L’APPÂT PERVERS– Une infirmière en Beauce 04

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Auteur homme.
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Récit libertin : L’APPÂT PERVERS– Une infirmière en Beauce 04 Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2016 dans la catégorie Plus on est
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L’APPÂT PERVERS– Une infirmière en Beauce 04
L’APPÂT PERVERS– Une infirmière en Beauce 04
Ce récit est en partie inspiré de la vie conjugale de GALONA devenu GALONA BIS (auteur de HDS) racontée à VIEULOU au fil de leur correspondance.
Bien entendu le texte a été corrigé et validé par GALONA et les noms, professions et lieux ont été changés.


Hervé suit scrupuleusement les conseils de son ami Paul, administrateur de la banque Saint Gilles, où justement Hervé occupe la fonction de directeur. À présent, bien qu’il soit toujours impatient de pouvoir dévergonder Valérie son épouse, il a la satisfaction qu’elle ait accédé à ses demandes. Le couple fait beaucoup plus souvent l’amour, elle s’est fait épiler entièrement et elle accepte les cunnilingus jusqu’à la jouissance.


« Vous savez Paul, elle accepte à présent que je contemple sa vulve et les chairs de son vagin sans restriction, ce que je n’avais jamais pu faire depuis mon mariage. Elle met, lorsque nous sortons, des jupes de plus en plus courtes, ou même, elle dévoile ses jambes dans des tenues un peu sexy. Elle accepte le regard des hommes qui admirent son cul et ses seins, sans me reprocher de la considérer comme une putain »

Paul le regarde goguenard.


« Eh ! Tu veux quoi à présent mon petit »

« Ce que je sais, c'est qu'avant moi, elle a vécu avec un type qui lui a proposé de la regarder avec un autre, elle m'a dit dans les premières années de notre relation, que ce jour là, elle en a conclu que c'était un malade, mais je voudrais bien la voir se faire pénétrer par un autre », avoue Hervé.


« Ce que tu dis-là, c’est du candaulisme lui dit Paul en riant.


« Le candaulisme, oui c'est mon fantasme, d'autant que je suis un cérébral, même si j'ai conscience qu'entre le fantasme et le passage à l'acte il doit y avoir un monde, ce ne doit pas être évident ? »

Paul reste silencieux un moment. Les deux hommes sont confortablement installés dans des fauteuils club, réservés aux clients de marque dans le bureau d’Hervé. Il est vrai que la banque privée Saint-Gilles ne reçoit qu’une clientèle triée sur le volet : uniquement des notaires patrimoniaux et des gros propriétaires terriens. Puis, il dit à Hervé.


« Tu sais, lorsque tu m’as parlé de tes souhaits de voir ta femme se pervertir, j’en ai parlé à notre président d'Avesgaud. Tu te doutes que Cédric étant célibataire est plutôt porté sur la chose ! Bref, c’est un homme à femmes et un fieffé coquin. Bien qu’il vienne de fêter ses soixante et un an, c’est un sacré queutard et en plus, il est monté comme un âne. Nous avons déjà partouzé tous les deux et je sais qu’avec sa belle gueule et son physique avenant, il peut conquérir n’importe quelle femme. Il a une proposition à te faire. Il tente de séduire ta femme lors d’une ou de plusieurs réceptions qu’il donnera en son château de Castelneuf. Qu’il arrive à séduire Valérie ou non, en échange, il t’accordera quelques parts du groupe, mais surtout, il te nommera administrateur à vie, ce qui ajoutera des jetons de présence à ton salaire. Tu pourras, si elle cède, ajouter à son état d'épouse et de parfaite mère de famille, celle de la maîtresse la plus salope qu'il soit.


Hervé ne réfléchit pas longtemps. Il se doute que le président du conseil d’administration de sa banque ne lui volera pas sa Valérie. Il est le président du groupe de la Banque Saint-Gilles dont le siège est à Chartres, et des succursales à Rennes, Fougères, Laval et Alençon. S’il arrive à coucher avec elle, il s’en lassera très vite et passera à une autre. Lui, il y gagnera que son épouse soit dévergondée et en plus il touchera des jetons de présence en tant qu’administrateur. Dans la bonne société chartraine, il est certain que cela se saura rapidement et que le statut social du couple en aura les retombées. Alors il se lance.


