Ce que la pluie peut amener !

- Par l'auteur HDS Plastico -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Ce que la pluie peut amener ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2016 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
Ce que la pluie peut amener !
Jour de pluie, latex, et...

Aujourd’hui, jour de pluie, temps gris, rien à faire à part continuer de rechercher un nouveau travail.
Pas très motivant comme activité depuis 7 mois, tant l’énergie à y mettre requière toutes mes forces.

Lever tôt, à la même heure, comme si je partais travailler, comme si.. Continuer de faire comme si tous les jours. Terrasse du café avec les amis, discussion sur tout et rien. Lecture de la presse, des petits bobos du monde et les fesses à la Kardashian.

Toujours seul, pas d’empathie ou de soutien des autres. Pas d’annonces, pas de proposition de job, rien, rien, encore le constat de devoir se remettre à l’ouvrage. Battre le fer, rappeler une énième fois les entreprises pour quémander des informations sur le cheminement de mes candidatures.
Toujours la même réponse. C’est en cours, il faut attendre.

Pour s’évader de cette tourmente, lire, peindre, sculpter, construire et façonner des objets…. et de temps en temps trouver encore le temps de fantasmer.

Fantasmer, fantasmer. Dégager mon esprit de la roue du hamster qui tourne et tourne à toute vitesse dans sa cage… Trouver le temps et l’envie de s’échapper pour quelques instants de rêverie, d’envie, de choses inavouées.

Aujourd’hui jour de pluie, temps gris, rien à faire sur la terrasse du café en dehors de relire mon journal pour la 3ième fois et avaler mon deuxième café, regardé les personnes passer devant moi dans tous les sens, sans rien dire, sans sourire, comme si se rendre au travail était une torture. Et puis.

De L’autre Côté de la rue, elle attend sous son parapluie trempé que le feu l’autorise à pouvoir traverser la chaussée. Son aspect attire mon esprit immédiatement. Elle est bien en chère, grande, jolie, plantureuse. Habillée en conséquence, elle porte un imperméable rouge, une paire de gants et des bottes en plastique. Mon esprit tourne à toute vitesse. Elle a traversé, marche dans ma direction et finit me lancer un petit sourire.

Bonjour me, dit-elle en venant s’asseoir à la table à côté de moi, sur la terrasse du café. Je n’arrive pas a détacher mon regard d’elle. Tout mon corps s’est réveillé et, bien entendu, mon esprit et mes fantasmes.

Là à côté de moi, dans un monde qui vit à la vitesse du son, une femme, comme tombée du ciel, comme un miracle, vient de s’asseoir à côté de moi. Incroyable. Elle commande un café au serveur qui vient à sa rencontre. Elle me demande si j’en veux un aussi. Surpris par son attitude, je réponds en un rien de temps « avec grand plaisir ».

La suite est incroyable, elle me demande simplement si elle peut se joindre à moi quelques minutes pour partager un moment ensemble. Bien évidemment, j’accepte immédiatement et lui signifie par un geste de la main de bien vouloir prendre place en face de moi. En se déplaçant, son imperméable bruisse, le plastic sonne à mes oreilles comme jamais. Elle décide de se mettre à l’aise en enlevant son imperméable et en déposant celui-ci sur la troisième chaise inoccupée et s’assoit .

Je suis complètement ébahi par ce qui se passe. je dois me pincer, excité au maximum.
Là en face de moi, cette femme porte sous son imperméable un ensemble composé d'un chemisier violet boutonné jusqu’au cou, très classe et une jupe noire, le tout en latex brillant. comme si cela était parfaitement normal. de se promener comme ça dans la rue.

Surpris également, le garçon de café dépose sur la table les consommations demandées.
Avant de s'en retourner, il lance " Eh bien, Monsieur, ce n’est pas tous les jours que l’on voit cela !
Merci répond-t-elle, je prends cela comme un compliment.

