Femme BCBG, escorte, non, pute… (112)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (112) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (112)
J’ai le plaisir de retrouver tous nos amis qui viennent de revenir de notre mois de vacances riches en évènements et en nouvelles connaissances.
Nous venons de friser l’incident quand Fabienne à donner un mot à la maman d’Aline concernant des fellations qu’elles ont faites sur l’autoroute pour remercier deux jeunes conducteurs qui ont changé une de leurs roues crevées.
Dans son explication Fabienne étant avec Ophélie et Katia me fait craindre que les filles aient fait une erreur et aient mis à bas mon plan concernant leurs pucelages.
Parmi ceux qui sont là, Antoinette et Serge sont avec eux car la troupe s’est arrêtée à Orly où les heures concordaient à trente minutes près pour qu’ils puissent être récupérés.
Les problèmes de bagages vite résolus grâce au camping-car conduit par Adrien et Christian.

Vi la maman des deux jumelles avec Hubert le papa ont confectionné un repas vietnamien que tous autour de la piscine dévorent avec envie.
La grand-mère suit sa petite fille qui commence à faire ses premiers pas que j’aie loupés en rentrant à Paris.
C’est sur le sable dur au bord de l’eau que Katia l’a lâché et qu’Ophélie l’a récupéré trois mètres plus loin.
À un moment, Sindy longe la piscine, Vi la surveille et manque de piquer une tête retenue par Vladimir qui devient son sauveur.

• Heureusement que vous m’avez rattrapé monsieur, il faudrait que j’apprenne à nager.

Sauf le problème à l’arrivée tout se passe bien, Hubert et Vi viennent nous prévenir qu’ils nous quittent et emmènent Sindy.
Je leur demande de rester cinq minutes, car j’ai une information à donner à tout le monde.

• Mes amis, une minute, j’ai une annonce à vous faire, comme nous sommes à l’étroit dans la maison de Virginie, j’ai décidé d’acheter ma propre maison.
• Tu vas m’abandonner, je vais avoir du mal à te savoir à des kilomètres de moi, tu es une ingrate, je t’ai tout fait connaître dans ta vie et voilà comment tu me remercies, mais si c’est ton choix, les papillons doivent prendre leur envoles alors j’accepte, je vais m’y faire.

Je suis contente de mon effet.
J’aime la misère qui semble être tombée sur les épaules de Virginie me montrant tout l’amour que nous avons l’une pour l’autre.

• Virginie reste sur ton transat avec Vladimir à tes pieds, je vais me déplacer.

Je contourne la piscine, je m’appuie sur le mur comme une pute dans les films italiens qui attendent les clients à la différence que c’est un verre de champagne que j’ai en main et pas une cigarette.

• Tu viens chérie, j’ai acheté la maison qui est derrière ce mur qui devient notre mur, je signe le compromis de vente demain après midi, cette maison comme celle de Virginie sera la vôtre.
• Nous sommes très contents de votre acquisition, mais il est l’heure d’aller coucher Sindy.
• Nous vous raccompagnons à votre voiture, merci pour tout ce que vous avez fait pour nous.
• Sans problème, il faut que je pense à demander à ma fille la recette du suprême de volaille.

Je me demande jusqu’à quel point Vi à marché dans nos explications sur ce que Fabienne a dit et la réalité de ce que ses filles ont fait de leur vie.
Je vais pour rentrer bras dessus bras dessous avec Virginie qui me donne des baisers partout où elle peut trouver un endroit ou poser sa bouche quand nous entendons un bruit assourdi à plus de dix heures du soir.
Nous retournons précipitamment vers nos amis et nous découvrons un spectacle impossible à cette heure.
Alain et tous les hommes se servent qui d’une pioche qui d’une barre de fer trouvé dans la réserve de la maison de Virginie pour démonter le mur entre les deux maisons.

• Arrêté, que faite vous, c’est demain que je signe.
• Nous avons signé le permis de démolition, tu vas voir sur la table, nous avons tous signé l’autorisation.

