Femme BCBG, escorte, non, pute… (109)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (109) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Femme BCBG, escorte, non, pute… (109)
Après avoir dormi chez Livia, la motarde qui travaille pour l’organisation, ce matin, nous sommes allées m’acheter tout le nécessaire pour faire de la moto en toute sécurité.
Hier en revenant d’Orly où elle est venue me chercher, j’ai beaucoup aimé l’air fouettant mon visage grâce au casque à simple visière pour le passager arrière et celui qui venait rafraîchir ma chatte nue sur la selle étant en mini.
Comme elle me l’a dit, l’effet des vibrations avec le cuir réduit leurs effets, mais j’ai tout de même un joli début de jouissance lorsqu’elle monte la côte de Champigny à fond les gaz prenant les virages à la limite du décrochage.
J’ai la frayeur de ma vie, mais une frayeur limitée, car j’ai une confiance absolue en ma jolie maîtresse et au fil des kilomètres je me décontract.
La position que je dois prendre pour aider la moto à monter et surtout à virer ai de plus en plus métrisé.
Je m’accroche encore un peu à Livia, mais je sens que mes bras se crispent de moins en moins.

• Tu jouis, tu veux que j’accélère, il me reste environ trente pourcents de puissance, nous irons sur l’anneau de Montlhéry pour faire du pilotage extrême comme j’aime.

Nous allons à plus de 100 comme sur l’autoroute mais les maisons qui défilent et les voitures qu’elle double me donnent une tout autre impression de ce que peut apporter une moto, une chose me manque l’air sur mon visage car avec mon casque intégral le vent sur mon visage est plus qu’atténué.
Pour me parler, Livia doit crier, mais notre matériel est de qualité et je l’entends bien.
Dans un virage qu’elle prend à la corde, je suis dans l’obligation de serrer son sein.

• Oui, chérie, arrache-moi les seins, ils sont à toi, tu me les rendras lorsque nous serons arrivés.

Elle est sûrement venue chez Valérie, car elle s’arrête pile devant le portail et la villa qui semble être désertée, il est drôle que depuis que j’habite ici nos vies soit toujours séparé.
Je récupère mes clefs dans ma valise.
Comme je le pensais Valérie est absente et il semble que deux personnes aient dîné près de la piscine dans la soirée sans débarrasser.
Il est treize heures, j’ai rendez-vous à 14 heures non loin d’ici aussi dès que nous sommes dans ma chambre, j’enlève ma combinaison demandant à Livia de faire de même.

• Tu connais, tu es déjà venu dans la piscine de Valérie.
• Non, je suis venu porter des papiers deux fois, mais elle était en construction, on peut la voir.
• Mieux on va se baigner, tu verras, elle est divine.

C’est en courant la main dans la main que nous franchissons la porte de la cuisine nous bousculant une fraction de seconde et que nous sautons ensemble dans l’eau.
Je retrouve l’élément que j’aime tant et d’une nage parfaite, je commence à faire des longueurs de bassin.
Je suis heureuse, car ma belle cherche à me suivre, mais si elle est la reine de la planche des pompiers et de la moto, elle a encore du travail à faire pour être à ma hauteur en natation.
Elle doit fatiguer, car au bout d’un moment elle passe du crawl à la brasse et rapidement j’arrive à la rattraper.
C’est au bord des marches que je la rejoins, j’avance ma main et la pose sur sa chatte pour la pousser et atterrir dans ses bras.
Mon geste la déséquilibre et elle boit la tasse.
Je la récupère.

• Livia évite de te noyer, que diraient tes anciens collègues pompiers si tu te noyais et qu’il fasse te faire du bouche-à-bouche.

Une quinte de toux la saisie.

• Bien joué mon cœur, égalité pour toutes les deux.

J’ai toujours la main sur son vagin et je la fais remonter deux marches pour que mes lèvres soient à la hauteur de ses grandes lèvres.
Elle se cale sur le dos et avec ses deux mains, les écarte me permettant d’agresser son petit bouton pas très gros mais très réactif dès que je le suce.

• Of !

Comment traduire le mouvement de ses lèvres et le bruit que fait sa bouche identique au bruit d’un enfant aspirant du liquide dans une paille lors du début de son plaisir ?
Plus je suce, plus je fais pénétrer ma langue et plus le langage de ma belle salope devient châtié.
Après of ! j’ai le droit à Sfis ! quand elle aspire de l’air encore ça, je sais traduire et pour finir le je jouis traditionnel, car j’ai été une copine efficace.
Je me redresse et dégoulinante je lui dépose ma chatte en écartant mes jambes de chaque côté de son visage en descendant au contact de sa bouche comme je viens de le faire pour elle.
Comme Livia, rapidement j’ai mieux qu’une jouissance, c’est un véritable orgasme qui monte du fond du corps.
Je me laisse partir en arrière et je retrouve l’élément liquide qui me permet de me rafraîchir, car il faut que j’aille m’habiller pour rejoindre mon rendez-vous.

• Livia, tu viens avec moi, je vais te prêter des affaires.
• Inutile, ma moto est ma seconde maison et mon coffre recèle quelque surprise, tu vas voir.

Elle retourne à sa moto entrée dans la cour et sors un ensemble rose avec sac et chaussure de même couleur.
Quand elle les passe dans ma chambre, je sais que comme moi sa chatte et ses seins sont à ma disposition car libres de toute entrave.
Je l’embrasse et lui passe ma main trouvant sa grotte humide prête à la jouissance.

• Arrêtons, mon rendez-vous.

Nous sortons et dès que j’ai passé le portail, je vois une voiture qui semble être celle de mon rendez-vous.

