Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. III

- Par l'auteur HDS ANDRERP95 -
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Récit libertin : Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. III Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. III
FATALISME QUATRE
J’arpentais le parc dans la nuit sans succès jusqu’à la sortie opposée. Là, à ma droite derrière un grand buisson j’ai entendu ma femme gémir doucement. Je me suis approché. Je voyais les taches plus claires de sa robe dans les trouées des feuilles.
Au détour du sentier, je les ai vu. Lui assis sur un banc de pierre, les jambes tendues et largement écartées. La braguette ouverte. Margot était assise sur lui, entre les jambes de ce jeune mâle, bien cambrée, la jupe autour de la taille. Elle ondulait lentement du bassin. Je distinguais la base du sexe et les couilles de Kemb. J’étais fasciné et hébété. Ma femme était empalée sur le sexe de ce mec. Dans le parc de la mairie. En plein centre-ville, au milieu de nuit.
Baisée par son amant !
Elle m’a vu. M’a tendu sa main droite:- Viens Didou... Viens Chéri... C’est bon...
Je ne la reconnaissais plus. Elle si prude. Si BCBG. En train de se faire enfiler dans le parc de la ville où on habitait. Pouvant être découvert par n’importe quel noctambule.
Mais, je bandais alors que j’aurais dû la gifler.
Je me suis approché en tremblant face à elle. Je voyais parfaitement les petites gouttes de sueur, les crispations de son visage quand il s’enfonçait dans son intimité offerte.
- Regarde ta femme mon pote. Regarde comme elle prend son pied. Dans les chiottes j’ai pas eu le temps de la faire jouir. Je vais me rattraper. Elle le mérite. C'est une bombe au lit. Pas comme toi à ce qu'elle me dit.
Les mots faisaient mal. Ce que je voyais aussi.
Elle avait la robe retroussée autour de sa taille. Ses jambes largement ouvertes entre celles de son amant. Sa toison pubienne à l’air. Ses poils brillaient sous la lune, collés par son liquide intime.
Margot à mis la main sur ma braguette. J’ai rien dit. C'était surréaliste ce que nous faisions! Elle a libéré lentement mon sexe pour le prendre en bouche. Directement.
- Ma parole ça te fout une bonne gaule de voir ta femme se faire astiquer man.
J’avais honte. Mais je laissais faire. Margot me suçait vachement bien. Mieux que d’habitude et elle arrivait à onduler en même temps sur la bitte de Kemb. Il lui claquait doucement les fesses à chaque poussée.
- T’as du pot man. C’est vraiment une baiseuse hors pair ta femme.
Il a accéléré le rythme. Margot sursautait à chaque coup de boutoir. Mais elle me gardait en bouche.
- Putain ! Çà vient, je vais bien te remplir ma Gazelle.
Je n’arrivais plus à retenir moi non plus. Margot à gémis très fort sans lâcher mon sexe. Nous avons joui pratiquement les trois ensembles.
- Vas-y! Bois à fonds ton mec. Lui aussi a le droit de jouir. Puisque il aime ça être cocu..
Margot à tout bu. Je suis sorti immédiatement de sa bouche pour me rajuster. Elle s’est levée. J’ai pas pu voir le sexe de Kemb. J’avais honte de ce que je venais de faire avec eux. Margot avait la chatte poisseuse. J’ai tendu un mouchoir vers ma femme.
- Non laisse. Elle aime sentir mon jus qui coule.
Je ne savais ni quoi dire, ni quoi faire. Kemb s’est levé.
- Bon je vous laisse. Je suis sûr que vous avez plein de trucs à vous dire. Merci pour la soirée.
Il a claqué les fesses de ma femme, n’a pas hésité à lui rouler un patin d’enfer devant moi avant de partir en sifflotant.
Nous sommes rentrés sans parler. Côte à côte comme des inconnus. J’imaginais le jus en train de couler entre les cuisses de ma femme. J’avais été lâche et j’avais participé.
A la maison, elle a été directement dans la salle de bain.
J’ai pris un coussin et une couverture pour m’installer sur le canapé. Je me suis couché en slip. J’essayais de revivre cette soirée complètement folle, mais je n’y arrivais pas. Mon esprit refusait les images.
Margot était dans l’encadrement de la porte vêtue de son déshabillé. Je voyais ses courbes si belles en contrejour. J’avais une boule dans la gorge.
- Tu veux pas venir dormir avec moi Didou?
Sa voix était si douce, implorante.
- Je préfère dormir ici.
La mienne manquait d’assurance.
- Viens Didou. Je t’en prie... J’ai froid sans toi... Je vais t’expliquer.
- M’expliquer quoi? Que je suis cocu? Que ma femme est une salope? Qu’il paraît que c’est une baiseuse hors pair?
Je hurlais des mots qui nous faisaient mal.