Au nombre qu’ils sont en dix minutes tous les parpaings ont sauté et une brèche de deux mètres est pratiquée nous permettant de passer de l’autre côté.
Dans la nuit de septembre, je frisonne, car l’air frais commence à tomber.
Le plus grand nombre des invités fait le tour de la maison et revient vers nous.
Comme de coutume, c’est Alain qui prend la parole.

• Si j’ai bien compris ce que tu as dit Christine, cette maison est la nôtre.
Nous venons d’en faire le tour et nous avons constaté qu’elle possédait un grand bout de terrain sur l’arrière.
Que vas-tu en faire ?
• Elle va faire pousser des carottes.
• Non, des concombres.
• Pourquoi pas des godes.
• En ébène noire.

Là, je reconnais la voix de Madeleine qui s’est déplacée un livre dans les mains.

• Rien de tout cela, si j’ai acheté cette maison, quand j’ai vu le terrain j’ai tout de suite pensé que nous vieillissons et que nous les femmes allons avoir la nécessitée de faire de plus en plus de sport pour éliminer les petits bourrelets qui se forment sur nos hanches et la cellulite sur nos fesses aussi c’est un cour de tennis que je vous propose de faire construire sur notre terrain et ainsi pouvoir faire du sport suivie d’un sonna ou d’un bon bain du côté de chez Virgine.
• Qui vote pour les concombres et les carottes ?
Deux voix des hommes.
Pour le court de tennis.
Vote à l’unanimité moins deux voix.
• Non, trois, je vote pour planter des godes rien que des godes en ébène noire bien sûr.

Nous éclatons de rire, mais que vais-je dire à Illy demain quand’elle constatera que nous avons démonté son mur.

• Tous à l’eau, qui m’aime, nous suivent.

Ce sont mes deux petites chipies qui sont déjà nues et qui viennent de sauter à pieds joints dans la piscine propulsant une grande quantité d’eau sur Virginie et Vladimir qui venaient d’opérer un petit rapprochement.
C’est à ce moment que je remarque une chose insolite qu’il aurait été impossible de voir avant les vacances.
Antoinette vient de s’empaler sur la verge de Christian alors qu’avant qu’ils montent dans son camping-car, ils étaient tous des inconnues.
Et plus étrange encore, Serge a coincé Véronique le long de la table et sans que le couple se voie, les uns et les autres font l’amour avec des partenaires différents.
Adonis a suivi Anne dans la piscine et les deux amoureux se galochent comme de grands affamés qui se retrouvent après des années de séparation.
L’eau n’a aucune influence sur la vision que j’ai de ma petite pendue au cou de son mec et qui une fois de plus monte et descends soutenu sous les fesses sur la grosse bite de son amant.
Je me retourne et la cochonne en a profité pour s’éclipser, Virginie soit vieillie ou soit est amoureuse, car je la vois passer la porte de sa cuisine et se rendre certainement dans sa chambre avec Vladimir. I
l y a peu c’est elle qui aurait fait sauter son maillot pour se faire prendre sur son transat devant tous les invités où je l’ai souvent vue jouir et où je lui ai donné bien du plaisir acceptant le femme fontaine qu’elle est.

• Christine qu’est-ce que Maman Vi voulait dire avec la recette du suprême de volaille ?

J’explique à Aline l’erreur de Fabienne quand elle est arrivée en parlant de la fellation qu’elle a faite aux jeunes qui les ont aidés à remplacer la roue crevée et le mot sperme qu’elle a employé avant de se rattraper en parlant de suprême.

• Détrompe-toi, maman est plus fine mouche que vous le pensé et si elle a entendu le mot sperme, elle aura évincé votre subterfuge, je vais devoir m’expliquer.
Aucun problème, nous avons l’habitude d’assumer, demain nous irons chez nous et Anne leur présentera Adonis, maman a toujours rêvé que ses filles face de beau mariage, avec son homme elle sera comblée et le reste passera comme une lettre à la poste.

