La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°759)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°759) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°759)
Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°758) -

A ces mots la femme, surprise, stoppe net, elle ne pensait pas que Vanessa était au courant de sa condition de soumise et ceci la déstabilise...

- Ne sois pas si anxieuse, il allait de soi que Monsieur Le Marquis enverrait une infirmière de son cercle si particulier, et à ton attitude, je me doute bien que tu n’es pas une Dominatrice, la rassure Vanessa.
- Je… euh…oui. Le Maître m’a dit que je devais venir soigner la compagne d’un de ses grands amis Maîtres, mais je ne savais pas que vous connaissiez ce cercle.
- Tu penses que je peux vivre avec un homme sans en connaitre son être profond.
- Cela arrive parfois dans ce monde.
- Certes, je te l’accorde, et depuis combien de temps en fais-tu partie ?
- Depuis 6 mois, Madame.
- Eh bien, nous avons un point en commun, j’en fais partie aussi depuis peu, lui révèle la jeune femme sans en dire d’avantage laissant planer le doute sur sa condition.

Alors que l’infirmière a terminé de nettoyer les plaies et qu’elle s’apprête à poser les nouveaux pansements, une voix claire s’élève dans la pièce.

- Je vois que vous avez fait connaissance et que tu t’amuses à déstabiliser mes jeunes recrues, s’amuse l’homme.

Vanessa reconnait tout de suite la voix et tourne rapidement la tête pour voir l’infirmière agenouillée saluant Monsieur Le Marquis d’Evans qui vient d’arriver, accompagné de son ami chirurgien qu’elle a déjà vu au début de son hospitalisation.

- Maitre … je…, dit Vanessa en tentant de se lever.
- Non ! Reste ainsi ! Tu te prosterneras plus tard, coupe-t-il.

A ces mots, l’infirmière comprend que Vanessa est également une soumise, mais elle ne comprend pas pourquoi elle l’appelle ainsi, pourquoi Vanessa serait la soumise du Noble, tout en étant la compagne d’un autre Maître, tout cela lui semble confus. Le chirurgien s’approche de Vanessa et observe son dos en grand professionnel, avec une attention médicale. Il ne dit rien, prend le temps d’observer chaque brulure avant de prendre la parole.

- Bien Edouard, vous avez misé sur le bon cheval, elle cicatrice très bien, même au-dessus de la moyenne, il n’y a pas d’intervention à prévoir. Dans moins d’un mois il ne restera rien de cette mésaventure si elle applique la pommade cicatrisante que je vais lui prescrire. Elle n’est pas remboursée, mais c’est le meilleur cicatrisant existant que je connaisse…

- Parfait Martin, merci de votre aide, aucun souci pour les frais, je m’en occupe.

Le chirurgien prépare son ordonnance qu’il tend à l’infirmière toujours agenouillée.

- File à la pharmacie la plus proche et ramène nous ça que je puisse te montrer comment l’appliquer.

Sans dire un mot, la femme se redresse et prend le papier, elle s’apprête à quitter la pièce mais est arrêtée par un claquement de doigts. Le Noble s’approche d’elle et glisse un billet dans le décolleté, entre ses seins pour qu’elle puisse payer le produit, puis d’un signe de main il la congédie. Vanessa est donc seule avec les deux hommes qui se sont assis dans les fauteuils disposés au fond de la pièce, elle ne sait pas si elle doit rester ainsi ou s’agenouiller, elle a peur de mal faire et attend désespérément un ordre pour la délivrer. Monsieur Le Marquis l’a remarqué mais prend plaisir à la déstabiliser, aussi il l’ignore tout en discutant de son cas avec son ami.

- Merci encore Martin, d’avoir pris de votre temps ce matin.
- Aucun souci Edouard, je suis toujours disponible pour vous.
- J’aimerais vous remercier, mais je ne sais pas si cette soumise sera à la hauteur, elle était encore à l’essai avant son accident.

Vanessa est vexée de ces mots, mais elle sait que son Maître les a choisi pour la faire réagir, elle ravale donc son orgueil et patiente qu’Il lui permette de prouver les progrès qu’elle a fait.

- Edouard, je ne vous ai jamais vu prendre sous votre joug de parfaites incompétentes, s’étonne le chirurgien.
- C’est vrai, et pourtant, celle-ci en était très proche, mais elle avait un potentiel à la soumission que je voulais tester.
- Et ?
- Et vous allez juger du résultat, répond Le Noble en claquant des doigts.

A ce son si distinctif, Vanessa se redresse, sans un mot, sans un regard, conservant les yeux baissés, elle quitte sa place et vient s’approcher de la table à quatre pattes pour rejoindre les deux hommes. Elle se prosterne aux pieds de son Maître, puis s’approche de son ami pour se prosterner également face à lui. Puis elle vient s'agenouiller entre ses jambes. La jeune femme dégrafe son pantalon et en sort un sexe épais et déjà bien dressé, d’une taille impressionnante. Celui-ci demeure droit, tendu et Vanessa doit se rehausser légèrement afin de pouvoir le saisir entre ses lèvres. Elle met ses mains derrière son dos et entreprend de le lécher sur toute sa longueur avant de le prendre en bouche. Vanessa prend de grandes inspirations entre chaque va-et-vient pour ne pas suffoquer, serre ses lèvres autour de la hampe, utilise sa langue avec application. Elle est déterminée à honorer l’éducation de son Maître et de son amant et à prouver qu’elle mérite de faire partie du Cheptel de son Maître. Sa bouche se referme sur le sexe telle une gaine parfaitement proportionnée... Les vas et viens buccaux deviennent de plus en plus rapides…