Elle entame maintenant la conversation. Pas beau aujourd’hui ! Un vrai temps pour se couvrir et s’équiper en conséquence qu’en pensez-vous ? Eh bien, eh bien, bien évidemment. Pourquoi me regardez-vous comme cela ? J’ai l’impression de vous troubler ? Peut-être, C’est Pas tous les jours que je bois mon café à cette heure là avec une femme, de plus dans une telle tenue. Vous n’avez pas froid ?
Non, j’ai très chaud. Je me sens bien, ici en ce moment à vos côtés.

Je m’appelle Brigitte, et toi ? Moi c’est Daniel. J’aime bien, votre prénom Daniel, lance-t-elle.
Que faites-vous dans la vie ? Je suis ingénieur normalement. Normalement ? Eh oui, je suis en recherche d’emploi actuellement et ce n’est pas facile.

Vous n’êtes pas marié. Comment le savez-vous ! Votre main ne porte pas d’alliance. Bien vu.
Je suis célibataire. Comment se fait-il ? J’ai travaillé durant des années au quatre coins du monde et cela ne m’a pas laissé le temps de pouvoir fonder une famille. Ah je comprends, dit-elle.
Et vous, ? moi je suis aussi célibataire, je n’ai pas trouvé la bonne pointure.
La bonne pointure ? oui, de chaussure à mon pied !

Comment une jolie femme comme elle, la cinquantaine, n’avait elle pas trouvé chaussure à son pied ?
Je décide de franchement me lancer et de lui demander ce qu’elle recherche dans une relation avec un homme. Après un temps de réflexion sa réponse est sans équivoque. Il faut me mériter, me désirer, accepter certaines choses. Lesquelles ? Porter les mêmes matières que celles que j’aime.
C’est à dire ? le plastique , le latex, le vinyle par exemple. Pourquoi cela ? je suis particulièrement attirée par ces matières. Je me sens en sécurité lorsque j’en suis revêtue je deviens alors une autre femme,un autre personnage.

Je suis complètement troublé par ses mots, ivre, emporté dans un tourment particulier, fantastique, non, fantasmique. Sans aucune gêne, sans retenue, elle vient de poser sa main sur la mienne.
Dans d’autres conditions, j’aurai sûrement dans un réflexe sécuritaire, retiré celle-ci immédiatement.
Là, comme paralysé, incapable de bouger, ne pouvant rien faire, je me me laisse faire, emporter dans l’espérance de la suite, je ne bouge plus.

Vous me plaisez Daniel. Eh bien, merci, Brigitte. Je ne rêvais pas. Quelque chose venait de se produire entre nous, je ne sais pas quoi, mais ce que je savais, c’est que cette femme allait complètement transformer ma vie et la routine de tous les jours.

Nous avons continué de parler longuement. Nous étions devenus sans nous rendre compte le centre d’intérêt prioritaire de la terrasse du café. Comme par hasard, un jour de pluie, il y avait plus de client dehors qu’à l’intérieur. Comme par hasard !

Et vous, non, et toi, que faits-tu dans la vie, Brigitte ? Appels-moi Brigitte s’il te plaît. Eh bien, Brigitte, que faits-tu dans la vie. Daniel, si tu permets que je t’appelle par ton prénom , je travaille dans une grosse compagnie qui m’appartient. A oui !, Brigitte, je voudrais que tu face quelque chose pour moi.
Peux-tu remettre ton imperméable pour redevenir en quelque sorte « Madame tout le monde » S’il te plaît. Pourquoi me lance-t-elle ? Et bien, ce qui me dérange c’est tous ces regards autour de nous.
Quels regards ? Je suis venue ici que pour ça. Cela m’excite. Elle se leva d’un coup de sa chaise.
Une nouvelle fois, je suis confronté au doux bruissement du latex et celui du plastique de son manteau qui glisse maintenant sur elle. Devant moi, devant nous, de manière explicite, elle referme les uns après les autres les boutons jusqu’en haut et termine le tout en remontant son col. Voilà cela te convient mieux Daniel ? Oui, merci de l’avoir fait. Les choses pouvaient maintenant continuer plus normalement, redevenir un peu prêt normal, aujourd’hui jour de pluie et de mauvais temps. Normal qu’une femme porte un imperméable rouge brillant et boive la café avec moi, non.


