Femme BCBG, escorte, non, pute… (106)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (106) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (106)
Elle se lève et au moment de passer près de moi elle m’embrasse et subrepticement me glisse.

• Merci pour cette nuit, installe-toi, je reviens.

Je m’allonge dans un transat comme elle me l’a proposée, mais avant j’enlève mon chemisier et présente mes seins nus au soleil, la situation de cette terrasse bien isolée des regards des autres en d’autres temps qui va revenir bientôt mon indisposition étant très courte je me serais entièrement dénudée.

Quand elle revient, je commence à siroter mon verre qu'elle a joliment décoré.
Nous buvons nos cocktails tranquillement, Katia comme moi a enlevé le haut, Ophélie est nue.

• Je peux te poser une question.
• Bien sûr, je n’ai aucun secret pour toi.
• Tu en es ou de tes études.
• Comme je te l’ai dit, j’attaque ma troisième année pour être ingénieur en informatique.
• J’ai eu une idée qui va peut-être voir le jour et qui peut nous rapporter gros à toi comme à moi ou plutôt avec la couverture de notre organisation.

Suivent des explications sur mon idée.

• Si vous êtes d’accord, je peux dès maintenant prendre en main la mise au point de ton projet surtout si je travaille avec l’informaticien qui gère déjà votre site.
De plus, à partir de cette année, je dois trouver un stage dans un service ou une entreprise, il pourrait être mon tuteur.
• Merci mon cœur, je te tiens au courant mais je suis sûr que notre rencontre va être fructueuse.
Préparez-vous ?
Nous allons au restaurant et nous ferons un après-midi de shopping à Royan.
Je dois passer un coup de téléphone.
• Oui, attend nous, en buvant ton rafraîchissement.

Elles partent dans la villa se préparer, pendant leur absence, j’appelle Frédéric.
Villa fermée nous redescendons jusque chez moi où je me change puis nous rejoignons Nausicana. Fred et Fred sont déjà arrivés et on réussit à avoir une table à l’extérieur.

Je leur présente Ophélie, l’œil de chasseur de Frédéric s’allume.
Pas touche mon grand, je veille sur la rondelle de la grande que je veux vierge de toutes pénétrations, j’ai d’autres ambitions pour elle surtout si elle est du voyage à Moscou.
Je profite de l’absence de Katia pour leur expliquer que je pense à Ophélie pour nous aider à régler mon projet.

• Très bonne idée, Mademoiselle !
• Appelez-moi Ophélie monsieur.
• Pas monsieur, Frédéric et ma femme Frédérique aussi !

Quel vieux cabot, il aime toujours jouer son rôle.

• Je vous ai vu à la télé depuis toute petite.

Frédérique est hilare.

• Bien joué Ophélie, à force de vouloir te la péter, tu viens de prendre un coup de vieux.

Fred beau joueur nous invite, le déjeuner est à ses frais.

• Ophélie avez-vous un passeport ?
• Oui, pourquoi ?
• Êtes-vous libre le 25 septembre pour trois jours ?
• Oui, mes études débutent en octobre.
• Nous vous emmènerons avec Magali.
• Pas Magali, Christine, tu vois que tu es vieux, tu te trompes dans les prénoms.
• Excusez-moi, oui Christine, nous vous emmenons pour une destination surprise.

Katia arrive, elle reconnaît Fred perfide Frédérique en regardant son mari, glisse.

• Demandes-lui si elle t'a reconnu !
• Une baffe par jour ça me suffit, malgré tous les travers accumulés au fil de notre vie, terminé maso pas pour moi.
• Je vous reconnais, vous êtes présentateur à la télé, je vous regarde depuis que je suis toute petite.
• Toc, deux à zéro, bien jouez mademoiselle.
• Pas mademoiselle Katia !

Tout le monde éclate de rire sauf Katia.
Pourquoi ce quelle a dit nous donne autant le fou rire, nous seuls comprenons c’est simplement une histoire de prénom !
Le repas se passe dans la bonne humeur, Frédéric remarque que des passants se posent des questions en le voyant.
Il profite du soleil qui nous inonde malgré les parasols pour mettre lunette et casquette qui lui assure l’anonymat.
Quand ils savent que j’ai promis aux filles d’aller faire du shopping à Royan, Frédérique nous propose de nous emmener avec sa voiture.

• Elle est belle, elle est ancienne.
• Non, elle est comme nous, c’est un modèle Jaguar des années 60, une pièce de musée.

L’intérieur luxueux tous en cuir et bois exotique, elle a relevé la capote de la voiture bien sûr et cheveux au vent, nous traversons St George de Didone sous le regard de tous les passants admiratifs de la voiture et de ses occupantes.
Voiture garée, nous passons devant l’institut qui nous a épilés au laser, j’en profite pour lui demander l’adresse de l’institut à Paris pour faire le deuxième traitement prévu un mois après le premier.

• Tu nous y emmèneras Christine.
• Toutes les deux ?
• Oui.

Nous remontons jusqu’au sexe-chop, la porte franchie, le gérant me reconnaît.

• Vous me reconnaissez.
• Oui, j’ai vu monsieur Albert la semaine dernière, il m’a dit beaucoup de bien de vous !

Ou il se fout de ma gueule ou il ne veut toujours pas passer pour un Provincial qui hors du coup de qui est monsieur Albert.

