LE REMPLACEMENT. (11x)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE REMPLACEMENT. (11x) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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LE REMPLACEMENT. (11x)
Je vois par son écrit que Nadia la courtisane sait prendre du plaisir avec Natacha la pute du moins c’est ce qui ressort de ce que je lis.

Après une nuit interminable nous venons de prendre une douche nous savonnant mutuellement et relançant nos envies par des caresses sur nos chattes respectives.

De retour dans la chambre nous nous allongeons sur le lit face à face, les yeux dans les yeux, sans un mot.
Elle me caresse les cheveux je caresse sa hanche puis-je lui caresse les cheveux elle me caresse la hanche ce jeu nous amuse et nous continuons plusieurs fois.
Nous restons un long moment ainsi à savourer ce délicieux moment de complicité féminine.
Nous sommes hors du temps tellement nous sommes en osmose.
Nous n’avons nul besoin de paroles, nos simples regards et ces simples caresses suffisent à traduire ce que l’on ressent.

Je suis merveilleusement bien, comblée du plaisir qu’on vient de se donner mais loin d’être rassasiée.

• Nadia j’ai encore faim de toi et de ton corps, tu as fait de moi une nymphomane des plaisirs féminins.
• Je vois que tu as aimé.
• J’ai beau chercher dans ma mémoire tu es la première à m’apporter autant de plaisir et avoir jouis intensément, c’était formidablement bon surtout avec une femme.
• Normal, seule une femme peut faire ces caresses qui te font monter au nirvana car elle les exécute afin que sa partenaire ressente ce qu’elle souhaite ressentir à sa place, me comprends-tu ?
• Oui Nadia et je t’aime.
• Moi aussi je t’aime, mais dis-moi, as-tu encore faim !
• Je meurs de faim et d’amour mon amour !
• Qu’est-ce que tu attends, mange-moi !

Je me lève et glisse doucement au pied du lit.
Je m’approche d’elle.
Je pose mes mains sur ses genoux et les écarte.
Elle résiste un peu, plus par défi que par refus.
Elle cède rapidement suite à la force que j’exerce sur elle mais sans lui faire de mal tout de même.
Ses cuisses s’ouvrent, je vois que ses petites lèvres sont déjà humides.
Cette vision me bouleverse, m’émeut et m’excite fabuleusement, je m’agenouille dans le compas de ses jambes et je m’avance vers son sexe pour une nouvelle fois y poser mes lèvres.
Ma langue s’anime, mes lèvres sucent, lèchent, aspirent comme j’ai déjà vu qu’elle aime que je le fasse.
Elle a été une adorable initiatrices aux jeux de Saphos et je tiens à lui montrer que je suis une bonne élève car j’ai eu une bonne maîtresse dans tous les sens du terme.
J’adore la peau lisse et douce de son pubis et de ses lèvres intimes qui sécrètent maintenant un sublime nectar odorant.
Je la bois, je la titille pendant que mes mains s’égarent sur ses seins.
Cette situation, faire l’amour à la femme dont je suis admirative, me met dans un état second.
Je l’imagine me rendre mes caresses, me rendre mon amour, que j’ai eu le nez creux en venant chercher mon enveloppe de m’asseoir à son côté et aussi que j’ai bien fait de lui offrir cette coupe de champagne qui a déclenché notre promenade, nos premiers attouchements avant de rejoindre cette chambre ou toute ma vie je me souviendrais de ces tentures grenat.

En moins de trois ou quatre minutes, Nadia explose dans un violent et nouvel orgasme.
Me saisissant à la limite de la douleur, elle me plaque la tête sur sa grotte d’amour.

• J’aime, j’aime, continue, que c’est bon, que c’est bon ma petite Natacha chérie, je suis contente tu es aussi douée que je pense l’être pour donner du plaisir à une femme.

Elle me libère de sa foune en me tirant sauvagement par les cheveux, premiers marque de la passion qui nous anime, mais c’est pour mieux plonger son regard dans le mien me montrant les myriades d’étoiles qu’ils dégagent avant dans un mouvement inverse me faire replonger sur sa fente.
Qu’il est bon d’être à ce moment un objet sexuel pour cette femme si jolie qui semble se servir de ma tête et de ma langue comme si j’étais devenue un godemichet.

