Le voisin (suite et fin)

- Par l'auteur HDS PIERRE DAVID -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le voisin (suite et fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le voisin (suite et fin)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

« Vas-y… ! Nettoie-moi tout ça, après tu passeras l’aspirateur… ma maison a besoin d’un bon coup de ménage, et je crois que j’ai trouvé la soubrette idéale…Ah Ah Ah…. !

C’est plus éloigné pour moi mais je peux quand même regarder mon épouse se soumettre aux corvées imposées par notre voisin, juste couverte de ce petit tablier qui la rend extrêmement bandante, notamment quand il lui fait aspirer sous les meubles et qu’elle doit alors se pencher fortement vers l’avant.
Sa croupe se révèle dans toute sa splendeur, charnue, ronde, avec la vulve complètement exhibée et offerte.
Muni d’un appareil photo le sexagénaire multiplie les prises de vues de Martine affairée aux tâches ménagères, histoire sans doute d’assurer son emprise sur elle.

Sa besogne terminée, il la fait s’asseoir sur une chaise, les bras passés derrière le dossier, la bavette du tablier baissée, puis s’empare de l’aspirateur et lui colle l’embout du flexible sur la pointe d’un sein.

« Mais… euh… qu’est-ce que vous faites ? S’inquiéta mon épouse.
« Ne t’inquiètes pas… tu vas voir… c’est très excitant… !

Il met l’aspirateur en route, aspirant fortement la pointe du mamelon, avec un bruit de succion aigu.
Je vois Martine grimacer sous l’effet de la formidable succion, puis son visage s’apaise.
Fernand arrête l’aspirateur et dégage le flexible.
La pointe du sein a gonflé de façon incroyable, le téton est énorme !
Il place le flexible sur l’autre sein et recommence l’opération.
Cela a l’air de bien l’amuser.
Je suis stupéfait de voir à quel point la pointe de mamelon de mon épouse peut grossir, et surtout, je ne vois plus d’angoisse dans ses yeux, mais plutôt une sorte de curiosité intéressée.
Martine veut se toucher le sein, sans doute pour apprécier le gonflement de son téton, mais Fernand l’en empêche en lui replaçant les bras dans le dos.

» Non, non, la voisine…restes comme ça… ! Tu vas voir comment je vais faire grossir tes tétines… ! Tu vas aimer ça, j’en suis sûr !

Il disparait quelques instants dans la cuisine puis revient, tenant à la main un autre flexible sur lequel sont disposé deux embouts transparents un peu évasés.
Il installe ce nouveau flexible sur l’appareil et le met en route, puis approche un des embouts de la pointe du sein gauche de mon épouse.
Je vois distinctement le téton s’étirer et disparaître dans le conduit de plastique, la pointe du sein est plaquée contre l’embout dans un bruit sec de succion, puis Fernand fait de même avec le sein droit.
J’imagine le formidable étirement que doivent subir les tétons naturellement gros de ma femme et l’effet d’excitation intense que cela peut produire.
Tour à tour il décolle les embouts, apprécie le résultat puis les applique de nouveau sur les tétons, visiblement très satisfait.

« Humm… T’as de belles tétines, voisine… Tu as du être une bonne laitière, hein… ? Regarde comme ils grossissent bien….on dirait de vrais pis… !

Et c’est vrai que les pointes brunes sont maintenant fortement distendues et enflées par la formidable succion de l’appareil.
Le sale pervers en profite pour masser les imposantes protubérances mammaires que la position de Martine, bras derrière le dos, fait saillir vers l’avant, telle une figure de proue, fière et volontaire.
Elle ne dit rien, mais il me semble que ses reins se creusent, faisant bomber un peu plus son buste, comme si elle répondait favorablement aux stimulations exercées sur ses seins, d’autant que notre voisin a accentué ses caresses.
Je lis sur son visage la délectation avec laquelle il pétrit maintenant la volumineuse paire de seins, enfonçant ses doigts dans leur masse dense et souple, jouant avec les embouts suceurs qui tourmentent les pointes de chaque mamelon, les transformant en véritables pis de vache.

« Cela te fait du bien, hein…espèce de truie…. Tu aimes qu’on s’occupe de tes grosses mamelles…n’est-ce pas… ! Oui… Humm… oui… c’est de la bonne grosse mamelle ça… J’adore quand c’est bien lourd…. ! S’exclame-t-il en soupesant les appétissants globes de chair.
Au fait, tu ne te fais plus bronzer, dis donc…. Je ne te vois plus…. ! C’est pas gentil ça… ! J’aimais bien voir tes gros nichons au soleil… ! Il va falloir t’y remettre ma belle... Je veux te voir à poil dans ton jardin, t’as compris… ?

