Weekend de débauche aux Halles - Chapitre 3 -

- Par l'auteur HDS JustinBogosse -
Auteur homme.
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Récit libertin : Weekend de débauche aux Halles - Chapitre 3 - Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Weekend de débauche aux Halles - Chapitre 3 -
Karim m’a alors demandé s’il pouvait en rouler un autre. Même si j’étais enfin prêt à me soumettre totalement, je me sentais rassuré de constater que, malgré que son sperme frais collait encore à ma joue et tachait mon t-shirt comme un Pollock, il semblât encore me respecter suffisamment pour ne pas se servir directement, me mollarder sur la face et se barrer en tapant mes i-accessoires !
Karim avait remonté son boxer et son survêt. Alexandre, qui n’était plus vêtu que de ses chaussettes et de sa chainette, enfila juste son boxer et se posa à côté de Karim. Leurs torses nus et dessinés me donnaient toujours l’envie de les satisfaire comme mes maitres. Je leur proposais une bière. Je profitais de les leur chercher au mini bar pour récupérer mon boxer de rechange dans mon sac et m’éclipser un instant dans la salle de bain. Je réalisais en me voyant ainsi souillé de ce pur jus de petits lascars que tout ça était bien réel. J’en avais rêvé si souvent. Ça ne servait plus à rien de se faire une parano. Il n’y avait aucune raison que je ne finisse contaminé, tabassé ou en vidéo sur internet. L’occasion ne s’était pas présentée si souvent et ne se présenterait peut-être plus. Alors autant en profiter à fond.
Je m’essuyais le visage avec mon boxer en essayant de récupérer tout ce jus, devenu le trophée, souvenir des mes deux lions des Halles. Et je regagnais le salon. Je leur tendais les bières et me posais de nouveau par terre, massant tendrement de chaque main l’un de leur pied.
« C’est vrai qu’t’es chaud, toi ! » me dit Karim. « J’me suis jamais fait pomper comme aç !»« Et t’as kifé on dirait, hein ? » enchérit Alex.
« J’peux pas nier… C’est vrai que je pourrais vous pomper jusqu’à demain si vous vouliez… Vous me faites trop kifer, sérieux ! J’ai l’impression de me taper deux top-modèles ! Truc de ouf ! » Je les flatte, espérant les motiver à ne pas en rester là.
« Mort de rire ! Et toi t’as pas juter ?! » remarque Karim.
« J’suis pas pressé, si vous passez un bon moment, c’est tout ce qui compte… Et si vous êtes pas pressés non plus, que vous arrivez à rebander et que vous êtes ouverts, je peux p’t-être vous faire découvrir d’autres talents… » J’ajoute un peu de provoc, histoire de faire en eux surgir les mâles virils en puissance qu’ils sont à même de devenir. J’avais surtout envie qu’ils ne partent pas déjà.
Je maintenais la conversation autours du sexe en leur demandant quels sont leurs fantasmes. Rien de bien original, ce qui n’est pas surprenant s’ils n‘ont encore jamais passé une nuit complète dans un lit avec une partenaire expérimentée. On a évoqué les plans à trois, la branlette espagnole – heureusement ils ne semblent pas trop branchés seins -, la sodo… Je leur ai confié que mon cul est bien serré. Leur parle de trucs comme de se faire bouffer le cul, que pleins d’hétéros aiment ça. Je leur ai aussi parlé des trips qu’on rencontre chez les gays comme de se faire insulter, de se soumettre, de snifer des pieds, lécher des aisselles, se faire mollarder ou pisser dessus. Les uniformes, le fétichisme, de se faire attacher, pincer ou bruler. Qu’il y en a même qui aiment se prendre deux bites à la fois ou de se faire fister. Je dois leur expliquer un peu les trips sado-maso qui leur semblent bizarre et leur montre des vidéos correspondant aux différents trucs évoqués. Je leur demandais jusqu’où ils avaient été, s’ils avaient déjà enculer une nana ou s’ils avaient déjà fait un plan à trois. Je leur racontais mes meilleures expériences, ma plus grosse queue et les saunas gay...
Il était presque 18h00, le minibar était à sec. Ils n’avaient pas d’autre plan pour la soirée. L’ambiance était torride. Mes deux lascars étaient avides de s’enivrer plus vite et plus fort. Ils étaient prêts à profiter de leur première lope comme des hyènes sur la carcasse d’une antilope. Quant à moi, j’étais enfin et pour une fois, détendu et relâché, à l’aise dans mon rôle fantasmé de pute à racaille. Bien que défoncé, je bandais déjà, cette fois prêt à me livrer totalement.