Tu disais Brigitte que tu travailles dans une grosse compagnie ? Eh bien, Daniel, ce n’est pas entièrement vrai. Je travaille dans ma compagnie. Aujourd’hui, les affaires vont très bien et cela me permet de pouvoir me dégager de mes obligations de plus en plus souvent. Eh bien, quelle chance ! Eh oui !

Vas-tu travailler aujourd’hui ? Je ne sais pas encore. Cela dépend de toi, Daniel, de moi ? Oui, Si tu souhaitespasser la journée avec moi, peux être que je n’irais pas travailler. Bien évidemment que j’étais prêt à lui donnertout L’or du monde pour passer la journée avec elle et bien plus encore.

Eh bien, Brigitte, je suis bien évidemment favorable à une telle idée. Garçons s’il vous plaît ! je voudrais payer. Oui, Monsieur. Quelle galanterie me lance-t-elle. Encore une qualité, Daniel !

Dans un élan plein d’énergie, nous nous levons et prenons n’importe quelle direction. Daniel, que veux-tu maintenant faire ? eh bien, je ne sais pas comme ça. Et si nous allions chez moi prendre un verre devant un bon feu de cheminée ! et …. J’avais retenu seulement son « et » . de quoi voulait elle parler.

Tout tournait dans ma tête, tous les scénarios, plus fou les uns que les autres, tous les fantasmes… Au-devant de quoi allions-nous. Je ne pouvais pas le dire, mais ce que je pouvais m’imaginer c’est que cela allait être chaud, chaud comme le feux de sa cheminée.


Taxi, taxi s’il vous plaît. Elle vient de lever le bras en lui faisant signe de bien vouloir s’arrêter.
Il nous a vu et c’est arrêté à nos pieds. Brigitte me signifie de bien vouloir monter à l’arrière, ce que je fait rapidement, tellement la pluie est devenue forte. Elle fait le tour de la voiture pour aller chuchoter au conducteur l’adresse de destination puis vient me rejoindre rapidement. Désolé Daniel, désolé, je suis complètement trempée par la pluie. Je vais te mouiller. Je lui réponds que cela ne me dérange pas.
Me mouiller, elle pouvait bien me mouiller.

Je ne vois plus passer le temps, le taxi s’est arrêté sous l’entrée d’un immeuble, à l’abri de la pluie. Elle descend la première et règle le montant de course auprès du chauffeur puis se retourne en me disant, viens, viens, allons au chaud.

Elle ouvre la porte palière, nous montons rapidement à pied un certain nombre de marches et nous nous arrêtons devant une porte. Nous sommes arrivés me lance-t-elle avec un grand sourire.
Rentrons pour nous changer. Nous changer ? que voulait-elle dire par nous changer ?

La porte vient de se refermer derrière nous et pénétrons dans un petit vestibule. Daniel, déposes ton manteau ici, rentres, faits comme chez toi ! Chez moi, je ne connaissais rien de cet endroit.
Débarrassé de son imperméable et de ses bottes, elle me propose de visiter les lieux.
Pourquoi pas. Allons-y Brigitte.

Voici la cuisine et le salon avec la cheminée. Dans notre dos, un grand et long couloir sans fin.
Nous prenons la direction de celui-ci. Elle m’ouvre chacune des portes, me fait voir son bureau, sa salle de bain dont un détail retient mon attention. Le carrelage et noir brillant et l’ensemble du mobilier, la douche et la baignoire sont de couleur rouge laqué.

Nous sortons de celle-ci. En face, une dernière porte reste close. C’est ta chambre Brigitte ? Oui, tu verras cela plus tard ! Plus tard ? que voulait-elle dire par cela ? Je pouvais m’attendre à quoi encore ?


Nous faisons demi-tour et retournons au salon. Daniel, serres-moi un verre.
Il y tout ce que tu veux dans le bar, la glace dans le frigo. Que veux-tu boire Brigitte ?
Eh bien, je prendrais une vodka bien glacée. Très bien.