La taille des tétons de Martine est stupéfiante !
Le plus incroyable c’est que je me rends compte qu’elle a l’air d’aimer le traitement infligé à ses seins.
A aucun moment elle n’a cherché à se soustraire à la succion mécanique de ses pointes, ni à tenter de dissuader notre voisin de son projet.
Je sais qu’elle aime que je joue avec sa poitrine, mais je ne me serai pas douté à quel point elle peut prendre du plaisir avec cette partie de son corps.
Les yeux fermés, la tête partant vers l’arrière, elle semble en proie à un plaisir intense comme en témoignent ses gémissements que j’entends malgré le bruit de l’aspirateur.
Brusquement son corps se cambre, et je vois quelques larmes perler sur ses joues, le visage marqué par une grimace qui veut cacher quelque chose.
A la répugnance éprouvée pour notre voisin et ce qu’il lui fait subir, vient donc de s’ajouter la honte de jouir du pétrissage mammaire et du supplice exercé sur ses tétons.
Notre voisin s’en rend compte également.

« Voilà…. C’est bon ça hein la voisine…. ! T’aimes bien jouir des mamelles dis donc…! Tu dois être bien prête alors….. Mets-toi là sur la table, à quatre pattes…comme une petite chienne ….Allez… !
Il débarrasse Martine des embouts et la laisse s’installer sur la table basse du salon, les outres pendantes, les pointes démesurément déformées et allongées par la succion de l’aspirateur.

« Relèves bien ton cul…Humm…Oui…encore un peu… là… c’est ça !

Il quitte son short et s’approche d’elle par derrière.
On est loin de la silhouette immense d’Hervé, ou plus athlétique de Rachid.
Court sur pattes et un ventre pareil à une barrique, le saligaud ne paie pas de mine mais il bande comme un âne et comme je l’ai pressenti ses bourses sont vraiment volumineuses, bien au-delà de la moyenne.
Si son sexe n’est en rien comparable à Hervé ou Rachid, sa paire de couilles en revanche peut rivaliser sans problème et porte la promesse d’éjaculations nombreuses et abondantes.
Mon excitation grimpe d’un cran quand il passe une main sur les fesses de Martine, glissant nonchalamment le long de la raie culière, jusqu’à la vulve bombée.

« T’as un beau cul, petite salope…Un bon et beau cul qui ne demande qu’à servir, hein… ?
Humm… oui…. c’est bien ferme tout ça… ! Fais-moi voir un peu… !

Je le vois malaxer les fesses rondes, puis les écarter avec un soupir de satisfaction.

« Humm oui…ça m’a l’air bien appétissant… ! On s’en sert souvent, hein… ? Demanda-t-il en appuyant un doigt sur l’anus pour en apprécier la souplesse. Tous les jours je parie…Tu dois te faire enculer tous les jours, je suis sûr… ! Mon doigt s’enfonce presque sans forcer… ! T’es une vraie chienne, toi…. ! Bon, on verra ça plus tard !
Le papy s’agenouille face à la croupe offerte et colle son visage sur l’objet de sa convoitise, la chatte de ma femme.

« Humm. Oui…c’est bien ce que je pensais…. Madame est déjà très excitée…. !

Je ne vois pas ce qu’il fait, mais ce n’est pas difficile de deviner.
Il fouille voracement l’intimité de Martine, enfouissant sa langue dans les chairs humides et tièdes, explorant les moindres recoins.
Martine commence à remuer la tête doucement, signe d’une excitation montante, malgré le dégout certain que doit lui inspirer cet individu.
La langue du sexagénaire doit lui provoquer de toutes façons des sensations plutôt agréables, d’autant qu’il a l’air d’avoir bougrement faim de cette chatte.
Il s’extasie à haute voix, le nez plongé entre les fesses charnues de mon épouse.

« Putain…. Qu’est-ce que j’aime ta chatte…. ! J’adore les grandes chattes comme la tienne, bien large….. C’est fait pour y enfiler des grosses queues, hein… ? Tu dois aimer ça les grosses bites bien épaisses… ! Il en avait une grosse le plombier, dis donc…cela a du te faire du bien !

Le voisin est vulgaire avec mon épouse, mais cela m’excite encore plus de l’entendre lui parler de grosses queues.
En fait il ne fait qu’exprimer mes fantasmes les plus secrets.

« Humm…Aaah…. Elle est bonne ta chatte… oui…ça fait longtemps que je n’en avais pas bouffé une comme ça tu sais…. !