« Ca m’excite ces conneries là, te-ma, je bande de nouveau » s’est exclamé Karim en sortant sa queue raide au gland brun turgescent.
« Ben demande à l’autre chienne de la pomper » attaque Alex avec son accent de banlieue.
Il me saisit par la nuque et m’a penché vers le zboub de son cousin que j’ai avalé sans broncher. J’ai saisi sa queue à la base, l’ai ressorti de ma bouche, ai laissé couler un gros filet de bave dessus que j’ai étalé avec main avant de reprendre son gland en bouche.
« Vas y, fous toi à poil » m’ordonna Amadou.
J’ai enlevé mon t-shirt et déboutonné mon jean. Je me suis levé pour le retirer quand Karim m’a dit de leur faire un striptease « pour bien leur montrer que je mérite leurs teubs. » Je passais mes mains sur mon torse, me suis retourné et me courbait langoureusement pour leur exposer mon boule. J’ai doucement descendu doucement mon jeans, en sortis une jambe, puis l’autre et l’ai balancé pour me retrouver face à eux dans mon boxer rose. Je twerkais à quelques centimètres de leurs visages et sentais leurs mains qui me pelotaient. Alexandre me claqua, fermement mais sans violence, attrapa mon boxer des deux mains et me le descendit à mi-cuisse. J’étais à poil, à genou sur le pouf et le cul offert. J’avais envie de me faire baiser sans limites. Je suçais mon index avec lequel je venais doucement masser ma rondelle épilée sous leurs regards gourmands.
« Putain t’as un bon boule de salope ! Mate-ça cousin, bien rasée comme une pucelle ! »« Ouais t’es une bonne pute, vas-y suce bien sa bonne teub de rebeu. »Je repris la bite de Karim en bouche en lui faisant de longues gorges profondes bien baveuses. Alex s’était levé. Je sentais ses grosses mains sur mon boule. Puis un doigt, mouillé, s’approcha de ma rondelle. Je l’ai entendu renâcler et senti m’envoyer un gros mollard sur la chatte. Et là… Une décharge électrique me transperça des pieds à la tête. Ses mains m’écartant les lobes, je sens ses lèvres pulpeuses caresser doucement mon œillet. Je gémissais et gigotais, tout en redoublant d’effort sur la longue queue de Karim, qui était raide et prenais le gout de son pré cum abondant. Alors qu’Alex enfonçait sa langue de plus en plus profondément, il m’enfonça un doigt tout en me traitant de bonne pute à black.
Je bouffais les boules de mon p’tit beur qui tapotait sa grosse tige à travers ma gueule. Il gémissait en me traitant de sale pute. Il me fixait, la bouche entrouverte, en mimant de sa langue ceux de la mienne sur son périnée soyeux. Je le tirai vers moi par les cuisses et lui relevai les jambes et m’attaquai aussi à sa rondelle. Mes premiers coups de langues ont balayé toutes ses réticences. J’enfonçais ma tête entre ses boules et ses deux lobes, mon visage trempé de ma salive et de sa sueur, roulant des pelles à des recoins de peau vierge de toute exploration, totalement soumis au rythme de l’index et du majeur d’Alex qui s’était relevé et biflait mon cul de sa grosse verge black.
Alexandre m’agrippa la tête et me tendit sa queue qui avait un peu ramolli pendant qu’il préparait ma rondelle à ses assauts. Elle était épaisse, douce et si longue. Je la chatouillais doucement du bout de mon nez et de mes lèvres, j’en inhalais chaque centimètre carré, les yeux lucidement ouvert sur l’objet de tout mes fantasmes. Une jeune et fringante, droite et longue, épaisse et grosse bite noire.
« J’vais t’ouvrir la chatte pour le gros zboub de mon cousin kebla !! » Karim s’était relevé, bifflait violement mon cul. Alex me mollardait sur la gueule alors qu’un fil de salive reliait sa bite à ma bouche entre deux gorges très profondes. J’avais des larmes aux yeux, je transpirais et bandais à en avoir mal aux boules.
Le black, la bite enfoncée dans ma bouche, écartait mes fesses pour mieux laisser le beur masser mon trou de son gland gonflé.
« Vas-y, fais-toi plaise… »Encouragé par Alex et par mes gémissements, Karim fit enfin céder mon sphincter et dans un râle viril ininterrompu continua d’enfoncer sa queue centimètre par centimètre. Impatient de satisfaire mon beau rebeu, j’ai agrippé sa fesse droite et me suis reculé d’un coup jusqu’au claquement de ses abdos sur mon cul.
Me prenant par les cheveux, il s’est courbé, je sentais ses pecs sur mon dos et son souffle sur mon cou, le visage entravé par la verge d’Alex.
