Première soirée avec Stef Partie 2 - histoire érotique

Il s'est levé et s'est placé debout face à moi, je ne voyais que sa grosse queue brillante se balançant pesamment devant mes yeux avant de remarquer qu'il me proposait de fumer. Il a ensuite saisi son pantalon de pyjama pour l'enfiler et sortir de la chambre en m'indiquant qu'il devait aller aux toilettes. Je me suis levé pour me servir un shot de vodka et je me suis assis dans le fauteuil en repensant à ce que je venais de vivre... j'avais une sensation étrange d'excitation et de chaleur dans le ventre et j'avais une énorme envie de remettre ça... je ressentais encore le poids de son gros gland et l'abondance de son sperme dans ma bouche, les secousses de sa lourde queue en train d'éjaculer lentement en moi, la sensation qu'elle me procurait quand elle coulissait hors de moi, la légère sensation de froid sur mon anus lorsqu'il palpitait sans se refermer totalement jusqu'à ce que son gland l'étire à nouveau pour le pénétrer et la sensation indescriptible que me procurait son énorme queue lorsqu'elle pulsait tout entière en moi. Je n'avais pas joui et je m'apprêtais à glisser la main dans mon pantalon pour me masturber lorsqu'il est revenu dans la chambre. Sans savoir pourquoi, j'ai ôté la main de mon pantalon. Il a ôté le sien juste après avoir passé la porte et s'est dirigé vers le bureau en souriant pour avaler un shot. Je n'ai évidemment pas pu m'empêcher d'observer le balancement pesant de sa queue et de ses couilles. Dans les vestiaires, je devais le faire de façon furtive et discrète, je tâchais d'enregistrer quelques clichés mentaux pour alimenter mes fantasmes, mais ici, je pouvais l'admirer en toute tranquillité, et le spectacle était d'autant plus beau qu'après ces deux orgasmes, sa belle bite restait légèrement gonflée. Pendant qu'il versait une petite dose de vodka dans son verre, il m'a confié qu'il avait très envie de remettre ça, on a brièvement échangé nos impressions et notre enthousiasme par rapport à ce qu'on venait de partager, sans aucune gêne, on s'est promis qu'on n'allait en parler à personne et il m'a finalement demandé si je voulais continuer. À cette idée, j'ai remarqué que sa queue commençait à bander.

En guise de réponse, je me suis levé pour ôter mon pantalon sans quitter sa queue des yeux et il en a profité pour s'installer dans le fauteuil en écartant les jambes et en veillant à ce que son paquet pende par-dessus le bord du fauteuil, sa queue posée sur ses couilles lisses. J'avais énormément envie de le sentir avec ma langue et mes lèvres et sans un mot, je me suis agenouillé entre ses jambes. Son gland apparaissait peu à peu à mesure que son sexe gonflait alors que je ne l'avais même pas encore touché. Sans utiliser les mains, je me suis légèrement abaissé pour embrasser la pointe de son sexe et l'aspirer dans ma bouche tout en accompagnant le prépuce avec mes lèvres afin de décalotter et de chatouiller son gland avec ma langue. Sa surface était lisse et chaude. Son érection s'est accélérée et j'ai suivi son mouvement pour ne pas lâcher son gland que je suçotais et que je léchais avec gourmandise, il avait la taille d'une belle prune. Une fois sa grosse bite en érection complète, je l'ai libéré en laissant échapper un filet de salive qui dégoulina sur une partie du tronc. Je me suis écarté afin d'admirer sa queue sous un nouvel angle et j'ai expiré de plaisir et de désir en la voyant pulser discrètement sous les flux des battements de son cœur. J'ai placé la main gauche sous ses couilles épaisses pour les malaxer comme on pourrait le faire avec deux balles antistress et de la main droite j'ai saisi son sexe pour le lécher sur toute sa longueur jusqu'à son magnifique gland sur lequel j'ai longuement fait courir ma langue afin d'en apprécier toutes les courbes. Tandis que je l'embrassais et que je le léchais avec passion, je le masturbais lentement de la main droite en remontant à chaque fois jusqu'à ma bouche afin d'humecter mes doigts et lubrifier sa queue. Je ne lui ai presque pas prêté attention lorsqu'il s'est légèrement redressé pour ôter son