Le nez enfoui entre les fesses charnues, il broute goulument la vulve odorante et s’abreuve de la cyprine qui dégouline maintenant sur son visage.

« Whaooo….Qu’est-ce que tu mouilles…. ! J’adore ça… ! T’es vraiment une truie en chaleur…dis donc… ! J’ai quelque chose pour toi… !

Notre voisin se redresse, campé sur ses jambes courtes, son petit sexe bien raide émergeant d’une touffe de poils hirsutes.
En voyant la barrique qui lui sert de ventre je me dis qu’il va avoir un problème pour pénétrer Martine, mais non.
La saisissant par les hanches, sa grosse panse sur ses fesses, il la pénètre d’un coup de rein bien appuyé qui la fait sursauter.

« Tiens ma belle voisine…. Qu’est-ce que t’en dis…. ? Il ne te convient pas Fernand… ?
« Faut m’appeler Fernand, fini les Monsieur et Cie, et plus de vouvoiement, tu me tutoies maintenant, on est des intimes… C’est compris ?

« Ou…oui… !
« Oui qui ?
« Euh…oui Fernand !
« Voilà…c’est bien… !

Bandant comme un fou, je me branle furieusement en regardant le vieux salopard baiser ma femme, la pénétrer de son dard rougeaud et durci qu’il lui enfonce jusqu’à la garde.
Cela a été très excitant de voir Martine se faire ramoner par le plombier, et cela l’est tout autant avec ce sexagénaire grassouillet, au torse et au dos couvert d’une toison immaculée, de le voir se délecter de ses généreux attributs, surtout que, contre toute attente, elle commence à émettre des râles de plaisir.
Malgré les conditions amorales dans lesquelles se déroule cette relation sexuelle, Martine ne peut visiblement pas se soustraire à la montée de son plaisir.
Plus notre voisin l’insulte en la baisant, la traitant de chienne en chaleur, plus elle manifeste des signes de jouissance.

« Ouhhh… oui…t’aime que je te baise….petite chienne…. ! Tu aimes avoir ma queue dans ta grande chatte…. ! C’est ça… dis ? Allez dis-le salope…!

Abasourdi, j’entends ma femme répondre faiblement :

« Aoooh…ooh… ou… oui…. !
« Hein…quoi…oui.. ? J’ai rien entendu ! Vociféra le voisin. Répète plus fort petite garce…!
« Oui…oui… !
« Oui quoi… !
« Euh… ou….oui…. j’aime ça… ! Finit par lâcher mon épouse.
« T’aime quoi… ? Dis-le…Allez… ! Insiste le voisin tout en la ramonant vigoureusement.
« Euh… je…j’aime….Aaaouhh… Oooh…. J’aime avoir…t… ta queue….dans ma chatte… ! Finit-elle par avouer d’une voix tremblante.
« Et bien voilà… ! Ah Ah Ah…si ton mari savait ça…. !
« Non…s’il vous plait…… ne dites rien…. !
- Tutoies-moi je t’ai dit !
- Euh oui pardon… ! Balbutia-t-elle, en proie à une jouissance montante. Ne lui dit rien, s’il te plait… !
« T’inquiètes pas… on a un accord, non ? Il suffit que tu sois gentille avec moi…. Que tu viennes le matin pour mon ménage….d’accord !
« Euh. Oui… d’accord… !
« Oui qui… ?
« Euh… oui Fernand !
Mon ménage…et le reste, bien sûr ! IL faudra bien m’obéir, hein petite salope… ?
« Oui…oui…Fernand, c’est promis, je ferai tout ce que tu diras… !

Campé sur deux jambes blanches et poilues, le vieux Fernand besogne allègrement Martine défonçant sans vergogne l’intimité détrempée qu’elle lui offre.
Le visage rougi par l’effort, le souffle court, il sue à grosses gouttes en la pilonnant comme un dératé, ivre de désir pour ce corps voluptueux qu’il possède enfin, après l’avoir si souvent maté.

« Ahhhh….oouuuh… Qu’est-ce que t’es bonne la voisine…. ! On va se faire du bien toi et moi….tu vas voir….. ! Houhhh… ouais… je vais t’en mettre plein la chatte….t’as l’air d’aimer qu’on te jute dedans… je me trompe ?
- N…non...non… !
- Ouais… je le savais… ! T’inquiète… je vais t’en donner du foutre…. Ouhhh…Ouais…. Tu l’auras ta chatte remplie…! C’est ça que tu veux, hein… ?

Impuissant et excité, j’assiste à l’humiliation de mon épouse, forcée d’obéir aux exigences perverses du retraité qui jubile littéralement de ce qu’il lui fait dire.

