Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. VI

- Par l'auteur HDS ANDRERP95 -
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Récit libertin : Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. VI Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. VI
JUIN 2003Trois semaines maintenant que Margot “fréquente” Mathieu et Kemb ensembles. L’organisation des rencontres est difficile. En fait, il y a une répartition des rôles. Kemb est l’amant macho de service. Le mâle alpha de la bande. Mathieu le pote qui en profite. Et moi le cocu qui n’a pas su défendre son bien.
Mais nous sommes les trois aux pieds de ma femme.
J’ai admis cette situation de cocu voyeur avec difficulté.
Mais en fin de compte l’habitude atténue bien des souffrances.
Mais pour Margot je reste: Didou, Chéri, Mon Ange, Mon cœur etc....
Eux sont Kemb et Mathieu. Elle ne leur donne pas de surnom...
C’est curieux je suis sûr qu’elle m’aime autant que moi je l’aime malgré ce qu’elle me fait subir.
Les enfants ne se doutent de rien et Margot les protège de toute cette aventure comme une tigresse. Ni Kemb ni Mathieu ne cherchent à passer outre. Ils savent que c’est une ligne jaune à ne pas franchir. C’est cela qui sauve notre couple. L’intimité de notre foyer en semaine.
C’est intimité n’étaient pas feinte. Loin de là. Margot m’aimait et jouait parfaitement son rôle de mère. De gardienne. De protectrice. De femme aussi.
Mais jamais à son initiative. J’étais toujours le demandeur. A part que j’y tirais de moins en moins de plaisir. Margot ne me refusait rien sauf son anus. Quand je lui faisais comprendre que j’avais envie, elle se mettait en position du missionnaire et attendait stoïquement que je prenne mon plaisir. Elle ne jouissait pas et je n’arrivais pas à la faire jouir.
- Tu n’as pas envie de jouir.
- Non Chéri. Mais ce n’est pas grave.
- Mais si Margot, pour moi c’est grave. Tu ne jouis plus avec moi.
- Je sais mon ange. Mais je ne fais pas exprès. Je n’arrive pas c’est tout. Mais ce n’est pas grave. L’essentiel c’est que tu puisses jouir toi non.
- Pourquoi tu dis ça Margot.
- Tu le sais bien Didou. Inutile de te faire du mal.
J’étais en elle quand j’ai posé la question fatale.
- Tu ne veux plus avec moi ?... C’est cela ?
- . Non ce n’est pas ça. Tu pourras toujours bien sûr.
- Pourras ???
Elle s’est tu..
- Pourras Margot ?... Qu’est que ça veut dire.
- Je t’aime Didou. Dieux sait que je t’aime... Mais ce n’est pas du sexe que je veux avec toi ? Je ne te sens pas. Je pense qu’à lui. Qu’à sa force, son sexe ou celui de Mathieu. Il accepte de moins en moins que tu me fasses l’amour et c’est moi qui insiste. Mais ne me demande pas en plus de jouir.. Je suis désolée mon Chéri. Tellement désolée.
Je l’ai libérée sans jouir bien sûr pour partir dormir dans le salon.
- Moi aussi Margot. Moi aussi.
- Viens me faire l’amour, je t’en prie viens.
- Non Margot pas comme ça. Non.
Et au fil des semaines, je l’ai touchée de moins de moins. Lèche, caresses, baisers, câlins. Tout cela sauf la baise. Et un jour que j’essayais, elle n’a pas ouvert ses cuisses.
- Tu ne veux plus n’est ça pas Margot ? Ou plutôt, il ne veut plus.
- Je ne préfère pas non. Tout sauf cela. S’il te plaît Didou. Pour moi. Accepte pour moins mon Ange.
- Je ne comptais pas refuser Margot. Sois contente tu as gagné.
J’avais les yeux humides. Elle aussi !
oooOOOoooJe pensais avoir atteint une espèce d’équilibre dans cette vie même si je n’en voyais pas la conclusion. Je me trompais. J’ai reçu une lettre de mise à pieds de ma boite pour objectifs non atteints. Je suis convoqué le surlendemain par mon patron.