t-shirt. J'ai tout de même posé les yeux sur le reste de son corps, il était doux, tendre, finement musclé et imberbe. Son visage était légèrement empourpré par son excitation, et son regard, qui lui donnait un air légèrement absent, était pointé sur les mouvements de ma langue et de mes mains. Pour reposer ma mâchoire, je reculais de temps à autre mon visage de quelques centimètres pour caresser sa queue en douceur. La chambre était plongée dans le silence, hormis nos gémissements discrets, et la lumière était feutrée. Je l'ai sucé pendant un moment, je le savourais en gémissant discrètement de plaisir malgré moi. Je pensais que j'allais le faire jouir et j'étais impatient à l'idée de recevoir à nouveau sa dose massive dans la bouche mais il m'a encore étonné par son endurance et il s'est lentement redressé pour placer les mains sur mon dos afin de le caresser tout en les dirigeant plus bas, visiblement pour tâter mes fesses. J'ai rectifié ma position pour qu'il y parvienne. Je me suis rapproché en me mettant à quatre pattes et en remontant les fesses au maximum, j'avais les mains au sol et le visage appuyé contre sa cuisse avec les lèvres contre la surface ferme de son sexe. Alors qu'il était largement penché en avant, j'ai remarqué que l'extrémité de sa queue touchait son torse et qu'il devait sûrement être capable de pratiquer une autofellation. J'ai arrêté de penser à quoi que ce soit lorsque ses doigts sont entrés en moi. Vu la sensation, je supposais qu'il en avait inséré deux. Il s'est redressé pour tendre le bras vers la table de nuit et saisir le flacon de lubrifiant. Pendant ce temps, j'avais placé la main droite sur ses couilles pour en sentir le poids. Il s'est à nouveau penché sur moi et j'ai senti le contact froid du gel sur mon anus avant qu'il y introduise à nouveau ses doigts. La pénétration était très fluide et facile et j'étais impatient de passer à l'étape suivante.

Je me suis redressé, l'obligeant à se redresser lui aussi et à ôter ses doigts. Sans nous concerter et sans le moindre mot, on s'est levés pour que je m'installe sur le fauteuil à sa place. Je me suis placé sur le bord du fauteuil, couché sur le siège avec les épaules légèrement relevées par le bas du dossier. J'ai rabattu mes jambes contre mes flancs en écartant les cuisses pour exposer mon cul au maximum. Il s'est agenouillé en face de moi et a versé un peu de gel sur sa belle queue et sur mon anus. Pendant qu'il se lubrifiait délicatement, je me suis empressé de mettre la main entre mes fesses et d'introduire en moi mon majeur et mon annulaire afin de faire pénétrer le gel. J'admirais la beauté du spectacle que m'offrait sa queue brillante et j'étais plus qu'excité à l'idée de la sentir à nouveau en moi. Alors que je laissais traîner distraitement mes doigts en moi, il a poussé sur la base de sa queue rigide avec le pouce afin de l'orienter vers le bas et de mettre son gland en contact avec ma main. J'ai glissé les doigts hors de mon anus pour saisir son membre et le guider. Dès que ma main a saisi sa queue, il a enlevé son pouce et s'est appuyé avec les mains sur les accoudoirs du fauteuil. J'ai guidé son gros gland entre mes fesses en tâchant de détendre mes muscles et mon périnée. Nos regards se sont croisés et il a affiché un léger sourire à la vue de l'expression de plaisir qu'il a lue sur mon visage lorsque j'ai senti son gland glisser littéralement en moi. J'ai immédiatement lâché sa queue et orienté mon regard entre mes jambes en écartant mes fesses avec les mains pour apprécier la progression de sa grosse bite. En avançant, son gland ouvrait lentement mon anus qui n'opposait presque pas de résistance, j'avais appris à la détendre pour faciliter la pénétration lorsque je m'entraînais avec mon manche à brosse et l'heure qui avait précédée m'avait permis de pratiquer encore davantage ce contrôle, surtout que sa queue était plus épaisse que mon jouet. À mesure qu'il s'enfonçait en moi, mes couilles et ma queue se ratatinaient comme par soumission face à ce géant. Mon corps était couvert de frissons et je sentais sa présence grandir en moi. Lorsque sont