« Bien entendu, j’accepte mon cher Paul, je vous dois cette promotion j’en suis certain. Je serais très honoré que le Président puisse baiser ma femme et j’en profite, si elle succombe, pour vous inviter à la prendre devant moi. J’en serais personnellement ravi »

Paul s’esclaffe en remettant les choses à leur juste place.


« Tu crois que je peux intéresser une jeunette comme Valérie, à mon grand âge ? Enfin, mettons nos plans en place pour le premier essai !


Cédric d’Avesgaud, issu d’une famille bretonne ayant des titres de noblesse depuis plus de dix siècles, possède de nombreuses propriétés et châteaux. Entre autres, deux logements à Chartres ou dans les environs. Un vaste appartement au-dessus de la banque, place Drouaise dans un immeuble de trois étages datant du début du XXe siècle. Puis, le château de Castelneuf à Châteauneuf-en-Thymerais à 26 km de Chartres (le fort construit en pleine forêt en 1059 par Gaston d’Avesgaud fut détruit par Henri 1er, roi de France l’année suivant sa construction. Le château fort, détruit ou occupé plusieurs fois fut définitivement brûlé et détruit en 1591 par le comte de Soissons Au XVIe siècle, en 1598, les descendants du seigneur du Thymerais font construire en pleine forêt du Thymerais le château de style Renaissance, toujours propriété de la famille).


Paul pense que le château sera plus approprié pour impressionner la mère de famille de souche paysanne.


Une invitation avec carton pour le samedi en quinze en soirée, demandant une réponse par retour est donc envoyée à différentes personnalités accompagnées de leur épouse : le Préfet, le colonel de gendarmerie, le député de la circonscription, quelques directeurs importants de sociétés ou d’administrations, en tout une trentaine de personnes. Celle qui parvient au couple Legendre comporte une carte de Cédric d’Avesgaud, demandant à son collaborateur et à son épouse de venir dès le diner du vendredi soir avec leurs bagages pour passer le Week-End complet au château. Ils pourront, comme cela a lieu en juin, profiter de la piscine et éventuellement du sauna et du service d’un masseur.


Valérie est paniquée à la vue de cette invitation. Elle n’a bien entendu rien à se mettre et elle a peur de se rendre ridicule. Son mari lui propose de se servir de son ami, le colonel Paul Rosequeen, que son grand âge rend parfaitement inoffensif et qui est un assidu des réceptions de son ami Cédric. Il pourra piloter ainsi Valérie dans les magasins pour faire ses achats. Hervé fait remarquer à son épouse qu’ils font désormais partie du même milieu surtout que le Président vient de lui accorder des parts dans la banque et de le nommer administrateur en plus de son poste de directeur. Aussi, il conseille à son épouse de se montrer aimable avec leur hôte et de lui faire honneur en s’habillant élégamment.


Valérie n’a aucun apriori concernant Paul, le protecteur de son mari à la banque. Il vient dîner parfois et il s’est toujours montré d’une correction exemplaire. Il emmène donc Valérie faire le tour des magasins parisiens, alors qu’elle bénéficie d’une journée de RTT. Il lui dit qu’Hervé lui a remis sa carte bleue, et comme il vient de percevoir de substantiels jetons de présence il a demandé à Paul que son épouse ne se préoccupe pas des prix. Après lui avoir fait choisir un tailleur peau de pêche pour le vendredi soir, il lui fait acheter une jolie jupe à fleurs en corolle pour la journée du samedi et une blouse paysanne à plis froncés aux manches bouffantes. Pour la soirée du samedi, Paul lui conseille une robe près du corps en satin de soie de couleur orangée, aux fines bretelles qui retiennent un décolleté de la forme d’une camisole pour le haut. Le côté jupe est à plis creux et vient s’arrêter à dix centimètres au-dessus du genou. Bien qu’elle trouve cette robe un peu sexy, elle se laisse convaincre par les compliments de Paul. Celui-ci lui demande si elle a un porte-jarretelles et des bas clairs. Valérie rougit et dit ne pas en porter. Paul la réprimande gentiment.


« Ma chère Valérie, vous faites désormais partie d’un monde où vous serez souvent invitée avec votre mari dans des réceptions comme celle où vous vous allez vous rendre chez notre Président. Il faut faire honneur à la société qui vous reçoit et il est hors de question qu’une dame de notre milieu puisse lors d’un dîner ne pas porter de bas attachés à un porte-jarretelles. Je vous conseille même d’en acheter plusieurs et quelques paires de bas. Voulez-vous ma petite que je vous fasse choisir ces choses par une vendeuse ? »

Valérie se montre confuse et penaude devant la gentillesse de Paul, elle lui répond timidement.