- T’es qu’une pute ! Tu m’as trahi ! Une salope qui se fait sauter par un jeune black pendant que je me tue au boulot. ’’Une-Marie-couche-toi-là” qui aime sentir le jus couler..
Elle pleurait et je crois bien que moi aussi. Elle s’est enfuie dans notre chambre Elle a pleuré une bonne partie de la nuit. J’étais paumé seul dans ce salon. Jamais je ne l’avais fait pleurer. Je m’en voulais à mort.

FATALISME ET ACCEPTATION.

Trois mois...
Trois mois que je sais que je suis cocu.
Trois mois de discussions sans fin avec Margot.
Je lui demandais sans relâche des explications. Elle me renvoyait qu’elle avait craqué. Que j’étais jamais là. Qu’elle ne savait pas pourquoi elle avait cédé.
Je la mettais en garde contre ce genre de mecs. Mais Kemb est riche. En train de terminer ses études de médecines dans l'hôpital de la ville.
Je lui demandais cent fois pourquoi.
Elle ne le savait pas elle-même... “C’est venu comme ça Didou...” Je lui demandais de le quitter. Elle ne me répondait pas.
A chacun de mes retours de déplacement, je sentais un changement dans la maison. Ils ne se gênaient plus pour se voir chez nous. Des draps froissés. Des odeurs inconnues. Une brosse à dents cachée au milieu de son linge. Un sac de linge propre et repassé caché dans la cave.
A chaque fois j’encaissais en silence.
Et pour être tout à fait honnête dans ce récit, je suis obligé d’avouer que je ne pouvais pas m’empêcher de penser à eux dans mes chambres d'hôtel. Et invariablement cela finissait par une masturbation.
Je me complaisais dans cette situation du cocu en rejetant la faute sur elle.
Au lit elle ne se refusait jamais à mes pulsions. C’est moi qui avais honte en pensant que je n’étais pas à la hauteur. Pourtant il me semblait qu’elle jouissait comme d’habitude. Sa docilité à répondre à mes caprices sexuels m’excitait me surprenait et m’énervait.
Je savais qu’elle n’aimait pas trop prendre mon sperme dans la bouche. Maintenant, elle le faisait sans problème en avalant jusqu’à la dernière goutte. Et après m’avoir sucé et léché le temps que je voulais. Cela me rendait fou de jalousie parce que je me doutais bien que c’est lui qui l’avait convaincue.
Un soir, je me suis collé contre son dos pendant qu’elle lisait couchée sur le côté gauche. J’avais la bitte dure et j’étais très énervé car je venais de découvrir une minijupe que je ne connaissais pas dans sa garde-robe. J’ai remonté sa chemise de nuit au-dessus de ses fesses. Elle a posé son livre sur sa table de chevet et éteint la lumière sans rien dire. Elle est restée dans cette position cul dégagé et fesses offertes sans bouger.
J’ai salivé mes doigts pour lui mouiller la raie. Margot n’aime pas la sodomie. C’est une pratique entre nous qui est restée exceptionnelle. Au début j’avais essayé bien sûr, mais devant son manque d'excitation et sa douleur j’ai vite abandonné cette pratique. Cela ne me manquait pas.
Mais cette nuit, je voulais l’enculer. Comme pour lui faire mal ou la punir. J’ai mouillé sa raie à fond, m’attendant à une rebuffade ou à un “pas ça Didou s’il te plaît’’ Mais elle n’a rien dit. Même quand mon gland à buter contre son anus. Je l’ai ceinturée par la taille. J’ai bien calé mon sexe avant de pousser d’un coup de rein. C’est entré sans trop de problème. Elle a un peu sursauté. Pas le moindre gémissement. Pas la moindre crispation de douleur. Ses fesses ont avalé ma queue dans sa totalité. J’étais content de moi. Content d’enculer ma femme. Content qu’elle soit enfin réceptive.
Et j’ai brusquement compris.
- C’est pas vraie Margot! Il t’encule comme une pute.
Je l’ai pilonnée de toutes mes forces. Je voulais lui faire mal. Elle était inerte.
- Tu vas voir. Moi aussi je sais t’enculer. Avec moi tu ne voulais pas.
Je lui cassais le cul de toutes mes forces, sourd à ses sanglots étouffés.
Je me suis vidé dans ses reins. Elle a quitté le lit en larmes.
- T’es un salaud.
Elle avait raison. Un salaud et un con...
Je n'étais plus maître de mon comportement.
Je l’ai retrouvé dans la salle de bain en train de faire une toilette intime. Je me suis excusé, lui ai murmuré des mots tendres. Elle m’a fusillé du regard:- Oui André, il m’encule. Et avec lui j’aime ça et je jouis. Je lui demande même... Et je ne compte pas le quitter.