gland fut entièrement entré et que mon anus en serrait la base, il s'est arrêté pour me demander s'il pouvait continuer. J'ai affiché un sourire complice tout en contractant et en relâchant mon anus autour de sa queue. Je n'y voyais aucun inconvénient... mon cul et sa queue étaient largement lubrifiés et le mouvement était très fluide et la légère irritation due à l'étirement de mon anus disparaissait déjà à mesure qu'il se réaccoutumait à la taille imposante de son pénis. Il est resté quelques secondes en position afin d'apprécier mes contractions avant de poursuivre son mouvement, j'ai alors pris mon pied à le sentir glisser en moi et à sentir sa présence imposante grandir en moi. La position était confortable et me permettait de faire courir mes doigts sur les pourtours de mon anus étiré et sur la surface chaude de sa queue. Je me félicitais d'être sportif et très souple car mes jambes se détendaient peu à peu et reposaient de plus en plus facilement sur mes flancs, je pouvais profiter de la position confortablement et il ne me restait plus qu'à savourer la sensation qu'il me procurait en m'enculant. Comme tout à l'heure, il était patient et il me pénétrait lentement... même si après le long moment qu'il avait passé à m'enculer profondément, mon cul était beaucoup plus souple et accueillant qu'auparavant. Pour mieux admirer la pénétration, je me suis appuyé sur les coudes en écartant encore un peu les jambes. Elles reposaient à présent sur les bords du fauteuil qui remontaient jusqu'aux accoudoirs. C'était parfait. J'appréciais du regard la vue de mon bas ventre, de mes petites couilles imberbes et légèrement rentrées et de ma queue au repos reposant sur mon ventre, et au-delà sa grosse queue qui progressait irrésistiblement dans mon cul tendre, sa grosse veine gonflée à bloc. Une vague de frisson m'a parcouru et un gémissement de plaisir m'a échappé lorsque j'ai pris la mesure de la situation, il m'enculait à nouveau avec sa queue magnifique, et pour couronner le tout, je ne ressentais cette fois pratiquement aucune douleur alors que l'on venait de commencer. Il avait introduit une grande partie de son sexe en moi quand il s'est interrompu et a changé de position pour s'appuyer sur les pieds, les jambes tendues et les mains toujours appuyées sur les accoudoirs... comme s'il s'apprêtait à faire des pompes entre les bras du fauteuil avec les jambes à largeur des épaules. Sauf que sa queue plongeait dans mon cul qui dépassait légèrement du siège. Pendant qu'il adoptait cette position, j'en ai profité pour exercer mon anus en serrant et en desserrant alternativement sa queue. Nos regards se sont croisés et j'ai tâché d'afficher un regard de supplication pour traduire le désir que j'avais de le sentir entièrement en moi. Nous n'avions pas échangé un seul mot depuis un long moment et il a rompu le silence en me demandant tout bas si je voulais qu'il la mette tout entière. Je me suis contenté de hocher la tête en conservant la même expression. Je venais de commencer à hocher la tête lorsqu'il a introduit le reste de sa queue en avançant les hanches rapidement. Son mouvement m'a arraché un hoquet de surprise en vidant l'air de mes poumons, un gros frisson a traversé mon corps et j'ai senti comme une vague de froid me parcourir, mes yeux se sont fermés instinctivement. Il est resté planté en moi un instant pour habituer mon corps à sa présence et pour me permettre de me reprendre... j'ai ensuite ouvert les yeux lentement pour regarder les siens. Il a pris ça comme un signal et a relevé les hanches pour glisser hors de moi... j'ai gémis lentement et j'ai rejeté la tête en arrière. Il est remonté tellement haut que je pensais qu'il allait sortir mais son gland était encore en moi lorsqu'il s'est arrêté. Arrivé là, j'ai à nouveau regardé vers mon bas-ventre alors qu'il commençait à pousser à nouveau sa grosse queue sur quelques centimètres avant de remonter... et c'est ainsi qu'il a commencé à m'enculer. Il allait et venait lentement et mon cul s'assouplissait au fil des secondes... et à mesure qu'il s'assouplissait, lui entrait plus profondément