La veille de cet entretien, nous sommes au lit. Il est tard. Les enfants dorment depuis longtemps. Je n’arrive pas à trouver le sommeil. Margot non plus. Elle tente de me réconforter.
- Ne t’inquiète pas. Cela va bien se passer. Tu vas te reprendre.
- Tu te rends compte si je suis viré.
- Mais non Didou.
Elle a posé la main sur mon torse avant de la passer sous la veste de mon pyjama et me pincer les tétons.. Elle jouait tendrement avec les pointes de mes seins.
- Tu verras... Tout ira bien...
Sa main caressait mon torse puis revenait sur la pointe de mes seins pour les serrer de en plus en fort. Je me suis abandonné en soupirant à ses caresses. Elle a déboutonné ma veste pour dégager mon torse, puis mordillé mes pointes dures de ses petites dents acérées.
- J’ai envie de toi Margot- Chut décontracte toi.
- Il y a tellement longtemps.
- Laisse toi faire mon chéri.
Je bandais douloureusement. Sa main droite est passée sous la ceinture de mon pyjama pour se saisir de ma queue. J’ai entendu son petit rire cristallin.
- T’es très tendu Didou.
- Margot s’il te plaît laisse-moi te faire l’amour.
Ses mains ont serré mes boules... Très fort- Doucement tu me fais mal.
- Mets-toi à plat ventre Chéri je vais te décontracter et après on verra.
J’ai obéi en ôtant ma veste dans l’espoir qu’elle me laisserait bientôt l'honorer. J’ai voulu me débarrasser de mon pantalon.
- Non garde le, t’es craquant avec.
Déjà nue, elle s’est couchée sur mon dos. Je sentais ses seins contre mes omoplates. Elle se frottait lascivement contre moi. J’ai écarté mes jambes. Bras et jambes en croix, je me suis abandonné complètement.
Petits bisous légers sur mes épaules, mes omoplates, le long de ma colonne vertébrale. Mon sexe, sorti de la braguette était tendu contre le drap. Mes couilles étaient gonflées de désir. Quand sa bouche s’est posée au creux de mes reins, j’ai frissonné de plaisir.
- Tu as froid?
- Margot j’ai envie de toi. J’ai envie à en crever.
- Je sais Didou. Ne dis rien. Je vais m’occuper de toi mon Ange.
Elle s’est redressée sur ses genoux calés entre mes jambes et a lentement baissé mon pantalon sous mes fesses.
- Qu’est-ce que ?...
- Laisse-moi faire chéri.
Puis ses cheveux ont balayé mon derrière avant que sa bouche n’entame une ronde infernale sur mes globes. Je me cambrais au maximum relevant légèrement mes cuisses en prenant appui sur mes genoux pour profiter pleinement de ses attouchements sensuels. Elle a réussi à passer ses mains sous mon ventre pour se saisir de mon membre et de mes couilles.
- Comment tu fais Didou ? Pour te soulager ? Réponds-moi mon Ange.
- Tu le sais Margot.
- Dis le moi quand même mon cœur.
- Je me branle.
J’avais honte de mes paroles.
- En pensant à moi. ? Ou à eux avec moi? Quand on est ensembles, je vois bien que tu bandes en les voyant me prendre. Quand tu viens me nettoyer de ta langue, je deviens folle et toi aussi n’est-ce-pas?
De nouveau collée contre moi, elle s’est mise à onduler, frottant son vagin entre-ouvert contre mes fesses. Elle mouillait beaucoup et soupirait de bonheur. Son nouveau savoir-faire était diabolique. Je devenais fou d’envie.
- C’est bon. Je me caresse contre tes petites fesses mon chéri. Elles sont douces. Ne bouge pas. Laisse-moi faire.