Je suis resté assommé... Douleur. Colère. Honte.
Nous ne nous sommes plus parlé de la semaine. Juste le strict minimum devant les enfants.
Le vendredi de la semaine suivante, je rentrais de déplacement. Nous étions couchés. J’ai voulu la lécher. Elle n’a pas voulu. Pourtant elle adore ça. J’ai insisté pensant qu’elle était encore fâchée. Elle a enfin écarté ses jambes. Je me suis précipité pour enfouir mon visage dans sa moiteur.
Mal m’en a pris. Elle mouillait beaucoup. Trop...
J’ai vite compris que ce n’était pas seulement sa cyprine que je buvais. Cela m’a dégoutté et excité, mais j’ai été jusqu’au bout. C’était pour moi une manière de me faire pardonner. Une rédemption.
Elle m’a laissé faire. Elle a crié sa jouissance en se cabrant. Puis une fois calmée, elle a pris ma tête entre ses seins pour me murmurer tout bas:- Pourquoi tu as fait ça Didou?
- Je t’aime très fort..
- Il était ici tout à l’heure.
- Je sais. Et il a joui dans ton ventre.
Elle avait compris que j’avais compris.
- Pourtant t’as été jusqu’au bout. C’est dingue, j’ai joui comme une folle en pensant à ce que tu faisais.
Silence pesant...
- Et lui?... Tu l’aimes?...
Silence interminable. Son cœur bat fort contre ma joue.
- Non. Mais il me rend folle.
- Ou on va là Margot? Tu te rends compte de ce qui se passe?
- Je ne sais plus Didou.
- Il ne met pas de capote ? Tu acceptes comme avec moi ?
- Il est médecin Didou…. Et j’adore bien le sentir. Je sais plus Didou.
Moi non plus je savais plus. Je me suis endormi. Je venais de boire les restes de sperme de son amant. J’étais cocu et je sentais bien que rien ne pourrait faire changer d’avis ma femme.

oooOOOooo
Alors le lendemain sans le dire à Margot, j’ai été au domicile de Kemb. Je savais qu’il louait une chambre dans le local de l’association.
J’ai demandé le chemin à un jeune qui traînait dans le couloir.
- C’est au fonds à gauche Monsieur... Mais il doit dormir, il a fait trois jours de garde.
La porte n’était pas fermée. J’ai poussé doucement. Il était là endormi et nu, dos à moi. Quand je l’ai vu. J’ai compris pourquoi Margot était folle de lui. J’étais troublé. Il se dégageait de ce corps une puissance et une sérénité incroyable. Je suis reparti sans le réveiller.
Ma décision était prise. Il fallait crever l'abcès. Le plus vite possible. Et je me sentais le courage de les affronter les deux. Je suis retourné à la maison. Margot était en train de passer l’aspirateur.
- Fais toi belle. J’emmène les enfants chez mes parents… Et invite le.
Je me suis sauvé sans lui laisser le temps de répondre.
A mon retour, Margot sortait de la douche. Elle a enfilé un slip.
- Tu l’a invité?
- Oui. Il dormait. Mais pourquoi ?
- Chut...
Je l’ai gentiment poussée sur le lit. Elle s’est couchée sur le dos. Elle était sublime.
Magnifique.
Envie de lui faire l’amour immédiatement...
Envie de lui parler de mes projets pour ce repas.
Mais non... Patiente... Je regardais ce corps avec envie.
Je savais que je ferais ce qu’elle voulait et que j’irais au bout de l’expérience. J’avais le secret espoir de gagner le combat que j’allais livrer contre l’amant de ma femme- Alors il vient?
- Oui. Mais il est surpris... Moi aussi.
- Nous verrons bien ou cela nous mènera.
- Tu es sur de ce que tu veux Chéri???
- Oui. Je suis sûr. Pourquoi tu mets une culotte?
Complètement décontenancée, elle a sursauté- Enlève la. Il faut aller jusqu’au bout maintenant- C’est bien lui quii souhaite que tu ne portes pas de culotte en sa présence non ?
- Mais ce n’est pas pareil!
- Ah bon qu’est ce qui changé ?
Elle m’a regardé troublée et a lentement enlevé son slip.
- Comme ça ? ?
- Oui. C’est parfait. Enfile une robe. Je descends préparer l’apéroJ’ai quitté la chambre.
Je bandais. Je me sentais soulagé. Soulagé, triste et inquiet.
J’ai mis la table. Elle m’a rejoint. Sa jupe flottait autour de ses jambes. Et un chemisier blanc moulait son buste. Je la sentais nerveuse. Très nerveuse. Comme moi. Nous nous sommes embrassés. Un baiser intense profond. Elle a touché ma braguette.
- Mais tu bandes mon cochon.
J’ai passé une main sous sa robe, directement au contact de sa grotte.