- Allez…demande-moi de te remplir la chatte… ! Insiste-t-il en la besognant furieusement
- Aaah…oui…Remplis-moi la chatte Fernand…Hou…oui… jute-moi dedans…oui…. !
- Humm… petite salope… je vais bien te la remplir…. !

Je ne suis pas très fier de ce qui se passe, car je vois bien dans ses yeux humides la honte de se faire saillir par notre voisin, et du plaisir qu’elle en tire malgré elle.
Elle aime qu’on se vide en elle, c’est vrai, elle me l’a encore rappelé récemment quand je m’étonnais qu’elle ait laissé Hervé, un nouveau venu dans sa vie, notre vie, éjaculer dans sa matrice.
Elle aime la tiédeur de notre fluide tandis qu’il se répand dans ses chairs intimes, en point d’orgue à sa jouissance.
Avec Rachid, Joseph ou bien maintenant Hervé, c’est avec son assentiment qu’ils la baisent et l’ensemencent régulièrement, mais là, ce vieux vicieux au regard porcin, elle n’aurait jamais imaginé qu’il puisse la prendre.
Bien évidemment Fernand n’a pas mis de préservatif et il va lui aussi, et sans scrupule, se déverser en elle quand il jouira.
Et c’est bien ce qui s’est passe.
Je l’entends beugler tout d’un coup, et je comprends qu’il jouit, la queue plongée dans le vagin de ma femme.
Ses mains rivées aux hanches pulpeuses, il fait de lents va-et-vient pendant lesquels il se vide en elle, éjaculant sans doute un jus gras et épais, un jus abondant produit par une paire de couilles restée trop longtemps inactives.

« Aaahh…. ! Qu’est-ce que c’est bon ! Nom d’un chien…ça fait du bien…. ! Tu le sens mon foutre, dis… ! C’est bon, hein ?
« Ou…Oui…. ! Souffle-t-elle, immobile, les yeux fermés, pendant que le voisin finit de se vider les couilles en elle.

Au léger tremblement qui anime son corps je devine qu’elle vient de jouir elle aussi, mais qu’elle tente de la cacher, triste de ne pouvoir maitriser ses sens comme elle le voudrait, ainsi qu’en témoigne la petite larme qui perle au coin de son œil.

- Sacré voisine….C’est bon de te remplir… ! Ne t’inquiète pas…tu vas en avoir du foutre… en plus de ton mari et de ton amant… !

Ce dernier débande assez vite et il la libère.

« Bon, tu peux te rhabiller et rentrer chez toi… tu es une brave fille… ! Je t’attends demain matin… ne sois pas en retard, compris ? Et n’oublie pas le pain… !

« Oui… ! répondit-elle, la tête basse. A demain…euh…Fer…Fernand !

Elle enfile son imper et quitte la maison sans se retourner.
Fernand vient m’ouvrir la porte du placard, me demandant si j’ai été satisfait.
Comment lui dire non alors que j’ai la main pleine du sperme que j’ai éjaculé quand il a joui dans la matrice de Martine.

« Oh… je vois que cela t’a beaucoup plu….. ! S’exclama-t-il en rigolant. Il faut lécher ça mon vieux !
« Euh… vous n’avez pas de papier s’il vous plait ?
« Ta ta ta… non tu dois lécher ton foutre…. Si tu veux continuer à profiter de mon hospitalité !

Ce salaud est vraiment un vrai pervers.

« Parce que ta petite salope va revenir, t’as bien compris ça, hein…? Sinon tout le quartier va savoir qu’elle est un bon vide-couilles je peux te l’assurer…. ! Alors profites-en, puisque toi aussi tu es un petit salaud !
Honteux, je lèche ma main couverte de mon sperme, sous le regard hilare du vieux Fernand.

« A demain alors…Ah Ah Ah…. !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
toujours aussi excellent! Je pense que tes fans et moi-même espérons une suite des aventures de Martine et de Fernand
Merci de ce bon moment de jouissance
Bernard

Histoire Erotique
je pense que l'histoire ne fait que commencer,j'espere voir des suites

Histoire Erotique
Bravo pierre continue comme ça tes histoires sont vraiment super excitantes et j'attends de nouveaux récits avec impatience

Histoire Erotique
Quel pied il a dû prendre ce vieux pervers. Elle doit être trop bonne la Martine avec ses grosses mamelles aux tétines proéminentes et sa bonne grosse chatte de salope. Dommage qu'il ne lui a pas visité son petit trou plissé ... !!!
Encore une histoire excellente, mais le titre laisse supposer qu'elle n'aura pas de suite.

Histoire Erotique
Toujours aussi génial.
Merci
Rudy



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