Sais-tu allumer un feu, Daniel ? Quelle question, de quel feu parlait-elle ?
C’est moi qui est en feu. Elle dirige son index dans la direction du foyer de la cheminée en m’indiquant l’emplacement des bûches. Le bois est là. Tu fumes, Daniel ? Non, Brigitte. Les allumettes sont dans le tiroir. Je vais me changer et je reviens. Installe toi confortablement.

J’en profite pour jeter un coup d’œil au travers de la baie vitrée du salon.
Sale temps, rien que des arbres, de la pelouse et de la pluie. Je ne sais vraiment pas où nous nous trouvons, mais dans le fond, cela m’importe peu. Je dépose une bûche dans le foyer, quelques petits morceaux de bois sec et des brindilles. Le craquement de l' allumette retenti dans le silence de la situation.
Le feu se met à crépiter et une douce chaleur commence à rayonner dans la pièce.

Mon verre à la main, je finis par m’installer dans le grand canapé, je suis bien, le confort de cet instant me met en confiance. De loin, j’entends le bruissement du latex. Elle vient de quitter sa tenue vraisemblablement.
Tout va bien ? me demande-t-elle au loin ? Très bien, très bien Brigitte.
Je vais juste prendre une douche, tu comprends pourquoi Daniel, un, tu comprends ….
La porte vient de s'ouvrir. J’arrive, et de se refermer.

Je suis loin d’imaginer la suite de la journée. Quelle heure était-il ? Quel jour ? Je ne sais plus.
Le crépitement du feu donne une ambiance particulière à cet instant.

La porte c'est réouverte. J’arrive, J’arrive, me, répète-t-elle. j’entends distinctement le claquement de ses pas. Elle s’est arrêtée derrière moi. Je sens précisément l’odeur de quelque chose que je connais bien.
Une main gantée vient de se poser sur mon épaule. Le latex caresse et remontant maintenant le long de ma nuque pour terminer par masser ma tête. Tu aimes ce que je te fais ?, je peux ? Je me lève d’un coup.
En me retournant. Là en face de moi, debout, derrière le canapé, Brigitte a revêtu une combinaison en latexnoir lui couvrant le corps des pieds à la nuque, brillant comme un diamant, lustré comme ce n’est pas permit. Tu aimes, Daniel ?

Elle fait le tour du canapé et s’assoit à mes côtés. Elle saisit ma tête entre ses mains, se penche vers moi et m’embrasse très longuement. Viens me, dit-elle ! Elle se lève, m’entraîne par la main jusqu’à sa salle de bains. L’odeur douce du latex, le bruissement de la matière, le claquement régulier de ses talons sur le sol en bois, me trouble complètement. Ne suis-je pas dans un rêve ?

Vers quoi allons-nous. Elle vient d’ouvrir la porte. Ici je t’ai déposé une serviette et tu trouveras dans lacrédence tout ce dont tu as besoin. Je t’attends en face, dans ma chambre. Elle s’en va en poussant la porte. laissé seul, je prends le temps de me déshabiller. Mon sexe est déjà dressé et dure comme jamais.
Je commence par me doucher en faisant bien attention de frotter tous les partie de mon corps afin d’être parfaitement propre. Je me sèche, enfile le peignoir blanc, me rase et jette sur mes joues de l’après-rasage.
Je sens bon. J’éteins la lumière et vais en direction indiquée, en face. Après un temps d’hésitation j'ouvre la fameuse porte et débouche dans une pièce où la lumière est tamisée et douce.

Elle m’attend, prend mes mains et me demande de m’asseoir au pied de son lit.
Attends, j’ai des choses à te montrer. Elle se tient debout devant une grande armoire.
Dans un petit bruit, elle fait glisser l’une des portes coulissantes, découvrant un grand espace de rangement encore sombre. Elle tend sa main gauche à l’intérieur et, d’un coup tout s’illumine. Je me trouve devant la caverne d’Ali Baba, devant moi, brille de mille feux, une quantité incroyable de tenues en latex, en plastique, en vinyle, en pvc et bien d’autres encore de toutes les couleurs. Voici, Daniel, mon trésor. C’est mon moi intérieur, mon secret.

