COLLECTION DÉPUCELAGE. Le restaurant du dimanche. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION DÉPUCELAGE. Le restaurant du dimanche. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION DÉPUCELAGE. Le restaurant du dimanche. (1/1)
Comme tous les dimanches midi mère refusant de faire à manger et la cuisinière ayant droit à son jour de repos nous allons systématiquement au restaurant de notre village, depuis des années c’est Brigitte qui nous sert.
Ce dimanche nous apprenons qu’elle est tombée malade remplacée par une femme d’une quarantaine d’années qui vient d’arriver dans notre village et qui cherchait du travail.

• Bonjour monsieur, bonjour madame, le patron m’a dit de vous choyer car vous êtes ses meilleurs clients.

Un peu nunuche la dame mais une nunuche qui a tout ce qu’il faut pour un jeune homme de bientôt 19 ans mais hélas encore puceau jusqu’au bout de ses seins car je vois ses pointes marquer son chemisier.
Il faut dire que dans le cadre familial trouver une fille est très difficile car nous sommes toujours les uns avec les autres et maman surveille la famille comme le lait sur le feu, ce serait une catastrophe s’il était possible d’accrocher des casseroles.

• Mon prénom, je peux vous dire mon prénom.
• Julien évite d’embêter la dame, elle est là pour faire son travail.
• Oui mais dit lui que j’ai bientôt 19 ans.
• Je note, Julien 19 ans et que mange un jeune homme prénommé Julien et qui a 19 ans.
• Vous pourriez écouter pas 19, bientôt 19.
• J’ai bien compris mais le cuisinier attend la commande.

J’aurais envie de lui dire vous madame mais la présence de mes parents m’en empêche.

• Des ravioli, j’adore les ravioli.
• À quel jeu joues-tu, les autres fois tu refusais les ravioli tu disais que la viande à l’intérieur était faisandée.
• Comment vous prénommez-vous madame ?
• Suzette jeune homme.
• Alors deux !
• Deux ravioli ?
• Non, deux crêpes Suzette.
• Julien tu dépasses les bornes c’est la dernière fois que tu viens manger avec nous, dimanche prochain tu ouvriras une boîte de conserve.
• Laissez madame j’ai l’habitude j’ai des jumeaux un peu plus vieux que lui et on sait bien que ces jeunes aiment provoquer les adultes.
• Êtes-vous mariées ?
• Julien cela suffit, un ravioli pour lui et les pavés charolais pour nous.

Le plat arrive et je rappelle la serveuse.

• J’avais dit un ravioli regarder tout ce que vous m’avez mis !
• Julien terminé, lève-toi, pars dans la voiture, mais avant excuse-toi auprès de madame.

Je me lève et quand je passe auprès de la serveuse mon bras frôle son sein me faisant frisonner, oubliant les excuses.
Pour aller attendre dans la voiture il aurait fallu que j’aie les clefs aussi je m’appuie sur l’aile avant.
Je vois Suzette sortir de l’office et allumer une cigarette.
En me voyant elle s’approche de moi.

• Monsieur Julien c’est bête vous voila puni à avoir voulu jouer les intéressants, vous êtes bien comme mes fils.
• Vos fils ils ont de la chance d’avoir une mère aussi jolie, vous avez de beaux seins.
• Vous exagérez monsieur, je vais aller le dire à votre père.
• Rapporteuse, jolie mais rapporteuse.

J’ai conscience que je suis odieux mais depuis quelques mois, moi qui étais un garçon timide j’ai pris la résolution de gommer cette tare et de faire feu de tout bois pour arriver à coucher avec une femme.
Une femme, un vrai, une d’expérience comme le disait mon père à un ami un jour ou ils avaient trop bu et ignoraient que je les entendais et ou il a parlé de son dépucelage par la bonne de la maison quand il avait à peu près le même âge que moi aujourd’hui.
J’ai bien pensé à la cuisinière mais elle a deux handicaps, son gros cul et Ottavio son mari, sicilien d’origine et qui a souvent eu à partir avec les autorités car étant chasseur il avait un fusil qu’il sortait facilement quand un homme approchait trop près de sa moitié.
Sa moitié mais à l’inverse, elle est grosse avec un gros cul et il est petit et chétif.
Son gros cul malgré la surveillance qu’il exerce sur Matilda est aussi le terrain de chasse de père car dans sa surveillance il y a une faille, la cuisine de la famille quand ma génitrice est partie chez sa coiffeuse et son esthéticienne, cela prend des heures qu’il passe avec elle.
Un jour d’été Mathida avait sa robe-tablier avec seulement la marque de son gros slip les seins libre de toute entrave m’ayant fait bander quelques années plus tôt je suis revenu chez nous pour chercher mon maillot de bain pour me baigner dans la piscine de Bruno mon copain.
Entendant du bruit passant non loin de la cuisine je me suis approché et je les ai vus, la vision était dantesque, père au sol allongé sur le carrelage et Matilda assise sur sa bite se faisant défoncer le sexe.
Elle avait remonté sa robe et son slip gisait au sol à leurs côtés comme un gros tas de chiffons.
L’angle où j’étais me permettait de voir la jonction des deux intimités et c’est ce jour que j’ai compris que l’élastique que j’ai entre les jambes sert à autre chose qu’à tirer dessus pour atteindre une maigre jouissance et un petit filet de liquide blanchâtre.
C’est quand Matilda s’est mise à jouir criant son plaisir retrouvé grâce à père alors que son impuissant de mari la baise épisodiquement.
Les longs jets de sperme qui sont sortis du sexe de père quand il s’est retiré précipitamment de la chatte de la dame car il était sans protection c’est ainsi que j’ai compris.