encore. J'admirais sa longue queue entrer et sortir et son corps délicat brillant de transpiration, ce qui mettait en évidence sa douce musculature, si ce n'était pour la puissance et la taille de son appareil génital, je comprenais que certains le qualifient d’efféminé. Son gland entrait de plus en plus profondément, provoquant une pression très importante dans mon ventre en m'empêchant de respirer convenablement... comme je l'avais fait plus tôt, j'ai synchronisé ma respiration avec son mouvement de piston. Après quelques minutes, il m'enculait sur toute la longueur de sa queue. Lors des premiers mouvements, les sensations étaient trop intenses et j'allais lui demander de progresser doucement mais j'ai fait l'effort de ne pas l'interrompre et je me suis vite habitué en libérant cette intensité en gémissant et en expirant bruyamment. Il m'a enculé pendant un bon moment en alternant le rythme et la profondeur. Il remontait parfois jusqu'au bord de mon anus avant de replonger dedans et lorsque sa queue manquait son entrée et glissait vers le bas, je la saisissais pour guider son gland au bord de mon anus afin qu'il glisse à nouveau en moi. Pendant tout ce temps, mon regard se perdait dans le vide et je devais les fermer malgré moi lorsqu'il la mettait entièrement. Il ne pouvait pas continuer indéfiniment dans cette position, malgré sa bonne condition physique... et ses mouvements se sont ralentis peu à peu jusqu'à ce qu'il se remette à genoux devant le fauteuil. Toujours avec une partie de sa queue en moi, je me suis légèrement avancé en dehors du fauteuil pour faciliter la tâche. Je me suis redressé sur les coudes et il a placé les mains sur l'intérieur de mes cuisses pour s'y appuyer et me maintenir en position, les jambes bien rabattues contre mes flancs et bien écartées. Il a repris ses va-et-vient en s'amusant beaucoup plus souvent à ressortir entièrement sa queue pour laisser mon cul ouvert. À sa deuxième sortie, j'ai passé les doigts à la périphérie de mon anus pour remarquer que lorsque je le contractais, il ne se refermait pas totalement, tellement sa queue l'avait dilaté. Il déposait alors son gland à l'entrée pour entrer sur une dizaine de centimètres avant de ressortir et d'observer l'ouverture de mon cul et ses palpitations volontaires. Il déposait à nouveau son gland à l'entrée, je relâchais mon anus au maximum pour l'accueillir et il glissait à nouveau à l'intérieur. Pendant ce temps, j'observais son visage pour saisir ses expressions de plaisir lorsqu'il entrait en moi. Après un petit moment, nos regards se sont croisés et il a commencé à m'enculer plus vigoureusement sans me quitter du regard. J'ai dû saisir le dossier du fauteuil en relevant les bras derrière la tête pour stabiliser ma position et j'ai soutenu son regard en désirant son sperme. Ses coups de bites devenaient plus rapides et plus puissants, chaque coup de rein m'arrachait un puissant gémissement en vidant mes poumons. J'avais de plus en plus de mal à gérer le rythme et la force avec laquelle il me la mettait mais j'ai résisté à l'envie de lui demander d'arrêter. Tandis que ses mouvements accéléraient, il a chuchoté qu'il allait bientôt éjaculer, il a souri mais j'étais trop occupé à me prendre ses coups de queue pour le lui rendre, pour toute réaction je ne faisais qu'expirer bruyamment lorsque ses couilles venaient frapper ma peau et je le regardais avec une expression de désir et de soumission. Il a posé les mains dans l'intérieur de mes cuisses pour reprendre sa position précédente et s'appuyer sur les pieds. Après quelques aller-retour, je prenais ses coups de bite parfois douloureux en silence en le regardant dans les yeux et en attendant qu'il jouisse. Nos regards se sont croisés et j'ai esquissé un petit sourire complice comme pour lui signifier que j'étais à lui. Il m'a encore pistonné quelques secondes jusqu'à ce que je sente le moment s'intensifier et son corps se raidir, il est alors rapidement sorti de mon cul en se redressant, j'ai immédiatement suivi le mouvement en glissant hors du fauteuil jusqu'au sol. En moins d'une seconde, je me suis retrouvé