Après midi de débauche 5 - histoire érotique

Après midi de débauche 5
J'ai été très heureux de ce Mardi dans l'intimité de Jenny...si je puis m'exprimer ainsi !

Certes, je la partage avec Moussa, mais comme cela est le cas également avec sa maman, j'en suis a me demander de quoi vont être fait les jours suivants.
C'est une quinzaine de jours plus tard que j'ai l'occasion de revoir Jenny. Cela n'était pas prévu du moins par elle, trop prise avec Moussa qui à priori ne lui laisse pas beaucoup de temps libre, il a même passé depuis trois nuits chez elle, s'épanchant dans son ventre alors qu'elle discute avec son mari à l'autre bout du monde et j'ai cru comprendre qu'il est effectivement entrain de la dresser et qu'elle devient accro de cet individu au point de délaisser un peu ses enfants.

Ce jour là, je me présente chez elle en début d'après midi, comme je viens de le mentionner, elle ne m'attends pas, ni même Moussa qui est avec ma compagne qui a du se plaindre de ne plus avoir ses faveurs après lui avoir donné l'occasion de rencontrer Jenny. D'emblée je peux remarquer le changement qui s'opère chez elle depuis qu'elle mène cette vie de débauche.

Mon intention est d'y prendre un peu de plaisir.
Je m'empresse de la serrer dans mes bras et rapidement ma main glisse sous sa robe légère, le long de ses cuisses puis plus haut. Je suis surpris de constater l'absence de culotte et ma main vient en contact avec son pubis couvert par un oreiller de poils soigneusement entretenu. Mon majeur n'a aucune difficulté pour venir agacer son clitoris dur et dressé. Dans mon pantalon mon sexe s'est lui aussi redressé, mon excitation grossit devant ce constat.
Dans mon esprit, je me dis qu'en forçant un peu ses limites, elle assume ses envies.
Moussa à priori fait du bon boulot et cela se remarque, elle ne s'offusque pas d'être malmenée de la sorte. Quand je pense qu'il y a encore une quinzaine de jours, elle jouait les vertueuses, bonne petite femme au foyer, s'occupant de ses enfants et attendant sagement le retour de son époux, se suffisant en voyant et sortant de temps à autre avec ses amies. Maintenant elle se promène sans culotte et se laisse tripoter par le premier qui s'y essaie !
Mais bon, je ne suis pas chez elle pour philosopher sur son nouveau comportement mais bien là pour me soulager en profitant de son corps.
Ma main poursuit son exploration, fouillant délicatement l'intimité de Jenny, la sienne n'est pas inactive et vient justement palper ce membre qui presse contre ses fesses, rapidement elle glisse sous la ceinture de mon pantalon et poursuit son chemin dans mon boxer pour empoigner cette barre qui bientôt va se glisser dans son nid d'amour.
Nous serions mieux dans ta chambre lui dis je.
Tu as raison, montons !
En y rentrant, je ne peux pas m'empêcher de regarder ce lit et penser que Moussa y a passé quelques nuits, ce qui me pousse à lui en faire la remarque, elle me réponds: cela devient problématique car il vient trop souvent, je ne vais pas m'en plaindre, mais une " bonne copine" m'en a fait la remarque en me demandant de quoi il en retournait et que des proches chuchotaient dans mon dos. Je crains que ça vienne aux oreilles de P.H, d'autant que je suis allée voir un ami médecin pour me faire prescrire la pilule et que P.H ne comprendrait pas le pourquoi puisque jusqu' a maintenant j'ai toujours refusé un contraceptif.
Ceci dit, tu ne t'opposes pas à le voir et même avec moi tu acceptes que nous soyons dans ta chambre tout en sachant et tu l'as ressentie ce dont j'attends de toi.
Je ne sais plus ce que je dois faire où pas me répond elle.
Tout en parlant, j'ai déboutonné sa robe qui à présent est à terre, ses seins certes minuscules, les tétons bien dressés par l'excitation permanente qui anime son corps depuis quelques jours trahissent néanmoins la faiblesse de ses bonnes pensées. Je me presse de quitter mes vêtements, mon sexe toujours dressé, vaillant comme une lance se plaque entre sa raie fessière. Mes mains ont quitté son buisson pour se poser sur ses deux excroissances mammaires, j'aime bien sa petite poitrine, on dirait une jeune pubère, je l'embrasse dans le cou et elle se laisse aller dans mes bras. Nous gardons cette position de longues minutes, minutes témoignant d'une infinie tendresse entre elle et moi. Sa main s'est à nouveau glissé entre nous et empoigne en le masturbant délicatement mon sexe. Mes mains s'égarent entre sa poitrine et son entre jambe dont elle a ouvert le compas me permettant de caresser plus facilement cette grotte secrète il y a encore peu et dont je vais marquer de mon empreinte ses parois de satin.
J' en profite pour lui demander qu'elle me narre les scènes de sexe qu'elle vit avec Moussa.
La première fois, il m'avait tellement harcelé que j'avais accepté de le rencontrer après m'être durant des nuits, seule dans mon lit interrogée sur ce que m'avait dit maman concernant mon mari lorsqu'il se trouve en Thaïlande où d'autres déplacements dans les pays d' Europe de l'Est. La même" bonne copine " qui me mets en garde aujourd'hui, m'en avait fait également la remarque en me disant : ton homme est pas mal physiquement, bon rang social et même ici à Marcq, j'en connais qui ne dirait pas non si il leur faisait des avances...peut être qu'un jour tu regretteras de ne pas en avoir plus profité !
Tout cela m'a poussé à franchir le pas, mais en fait je suis devenue son otage, il s'en fout, ce qui lui plait c'est qu'il dispose de moi comme il l'entends et j'ai peur aussi de tomber dans un piège en étant contrainte de satisfaire des amis à lui... il en a déjà fait allusion.