• Merci le monsieur de vous être sortis de moi comme vous avez promis, Ottavio a eu oreillons et lui impossible enfanter alors moi non pilule ou truc dans trou à moi, lui comprendrait pas, car pas possible bébé avec lui.
• Aucun problème Martha mais la prochaine fois, je te déchargerais mon sperme dans ta bouche, tu es une vraie salope.

Je me suis retiré fort de savoir à quoi va pouvoir me servir mon sexe dès que j’aurais trouvé la partenaire et que le liquide qui sort de moi s’appelle du sperme.
J’ignore si père la baise toujours, la seule chose que je sais c’est qu’il est vivant malgré le fusil et mère et que Matilda est restée une terre vierge de toute procréation.

• Tu rêves mec, veux-tu une clope ?
• Bien sûr.

Pendant que je révais au gros cul de Matilda, Suzette ai retournée à son service et celui qui vient de s’approcher est le plongeur du restaurant qui fait sa pause cigarette comme Suzette tout à l’heure.
La cigarette allumée j’ai mis deux secondes à me mettre à tousser car voulant jouer les hommes c’était la première de ma jeune vie que je tirais dessus.

• Gracien regardez, votre fils est un dépravé, non seulement il a manqué de respect à cette dame et maintenant il fume, il a le diable dans le corps, il vous ressemble bien.

C’est ainsi que j’ai tiré les deux premières taffes sur la cigarette et que j’ai su que mère considérait que père était un dépravé comme moi, la punition qu’il m’inflige est douce maintenant que je sais que mère sait le salopard qu’il est bafouant son serment de mariage certainement avec d’autres que la grosse Martha et que pour préserver notre sacro-sainte famille elle accepte d’être une cocue heureuse.
Trois jours sans sortir, mais trois jours sur mon portable où Bruno me rend service en pistant Suzette et en me donnant son adresse et son jour de repos dès le surlendemain, cela va me coûter un paquet de clopes car il fume déjà.
Un paquet de clopes alors que lui à dépenser 150 € pour perdre son pucelage avec une pute qu’il a trouvée par Internet qui est interdit chez moi, père et mère trouvant cette forme de communication contraire aux préceptes d’éducation qui est la leur, il paye mon forfait portable avec le contrôle parental activé.
Internet que je vais avoir l’an prochain car je viens d’avoir mon bac avec mention très bien m’ouvrant les portes de mes études de médecine avec chambre à Montpellier.
C’est pour cela que je veux perdre mon pucelage car je veux pouvoir dire aux autres étudiant que ce petit problème j’ai su le régler et que de plus j’ai su séduire une femme de 40 ans.

• Julien que fais-tu là, c’est inadmissible de venir sonner chez une femme de mon âge.
• Il faut éviter les fausses impressions, ton âge, qu’a avoir ton âge alors que tu es belle, mais c’est pour autre chose que je suis venu te voir, je peux entrer.

Suzette regarde à droite et à gauche et comme je suis seul elle me laisse entrer.
Mon bras retouche son sein et je vois qu’une fraction de seconde ses yeux se trouble.

• Assied toi dans ce canapé et dit moi qu’elle est le but de ta visite.
• M’excuser pour mon comportement, il est normal de le faire, mère a raison j’ai été odieux avec vous et ça !

Je lui montre le paquet de cigarettes posé sur la table du salon avec un briquet.
Elle s’assoit à mon côté mais trop loin à mon goût.

• Merci pour les excuses, elles m’émeuvent de votre part et je les accepte, mais pourquoi ce paquet de cigarettes ?
• Oui, au restaurant ton plongeur m’en a offert une et je m’y suis pris comme un manche me mettant à tousser.
• Tu es devenu fou, j’essaye désespérément d’arrêter et toi tu veux apprendre à te pourrir la vie.
• Je rentre en fac dans un mois et je tiens à avoir exploré plusieurs facettes de la vie avant d’aller au contact d’autres jeunes de mon âge sans paraître un garçon sans expérience.
Tu as pu voir comment mère est rétrograde envers la vie moderne et elle me refuse tout.
• Je comprends alors une seule, prends-la et allume là.

Je viens de marquer un point, j’ai réussi insidieusement que l’on se tutoie resserrant les liens entre nous.
J’en prends deux que je mets dans ma bouche, j’avais vu un acteur faire cela dans un film et j’avais trouvé cela virile, je les allume manquant de tousser et lui en tends une, contant d’avoir trouvé un motif pour ma visite en voyant le paquet sur la table.

• Regarde si tu la tiens comme tu le fais-tu pourrais être pris par un homosexuel,Es-tu homo ?
• Suzette, tu me prends pour qui, j’aime les femmes.

Et je veux te le prouver surtout quand assise à mon côté le peignoir que tu portes s’ouvre sur une de tes cuisses malgré l’effort que tu fais pour le tenir fermé.

• C’est mieux, maintenant aspire doucement, regarde.

Elle met la cigarette que je lui ai passée à sa jolie bouche et me montre, j’en profite pour me rapprocher sous couvert de regarder comment elle fait et insidieusement ma main se pose sur sa cuisse de nouveau découverte.
J’ai l’impression de l’avoir brûlé mais avec un temps de retard et surtout je laisse ma main là où elle est.

• Julien retire ta main tu es insupportable, il est impossible de te faire confiance.

Elle prend sa cigarette et l’écrase dans le cendrier devant nous, j’en profite pour en faire autant et me ruer sur sa bouche et ses seins que je dénude passant de sa bouche à ses fraises que j’aspire l’une après l’autre.
C’est gagner, elle me rend mon baiser et je peux dénuder son corps.

• Une seule fois…

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