Un drôle de sentiment s’emparait de moi. Moitié plaisir, moitié surprise, mélangé à un vague malaise. J’étais sous elle, son corps plaqué sur le mien. Je sentais les poils de son pubis et sa fente se presser contre mes fesses humides de sa cyprine. J’avais l’impression bizarre qu’elle m’utilisait pour sa jouissance. C’était très troublant de s’abandonner de cette manière.
Je gardais la pose, corps un peu relevé et cul tendu. Elle tenait toujours ma bitte et mes couilles, mais sans rien faire. Comme si elle voulait m’immobiliser.
Sa bouche contre mon oreille, ses seins plaqués contre mon dos, son pubis se frottant de plus en plus vite, de plus en plus fort.
- Tu as des fesses douces Didou. C’est bon. Cambre-toi un peu plus chéri que je puisse bien frotter mon bouton contre ton petit derrière. J’ai toujours trouvé ton petit cul attendrissant mon amour. Tu sens mon petit bouton?
- Oui... un peu.
- C’est comme un petit sexe d’homme Didou.
Elle me parlait tout doucement au creux de l’oreille, frottant de plus en plus fort son bas ventre contre mon cul. Je la laissais faire de plus en plus mal à l’aise par la tournure que prenait notre relation.
- Tu as les fesses souples. Tu m’excite terriblement ! Essaye de te cambrer plus.
J’ai obéis sans rien dire avec l’espoir qu’ensuite, nous allions enfin faire l’amour.
- Tu me fais mouiller comme une folle dans cette position. Tu sais quand il me la met c’est comme un soleil. Ce n’est pas la même chose que ce que je faisais avec toi. Oui..... Ouiiiiii.. Tiens-toi bien cambré mon amour, je sens que je vais venir. Avec lui j’écarte complètement mes cuisses et il me plante d’un coup tout au fond. Ça me rend folle quand son pieu rentre d’une seule poussée tout au fond de moi. Quand il a envie de moi, il me prend sans attendre. Toi tu me préparais doucement.... Lui non.
Elle se frottait de plus en plus fort. Mes fesses étaient trempées. Mon sexe toujours prisonnier frottait contre les draps. Ses paroles m ‘excitaient et me faisaient mal en même temps.
- Il me pilonne vite, fort, très loin. Comme s’il voulait me transpercer. Toi tu es doux, gentil, ce n’est pas pareil. Quand ils m’ont prise les deux, j’ai cru que j’allais m’évanouir de plaisir. C’était plus fort que moi. Sentir la queue de Kemb envahir mon cul. Comme du plomb des deux côtés. Tu comprends ?
- Arrête Margot.... Arrête !
Mais elle ne m’a pas entendu. Elle a poussé un doux feulement avant de stopper ses frottements contre mon cul. Elle était essoufflée, moi aussi. Nous sommes restés quelques secondes sans bouger. Puis elle a déposé un bisou sur ma nuque.
- C’était bon. Merci Didou. Tu sais souvent mes amies me disent “il a un beau cul ton mari”. Les femmes regardent souvent le cul des mecs. Ne lui raconte pas. Cela restera un secret entre nous.
- Mais tu es ma femme.
- Chuuuut.... Tourne toi mon chéri c’est ton tour.
Elle a commencé par me branler avec application. J’avais le pantalon du pyjama autour de mes genoux. J’attendais la suite avec impatience. Ce moment que j’appréciais tant ou elle vient pour me chevaucher. Mais elle ne bougeait pas et continuait sa savante masturbation. J’en voulais plus.
Je lui ai demandé de venir sur moi.
- Tsssss ne complique pas les choses mon amour. Je t’aime.
- Mais t’es ma femme Margot... Ma femme!
- Moins fort tu vas réveiller les enfants. Et je compte bien rester ta femme encore longtemps. Laisse-moi te gâter. J’ai plein de manières pour te faire jouir.
J’ai joui entre ses mains. Rien d’autre. Ni sa bouche, ni le reste.
J’avais honte de m’être laissé manipuler de cette façon.
Le lendemain soir, je n’avais plus de boulot.