Quand elle finit par me lâcher je remonte le long de son corps pour poser mes lèvres pleines de sa cyprine sur sa bouche.
Sa langue pénètre dans ma bouche à la rencontre de la mienne, nous échangeons un baiser d’amante et ses mains parcourent mon corps en s’attardant sur mon sexe, mes seins et mes fesses.
Je suis heureuse, c’est la première fois que j’éprouve autant d’amour pour un être qui a les mêmes caractéristiques que les miens.

• J’ai du mal à croire que c’est la première fois que tu fais jouir une femme.
• C’est exact si j’évite de compter mes deux clientes, je t’assure tu es ma première femme, même mon premier amour féminin.

L’émotion est trop forte, j’éclate en sanglots.

• Que t’arrive-t-il, pourquoi pleurs-tu ?
• C’est l’émotion je suis tellement heureuse.

L’émotion doit être partagée et communicative car Nadia fond elle en larmes, chacune émet des sanglots qui nous vont directement au cœur.
Nous restons enlacées à pleurer comme des madeleines en nous serrant l’une contre l’autre.
Au bout de cinq minutes, Nadia s’exclame.

• C’est moi maintenant qui ai faim, peux-tu éviter de bouger !

Je suis sur le dos au milieu du lit.
Elle vient se mettre sur moi tête-bêche.
J’ai son sexe juste à portée de bouche.
Je l’agrippe par les fesses, tire dessus pour la plaquer sur ma bouche quand je sens une bouche ce coller sur mon sexe.
Nadia embrasse elle aussi mon intimité, sa langue titille mon clitoris, pendant que j’en fais de même.
Nous nous suçons, léchons, caressons, je bois à sa fontaine d’amours comme je lui donne à boire abondamment à la mienne.
Nos corps sont à l’unisson, nos cœurs en symbiose.
Je sens cette langue me titiller mon petit bouton, ces dents me le mordiller, ces lèvres l’aspirer.
Je m’abandonne lascivement à mon plaisir qui monte doucement, alors que je pensais avoir atteint la limite de ses envies mon ventre se crispe, mes jambes s’électrisent, mon cœur s’emballe, tout se focalise sur cette bouche qui explore mon sexe.
Pourquoi résister plus longtemps, je me laisse aller à un merveilleux orgasme que je partage avec elle qui jouit une nouvelle fois en même temps que moi ?
Nous jouissons violemment, abondement, je la bois comme elle me boit.
Nous restons un instant sans bouger, je suis anéanti par ce que je viens de ressentir, j’ignore comment une femme ou des femmes en l’occurrence peuvent jouir si intensément que nous venons de le faire, je suis de nouveau au bord des larmes.
Nadia se redresse et vient se coucher sur moi en m’enlaçant.
Elle pose sa tête sur mon épaule, mais très vite je sens qu’elle a des spasmes, je la regarde mieux et je constate qu’elle aussi pleure.
À mon tour, la voyant pleurer mes larmes redoublent, nous nous retrouvons toutes les deux enlacées l’une sur l’autre à verser toutes les larmes de nos corps, mais des larmes de bonheur.
Cela dure quelques minutes, et une fois de plus nous finissons par nous embrasser.
Je la repousse tendrement et je me lève nos corps repus un moment de nos baisers de notre amour !

• Veux-tu une coupette ?
• Bien volontiers, avec toi j’ai des envies permanentes de luxure et des saveurs douces à nos palais.

Assises sur les fauteuils crapaud entourant le petit guéridon, nous savourons, en silence, ce doux breuvage béni des dieux que j’ai trouvé dans le petit frigo mis à la disposition des clients et des clientes qui ont asséché leur corps comme nous de tout le liquide dont nous disposons.
La bouteille trop petite terminée nous frappe d’une crise de rire vite réfréner car elle reprend l’initiative.

• J’ai quelque jouet pour fille ça te dit, tu veux que je te montre.
• Pourquoi pas, mais ce sera la première fois que je m’en servirai ?

Elle se lève et va chercher une trousse dans sa valise qu’elle vide sur le lit.