Au dessous, je distingue très clairement trois grands tiroirs. Elle m’ouvre le premier et dévoile son contenu,celui-ci est sans équivoque. Toute une panoplie de cagoules, et d’objets de bondage y sont parfaitement rangés. Elle le referme en me faisant un petit signe de sa main, chute ! Et passe au second.
Là, plusieurs accessoires sons rangés par taille et longueur, godes, sexto Ys et produits dont je peux bien comprendre à quoi ils peuvent servir. Elle le referme doucement et ouvre le dernier.
Dans celui-ci, de nombreux masques en latex,destinés à enfermer son utilisateur pour un moment identique à ceux utilisés par l'armée, brillant et prêt à être utilisé
Eh bien, Brigitte, je n’en crois pas mes yeux. J’imaginais bien que tu étais particulièrement branchée, mais à ce niveau-là ! Elle s’agenouille devant moi, ouvre mon peignoir, saisi d’un main mon sexe et de l’autre commence à le caresser. Je suis prêt à exploser. Calme !, Calme ! attends ! c’est que le début d’un moment d’extase. Elle se relève et sort maintenant de la penderie un porte-jarretelles en latex jaune, une paire de bas noir et jaune et un corset de même couleur. Aides moi à compléter ma tenue s’il te plaît Daniel. Je referme mon peignoir, serre fermement la ceinture autour de ma taille me lève et lui donne un coup de main pour enfiler, fermer et régler l’ensemble. Je commence par fermer autour de sa taille son porte-jarretelles, puis remonte sur ses jambes, l’un après L’autre, ses bas en finissant par les accrocher à sa taille et enfin, termine par lui serrer dans le dos le grand corset qui lui sert de fourreau.

Elle contemple maintenant le résultat devant le grand miroir de sa penderie. Très bien, tu as fait du bon boulot Daniel, la suite maintenant. Brigitte me prie de bien vouloir laisser tomber mon peignoir. Maintenant nu devant elle, mon sexe tendu à n’en plus pouvoir, elle retourne dans sa penderie et commence à déplacer l’un après l’autre de gauche à droite les cintres sur lesquels sont accrochés une quantité incroyable de tenues et fini par sortir une combinaison intégrale ample en latex bleu, équipée d’une paire de gant, d’une cagoule et d’un certain nombre d’ouverture là où il faut.

Viens me, dit-elle. Elle s’est agenouillée maintenant devant moi, descend complètement la fermeture éclaire dorsale de la tenue choisie et ouvre largement celle-ci sur le sol. Tu fais quoi Brigitte ? Viens, viens, laisses toi faire, donnes-moi ta jambe. Elle commence à introduire un premier pied dans le chausson puis remonte l’ensemble le long de ma jambe puis pratique de la même manière de l'autre côté.
J’ai la cher de poule. Tu aimes Daniel ? Ain, tu aimes ? Je ne réponds pas mais le signe évident de mon excitation et dressé entre elle et moi. Arriver maintenant à ma taille, elle passe mon premier bras dansl’une des longues manches et introduit l’un après l’autre chacun de mes doigts dans le gant qui termine celle.ci et procède de la même manière avec le second.

Elle vient de se relever pour venir maintenant derrière moi. Elle saisi le haut de la combinaison et l’ajuste au dessus de mes épaules et de l’encolure. Il y a encore devant moi quelque chose qu'il ne m'a pas encore été enfilé, la cagoule. Elle l'a saisit par l’arrière, de chaque côté et tire par le haut doucement pour y faire pénétrer toute ma tête. Après avoir ajusté les orifices sur mon visage et referme sur ma nuque la fermeture éclaire.

Seul mon dos, mes yeux et ma bouche sont encore en contact avec le monde extérieur, pas pour longtemps.
Elle continue son travail. Je sens l’ensemble se refermer sur moi comme un cocon. Je suis maintenant bien au chaud. Pas de problème, Daniel jusqu’à maintenant me lance-t-elle ? J’acquiesce un ok de la main avec deux doigts en formant un rond. Bien.