- Il me semble que toi aussi tu es excitée. Tu n’as pas mis de soutien-gorge?
- J’ai pensé que c’était mieux.
- Tu as raison ! Que ta robe.
Nous finissions les préparatifs quand le carillon de la porte a retenti.
- Vas lui ouvrir.
J’avais la gorge sèche. Mes mains tremblaient.
Il était là. Dans l’encadrement de la porte. Grand sourire carnassier.
- Salut mec.
- Bonsoir- Il parait que t’es passé me voir. Fallait me réveiller.
- C’est vrai Didou ?
- Pas grave. Assieds-toi. Tu bois quoi ?
- Jus de fruit.. Margot sait que je ne bois pas d’alcool.
Il a éclaté de rire. je n’ai pas compris pourquoi.
Margot lui a tendu son jus de fruit. Il l’a prise par la taille. Elle a voulu se dérober. Il l’a maintenu contre lui.
- Ne sois pas farouche ma gazelle. Pas de faux semblants. Il est cocu et il le sait. Et je suis sûr que si je suis ici c’est parce qu’il croit qu’il va réussir à nous séparer.
Il a plaqué le dos de ma femme contre son torse. Elle me semblait minuscule devant lui. Il me défiait sans retenue.
- Tu as une femme magnifique.
Il lui caressait lentement les seins. Grosses mains noires sur chemisier blanc. Margot ne bougeait pas.
- Et tu ne te rends même pas compte que tu es en train de la perdre.
Il a passé sa main droite sous le chemisier. Elle a laissé faire soumise et consentante.
- Je crois que je l’ai déjà perdue.
Je n’ai pas reconnu ma voix. Les voir ainsi les deux dans notre propre salon me pétrifiait. La situation m’échappait. Mais ce que je venais de dire à mon corps défendant les a déstabilisé.
- Pourquoi tu dis ça Didou ? Ne dis pas cela ! C’est pas vrai !
- Regarde toi ma puce. Tu es avec ton amant devant moi, en train de te faire peloter les seins et tu ne veux pas le quitter.
Kemb a pris la parole.
- Margot m’a dit que tu es du signe du bélier, moi je dirais plutôt que t’es un mouton.
Il a ouvert les boutons du chemisier. Ma femme ne bougeait pas. Les grosses mains noires ont empaumé les deux seins. Complètement figé, je regardais le spectacle.
Je me suis aperçu que je bandais en les regardant. Comme dans le parc.
Il lui a mordu le lobe de l’oreille avant de lui chuchoter un truc que j’ai pas compris. Margot a fait non de la tête. Il a insisté en la poussant vers moi. C’est lui qui lui a pris le poignet pour plaquer sa main sur ma braguette.
- Tu vois j’avais raison ma gazelle. Ton mari aime cette situation même si il ne le sait pas encore. Moi aussi je bande.
Il lui a dégrafé la jupe qui est tombée en corolle autour des jambes.
- T’es un drôle de mari toi pour admettre que ta femme soit à poil sous sa jupe quand elle reçoit son amant. Je suis sûr que c’est toi qui a voulu.
Margot a ouvert mon zip. Puis ma ceinture. J’arrivais pas à reculer. Elle a plaqué sa bouche contre la mienne. Mon pantalon est tombé sur mes chevilles. Kemb lui a ôté son chemisier. Elle était nue entre nous en train de m’embrasser à pleine bouche. Tout à ce baiser j’ai pas eu le temps de réagir quand Kemb a dit:- Vas-y ma gazelle regarde ce qu’il a dans le slip.
C’est son amant qui a baisser mon slip par surprise. Ma queue s’est tendue raide contre le ventre de ma femme.
- Vas-y ma gazelle suce ton mari devant moi. J’adore ça.
Ma femme l’a fait sans hésiter. A genoux entre nous deux.
C’était ou un rêve ou un cauchemar.
Elle a ouvert la braguette de son amant. Il ne portait rien en dessous. Sa bitte a surgit du pantalon. Sentiment d’humiliation quand je vois l’engin. Plus gros que le mien.
Elle a commencé à le lécher tout en me branlant. Puis elle a pris le gland en bouche. On la regardait faire. Elle alternait entre nos sexes. Je voyais ses lèvres distendues encercler la hampe de son amant puis venir lécher mon gland ou mes couilles. J’avais du mal à contenir mon excitation. Je ne voulais pas jouir. Je me laissais sucer. Je la laissais sucer son amant.
Kemb s’est complètement déshabillé. Moi aussi. Nous étions les trois nus.
Ce fut notre premier trio.
Nous venions de trouver la solution.
Pas celle que j'espérais. Mais la bonne quand même.
J’admettais la situation.
Il y eu d’autres trios.
Je pensais que l’on avait atteint un point d’équilibre.
Je me trompais lourdement....

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