Fanny au Château – (suite de l'épisode 825)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : Fanny au Château – (suite de l'épisode 825) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fanny au Château – (suite de l'épisode 825)
Fanny au Château – (suite de l'épisode 825) -
Le retour au château se passa en silence et le valet roula doucement suite à l’épais brouillard. Walter avait l’impression en effet de rouler dans une nappe de coton blanc d’une beauté ouatée. Arrivés au château, le majordome fit entrer fanny par une porte dérobée. Elle le suivit dans les dédales de couloirs tous plus luxueux les uns des autres, quand il stoppa devant une plus petite porte qui semblait moins sculptée. Oui cette porte moins travaillée par rapport à celles qui lui succédaient dans ce long couloir capitonné. Ce couloir aux murs d’un épais velours bordeaux aux bordures en reliefs vert sapin foncé. Le valet ouvrit, cette porte et fanny suivit l’homme qui referma la porte aussitôt derrière. Sans préambule, il lui dit d’un ton sévère :
- Déshabille-toi et remet ton collier et laisse afin que je puisse t’emmener dans la salle SM du donjon.

Fanny hésita de se dévêtir devant lui mais n’eut pas à réfléchir trop longtemps apercevant Walter brandir une cravache sortie de nulle part. Il s’amusait d’ailleurs à fouetter l’air plusieurs fois en donnant des coups secs et précis et réguliers qui frôlèrent la soumise. Une fois fanny dénudée, Walter lui adapta le collier et la laisse, en prit le bout et tira dessus en se dirigeant vers une autre petite porte au fond de la pièce, toute semblable à la première. Fanny fut bien obligée de suivre étant entraînée comme une chienne que l’on promène. Le majordome traversa alors avec la soumise, toute une série de pièces et couloirs aux décors digne d’un palais. Pour finalement arriver devant, cette fois une énorme double-porte massive où étaient sculptée en gros les armoiries des Evans. Tous deux entrèrent et Walter dit calmement :
- Voici la salle SM de ton Maître.

Une pièce circulaire, (normal pour un donjon) d’environ 10 mètres de diamètre. Des murs aux pierres équarries cachés par des tentures de soie luxueuse à la couleur jaune or foncé. La pièce était haute avec un magnifique plafond à la française avec au centre un énorme lustre de bougies d’un siècle ancien. Contre les murs et tout autour de la pièce sur toute la circonférence il y avait des croix St-André en 2 poutres croisées à la vertical. Il y en avait en tout 8 toutes espacées d’environ d’un mètre chacune. Ce que remarqua tout de suite fanny s’était qu’à chaque croix, il y avait un ou une soumise attaché et nu, portant juste un collier. En position bras et jambes écartées. Ils étaient tous bâillonné par une ceinture-boule et avaient pour les 4 mâles, le sexe libéré avec la cage de chasteté posée au pied de leur croix. Et pour les 4 femelles, la ceinture de chasteté posée à l’identique. Ils firent des yeux tout ronds à l’entrée de fanny et cette dernière remarqua de suite les érections des mâles et une certaine humidité qui coulaient sur les cuisses des femelles. Fanny remarqua que chacun de ses esclaves étaient marqué du sceau des armoiries des Evans entre leurs seins. Incrustée à même la peau sur le centre de leur poitrine, cette empreinte indélébile était noire et d’environ 5 centimètres de diamètre. L’empreinte identique pour tous se différenciait pour chacun par un matricule inscrit ; Elle put lire les 4 plus proches d’elle : serf69MDE, e541MDE e46MDE et e722MDE… Ce que remarqua aussi fanny, ce fut pour chaque esclave les traces de fouet sur leur ventre, les peaux rougies par des stries récentes.

- Regarde bien ces quelques esclaves de ton Maître, ils font partie des plus performants. Ils n’ont pas joui depuis plusieurs semaines. Je les ai libéré de leur cage ou ceinture juste avant ta première arrivée… Bientôt tu seras comme eux totalement avilie et heureuse de l’être pour ton vénéré Maître…Oui tu seras comme eux marquée dans ta chaire des armoiries des Evans avec ton futur matricule, si ton Maître le décide bien entendu, ha ha ha… Magnifiques armoiries d’ailleurs, ces 2 lions aux pattes avant levées qui s’affrontent… Ne serait-ce pas le symbole de l’appartenance totale envers ton Maître que d’avoir le grand privilège de les porter en toi … ha ha ha … ! Mais tout dépendra de ton obéissance totale ….