en face de lui, dominé par sa longue queue dressée qui a aussitôt commencé à éjaculer. Il ne se stimulait même pas avec les mains qu'il avait placées sur ses fesses. Une puissante tension a secoué sa queue et de son gros gland rond, lisse et brillant s'est écoulé un sperme léger qui commençait à s'écouler le long de son membre lorsque ce dernier a sursauté pour éjaculer une grosse dose de sperme qui est venue s'écraser bruyamment sur le parquet et en partie sur ma cuisse alors qu'une nouvelle contraction de son périnée préparait toute sa queue à expulser une deuxième dose qui suivit le même chemin. Un filet de sperme continuait également de couler le long du tronc jusqu'à ses couilles d'où il tombait ensuite en gouttes épaisses. Il avait les mains derrière le dos, ses hanches vers l'avant, et sa queue rigide et dressée en avant était tellement longue et gonflée qu'elle ne paraissait pas lui appartenir totalement et qu'il assistait comme moi au spectacle de son orgasme comme un spectateur. Malgré ses 19 ans, il avait un sexe qui aurait forcé le désir de n'importe qui. J'étais fasciné et hypnotisé par la puissance qui émanait de cette énorme bite d'où s'écoulait ces grosses éjaculations malgré ses deux précédents orgasmes. Elle remuait dans le vide en évacuant son sperme sans qu'on la touche. La sensation de poids et de puissance qu'elle irradiait donnait l'impression que son orgasme se déroulait au ralenti. J'ai admiré sa queue éjaculer à 4 reprises et le bruit que provoquait son sperme épais lorsqu'il percutait le plancher et mes cuisses accentuait mon admiration. La cinquième éjaculation était moins abondante et s'est écoulée le long du tronc jusqu'aux testicules, j'ai alors arrêté de résister et je me suis redressé pour lécher son énorme queue depuis ses couilles jusqu'au gland afin de récupérer tout le sperme que je pouvais en l'accumulant sur ma langue, je suis arrivé au gland juste au moment où il se contractait pour éjaculer à nouveau, j'ai pris son sexe à pleine bouche à temps pour savourer la fin de son orgasme. Dans la chaleur de ma bouche, ma langue caressait la surface lisse de son gland et me permettait de sentir un léger filet de sperme chaud s'en écouler pour remplir ma bouche. Il avait terminé et sa queue commençait à débander, j'ai laissé sortir son sexe de ma bouche jusqu'au bord de mes lèvres afin de fermer les mâchoires et avaler.

Je l'ai aussitôt aspiré à nouveau pour le sucer tendrement en saisissant ma queue pour me masturber. La sienne s'est échappée de ma bouche lorsqu'il s'est légèrement avancé pour me permettre de le sucer plus confortablement. Elle avait débandé et pointait vers le bas en appuyant contre ma joue. Elle était au repos mais je prenais tout de même mon pied à l'embrasser. En me masturbant, je léchais sa grosse bite en la faisant bouger avec mon visage, je suçotais son gland puis j'embrassais ses grosses couilles. J'étais amoureux de son sexe et je ne la quittais pas des yeux. Mon orgasme est monté rapidement, j'ai aspiré sa queue dans ma bouche pour lécher son gland et j'ai joui en gémissant de plaisir avec la bouche ouverte, la présence de sa queue rendait ma voix légèrement étouffée, ce qui rendait la scène encore plus excitante. Lorsque mon orgasme s'est achevé, il s'est reculé pour sortir de ma bouche, en demi-érection. Le fait que j'aie joui avec sa queue en bouche devait l'avoir excité. Il l'a saisie pour se masturber en me présentant le spectacle de ses couilles qui rebondissaient au rythme des mouvements de sa main. Je suis aussitôt allé les lécher. J'ai aspiré l'une de ses bourses dans ma bouche et j'ai regardé vers le haut pour remarquer que sa queue prenait déjà de belles proportions. Après quelques minutes passées à le lécher, il m'a invité à me relever en effleurant mon bras et en me guidant vers le lit. On n'avait pas besoin de se dire quoi que ce soit pour comprendre nos désirs. Je me suis aussitôt placé à quatre pattes sur le lit en souriant malgré moi et en offrant ma croupe. Son endurance était un véritable cadeau. Il allait encore me la mettre. Je l'ai senti se placer derrière