« Oui Paul, je veux bien une vendeuse. Vous savez tout ceci me dépasse et je vous remercie de votre sollicitude à mon endroit.


Paul sourit et songe que la belle, lorsqu’elle sera troussée par son ami Cédric, chantera une autre chanson.


Après avoir choisi un ensemble de bains deux pièces, à l’encontre des maillots une pièce qu’elle porte habituellement, et quelques soutiens et tangas en satin et soie, ainsi qu’une autre jupe longue et circulaire, avec le corsage assorti pour le dimanche, Paul et Valérie reprennent la route de Chartres. En disant au revoir à son mentor, Valérie lui fait la bise sur les deux joues, le remerciant encore pour se disponibilité et sa gentillesse.


Lorsque le soir, Hervé est de retour de son bureau, il trouve son épouse quelque peu décontenancée en train d’essayer tous ses achats. Elle est en soutien-gorge et avec un boxer, agrémenté de bas tendus par un porte-jarretelles noir. Il l’enlace aussitôt, lui disant qu’elle est belle. Leurs lèvres se joignent, alors que Hervé a entrepris d’ôter les frêles remparts couvrant le corps de son épouse. Elle proteste mollement, car tous ces essais l’ont quelque peu excitée, son entrejambe est devenue moite. Elle se retrouve bientôt nue devant son mari qui lui demande de s’asseoir au bord du lit conjugal. Il lui prend les pieds garnis de bas, les remonte à la verticale, tout en écartant le compas des jambes. La vulve glabre apparaît sous le petit ventre bombé de Valérie. Son mari contemple avec ravissement le vagin palpitant qui laisse s’écouler un filet de mouille. Valérie respire avec difficultés, la chaleur ayant envahi ses joues et son cœur se mettant à battre trop rapidement. Se savoir ainsi exposée sous le regard pervers de son mari, la trouble et la déstabilise. Pourtant elle reste immobile. Son époux est de plus en plus gentil avec elle. Il vient de dépenser, par Paul interposé près de 2 000€ pour qu’elle soit à la hauteur des épouses des notables de Chartres qui seront à cette soirée. Puis, à présent qu’il est administrateur de la banque où il officie comme directeur, il a droit à une femme sexy. Enfin se dit-elle, elle a aussi envie qu’il la fasse jouir, car ses cinquante ans lui jouent des tours, elle a de plus en plus envie de faire l’amour.


Hervé se penche sur la moule baveuse offerte à son regard pénétrant. Il a bien remarqué que sa tendre épouse n’a pas cherché à refermer le compas de ses jambes et cuisses grandes ouvertes. Serait-elle en train de devenir la salope vicieuse qu’il désire le plus au monde ? IL s’agenouille et écartant les grandes lèvres du vagin qui palpite, il plonge sa langue dans les chairs suintantes de la liqueur intime de sa femme, allant aussi loin qu’il est possible. Puis, il prend le capuchon du bourgeon sensible dans sa bouche, le découvre et prend le clitoris délicatement entre ses lèvres. Valérie pousse un cri bref et se laisse aller au bonheur de la succion de son bouton d’amour, toute honte disparue de se savoir exposée aux regards concupiscents de son tendre époux.


Lorsque sa femme a joui du cunnilingus savant qu’Hervé lui a appliqué sans aucune retenue, il la prend amoureusement dans ses bras et s’allonge sur le corps convoité. C’est elle qui prend sa verge entre ses doigts et qui l’introduit dans sa chatte engluée de mouille et de salive. La bête à deux dos s’agite dans une symbiose parfaite jusqu’aux orgasmes simultanés des deux partenaires…

Hervé songe à ce que lui a dit Paul. « Tu sais, c'est dans les femmes vertueuses que l'on découvre les plus salopes qui soient, une fois qu'on a su leur faire découvrir la perversité qui est en elles. Ta Valérie, elle acceptera tout, car je connais très bien de quoi elles sont capables lorsqu'elles explorent leur second rôle : « de la mère de famille (Vierge Marie) à la putain (Marie Magdeleine) ».


À suivre…





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