gars, qui s'étaient beaucoup retenus, ne se le firent pas dire deux fois et éclaboussèrent leurs partenaires de leur semence épaisse et odorante. Celles-ci, au bout de quelques minutes, gagnèrent la salle de bain en titubant tandis que leurs jeunes amants inspectaient leur queue avec inquiétude tant elle leur faisait mal à force d'avoir oeuvré. Et on se sépara vidé, dans tous les sens du mot.

*********

Les quatre protagonistes ne se retrouvèrent pas le lendemain. Les deux gars espéraient bien recevoir un petit signe mais les deux femmes se montrèrent discrètes. Il est vrai qu'elles étaient un peu mâchées et courbaturées. Elles n'avaient guère envie de montrer aux jeunots qu'elles récupéraient plus difficilement qu'eux d'une partie de cul à rallonge. Néanmoins, leur plaisir avait été si intense et leur féminité tellement revigorée qu'elles se débrouillèrent le surlendemain pour croiser la route de leurs deux jeunes amants d'un soir. Et comme on pouvait le prévoir, les retrouvailles furent torrides. Pas besoin de salamalecs : au lit direct. Suivant l'adage "plus on baise et plus on a envie de baiser", les deux duos ne cessèrent plus de copuler pendant le reste de leur séjour. Voulant découvrir à son tour les délices de la corde à noeud, Nicole Robert s'accoupla fiévreusement avec Damien Martin cependant que Geneviève Bonneau découvrait à son tour à quel point Cédric, moins membré que son ami, était expert dans l'art délicat de la sodomie. Lors des repas au domicile des deux profs, celles-ci les terminaient sous la table, s'offrant un dessert plus salé que sucré. Elles étaient d'ailleurs épatées par la capacité des deux étudiants à recharger à volonté et en usaient largement. Elles avaient banni le soutif et le slip sous leur robe de sortie et en avaient informé leurs chevaliers servants si bien que ceux-ci guettaient l'occasion de les prendre à la hussarde, quitte à risquer l'outrage public à la pudeur.

Mais c'est surtout à la plage que les deux duos se défoulaient pour le plaisir de quelques voyeurs impénitents. La scène la plus mémorable se déroula ainsi. Les deux garçons étaient restés sur le sable pendant que les deux naïades batifolaient dans les vagues. Quand elles sortirent de l'onde, ruisselantes et rieuses, leurs seins lourds en suspension, la chair ferme, le pubis étoilé de sel et ondulant de leurs hanches généreuses, les deux gars triquèrent instantanément. Sans se concerter, mue par une sorte de réflexe érotique, les deux baigneuses se mirent à genoux côte à côte devant leurs jeunes amants et firent en sorte de les faire durcir en jouant des lèvres et de la langue. Puis elles se positionnèrent chacune au-dessus des deux étalons, fléchirent lentement sur leurs talons et s'empalèrent d'un seul mouvement, parfaitement synchronisé en couinant de plaisir. Immobilisés par leur partenaire, les deux gars subirent l'assaut de deux culs survoltés pour un coït aussi bref qu'intense et ensoleillé, sous l'oeil du couple allemand, toujours fidèle au poste, ébahi par l'audace de leurs voisins de serviette. Suite à cette séance, il proposa un échange. La Walkyrie blonde louchait ouvertement sur les attributs de Damien et son compagnon semblait disposé à faire un effort, mais Geneviève et Nicole mirent aussitôt le holà :
- On partage entre nous mais pas avec des étrangers ! avaient-elle clamé.

**************

Hélas pour les deux anciens élèves, les deux profs se trouvaient en fin de séjour et devaient rendre leur clé de location, ce qui mit fin à cette relation intergénérationnelle. Elles leur firent promettre de les retrouver dans leur ville de résidence, qui étaient aussi celle des deux gaillards, ce qui arrangeait tout le monde. L'objectivité oblige à reconnaitre que les deux collègues n'étaient pas totalement déçues de quitter leurs jeunes amants car leur chair chahutée pendant plusieurs jours éprouvaient le besoin d'un certain répit.
- Ce n'est plus de notre âge, ces fredaines, confessa Geneviève.
- T'as raison, ils nous ont tuées, mais si dans quelques jours, ils nous font signe, j'arrive en courant, riposta Nicole.
Quant aux deux étudiants, après un moment de déception, ils trouvèrent vite compensation. Le hasard d'une promenade sur le front de mer les fit rencontrer le couple allemand de la plage. Greta, la Walkyrie, les reconnut tout de suite et après un intermède de pure forme, les deux gars se retrouvèrent dans son lit sous l'oeil compatissant de son Rudolf de mari. Lequel usa et abusa de sa caméra super huit pour fixer les ébats sonores de sa dulcinée, honorée doublement par les deux étudiants. Greta s'avéra une experte de la pipe, en particulier à l'endroit de Damien dont elle vénérait le pénis. Lui et Cédric finirent les vacances en la compagnie du couple, ce qui leur permit, aussi, un stage de perfectionnement en allemand. D'où la conclusion de Damien :
- Les langues vivantes, il n'y a que ça de vrai.

Les avis des lecteurs

Qui n'a jamais fantasmé sur une prof.

Tu as l'art et la manière d'écrire ce que l'on imaginait et encore tu es allé au-delà de ce que l'on pouvait imaginer.

Superbe Micky

Merci Micky pour ce bain de jeunesse insouciante, pour cette histoire délicieusement construite où les couguars savent profiter de la fougue de la jeunesse pour s'offrir des vacances de rêve.



Texte coquin : Un été des années 70
Histoire sexe : Une rose rouge
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