Le Voisin (inspiré d'échanges avec Hervé)

- Par l'auteur HDS PIERRE DAVID -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le Voisin  (inspiré d'échanges avec Hervé) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Voisin (inspiré d'échanges avec Hervé)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

La rencontre d’Hervé et de Martine, mon épouse, lors d’une intervention de l’artisan et leurs ébats dans notre jardin n’a pas été sans conséquence.
Si certaines ont finalement été heureuses pour elle comme pour moi, une autre par contre a bien failli causer la perte de notre renommée dans le quartier.

Ce que je craignais s’est produit il y a quelques jours.
Un de nos voisins (celui dont j’avais cru deviner son ombre derrière les rideaux de sa fenêtre) m’a téléphoné pour me dire qu’il avait une surprise pour moi et qu’il m’invitait à venir chez lui le soir même.
J’ai d’abord poliment décliné son invitation, mais devant son insistance presque menaçante, j’ai fini par accepter le rendez-vous.
Intrigué par son appel, je me rends chez lui, me perdant en conjectures sur les motifs de cette invitation, car nous n’avons jamais eu de relation particulière, juste un salut poli de temps en temps.
Il m’offre un verre dans son salon, et m’invitant à m’approcher de sa fenêtre, me glisse :

« On a une belle vue d’ici, vous ne trouvez pas ?

Mon cœur se met à battre tout d’un coup, réalisant qu’il a une vue plongeante sur notre jardin, et que de son salon il peut voir tout ce qui se passe chez nous, ou presque.

« Vous avez une charmante épouse, Pierre vous savez… ! Je peux vous appeler Pierre, n’est-ce pas ?
« Euh… oui…bien sûr.. !
« Bon…moi c’est Fernand…nous sommes voisins mais on ne se connait pas…c’est dommage !
« Euh… oui… en effet…mais… je…je ne comprends pas… ?

Là il me met sous les yeux une série de photos ou l’on voit parfaitement le plombier en train de baiser Martine sur le banc du jardin.
Les clichés sont impeccables, on ne peut pas se méprendre, il s’agit bien de mon épouse, prise sous différents angles, en train de se faire culbuter par un grand costaud…..
Je bredouille maladroitement :

« Mais…je … ce n’est pas possible… qu’est-ce que cela veut dire…. ? Je ne comprends pas … ! Ce sont des photos truquées… ! M’emporté-je, essayant de mettre en défaut les preuves exposées sous mon nez.
« Allons, allons Pierre…ne faites pas l’innocent…. Tenez…regardez !

Il me balance d’autres photos, prise au téléobjectif, et cette fois, c’est moi que l’on voit, assez reconnaissable, derrière la baie vitrée de mon salon….en train de me branler, en regardant ma femme se faire démonter sur le canapé du jardin…
Je reste pétrifié, incapable de prononcer le moindre mot.

« Et oui mon cher Pierre… On dirait que ça vous excite de voir votre salope se faire baiser par un autre…. !
« Euh… je ne vous permets pas…
« Allons… mais si…votre petite bourgeoise bien gentille, bien docile, est une salope qui aime se faire tringler quand vous avez le dos tourné…. ! Il n’y a pas de honte à avoir si cela vous fait bander… !
« Euh…Je n’aime pas la façon dont vous parlez de ma femme ! C’était un accident… elle a été violée par un plombier…. !
« Taratata… Elle ne s’est pas faite violée…. Il n’y avait qu’à entendre comment elle encourageait le type… ! Ne me prenez pas pour un imbécile, vous avez certainement du entendre leurs échanges, vous étiez à quelques mètres !
« Qu’est –ce que j’aime ta grosse queue…elle me fait du bien…mets-la moi encore…etc.etc… !

J’ai froid tout d’un coup, ma bouche devient sèche, je suis à la limite du malaise tant ma honte est grande.
J’imagine déjà le pire et les conséquences que cela peut avoir sur la famille, les gens du quartier qui nous connaissent, les commerçants chez qui nous allons quotidiennement.
Le teint livide, je finis par articuler :