Il y avait aussi un long et massif établi de chêne où de multiples accessoires étaient entreposés, des fouets, aux cravaches, aux divers et multiples instruments de ‘’tortures’’. Des palans et des chaînes accrochées au plafond haut ne manquaient pas. Un chevalet était là aussi, et au centre de cette salle SM abondement bien fournie, une balancelle avec un siège à accoudoir. Celle-ci était reliée à un palan électrique pour la monter ou la descendre à souhait. Une petite table haute était à proximité avec quelque chose dessus d’assez volumineux le tout recouvert d’un drap, ce qui en cachait la nature.

- Allez assis-toi là, vautre-toi bien dans cette balancelle et écarte bien tes jambes en les mettant de chaque côté sur les accoudoirs, qu’on voit bien tes fesses et ta chatte de chienne, dit Walter sans pudeur.

Comme fanny hésitait de s installer pour être exhiber sexe bien en vue devant le valet, celui-ci lui donna une coup sec de cravache sur les fesses, ce qui fit obtempérer la soumise. Une fois installée comme le majordome l’avait exigé, et dans cette position, la chatte de fanny fut bien écartée à la vue de Walter. Mais celui-ci était déjà occupé à attacher les 2 pieds et les 2 bras de la belle. Pendant ce ligotage fait dans l’art, fanny eu tout à loisir de regarder le grand tableau d’époque en face d’elle en plein dans son champ de vision. Il y avait de peint, deux hommes qui posaient fièrement dans de beaux habits en apparat, et aux longues et nobles perruques. Un de ces hommes ressemblait étrangement au Marquis d’Evans et pour cause, l’homme représenté sur cette belle toile colorée était son ancêtre. Quant à l’autre, fanny le reconnu tout de suite, il s’agissait du fameux Marquis de Sade. Il y avait aussi, une pancarte sous ce tableau où état inscrit « A mon vieil ami, le Marquis Charles-Edouard d’Evans pour le refuge et l’accueil chaleureux que je reçus en cette année 1784 , signé Marquis Donatien De Sade » (voir les Origines de la Saga)
Fanny, séduite par la beauté de ce tableau, elle restait comme figée devant cette œuvre digne d’un grand peinte et elle ne fit pas attention quand Walter lui mit un bandeau sur les yeux, ce qui coupa net l’admiration de l’oeuvre.

- Tu admiras l’ancêtre de ton Maître une autre fois, je vais finir de te préparer et après j’irai le prévenir que tu es prête et à sa disposition !

Walter tira approcha deux chaînes vers la poitrine de fanny. Ces chaînes suspendues au plafond avaient au bout, pour chacune, un mousqueton métallique. Le majordome accrocha 1 pince à chaque téton qu’il accrocha aux mousquetons. Puis il tendit vers le haut les chaînes, ce qui étira au maximum les seins de la soumise.
Puis il souleva le drap de la table haute. Fanny aurait été très surprise si elle avait pu voir ce qui se cachait sous le drap. En effet c’était une perceuse montée à l’horizontal sur un socle. Mais une perceuse spéciale car à la place d’une mèche perforante, il y avait un volumineux gode d’une vingtaine de centimètres de long adapté sur le mandrin de l’outil. Walter approcha la machine près du sexe de la soumise, fit quelques réglages pour automatiser les avancées et les retours millimètrés du god ainsi que sa vitesse à tourner, qui de ce fait fera des vas et viens circulatoires calculés. Puis il mit la perceuse en marche, ce qui fit tourner lentement mais régulièrement le phallus horizontal. Fanny entendit le petit bruit du moteur et s’inquiéta. Walter la rassura, pendant qu’il lubrifiait abondemment le god tournant sur son axe.

- Prends pas peur, tu vas très apprécier, je pense, cela devrait t’exciter en attendant la belle queue de ton Maître que je vais tout de suite aller chercher… ha ha ha … Voila tu es prête, et s’il n’est pas disposé à venir tout de suite te voir, je reviens dans la foulée pour goûter une nouvelle fois au délice de ta bouche. Après tout, une deuxième pipe, me ferai le plus grand bien ha ha ha ! Dit-il en ricanant vicieusement et en s’éloignant d’un pas rapide…
(A suivre ...)

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