Brigitte me couche sur le dos dans son lit en caoutchouc, s’assoit sur moi, passe à mes poignets des bracelets qu’elle finit par fermer et serrer puis saisit de chaque côté de son lit des attaches. J’entends 2 cliques. Je suis maintenant attaché fermement, ne pouvant pas me libérer, à sa Mercie, subir et me laisser faire, je n’ai plus le choix de revenir en arrière.

Elle s’est levée et pratique de la même manière avec chacun de mes pieds. Après le froid du latex sur mon corps, une douce chaleur commence à s’installer. Je suis maintenant, au chaud. Le Latex provoque ce qu’il doit faire. Je connais bien cette sensation qui m’excite. Je n’entends plus rien. Que fait-elle ?

Elle vient de commencer à lever mes jambes de plus en plus haut et en arrière.
Je me retrouve dans une drôle de position et lui demande ce qu’elle a l’intention de me faire ?
Chute ! Chute ! laisses-toi faire ! Tu verras… Un pas, deux pas et ce petit bruit que j’ai préalablement déjà entendu. Elle vient d’ouvrir l’armoire et enfile un imperméable transparent puis ouvre l’un des tiroirs pour en extraire certaines choses. Quelles choses, que fait-t-elle? je n’en ait pas la moindre idée.

Elle reviens vers moi. J’entends le bruissement de ses habits au de mon équipement. je ne vois pas grand-chose. La lumière tamisée et le manque de luminosité donne à ce moment une ambiance particulière. Brigitte se penche à côté de moi, caresse un long moment ma tête et finit par m’embrasser langoureusement et tendrement. Mon sexe me fait mal, tellement il est dressé en direction du plaisir final. Elle passe sa main à l'extérieur de ma combinaison fermée ce qui n’améliore pas vraiment ma situation.

Elle continue son travail laborieusement, place sur mon visage un bandeau devant mes yeux.
J’entends l’un après l’autre le clic caractéristique des boutons pressions qui se ferment les uns après les autres finissant inlassablement de m'amener dans le monde des ténèbres.

Je ne vous plus rien. Seul ma bouche est mes narines sont encore en contact avec le monde extérieur.
Elle vient de saisir ma tête et je sens ma nuque être poussée en avant…. Je reconnais l’odeur particulière du latex plus prononcée. J’ai maintenant sur le visage une carapace de plus qui doit être un masque de protection qu'elle ajuste au moyens des attaches sur le dessus et les côtés. Ma respiration me demande plus d’efforts. Plus aucune partie de mon corps et en contact avec l’extérieur, le monde, le monde normal ! Je me retrouve dans un cocon humide, écartelé, totalement à sa Mercie .

Elle se penche vers moi et me glisse à l’oreille doucement quelque chose qui me laisse sans voix.
Mon cerveau s’agite, mon corps se tend, mon esprit imagine l'impensable. Ne bouge pas, reste calme!
Brigitte vient de me dire doucement ‘ A tout à l’heure ‘ ! Que me réserve-t-elle encore ?
Dans quoi m’a-t-elle embarqué ?

Je ne sais pas, mais ma respiration est devenue plus forte, non rythme cardiaque s'emballe.
J’ai encore plus chaud qu'avant et transpire. Elle s’en va faire quoi ? Le son de ses pats se fait de plus en plus lointain. Elle vient de refermer la porte sur moi m'installant dans un silence particulier où seul retentit encore les phases saccadées de ma respiration.

Les minutes semblent interminables et puis , la porte s’ouvre. Je ne peux distinguer avec précision ce qui se passe. J'ai le sentiment que Brigitte n'est plus seule. Plusieurs pats simultanés parviennent à mes oreilles. Cela me trouble, je ne suis plus rassuré, de plus dans la position où elle m'a laissé. Avec qui est-elle, combien sont-elles, ils, pour faire quoi ? Je suis dans l’attente de l’avenir, quel avenir, quoi, quant, comment.

Une main effleure ma tête, une autre caresse mon sexe au travers du latex, longuement de haut en bas et la boucle de la fermeture éclaire a été saisie. Deux mains sont en trin d’ouvrir doucement et inlassablement ma combinaison, entre mes jambes, libérant mon l'ensemble de son enveloppe.