Par ailleurs, il m'a fait découvrir une nature qui était en moi et que je refoulais.
Quand il vient, je m'applique à le sucer comme il me l'a enseigné si je puis dire, moi qui ne le pratiquait que très rarement et avec dégoût même à mon homme, voilà que j'en suis une experte et qu' en plus je me délecte de ce nectar lorsqu'il s'épanche dans ma gorge. La sodomie même en rêve je ne l'avais pas imaginé, cela a volé en éclat depuis que nous couchons ensemble et lorsqu'il me pénètre, que son sexe s'active en moi, je suis prête à tout, il m'emporte dans une mer de jouissance avant de déverser son plaisir au fond de mon ventre où mes reins.
Physiquement il n'est pas très avantagé, mais sur le plan cul, à peine il est là que je fonds.

La semaine dernière, nous avons été à V2, je portais une robe assez courte, sans culotte ni soutien gorge, je portais uniquement et à sa demande des bas. Nous sommes d'abord allé dans un magasin de chaussure, j'ai essayé des hauts talons, un vendeur s'est occupé de nous, lorsque j'étais assise face à cet inconnu, j'ai du écarter mes jambes afin qu'il est tout loisir de se rincer l'œil. Je peux t'assurer qu'il ne s'en est pas privé. Ce disant le patron, il nous a proposé de continuer dans la réserve si cela ne dérangeait pas " Monsieur ", il pensait que c'était mon mari. Puis pareil pour une robe, j'ai du faire les essayages le rideau partiellement ouvert, quelques Messieurs accompagnés de leurs épouses ont pu aussi poser leurs yeux vicieux sur l'intégralité de mon corps. Enfin dans un café, je devais croiser et décroiser mes jambes délicatement devant des voyeurs qui n'en perdait pas une miette.

Ah oui, Jeudi dernier, c'est pour cela que tu as demandé à ta mère de venir s'occuper des enfants.
Après notre passage au centre commercial, toutes ces péripéties avaient suscité en moi un profond besoin d'être prise. De ce fait, je n'avais pas d'autres choix que de passer à Roubaix.
Pour une fois, nous sommes allés dans sa chambre, il ne m'a pas retiré mes habits, il m'a allongé, retroussé la robe haut sur mes reins, il s'est déshabillé. Son sexe pointait fièrement entre ses cuisses, il s'est affalé sur moi et rapidement sa queue perfora ma chatte, j'ai joui de suite tellement cette tension accumulée dans l'après midi avait besoin de retomber. Une fois qu'il eu pris son plaisir, je suis venue sur lui pour nettoyer son sexe en le suçant, il n'a pas débandé, m'a retourné, je savais ce qu'il voulait me faire endurer.
Mais avant cela il me dit : ce serait bien que tu retournes à V2 avec ton mari et que tu essaies de le laisser un moment seul dans le centre et toi tu en profites pour retourner voir le vendeur de chaussures afin d' y visiter la réserve....
Avec son doigt il récupéra un peu de son jus et m'en enduis l' œillet anal, après il pointa son gland, le muscle céda et il investit mes reins. Il lui fallut un peu de temps pour parvenir à s'épancher au plus profond de moi, il devait m'imaginer dans la réserve !

Tout ses propos décuplèrent mon propre désir, je l'ai allongé au travers du lit conjugal, elle a écarté ses cuisses lorsque je me suis couché sur elle. Elle a empoigné mon sexe et positionna mon gland à l'entrée de son nid douillet, j'ai poussé lentement et ma queue disparue dans cette grotte chaude et humide, je savourais cet instant de totale domination, rapidement j'ai accentué des allers retours et me suis épanché au fond de son utérus.

J'étais conscient d'avoir été égoïste, une jalousie intérieure me fit penser que puisqu'elle adorait se faire baiser par Moussa, elle attendrait qu'il se manifeste prochainement, cette nuit où demain pour prendre son pied !
Par contre, l'idée qu'il en fasse une catin me dérangeait.

Je lui ai dit : Si tu penses qu'il est animé de mauvaises intentions et que cela puisse prochainement te poser un réel soucis, je vais le rencontrer et lui demander de cesser de te voir, même si je dois pour cela le menacer de représailles, j'ai encore des contacts dans la grande maison.....

Je te ferais signe si cela est le cas, tout de suite il me faut réfléchir à faire attention dans mon couple et l'entourage. Dans trois semaines nous partons avec les enfants en vacances, à notre retour peut être que j'aurai coupé les ponts avec lui.