• Je parie que vous venez, voir mes guêpières. Je viens d’en recevoir d’une maison parisienne tout en dentelle.
• Oui, pour Ophélie.
• Mademoiselle si vous voulez bien me suivre.

Frédérique prend l’affaire en main, entièrement en main, car elle déshabille la grande en profitant pour la caresser chaque fois qu’elle la touche.
Ophélie semble sensible à ses attouchements malgré la grande différence d’âge.
Si cela continue, Ophélie va faire connaissance avec les grandes eaux de notre amie.

À la caisse, elle tient personnellement à lui offrir ses achats, la grande tient à la remercier et plaque un baiser très près de la bouche pulpeuse de Fred.

• Fred, je veux éviter d’être disgracieuse par ma question, mais comment fais-tu pour avoir une bouche sans ride ?

Depuis que je la connais, je me suis toujours posé la question !

• Le Botox est un produit très efficace pour obtenir ce résultat. De fréquentes petites piqûres sont nécessaires tout autour de ma bouche.

Avant de rentrer, je tiens à offrir un ensemble à la hauteur de leur beauté à chaque fille, elles tiennent à ce que j’en prenne une identique.

• Nous les porterons quand nous irons te faire perdre ton pucelage.

Après avoir pris un rafraîchissement pris sur le bord de mer, nous rentrons.

Le samedi une grande partie de nos amis partent le soir vers Saintes où Alain a trouvé l’adresse d’un club échangiste et dont il a eu des renseignements lui vantant la qualité de l’établissement.
Pour leur dernier jour Frédéric et sa femme les accompagnent malgré ses craintes, Fabienne lui a prêté ses grosses lunettes de mégère qu’elle avait en arrivant et qui sont à verre neutre.

Comme un petit garçon qui retrouve son ancien jouet, la décision qu’il a prise le ramène au temps de son mariage avec Frédérique.
Dans leurs premières années de mariages, ils étaient friands de ces soirées ou ils pouvaient laisser aller leur libido exacerbée.
Je préfère rester ici avec Katia, Anne et Adonis.
Informé par une indiscrétion Ophélie un temps tenté reste quand elle sait et comprend que ma condition féminine m’oblige à rester sage.
Je suis contente, car comme pour Katia dont je surveille le pucelage comme de l’huile sur le feu, j’ai la même démarche pour le fondement d’Ophélie qui peut comme à moi lui rapporter de substantielle revenue.
À ces pensées, j’ai l’impression d’être devenue une mère maquerelle surveillant son portefeuille de sexe à la différence que je suis désintéressé et qui souhaite exclusivement le bonheur de mes amies avec en prime un joli capital.
Sindy dort sur son tapis de jeu dans son parc, Anne nous propose une idée.

• Je sais ce que l’on va faire. J’ai vu ce qu’il nous faut dans l’armoire de la chambre du haut, je vais le chercher.

Elle monte et revient avec un vieux Monopoly du temps de ma jeunesse.
Katia nous met la pilule quand nous partons nous coucher, elle a Rues, maisons,
Hôtels et est déjà millionnaire, je lui souhaite que ce soit réel pour elle dans sa vie réelle.

Le lendemain, tous sont rentrés au petit matin, ils dorment dans les différentes chambres à leurs dispositions.
En début d’après-midi, Fred et Fred repartent pour Saint-Jean-de-Luz.
J’espère qu’après leur nuit, ils auront bien récupéré même si par l’autoroute la distance est courte.
Nous sommes sages jusqu’au lendemain, le temps est à la pluie, mais je tiens à faire profiter tous des grandes marées pour aller au pont du diable chercher des coquillages.
Des différents garages ou des remises des trois maisons plus les affaires trouvées dans les campings nous permettent de vêtir l’ensemble des cueilleurs de coquillages.

• Madeleine va chercher un kilo de sel à la cuisine, j’en achète toujours d’avance !

Étonnée de ma demande, elle va dans le placard chercher ce que j’ai demandé.

• J’avais bien vu toutes tes réserves de sel, je me suis toujours demandé à quoi cela pouvait te servir, tu es absente l’hiver.

Vers 10 heures, nous sommes sur le terrain, de nombreux vacanciers ont eu la même idée, mais la plage découverte par ses grandes marées est assez vaste pour trouver de la place pour tous.
Le plus facile à trouver, ce sont les moules dans les rochers, elles sont deux fois plus petites que quand nous venions avec mes parents.
J’ai laissé des directives à chacun, de cueillir que ce dont nous avons besoin. Il faut savoir partager.
Madeleine qui promène son kilo de sel vient me voir pour comprendre pourquoi elle se balade près de l'eau de mer salée avec du sel.

Je trouve ce que je cherche, les remous et les bulles sortant du sable m’indiquent une présence.
Je lui fais mettre une petite pincée de sel sur le sable.
Presque instantanément, un couteau sort, je l’attrape avant qu’il ne rentre et le met dans mon panier.
Madeleine a compris et rapidement nous pouvons retourner à la villa.
Alain se charge de cuire les moules et les étrilles petits crabes attrapés comme les moules dans les rochers, Christian ouvre les petites huîtres ainsi que les praires. Nous nous régalons tous.
Nous mangeons les couteaux plus plaisants à attraper qu’à manger.
Une certaine torpeur est tombée sur le groupe, il y a bien de-ci de là quelques petites baises entre amis mais la fin des vacances surtout pour Virginie et moi qui vais prendre l’avion demain plombe l’atmosphère…

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