moi avant de sentir le contact froid du gel sur mon anus. Il s'est ensuite servi de sa queue pour me tapoter les fesses et j'ai affiché un grand sourire en appréciant son poids en notant que son érection était moins intense qu'auparavant, il commençait donc malgré tout à fatiguer. Je me suis ensuite concentré sur mon anus pour l'ouvrir et le préparer à la pénétration. D'une main il se caressait pour améliorer son érection et de l'autre il serrait ma fesse gauche en la tirant légèrement vers l'extérieur pour ouvrir mon cul. Je me suis retourné pour le regarder lorsqu'il a posé son pouce à l'entrée de mon anus. Je me suis concentré pour l'ouvrir tandis qu'il pressait lentement sur le côté. Cette légère pression m'a permis de mieux avoir conscience de la zone et mon anus dilaté s'est largement ouvert, la sensation m'a poussé à gémir de plaisir et de surprise. J'ai perdu le contrôle et mon anus s'est automatiquement contracté pour se refermer. Il avait les yeux rivé sur mes fesses et je me suis concentré sur mon anus pour le détendre, j'ai réussi à reprendre le contrôle et j'ai soupiré de plaisir en sentant mon cul se détendre et s'ouvrir largement. Il a introduit son gland en moi en fermant les yeux, le visage détendu par le plaisir. Son sexe a glissé en moi comme un piston bien huilé jusqu'à ce que ses couilles fassent pression dans mon entrejambe. J'ai soupiré en souriant à l'idée que mon fantasme s'était plus que réalisé, après m'être de nombreuses fois masturbé en m'enfonçant un grosse manche de brosse dans l'anus, je venais de passer un long moment à me faire enculer par un dieu du sexe et son énorme queue et j'avais même avalé son sperme. Et ce n'était pas terminé, même si sa queue n'était pas aussi rigide qu'au début, son érection était largement suffisante. La position en levrette ne provoquait plus aucune sensation de douleur ou de gêne. Les minutes qui ont suivi étaient fantastiques... il m'a baisé un long moment, parfois lentement et profondément, parfois plus rapidement. À plusieurs reprises, il a saisi ma taille pour m'enculer à un rythme très soutenu, en me pénétrant profondément avec des coups de reins puissants. Je sentais mes fesses rebondir et ses couilles venir frapper mon périnée tout en écoutant le bruit de nos corps qui s'entrechoquaient. Je ne pouvais pas m'empêcher d'expirer bruyamment à chaque coup de bite. Il ralentissait ensuite pour revenir à un rythme plus doux. De temps en temps, il plaçait ses mains sur mes fesses pour les écarter en glissant sa queue totalement hors de moi et observer mon anus béant que je m'amusais à faire palpiter pour l'inviter à revenir, je le sentais alors guider son gros gland pour replonger en moi en douceur. Là je ne gémissais plus et je recevais ses coups de bite en silence en souriant parfois lorsque je réalisais l'expérience unique que j'étais en train de vivre en tâchant de mémoriser chaque détail. Je me suis laissé enculer docilement sans prendre conscience du temps qui passait. Mon corps était tellement sollicité que j'étais moite de transpiration. On était tous les deux perdus dans notre monde, dans une transe sexuelle, lorsqu'on a entendu la porte d'entrée se fermer... ses parents venaient de rentrer. Le bruit nous a extirpé de notre transe en une seconde pendant laquelle on est restés immobiles. Je n'ai même pas senti sa queue glisser hors de moi tellement on a été rapide à réagir. On s'est rhabillés à toute vitesse, il a rangé la bouteille et son flacon de lubrifiant pendant que je nettoyais avec des mouchoirs en papier les traces de sperme et le sperme qui gisaient au sol et sur le bord du fauteuil. Il a rallumé le téléviseur en branchant la console et je me suis nettoyé le visage pour éliminer les éventuelles traces de sperme qui subsistaient. Une fois que tout était en ordre on s'est installé sur le fauteuil et sur le lit pour lancer un jeu. Après quelques secondes, la panique s'est estompée et on a commencé à rire de soulagement en jetant des regards alentours pour vérifier qu'on n'avait laissé aucun indice suspect. Sa mère est venue frapper à la porte après quelques minutes.