« Bon d’accord… combien vous voulez alors… ? Dites-moi la somme !
« Vous n’y êtes pas du tout Pierre….enfin… ! Vous savez je suis veuf depuis pas mal de temps… ! Alors pour la bagatelle ce n’est plus ce que c’était… ! Votre épouse semble avoir de bonnes dispositions…j’aimerais bien en profiter aussi ! Vous voyez… c’est assez simple !
Mais je ne veux pas de scandale. Vous me laissez la baiser comme je l’entends, et tout cela restera entre nous… !
- Mais…Euh…c’est….c’est un chantage ignoble… !
- Et se branler en regardant sa femme se faire baiser par un inconnu, c’est pas ignoble ? D’ailleurs, puis que vous aimez la mater, vous pourrez en être le témoin privilégié….. Je vous cacherai ici… !
« Euh…oui… mais Martine ne va jamais accepter de coucher avec vous…. !
« Ne vous inquiétez pas pour ça, les photos que j’ai d’elle devraient la rendre docile et muette comme une tombe, sous peine que je diffuse les photos dans les boites aux lettres du quartier !
Voyez-vous j’ai prévu de la faire venir de temps en temps pour faire mon ménage, elle devra être en petite tenue, et accéder à toutes mes demandes… !
« Bon… ! Finis-je par dire, je crois que je n’ai pas beaucoup de choix….. Si je veux garantir la tranquillité de mon couple, la réputation de ma femme dans le quartier…. ! Mais si elle refuse… ?
« Pas de danger…En fait je l’ai déjà rencontrée… Et elle a accepté sans condition ! Quand elle a vu les photos, elle s’est mise à pleurer… ! Je n’ai pas eu à argumenter beaucoup pour qu’elle comprenne ou était son intérêt…! Elle m’a fait jurer de ne rien vous divulguer car elle ne veut pas vous perdre, elle vous aime …
Ah…Si elle savait que vous l’avez vue et que vous vous êtes branlé, elle tomberait de haut, hein ? Ajoute-t-il d’un ton sarcastique.
Elle vient demain matin, préparer mon petit déjeuner et faire la vaisselle !

Un sentiment atroce m’étreint, celui de me sentir pris dans une nasse sans possibilité de s’en échapper, auquel s’ajoute la culpabilité d’avoir entrainé, à son insu, Martine dans cette galère.
Si j’avais réagi ce fameux jour en boutant Hervé hors de chez moi au lieu de m’astiquer la bite en le regardant baiser ma femme, j’aurai pu renvoyer ce Fernand dans ses buts en le menaçant de porter plainte pour malveillance et non respect de la vie privée.
Hélas ce n’est pas ce qui est arrivé, et le voisin voyeur dispose de toutes les cartes pour arriver à ses fins.

« Je pourrai vous cacher dans le placard du salon, vous serez au premier rang, Pierre !
Il faudra venir dix minutes avant, c’est tout….cela vous dit ? Me demande-t-il avec un sourire en biais.
Je sens bien que je mets les pieds dans un cercle vicieux duquel j’aurai beaucoup de mal à en sortir, mais c’est plus fort que moi, et je m’entends lui répondre :

« D’accord… je viendrai ! Dis-je en baissant la tête, honteux de cette décision.

« A la bonne heure, vous ne le regretterez pas… je vous promets de bien m’occuper de votre petite femme chérie….. !

Je suis rentré à la maison, partagé entre l’écœurement de voir Martine aux mains de ce sale vicieux qui allait lui faire subir je ne sais quoi, et l’excitation perverse que cela me procurait.
Le bonhomme n’a rien d’un don juan, avec son embonpoint, une mine grise de retraité esseulé et fatigué qui passe son temps à espionner ses voisins.
A soixante-huit ans et veuf depuis quelques années comme il me l’a dit, je pense que, n’ayant pas partagé le lit d’une femme depuis, il en est réduit à se masturber devant son ordinateur en regardant des vidéos pornos.
Totalement chauve, un visage grassouillet au milieu duquel sont plantés deux petits yeux noirs brillant de concupiscence, le vieux Fernand n’est pas très engageant et je sais que Martine ne l’apprécie pas beaucoup, lui trouvant à juste titre un air vicieux.
Elle avait déjà remarqué son manège derrière ses fenêtres et m’en avait fait part, et pour cette raison elle évitait désormais de se faire bronzer au milieu du jardin, préférant l’abri du grand bosquet ou de la haie de thuyas.
Auparavant, avant qu’elle ne le repère, il lui arrivait fréquemment de se prélasser nue sur le transat, à goûter la chaleur des rayons du soleil sur sa peau.
Tout comme elle n’appréciait pas non plus son attitude lorsqu’ils se croisaient dans la rue, ou il la déshabillait du regard, les yeux ostensiblement rivés sur sa généreuse poitrine, à tel point qu’elle en était mal à l’aise.
J’imagine facilement sa stupeur quand il lui a appris qu’il l’avait vue se faire culbuter par un inconnu en mon absence, et la honte d’être obligée d’accepter ses exigences.
Elle devait regretter ce moment d’égarement.
Bien sûr, face au chantage infâme de ce voisin, elle n’avait pas eu beaucoup d’alternatives, et c’est la mort dans l’âme, tout comme moi, qu’elle s’était résolue à accepter ce marché répugnant.

