Donjons et Dragons - 1

- Par l'auteur HDS Amoeva -
Récit érotique écrit par Amoeva [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Donjons et Dragons - 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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Donjons et Dragons - 1
C’était la fin de l’été, il faisait chaud. Je passais beaucoup de temps dehors à cause des récoltes à faire, et mon dos me faisait tellement souffrir parfois que je m’allongeais souvent directement dans l’herbe, sur le chemin de retour entre le champ et les dortoirs, pour reprendre mon souffle. En fin de journée, le ciel se décorait de couleurs fantastiques. De l’azur, du doré, parfois du rose : je ne pouvais pas m’empêcher de penser que je finirais un jour par m’envoler sur un de ces nuages, chevauchant avec élégance ces monstres flottants.

J’avais retiré ma grosse robe, plutôt encombrante, qui m’habillait quand je faisais les récoltes. J’étais nue, en marge de la route à quelques mètres, mais après tout on était en fin de journée et je ne croisais jamais personne sur ce chemin particulier.

Allongée dans l’herbe, j’imaginais la vie simple que devaient mener les papillons qui s’agitaient à quelques mètres. A côté, mes journées étaient dures, et je ne rêvais que d’une chose : devenir une des dames du château. Me faire remarquer par mon seigneur, ou l’un de ses conseillers, et ne plus jamais avoir à marcher dans la boue…
Je fus sortie de ma rêverie par des bruits de pas qui venaient du dortoir.

- Lilly ! Qu’est-ce que tu fais là ?

Je reconnu la voix du fils d’un couple de servants au château. S’il n’était pas des plus puissants de cet endroit, il l’était comparativement bien plus que moi. De cette position, il avait probablement une vue plongeante sur mon anatomie, et je sursautai, et me releva avec précipitation. Je me retrouvais nue en face de lui, quelques mètres nous séparaient.

Embarrassée, j’entrepris de chercher ma robe que j’avais posé à côté de moi, puis me rendit compte qu’il l’avait lui-même ramassé.

- Hé bien dis donc, on profite du soleil j’ai l’impression.

- Niel ? Tu peux me rendre ma robe s’il te plait ?

Je me cachais comme je peux avec mes bras, me retournant de 3/4 pour éviter qu’il ne puisse voir mes parties intimes. Je rougis, gênée par la situation. Il affichait un sourire satisfait et profitait pleinement de la situation, avec un éclat dans le visage, de la tendresse ou de la perversion, je ne sais pas trop.

- Tu es vraiment jolie Lilly, je n’avais jamais remarqué. Ton corps.. Il est vraiment beau.

- Ne t’approche pas !

- Écoutes, je t’ai prise sur le fait, tu attendais probablement un amant, non ? Ou tu fais la putain peut-être ?

- Non, ce n’est pas-
- Ce n’est pas grave, je peux comprendre si tu as besoin d’argent.

J’étais tétanisée, je n’avais pas pensé à ça. Je regardais les papillons, et lui était apparu, comme ça… Comment me sortir d’une telle situation ?

- Je, écoute, non-
- Tu as encore eu peu de temps ? Avant que ton vicieux de client n’arrive ?

- Vraiment, arrête s’il te plait.

Il me passa la main sur le bassin. Ses doigts contre ma peau agissaient comme une caresse. De si proche, il me dominait d’une tête et demie. Je commençais à penser que ça finirait mal.

- Si on faisait un deal ? Tu m’offres un petit plaisir gratuit et je ne parle pas de tes activités à personne ?

J’écarquillais les yeux, ne pouvant me dépêtrer de cette situation. J’étais totalement bloquée, tellement surprise que je n’eu même pas un geste de recul.

Il s’approcha encore de moi, nos corps n’étaient plus qu’à quelques centimètres. Je sentais son parfum, quelque chose dont je n’avais pas l’habitude dans les champs. Après tout ça faisait plusieurs semaines que je n’avais pas fait l’amour, et ça me manquait un peu. Et puis ce n’est pas comme si j’avais le choix…
Il commença à me caresser un sein avec une douceur extrême. Mon poult commença à s’accélérer. Niel était peut-être un connard, mais il savait s’y prendre… Et puis il avait vraiment un beau visage.

Je restais comme ça, sous sa caresse, quelques temps. Je fermais les yeux. Ses mains commençaient à passer sur tout mon corps, c’était un massage agréable. Il avait déposé ma robe au sol en ayant pris soin de la plier, mais je n’avais plus l’intention de partir.