« Tu la sens, ma queue de rebeu ? Tu kifes hein ? » Les insultes et les mollards pleuvaient. Je leur en redemandais sans aucune pudeur râlant aux coups de rein du petit footeux. Il me limait depuis au moins 15 minutes quand les dernières douleurs se sont estompées. Aucune parano, aucune mauvaise pensée, aucun stress ne pouvait plus m’arrêter. Je vivais enfin mon fantasme ultime.
Voulant essayer d’autres positions, Karim me poussa sur le lit. Couché sur le dos au bord du lit, je relevai mes jambes. Amadou, dont les 24 centimètres lubrifiés pointaient vers moi, prit alors les devants. Il me transperça le cul jusqu’aux entrailles. Inlassablement et pour mon plus grand bonheur coupable, il ressortait les trois quarts de sa queue et me la renfonçait en criant. Il me limait en me fixant et en me tenant le cou. J’étais totalement à sa merci. Je l’implorais et le remerciais de me donner sa bonne bite de mec et suçait son index qui caressait mes lèvres.
Karim s’était mis à genou sur le lit. Je tirais vers ma bouche sa queue, avide d’en tirer le jus. Il se décala derrière moi, je lui léchais les boules et passais la tête entre ses cuisses. Il se pencha en avant pour me laisser accéder à sa rondelle. Il avait dû aimer mon traitement et j’aimais me dire qu’il se souviendrait de ce jour. Mais à cette heure j’étais le seul dans la pièce à me douter que je pourrais l’amener plus loin. Je lui bouffais littéralement le cul et frottait sa rondelle avec mon pouce.
J’imaginais mes deux amants se tenant par les épaules, l’un me limant le cul, l’autre penché pour me laisser lui faire découvrir de nouveaux plaisirs, se laissant aller à se rouler des pelles.
La réalité dépassa mes désirs lorsque je sentis une main timidement caresser ma queue. On commença à me branler nerveusement, alors je redoublais d’intensité dans mon anulingus pour l’en remercier. Alexandre, qui variait les intensités depuis maintenant 20 bonnes minutes, était moite d’une légère transpiration que je sentais sur son torse appuyé le long de ma jambe gauche relevée. Il poussa alors la tête de Karim sur mon chibre qui se laissa aller à en lécher la hampe. De moins en moins timide, il me décalotta, lécha interrogativement mon gland et finit par le gober maladroitement. Je finis par doucement lui enfoncer une phalange lui arrachant de petits gémissements révélateurs.
Alex releva Karim qui libéra ma vue sur les torses luisants de mes lascars en rut. Alex tenait toujours la tête de Karim, lui cracha sur la bouche et lui roula un gros patin en lui pinçant les tétons. Je sentais sa bite frémir dans mes entrailles serrées. Il la sortit d’un coup, vira la capote, et quatre puissants jets d’un sperme blanc nacré, épais et gluant a inondé mon torse. Je me l’étalais et en ramassait les bouts les plus gluants sur mes doigts que je ne pouvais m’empêcher de lécher.
Karim se branlait. Sa respiration était saccadée. Il s’est approché de moi et a bien visé ma bouche pour y déverser une seconde fois le fruit de ses productives bourses de jeune mec. Complice, je me relevai en caressant leurs torses, et attrapai la bouche de Karim. Amadou nous rejoint pour une pelle à trois baveuse de leurs spermes qu’ils goutaient pour la première fois.

Karim a re-roulé. Amadou est allé pissé. Je l’ai rejoint et lui l’ai tenue pendant qu’il pissait. C’était bon de voir un beau mec comme on ne le voit jamais. Debout devant la cuvette de WC. Tenant sa grosse bite qui balance par à coup de jet de pisse dru. Même si j’étais claqué et que j’avais pris cher, j’avais tout mon temps. Je me sentais bien avec eux. J’ai laissé le sperme sécher sur ma peau. J’ai proposé une douche. Je les ai nettoyés comme un serviteur docile, savonnant les moindres recoins de leur corps sortant à peine de l’adolescence. Je sentais leurs queues reprendre de la vigueur, et les suçaient comme dans un monde où la luxure et le libertinage serait une politesse. Je les ai séchés soigneusement, service cinq étoiles.
On a fumé et ils ont eu faim. Je leur ai proposé de les inviter à diner. Ils ont dit qu’ils devaient y aller. Ils n’avaient surement pas très envie de se faire griller. Mais ils m’ont laissé leur 06. Le weekend avait bien commencé…
A Suivre !

PS. N’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires ! C’est ma première histoire et une suite est prévue si ça vous a plu…

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