Ce soir là nous avons fait l’amour intensément, rien n’est venu perturber ce moment d’intimité et de tendresse.
Elle ne m’a fait aucune confession et je me suis bien gardé de lui parler du voisin, honteux de mon désir de découvrir ce qui allait se passer le lendemain.

J’arrive tôt chez le vieux Fernand qui me cache dans un grand placard avec des portes à persiennes qui offre une vue excellente sur tout le salon et une partie de sa cuisine.
Le logement sent le renfermé, le ménage laisse franchement à désirer comme le montrent la vaisselle s’accumulant dans l’évier de cuisine, et une épaisse couche de poussière sur les étagères.
Le laisser-aller n’affecte pas uniquement le logement mais son occupant également.
Le retraité n’a pas fait d’effort vestimentaire, revêtu simplement d’un débardeur type Marcel qui couvre mal sa panse rebondie, d’un short douteux de couleur bleu marine et chaussé de charentaises.

Dix minutes après la sonnette a retentit et il fait entrer ma femme, Martine, laquelle m’a parue mal à l’aise, gardant les yeux baissés.
J’imagine le désarroi et la gêne qu’elle doit ressentir face à ce type qui la fait chanter parce qu’il l’a vue prendre du plaisir avec un autre homme que son mari.
« Bonjour petite coquine…. ! La salue notre voisin avec une voix mielleuse. J’espère que vous avez bien respecté mes consignes ?
Martine hoche la tête sans dire un mot, lui tendit un sac à pain contenant une baguette,
laissant le vieux pervers la débarrasser de son imper.
« Oh mais oui….c’est parfait ! Tu es à croquer, chère voisine… ! S’exclama-t-il en la tutoyant d’autorité.
Sous son imper Martine ne porte qu’un simple tablier de cuisine à carreaux rouge et blanc avec une bavette sur le devant, laissant ainsi totalement découverts son dos, ses fesses pulpeuses et ne masquant quasiment rien de ses adorables et volumineuses mamelles.

« Humm… oui… c’est bien ça…quelle belle paire de miches, dis donc… ! S’exclame-t-il en tendant la main vers une rondeur qui dépasse largement de la bavette. Sacré voisine…. Tu me fais déjà bander… !
Le salaud !
Il lui a demandé d’aller chercher son pain à la boulangerie avant de monter chez lui, l’obligeant à marcher environ huit cents mètres dans cette tenue !

Il l’attire à lui, l’enlaçant dans ses bras et l’embrasse à pleine bouche, comme un goret vorace, sa langue épaisse cherchant celle de Martine qui se laisse faire sans répondre.
A voir la façon fébrile avec la quelle il caresse le dos et les fesses nues de mon épouse, le voisin n’a visiblement pas touché une femme depuis des années, et il la pelote plus qu’il ne la caresse, se régalant de chaque parcelle de peau nue, malaxant chaque mamelon comme un forcené.
Respirant bruyamment, en proie à une surexcitation manifeste, il laisse échapper par moment des râles de plaisir presque animal.
S’il rêvait depuis longtemps de savourer le corps de Martine, il y est enfin, cela se voit et s’entend.
Sa langue ne cesse de parcourir le visage de mon épouse, envahissant sa bouche, léchant ses lèvres, son cou, tandis que ses mains courent sur son corps nu, pétrissant ses fesses, ses hanches, remontant le long de son dos jusqu’à ses seins dans un ballet frénétique et ininterrompu.
Les fesses de Martine semblent le ravir particulièrement et il ne prive pas de les malaxer tout en serrant son bas-ventre contre le sien, dans une étreinte furieuse et obscène, comme si mon épouse n’était plus qu’une poupée gonflable.

« Bon… Viens par là… ! Finit-il par dire. Tu vas me tailler une belle pipe, ça va me faire du bien… !