• Voyages-tu souvent avec ce type d’accessoires ?
• J’en ai toujours dans ma valise ça peut servir.

Je regarde intensément tous ces objets.
Je connais leur existence mais jamais devant moi, il faudra que j’en parle à ma sœur je suis presque certaine qu’elle en a.

• Lequel choisi-tu ?

Après quelques hésitations je m’empare dans gode assez long se terminant à chaque extrémité en forme de gland comme tous les garçons que j’ai eu le plaisir de rencontrer.

• C’est drôle ce truc !
• C’est un double dong !
• On s’en sert comment ?
• Soit seule ou à deux.
Seul il est suffisamment souple pour se plier en deux ce qui te permet de te le mettre en double pénétration, tu vois.
• Oui, un morceau dans la chatte de la fille et l’autre dans son anus.
• C’est cela chatte et cul, soit à deux en se défonçant la chatte en même temps.
• Waouh !
• Lequel ?
• Va pour le double ensemble dans nos minettes.

Je m’allonger sur le dos, jambes ouvertes.

• Laisse-moi faire.

Elle se met entre mes cuisses, se penche sur mon sexe et pose sa bouche dessus.
Sa langue s’active sur son clitoris jusqu’à ce qu’elle coule abondamment.

• Lequel des glands, préfères-tu ?
• C’est drôle veux-tu que nous tirions au sort.

C’est après un grand éclat de rire qu’elle présente un des glands devant ma chatte et l’enfonce doucement jusqu’à la moitié.

• Tu as raison c’est très agréable.
• Je sais, il est de la bonne taille.

Elle se position en face de moi, ses jambes entre les miennes et avance son sexe vers le mien jusqu’à ce que le second gland touche ses lèvres, elle s’empale dessus et l’enfonce jusqu’à ce que nos deux sexes viennent en contact.

• Waouh, je sens ton sexe contre le mien, qu’est-ce que je fais maintenant ?
• Laisse toi faire.

Elle fait onduler son bas-ventre ce qui a pour effet d’exciter nos deux clitoris et de faire bouger le gode dans nos sexes.
J’aime quand je sens d’autres lèvres sur les miennes, sentir qu’un sexe de femme touche mon propre sexe m’excite au plus haut point.
C’est d’autant plus vrai cette fois que le sexe qui touche le mien est celui de cette amie que j’adore.
Je sens la cuisse de Nadia frotter contre mon clitoris et la mienne frotter contre le sien. Ce traitement est très efficace, et nous jouissons très vite.
Nadia s’exprime bruyamment se lâchant sans aucune retenue
• C’est énorme, je jouis, je jouis, encore ma chérie, encore.

Nos corps secoués de spasmes, elle s’applique à me faire jouir de mon mieux, nous partons de concert.
Il nous faut dix bonnes minutes pour revenir sur terre.
Je me dégage, dégage Nadia, jette le gode sur le sol, lui resserre les jambes et viens me coller sur elle.
Nous sommes l’une sur l’autre, peau sur peau, seins contre seins, sexe contre sexe, je passe mes mains derrière sa tête, l’attire à moi en l’embrasse passionnément.
Notre baiser est sans fin, aucune de nous ne veut prendre l’initiative de l’arrêter, ses mains parcourent mon dos, mes fesses, mes cuisses, nos langues se battent, se titillent, se lèchent, s’aiment comme si malgré le bout de la nuit c’était la première fois.
A bout de souffle, je m’écroule sur le côté, mettant fin à ce baiser intense.
Nadia reste inerte, les yeux fermés, le souffle court, un merveilleux sourire sur les lèvres.
Je me penche pour couvrir son corps de baiser, je vais de ses lèvres à ses lèvres en embrassant le moindre centimètre carré de son corps.
Lèvres de sa bouche à ses grandes lèvres.
J’insiste un peu sur les seins, le nombril et surtout sur son clitoris que j’aspire, titille et mordille lui aussi comme si c’était la première fois.
Ce traitement est assez rapide pour la faire repartir dans un autre orgasme aussi bruyant que le précédent.

• Oui chérie, je jouis, je jouis, encore, encore, nous sommes deux folles…

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