• Mon cœur, voilà la dame avec qui j’ai rendez-vous.
• Vous êtes Illy, responsable de l’agence immobilière.
• Oui, et je pense que vous êtes Christine avec qui j’ai discuté au téléphone alors que vous étiez en vacances.
• Exact, le jour de notre départ, j’ai vu votre affiche de la mise en vente de ce pavillon, je suis intéressée, je cherche quelque chose près de chez mon amie et comme il est impossible d’être plus près, je suis allé sur Internet pour voir l’offre.
Merci d’avoir attendu mon retour.
• Non c’est le marché qui vous a attendu.
• Je saurais m’en souvenir.

Elle ouvre la grille du pavillon mitoyen de celui de Valérie avec le mur donnant sur la piscine.

• Il y a beaucoup de travaux, c’est pour cela qu’il est à un prix abordable pour le quartier.
Il appartenait à une vieille dame qui est décédée chez son fils sur les bords de marne à Champigny.
Alors ici à droite, la cuisine.

Nous faisons le tour des pièces mais ce que j’aime le plus c’est le jardin.

• La surface de la maison et du jardin représente combien de mètres carrés.
• 1520 m².
• C’est ce qui fait son prix, 350 000 €, c’est une somme, mais avec la surface sur l’arrière et l’exposition identiques au terrain de celui de votre amie, c’est un prix très bas pour ici.
Je devrais me taire, mais j’ai cru comprendre que les vendeurs manquent d’argent, le mari ayant perdu son emploi.

Je pense que ce coup de pouce qu’elle me donne est lié au regard qu’elle porte vers Livia qui semble lui chambouler les sens.
Je sais déjà que je vais acheter, mais je demande à retourner à l’étage, voire de soi-disant détails dans les quatre chambres et la salle de bains les laissant seule.
Je monte jusqu’au palier et j’écoute ce qui se passe en bas.

• Vous aimez montrer vos si jolis seins.
• J’ai oublié de me présenter Illy, je m’appelle Livia, non, je suis venu avec notre amie avec ma moto et je me suis changé pour venir te voir, mais j’aime bien les monter à mes amies.
• Amie avec E ou sans E.
• Tu sais très bien à nos regards que je parle amie.
• Christine est elle celle-là.

Grand rire de Livia.

• Tu te trompes, celui où celle qui la maîtrisera est au berceau, ou suce les seins de sa mère.
Es-tu libre demain après-midi ?
• Donne-moi ton adresse si tu le désir, je promets de venir te voir dimanche vers 14 heures.

Je redescends, faisant celle qui est seulement occupée par son achat.
Je vois Livia prestement placer sa main dans sa poche arrière et Illy refermer un calepin.
Un peu vacharde je leur ai laissé peu de temps pour se sucer la bouche.

• 300 000 € contant et je peux signer dès que les vendeurs sont d’accord.
• Je vais les appeler, ils sont tellement pressés qu’ils m’ont demandé de les prévenir dès que je sortirai de la visite pour leur donner mon sentiment.

Elle sort son portable.

• Allo, c’est Illy, les acheteurs sont d’accord payable comptant dans les meilleurs délais possibles pour le notaire avec une remise de 50 000 €.

Elle raccroche.

• Il m’a presque hurlé d’accord dans l’oreille. Si vous pouvez passer, j’aurais préparé le compromis pour la signature lundi en début d’après-midi.
• On y sera, Livia, tu m’accompagneras, cela me permettra de monter la côte une nouvelle fois.


Le dernier regard que porte Livia sur Illy m’en dit long sur l’attirance que ces deux femmes ressentent l’une pour l’autre me montrant que le coup de foudre existe.
Même si j’aime bien Livia et surtout sa moto, il est impossible pour moi de m’attacher car une pute a sur certains côtés l’obligation d’être libre de tout sentiment profond.
Si je tombe amoureuse, ma vie parallèle s’arrêtera, mais à ce jour même avec ma petite Anne que j’aurais pu m’attacher pour la vie mon grand cœur me fait admettre qu’elle s’éclate sur la bite d’Adonis.

De retour chez Valérie, il est presque l’heure de retourner à Paris pour que je me prépare à aller voir le client qui a retenu ma soirée et qui va regonfler mon compte en banque après cet achat bien qu’il me soit impossible de lui demander 300 000 € même pour une soirée de baise.
Auparavant dès que nous sommes dans ma chambre, je fais chuter Livia sur mon lit et lui saute dessus pour lui rappeler que je suis toujours là.
Je m’assieds sur sa poitrine la mini mise pour notre rendez-vous lui montrant mon abricot nu comme je l’ai dit.

• Alors ma salope, demain tu vas déjà me tromper avec la jolie brune.
• Pourquoi tu dis cela, tu es devenue folle ?
• Et menteuse avec cela.

Je me retire, fait venir sa chatte sur mes genoux et je prends dans sa poche le papier avec l’adresse.

• Et cela c’est l’adresse de ton couturier que tu as oubliée dans ta poche.

Un blanc me montre l’embarras de Livia.

• Tu mériterais une bonne fessée comme une petite fille ayant menti.
• Non pas la fessée.
• Je vais me gêner, tu vas voir ce que tu vas ramasser.

Je commence par une première claque sur son postérieur plein de muscle par la pratique du sport et de la moto.

• Alors, tu me mens encore.
• Non, arrête. C’est vrai, j’ai rendez-vous dimanche, mais tu le sais, car tu as dû entendre lorsque l’on s’est donné rendez-vous.

Ma main tire sur sa jupe qui glisse jusqu’à ses pieds.
Je lève ma main prête à s’abattre.

• Non, pas les fesses à l’air…

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