J’ai froid, peur, je ne sais pas. Mes sensations sont particulières, anormales, l’excitation est tellement forte que je suis à limite d’exploser de plaisir. On vient me chuchoter une nouvelle fois à l'oreille quelque chose.
Je ne reconnais pas la voie. Ce n'est pas Brigitte. C'est qui ? Tu aimes Daniel, tu aimes ce que nous te faisons de toi? Je réponds dans un bruit sourd, ma tête encapsulée dans le masque qui étouffe le son de ma voix. Oh oui, c’est bon !

Quelque chose de liquide et tiède coule maintenant entre me jambes. Une main répand doucement quelque chose d'agréable sur mon sexe et descend plus bas encore. Un doigt vient pénétrer mon intimité sans que cela ne provoque en moi la moindre douleur. J'ai été tellement lubrifié, préparé à ….

Quelque minutes plus tard, autre chose s'introduit en moi doucement mais sûrement. Quelque chose de plus gros pénètre mon intimité poussé de plus en plus profondément dans une série d’aller et venue.
Introduit complètement, il commence à vibrer doucement entre mes jambes. C’est nouveau pour moi, envoûtant. C’est la première fois que je me fait introduire quelque chose à cet endroit. Quelque chose vient serrer ma taille. L’objet en moi et maintenu enfoncé ne pouvant plus sortir. Combien de temps va-t-il rester en moi et vibrer. Je n’en sais rien.
Ce que je sais c’est que je suis en trin de perdre la tête.

L’ouverture entre mes jambes est refermée presque complètement. Seul mon sexe dressé est laissé dehors.
On enlève mon masque de protection. Je peux de nouveau respirer normalement toujours sans voir ce qui se passe autour de moi. plongé dans le noir complet.

Mes jambes toujours surélevées, attaché, ne pouvant pas me libérer de quoi que ce soit. Esclave de quoi et de qui ? Je sens s’installer au dessus de moi quelqu'un. Deux jambes glissent le long de ma tête.
Un sexe humide vient de s’appuyer sur mon visage et ma bouche. Vas-y, Daniel, montres moi ce que tu sais faire, occupe-toi de moi. Je bois, je lèche, je suce, je donne des joues avec ma langue et introduit celle-ci.

Deux doigts écartent doucement les grandes lèvres, une main vient de prendre ma nuque et pouce ma têteen avant pour que ma bouche et surtout ma langue vienne lécher quelque chose qui est dressé et aussi dure que mon sexe.
Vas-y ! Vas-y ! c’est bon ! Je m’exécute et pratique selon ses indications les caresses demandées.Elle commence à faire de petit gémissement, elle est de plus en plus mouillée, son sexe comme un fruit trop mur, coule. Je le savoure. Que ce moment est bon. Elle se cabre, appuye de plus en plus fort sa vulve contre monvisage qu'elle vient de saisir à deux mains. Je sens que le plaisir est là, elle va hurler.

Toujours placé dans mon intérieur profond, ce truc continue de vibrer doucement . Une autre bouche s’est emparé de mon sexe. Une bouche et deux lèvres commencent à le sucer longuement et fortement, aspirant de toute ses force ce membre tendu à exploser. Oui, Je vais exploser.

Qui se trouve sur ma bouche ? Qui s’occupe de mon sexe ? Je ne sais pas, ce que je sais c’est que je deviens ivre, ivre de plaisir. Je vais jouir, comme jamais encore. Le plaisir monte. Assise sur moi elle pouce tellement fort ma tête en elle que je me dit qu'elle va finir par me noyer. Le plaisir monte maintenant en moi depuis l'intérieur qui vibre jusqu'à ma nuque. Je ne peux plus me retenir. Nous jouissons ensemble.
Tout ce qui sort de moi et aspiré méticuleusement, sans en perdre quoi que soit.

J’aime à la folie ce que je suis en trin de subir, ce plaisir interminable et libérateur, souhaitant que cela ne s’arrête jamais. Reprenant contrôle de moi, je sens une bouche contre la mienne. Une langue cherche le chemin de l'intérieur. Ma semence encore chaude se mélange à ma salive. Je suis ivre, dans un autre monde.