Il me prit la main, la caressa avec douceur. Puis il l’accompagna sur son visage. Il me fit passer sous sa chemise, et j’appréciais le contact de sa peau. Telle un pantin, j’acceptais la promenade, et il fit descendre ma main avec délicatesse jusqu’à son entre jambe.

Je rouvrais alors les yeux, décidée de prendre les choses en main, c’est le cas de le dire. Comme hypnotisée, je saisis la boucle sa ceinture que je desserrai, et son pantalon tomba tout seul sur pieds.

Je me retrouvais face à une longue verge tendue vers moi. Je ne pouvais plus reculer. Je me saisis de sa bite. Je sentis qu’il pris une grande inspiration, et me passa la main dans les cheveux. Réconfortée, je commençais à effectuer un mouvement de bas en haut, et je sentis sa respiration reprendre de plus belle. Ma deuxième main de libre vint se fixer au niveau de ses bourses, que je malaxais avec un bonheur non dissimulé ; je commençais à penser que Niel était un séducteur professionnel.

Je me suis mise à genoux pour me rapprocher de sa bite. Il me regardait avec tendresse, continuant de passer sa main dans mes cheveux. Sa hampe était longue, et je pouvais faire des mouvements très longs. L’odeur de son sexe me parvint aux narines, ce qui finit d’achever la résistance qu’il y avait en moi. Je me rapprochais de son pénis, comme pour le sentir, pour l’embrasser. Il grogna d’un plaisir satisfait.

- Mhh… Oui.. Suce-moi, maintenant.

Je n’avais plus aucune raison de ne pas lui obéir après ça, et je passais d’abord ma langue sur sa verge, comme une sucette, avant de la gober complétement. Je m’activais sur elle, je sentais sur mon palais le liquide pré-séminal, salé ; je le confesse, j’adore particulièrement ce goût. J’ai augmenté la cadence, je ne pouvais plus m’arrêter.

Il me saisit le visage avec ses deux mains, et complétement soumise à lui, je le laisse soudainement orienter mon regard dans le sien. Sa satisfaction se lisait sur son sourire, il semblait totalement maître de la situation. Je ne pouvais pas m’empêcher que j’aurais bien pu faire payer cette prestation, vu la manière dont il semblait apprécier. « Salope ». Je ne bronchais pas au compliment et redoublait d’ardeur, totalement sous son emprise.

Les yeux dans les yeux, je pompais sa verge, malaxant ses bourses, oubliant mon corps et trouvant mon plaisir dans sa propre satisfaction.

Il me saisit alors fermement la tête, pour que je ne me retire pas ; je ne comptais pas le faire. Sa verge emplit ma glotte d’un liquide chaud et salé, et je hoquetai pour tout avaler sans en faire trop couler. Malgré tout, des gouttes sortir de ma bouche et vinrent s’écraser sur ma poitrine.

Il resta quelques secondes, les yeux fermés, à contempler mon visage entre ses cuisses, son sperme chaud coulant sur mon corps. Je restais là, sa verge dans la bouche, attendait qu’il se décide à se retirer. Son sexe restait dur.

- Tu es une bien belle suceuse, Lilly, tu sais ? Je ne suis pas encore sûr, donc on va devoir refaire ça bientôt, mais tu es douée, sache-le.

Je ne voyais aucun souci avec le fait de remettre le couvert, j’étais prête à m’offrir.

Il avait l’air pensif.

- Je me demande si… Tu ne pourrais pas rencontrer une connaissance qui serait ravi de t’aider un peu.. Mes parents vive au château, tu le sais, alors je pourrais peut-être te faire rentrer.. Moyennant quelques petites séances comme celles-ci.

Je secouais légèrement la tête pour lui confirmer que j’étais intéressée, toujours sa verge entre mes lèvres. J’attendais sans vraiment m’en rendre compte qu’il choisisse quand il se libérerait. Il se recula, sa bite n’avait jamais été aussi propre avec une fellation.

- Très bien. Viens me voir au château demain soir, je pourrais peut-être t’aider. Il faudra te présenter nue quand tu toqueras à ma porte, par contre.

- Mais il pourrait y avoir du monde !

- ça sera le temps que tu toques et que je t’ouvre, ne t’inquiète pas.

- Bon, dans ce cas.

- Très bien. A demain !

Et il partit, me laissant là, à genoux, nue dans la forêt, son sperme encore coulant sur mon menton.


[à suivre] (Je suis particulièrement fière du titre de cette nouvelle histoire)

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