Elle l'avale et le suce avidement. L'érection est telle que la fine bouche parvient à peine à l'engloutir, Vanessa devant l'accueillir jusqu'au plus profond de sa gorge. Puis, elle laisse le mouvement du bassin du chirurgien imposer son rythme et elle offre ainsi la plus chaude et délicieuse des fellations, serrant bien les lèvres afin d'assurer un maximum de plaisir. Après de longues minutes, le chirurgien prend la tête de Vanessa pour la plaquer contre son bas ventre et il jouit dans de longs râles de plaisir. Le sperme jaillit brusquement par saccades successives, inondant la bouche salivée de la jeune soumise d'un flot épais et chaud qu'elle s'applique à garder en bouche jusqu'à la dernière goutte. Vanessa en parfaite soumise se redresse, ouvre la bouche pour présenter la semence qu’elle vient de recueillir et, sur ordre de son Maître, avale entièrement le sperme. Ensuite en bonne soumise, elle n’oublie pas de nettoyer, avec le plus grand des dévouements, le gland rougi du chirurgien avant de reprendre sa place, humble et silencieuse en position d’attente aux pieds de son Maître.

- Eh bien Edouard, je veux bien entendre qu’elle faisait partie des incompétentes, mais à coup sûr votre éducation a su la faire progresser. Elle est une des meilleures bouches que j’ai eu l’occasion de tester.

Vanessa sourit intérieurement, mais elle cache sa fierté, ne souhaitant pas gâcher ce moment par un orgueil mal placé qui serait mal venu.

- Très cher, je suis ravi qu’elle vous convienne, je testerai donc bientôt ce nouveau talent par moi-même, répond Le Noble pour faire savoir à Vanessa qu’elle aura bientôt cet honneur, ce privilège ultime d’avoir la noble verge du Maître en bouche.

L’infirmière revient avec le cicatrisant demandé, elle se présente devant son Maître qui claque des doigts, faisant comprendre aux deux soumises qu’elles doivent se mettre en place pour les soins. Vanessa se dirige donc jusqu’à la table où elle se place sur le ventre, l’infirmière vient près d’elle pour terminer ses soins sous la surveillance du médecin.

- Bien, il est temps pour toi de poursuivre ton travail, tu as des rendez-vous, file, ordonne Monsieur le Marquis à l’infirmière lorsqu’elle a terminé.

Sans dire un mot, la femme prend ses affaires, s’incline respectueusement et va pour sortir. Au moment où elle allait partir, le Châtelain l’arrête en claquant de nouveau des doigts :

- Une dernière chose, cambre toi en avant, montre-moi ton cul de chienne que je vérifie si tout est conforme à Mes exigences…

L’infirmière dépose ses affaires et sans un mot, se penche en avant et soulève sa blouse blanche pour dévoiler un cul nu sans culotte, aux fesses arrondies et blanches. Un petit plug-diamant est insérer dans son anus où il est inscrit, sur la surface extérieure en petit émeraude sertie, les initiales du Maître ‘’MDE’’. Monsieur le Marquis vérifie si le plug est bien en place, bien enfoncé dans le fondement de la soumise. Puis il donne une claque sur le fessier de la soumise, et rabaisse la blouse blanche d’un geste rapide :

- Ca va Ma chienne, tu peux partir…

L’infirmière reprend ses affaires et cette fois quitte la demeure du Commandant, laissant Vanessa seule avec les deux amis. Monsieur Le Marquis claque des doigts et Vanessa se retrouve de nouveau agenouillée à ses pieds, les mains dans le dos, tête baissée, sous le regard fasciné du chirurgien. Il prend les tétons de la jeune femme, les pinces fortement, sans obtenir aucune réaction de sa part si ce n’est un léger resserrement de sa mâchoire pour tenir le coup. Le Noble sort de sa poche une clé et ouvre la ceinture de Vanessa, il lui retire avec douceur et pose sa main sur le sexe trempé de la jeune femme. Il sourit voyant l’excitation flagrante de sa soumise et commence à masturber doucement son clitoris. Il enfonce aussi deux doigts entre les lèvres intimes et commence un va et vient régulier alors que son pouce continue à branler le clito. Vanessa n’a pas joui depuis un long moment et ce traitement est difficile à supporter, elle sent sa jouissance arriver et tente de la contenir avec difficulté.

- Tu jouis quand tu veux, annonce la voix généreuse et libératrice de son Maître.

Sans attendre elle se laisse aller et jouit dans un cri de soulagement, inondant la main de son Maître. Le Noble la laisse reprendre ses esprits, et lui présente sa main qu’elle nettoie avec application.

- Bien, je vais reprogrammer la soirée pour le mois prochain, enfin si tu en as toujours envie, interroge Le Noble.
- Maître, ma seule envie est de Vous satisfaire, répond la jeune femme sur un ton sincère.
- Tu m’en vois ravi, nous allons prendre congé, reposes-toi bien, dans un mois je ne veux aucune excuse pour annuler.

Sans dire un mot de plus les deux hommes se lèvent et quittent la maison, laissant Vanessa seule reprendre ses esprits…

(A suivre…)

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