Revenant du plaisir, je suis débarrassé du masque qui se trouve devant mes yeux puis de la cagoule dans laquelle ma tête a été introduite de l’objet vibrant encore en moi et de tous mes liens. Je débouche dans une ambiance particulière où ma vue n’arrive pas encore à trouver de repères.

Une serviette humide et chaude parcours mon visage. Brigitte s’emploie a essuyer l’humidité qui se trouve sur mon visage et ma tête. Ma vue s’éclaircit. Je vois devant moi Brigitte debout, toujours dans son imperméable transparent enfilé sur sa tenue. Tu vas bien Daniel me lance t’elle ? Que c’est il passé ?
Elle me donne comme seule réponse, rien, rien de particulier avec un sourire.

Où sont passés les autres ? Les autres ? De quoi parles-tu Daniel ? Nous sommes que deux ! Viens, viens, j’ai encore envie de toi ! Je suis à bout de force Brigitte ! Elle se couche à mes côtés sur le lit. Se met sur le dos et écarte complètement ses jambes en ouvrant la fermeture éclaire à cet endroit m’exposant intégralement la vision de son sexe complètement épilé.

Prends-moi, prends-moi fort. Je ne comprends plus rien. Mon sexe est de nouveau dressé, prêt à réponde une nouvelle fois à ses attentes. Je me place sur elle et la pénètre d’un coup. C’est bon et tellement agréable.
Elle gémit, son corps se plie. Vas-y, vas.y prends moi fort. Je pouce de toutes mes forces pour aller le plus profondément possible. Nous hurlons ensemble un long moment, réunis dans la finalité de deux corps qui ne font plus qu’un. Quelle journée, quelle soirée, je ne sais plus, quelle heure est-il, où sommes-nous ? .

Je me retire doucement. Elle me sert dans ses bras. Nous devons avoir perdu des kilos depuis le temps que nous sommes dans nos combinaisons intégrale. Merci, merci, Daniel. Merci à toi, Brigitte. Allons prendre une douche. Ne devons-nous pas préalablement remettre en ordre ta chambre et faire sécher nos costumes Brigitte ? Non, ce n’est pas nécessaire de le faire, la femme de ménage s’en charge. Ne t’inquiète pas.
Quelle femme de ménage ? Débarrassé de ma combinaison intégrale , je m'installe sous la douche chaude, empoigne la bouteille de produit devant moi et savoure ce moment.

Quelle expérience, quelle journée. Que d’émotions. J’enfile une nouvelle fois mon peignoir, noue sa ceinture autour de ma taille et sorts de la salle de bains. Brigitte est sur balcon. Elle fume une cigarette encore vêtue de sa combinaison intégrale. Je la rejoins Tu sens bon, Daniel. A moi d'aller maintenant me changer.

Quelques minutes plus tard, elle revient et s’installe sur le canapé à mes côtés. Elle est belle dans son peignoir, ses cheveux encore mouillés. Elle se penche vers moi et m’embrasse tendrement.
Je suis bien avec toi me lance-t-elle. Nous profitons maintenant de la chaleur dégagée par le feu de cheminée.

Bonsoir Madame, Bonsoir Monsieur. Je me retourne et, me retrouve nez à nez avec une femme que je ne connais pas. Daniel, je te présente la femme de ménage. Elle porte dans ses bras les combinaisons de latex que nous avons utilisés. J’ai rangé complètement votre chambre Madame. Je vais maintenant m’occuper de l’entretien des tenues et des accessoires puis remettre en place le tout pour une prochaine fois.

Je suis gêné. De sa bouche coule encore ce qui ressemble à ma semence, elle s'excuse et essuie rapidement de sa main cela. Bien, merci, vous pouvez disposer lui répond Brigitte.

La femme de ménage porte une robe et des bas noires, un tablier blanc, le tout en latex ainsi qu'une paire d’escarpin rouge. Et bien Daniel, tu vas bien ? Oui, oui, très bien. Tu as un problème ? Non, pas de problèmes. Elle sourit…
Nous sommes toujours ensemble. La vie continue… La suite dans une prochaine aventure.

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