Je la vois partir vers la cuisine et de mon côté par la même porte, étonné de la personne qui arrive.

• Comment es-tu entré ?
• J’ai appelé Virginie, il y a dix minutes et elle est venue m’ouvrir.
Illy habite à Ozoir-la-Ferrière, j’ai passé un bon moment, mais j’ai rapidement compris que j’avais eu un coup de cœur et que je préférais être avec toi.

La mise en garde de Virginie concernant Livia me revient en tête et c’est d’une façon sereine que je l’aide à défaire sa combinaison pour nous montrer sa nudité sportive.
Nous faisons le tour de nos invités et une nouvelle fois je m’aperçois qu’elle tombe en pâmoison devant Marie-Ange.
Livia me semble être une grande indécrottable, mais même si ma petite Anne semble s’écarter de mon amour pour Adonis, je sais que la grande salope que je suis va bien trouver chaussure à son pied ce soir.
Pourquoi pas Fabienne qui me croise et qui me montre par un regard intense qu’elle retrouverait bien un petit moment d’intimité comme nous en avons eu un très constructif pour son avenir lors de notre première rencontre dans ce qu’à ce moment-là, son aveuglement la faisait appeler son mobil-home ?
Je la prends par la main et je l’installe sur le transat préféré de Virginie.

• Tu m’amènes dans ma niche pourtant, regarde Christian, il s’éclate avec la petite que nous avons récupérée à l’aéroport.
• Je te punis d’avoir été trop longtemps loin de moi.

Un baiser ponctue notre échange et je commence à mettre ma main dans sa chatte quand Virginie arrive essoufflée.

• Christine, il y a un problème la permanence de l’organisation vient de m’appeler, une fille à l’hôtel Mercure de Paris-Bercy nous fait faux bond et ne peut assurer sa prestation envers un client qui l’attend depuis 22 heures, nous l’avons joint et nous lui avons promis une remplaçante avant 23 heures 30 avec remboursement de l’organisation.
Je vais appeler Livia qui va t’emmener faire le remplacement.
• Virginie, je suis crevée, j’ai beaucoup travaillé depuis notre retour, la plupart de nos filles sont là, il suffit de leur demander.
• J’y vais, Virginie fait moi plaisir, Christine va me prêter sa voiture et j’y vais,
• D’accord Fabienne, Christian, sera d’accord.
• Regarde-le planter sa queue au fond de la chatte de la petite de ton institue, je suis sûr que c’est lors d’aller ce coucher qu’il remarquera mon absence.
• Va t’habiller, tu as cinq minutes.
• Et les clefs.
• Tu seras en retard en voiture, Livia arrête de lécher Marie-Ange et vient, tu vas faire une course rapide jusqu’à Bercy.

Livia a remis sa combinaison et nous allons jusqu’à sa moto où Michelle nom de pute de Fabienne l’attend déjà.

• Tu as déjà fait de la moto.
• Non, jamais.

Livia lui met, le deuxième casque sorti de son coffre et fait monter notre amie.
Elle démarre et une seconde après elle a tourné le coin.
Je pense que Fabienne va être bien chaude quand elle arrivera à l’hôtel, ce qui devrait plaire à son client.
Virginie repart vers sa chambre et je vais aux toilettes contiguës.
Les voies qui me parviennent de la chambre de ma marraine ne souffrent d’aucune erreur, ils sont trois à parler et Vladimir à ce que j’entends doit avoir Alice au bout de sa queue.
Je retourne sur le transat et je rêvasse en regardant tous mes amis qui la plupart copule, sauf Madeleine toujours plongée dans son livre.
C’est le moment où Valérie revient une nouvelle fois essoufflée.

• Christine, Livia et Fabienne, sont au commissariat de Vincennes.
• Qu’est qu’elles y font.
• La maréchaussée les a arrêtés pour très grand excès de vitesse dans le bois de Vincennes…

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