Le voisin s assoit sur son canapé, fait glisser son short sur ses cuisses poilues pour dégager sa verge en partie dressée….
Elle n’est pas très longue, mais d’un bon diamètre quand même.

« Allez ma belle…. Fais-moi voir tes talents !

Le cœur serré, mais néanmoins très excité, je regarde Martine se pencher sur le sexagénaire, se saisir de son sexe, un sexe court mais épais qui émerge d’une touffe de poils poivre et sel si fournie qu’on distingue à peine ses bourses, mais qui semblent néanmoins très volumineuses par rapport à la verge.
Elle le prend dans sa bouche et commence à le sucer.
Ses seins lourds pendent sous elle, juste retenus par la bavette du tablier, et je peux les admirer en toute discrétion, tout comme son alléchante paire de fesses et sa vulve que j’aperçois entre ses jambes légèrement écartées.
J’ai un peu honte de bander en la regardant se soumettre à ce vieux porc, mais c’est plus fort que moi.
Notre voisin lève les yeux et m’adresse un clin d’œil discret, me montrant ainsi combien il savoure cet instant.
Se faire tailler une pipe par sa voisine bien mamelue sous les yeux de son mari, caché dans un placard, est pour lui une jubilation totale.
Martine le pompe du bout des lèvres, obligée d’avaler le membre rougeaud, doté maintenant d’une belle érection, que le vieux s’obstine à lui faire enfourner complètement en lui appuyant sur la tête.

« Houhh…ouais… c’est bon ça… ! Tu es une bonne suceuse toi… ! Houhh…. Houhh… ! T’aimes ça une bonne bite…hein ? Alors avales-la bien…houhh… oui… oui comme ça…c’est bien… !

J’imagine le dégout ressenti par Martine, contrainte de supporter de bon matin le contact du membre de ce vieux dégueulasse dans sa bouche, de le lécher et le sucer ainsi qu’il l’exige.
Pourtant, après quelques minutes, je me rends compte qu’elle met plus d’application à ce qu’elle fait, prenant son temps pour lécher minutieusement le gland turgescent, passant et repassant une langue gourmande, le pressant doucement entre ses lèvres.
Il n’a pas fallu beaucoup de temps pour que sa réticence s’estompe devant le plaisir d’une bite dans sa bouche.
Je dois me rendre à l’évidence, ma femme aime ce contact-là, les sensations que cela provoque en elle lui fait oublier le reste.
Les yeux fermés, elle suce maintenant le sexagénaire avec beaucoup d’application et d’envie, l’amenant rapidement à un état qu’il n’a pas du connaître depuis longtemps.

- Houhhh… Ou…oui…. Oooh…c’est bon ce que tu me fais…oui… ! Oooh…. Tu suces bien…Oui… !

Il ne tarde pas à jouir, mais Martine n’a pas la possibilité de se dégager, la tête maintenue fermement par une poigne ferme, et elle doit subir l’éjaculation du vieux Fernand directement dans sa bouche.
- Houhhh… oui…allez, petite salooope… ! Avale tout….houhhh…oui….C’est bon ça… !

Je sais qu’elle n’aime pas être forcée comme ça, et cela a doit être horrible pour elle de sentir le jus gras et odorant de ce type lui couler dans la gorge, tandis qu’il gueule que c’est trop bon, que c’est une sacrée bonne suceuse qui mérite de boire son foutre.
Fernand se relève, remettant ses attributs en place, et félicite Martine pour sa prestation.

« T’es une bonne fille, tu sais y faire toi, il n’y a pas de doute…Ah Ah Ah… !Tu vas faire ma vaisselle maintenant, pendant que je t’admire…. ! Viens c’est par là… !
Il la conduit vers la cuisine et lui indiqua l’évier ou traine une vaisselle crasse de plusieurs jours.

A suivre...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
exellente histoire a suivre

Histoire Libertine
Huuuuuum Ca m'a excitée, j'en aurais voulu plus...

Histoire Erotique
Super pierre David a quand la suite ?

Histoire Erotique
Bonjour Pierre,

Encore une fois tu nous gâtes avec une histoire de Martine pleine de promesses. Je sens que la suite va être torride et nous faire bander à mourir et ejaculer des quantités astronomiques de bon foutre bien chaud. Je donnerais tout pour être à la place de ce vieux pervers.

Mojo.

Histoire Erotique
Très excitante et bandante elle va prendre cher la Martine vite la suite

Histoire Erotique
excellent! Vivement la suite!



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