L’entretien a été un vrai supplice et une humiliation supplémentaire.
Dans son bureau, mon patron m’a crucifié:- Résultat lamentable... Vous mettez en péril mon service.... Vous semblez dans un autre monde.... L’entreprise a besoin de gens qui la défende... Vous devez être un prédateur... Défendre votre territoire... Ne pas se laissait marcher sur les pieds.... Je ne vous reconnais plus... Vos collègues vous trouvent bizarre.... Vous ne défendez pas votre gagne-pain... Vous ne méritez pas votre salaire.... Etc.... Etc....
Au bout d’une demi-heure, complètement cassé, je commence mollement à me défendre. A un moment sans même me rendre compte, je m'aperçois que je lui raconte tout ce qui se passe avec ma femme. Je parle vite comme pour me soulager. Je ne sais même pas pourquoi je parle de ma vie privée. C’est plus fort que moi. Les mots sortent contre ma volonté. Besoin irrépressible de raconter ce que je vis. A n’importe qui...
Il m'interrompt brusquement d’un ton glacial:- Vos histoire de cul ne m’intéressent pas... Si vous êtes cocu ce n’est pas mon problème. Ni celui de la boite. Vos problèmes personnels ne doivent pas interférer avec les nécessités de la réussite de notre entreprise.
Il y avait du dégoût et un grand mépris dans sa voix: - Vous êtes libre de laisser votre femme se faire sauter par le premier venu. En tout cas nous n’avons plus besoin de vos services, nous sommes une entreprise honorable et mes collaborateurs doivent l’être aussi. Passez voir notre responsable des ressources humaines dés que vous aurez vidé votre bureau de vos affaires personnelles. L’entretien est clos... Mais à titre personnel laissez-moi vous dire que si vous en êtes arrivé là, c’est uniquement de votre faute.... Je vous souhaite le bonjour....
Le directeur du personnel était très cordial, onctueux. J’ai vite compris qu’il voulait me faire signer une démission. Moins coûteuse et moins risquée pour l’entreprise. Je lui ai tenu tête.
- Puisque vous voulez me licencier... Trouvez les fautes... Et faites-le... Je me réserve toutes les voies de recours possibles. Nous verrons bien.
Il m’a regardé un moment sans rien dire avant de sourire:- Vous savez André, vous pouvez rester, nous trouverons vite des fautes. C’est une question de temps. Si je vous propose une démission c’est par sympathie. Je vous aime bien.
Devant mon regard dubitatif il a continué toujours aussi charmant.
- Comprenez-moi, cela va être difficile pour vous de vivre au milieu de vos collègues. Tout le monde connaît votre charmante épouse. Une femme admirable..... Alors vous imaginez les quolibets, les moqueries, les sarcasmes, les vexations de toutes sortes que vous aurez à endurer quand ils sauront que vous êtes cocu... Que vous assistez aux ébats de votre compagne avec son amant... Noir de surcroît!... Que vous laissez. avec complaisance... la mère de vos enfants se faire comment dire euh.... sauter... C’est cela le terme non... par deux jeunes hommes vigoureux dans la force de l’âge... devant vous en plus.... Toute l’entreprise en fera des gorges chaudes de vos déboires sexuels.... Il vous faudra être stoïque si vous souhaitez rentrer en conflit ouvert avec nous... Je vous dis ceci à titre confidentiel bien entendu.... Suivez la voix de la raison mon jeune ami.... Je suis certain que vous n’aurez aucun mal à trouver un autre emploi... Je peux vous certifier que si notre séparation se fait dans de bonnes conditions, je ne tarirais pas d’éloges sur vous si votre futur employeur nous demande notre avis... De plus, j’ai fait préparer un chèque qui me semble très raisonnable.... Même trop, au vue les dernières informations sur le comportement de Madame votre épouse...
Complètement pulvérisé par sa diatribe, j’ai signé ma démission la mort dans l’âme sous son regard narquois et victorieux. Heureusement, le chèque était intéressant.
oooOOOooo

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