Petites annonces 01 - De la peinture

- Par l'auteur HDS Bonlien -
Récit érotique écrit par Bonlien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Petites annonces 01 - De la peinture Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(9.0 / 10)

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Petites annonces 01 - De la peinture
Petites annonces 01Luc aime les petites annonces. Il est seul, sans emploi. Il dévore tous les jours ces demandes d'emploi dans l'espoir de trouver un bon travail, le travail de ses rêves, mais les expériences qu'il en retire ne sont pas toujours celles qu'il espérait.


De la peinture
Annonce: Recherche solide jeune homme pour repeindre ma cave.

Luc est bricoleur, ce travail lui convient. Il a prit rendez-vous au numéro de téléphone indiqué, une voix ferme lui a répondu chaleureusement.
Le grand homme qui accueille Luc est vêtu de cuir, cela ne dérange pas Luc. L'homme lui demande s'il a amené des vêtements de travail. Bien sûr, Luc n'en a pas. Comme c'est l'été, l'homme lui propose de travailler en short, Luc acquiesce. Tandis que Luc retire son T-shirt et son pantalon, l'homme est allé chercher un vieux short en lambeaux. Peu importe pour Luc, ce n'est que pour travailler. Etant donné l'état du vêtement, l'homme propose à Luc de retirer son slip pour ne pas le salir et, se retournant timidement, Luc se dépouille pour enfiler rapidement ce morceau de tissu.
L'homme guide Luc vers les escaliers et Luc découvre la cave surprenante de l'homme, un donjon dont les murs sont effectivement en mauvais état. Luc n'a jamais vu de donjon en vrai, il est émerveillé par tout cet équipement de torture rassemblé au centre de la pièce lugubre et qu'il ne pourrait jamais se payer, même pas le dixième. Le matériel de peinture est disposé dans un coin et, après quelques explications, Luc commence consciencieusement son travail. Luc n'arrive pas à se concentré correctement, intimidé, intrigué et attiré par ces outils de luxure. De temps en temps, Luc s'arrête pour examiné un objet ou l'autre, le palper, le humer, le caresser, l'évaluer, imaginer son usage. Le temps passe avec le long travail de peinture et les délicieuses pauses. Luc sent la fatigue l'envahir autant qu'une profonde excitation comme il découvre chaque fois un nouvel ustensile plus intriguant, plus excitant. Oui, Luc est enivré par une excitation profonde comme il n'en a jamais connue auparavant. Une excitation perverse, la découverte d'un côté obscur, l'attrait d'un interdit, d'un impossible et le coup fatal tombe lorsqu'il est surpris par l'homme tandis qu'il examine un objet de cuir muni de chaînettes et de fines pointes.
L'homme est fâché, il crie, il hurle son mécontentement. Luc aimerait pouvoir s'enfuir, se cacher sous les pavés de la cave, mais il reste là, figé, immobile. L'homme l'agrippe par l'oreille, se dirige vers une chaise, le couche sur ses genoux et commence à le fesser. Luc connaît sa faute, il n'ose pas protester. Luc accepte sa punition d'autant plus qu'au plus profond de lui, une chaleur intense se répand dans son corps pour se rassembler dans son aine. Luc prend conscient du tube de chair gonflé, de la masse dure comme l'acier coincée entre son ventre et la cuisse de l'homme. Comme Luc commence à réagir, finalement conscient de ce trouble, conscient de la douleur sur son postérieur, l'homme arrache le tissu en lambeau d'un geste vif et commence à caresser les fesses brûlantes et maintenant nues de Luc, les mains de l'homme forment de savoureux cercles de plus en plus grands pour découvrir, finalement, la dure tige de chair gonflée.
L'homme repousse Luc de colère. Luc se retrouve sur le sol tandis que l'homme récupère l'objet du délit. L'homme se penche vers Luc et enferme rapidement et professionnellement le parachute autour du sac serré de Luc. Avec un ricanement manifeste de satisfaction, l'homme saisit la chaînette et tire dessus pour forcer le garçon sur ses genoux. Luc se redresse péniblement, sentant les pointes acérées labourer ses pauvres couilles. Luc est maintenant sur ses genoux, il ne sait que faire, il se sent fautif, il se sent honteux mais son dard pointe scandaleusement vers le ciel. Avant qu'il ne puisse prendre une décision, l'homme a déjà verrouillé des chaînes autour de son cou et de ses poignets. Luc est encore plus troublé, il voit les lèvres de l'homme bouger mais n'entend pas sa voix, tant il se sent hypnotisé. Ce n'est que lorsqu'une gifle le fait vaciller que Luc comprend qu'il doit reprendre son travail.
Equipé d'une chaîne cadenassée au cou et reliée à ses poignets pour l'empêcher de retirer l'abject parachute de cuir et soulager son pauvre sac lacéré par les pointes ignobles, Luc continue à peindre les murs. Il est encouragé par de légers coups réguliers d'un fouet sur sa butte en feu. Pour stimuler encore plus le garçon trop lent, l'homme ajoute un poids au parachute, puis deux. Luc s'active de plus belle pour terminer au plus vite. L'homme montre sa satisfaction par quelques mots de mépris, par plusieurs injures. Rapidement, l'homme voit l'effet bénéfique du traitement, Luc travaille plus rapidement, Luc travail mieux et un sexe toujours dressé et dégoulinant révèle que le garçon apprécie cette thérapie vigoureuse. Quelques coups de fouet de plus, progressivement plus rudes, amènent Luc à la fin de son travail.
En guise de remerciement, l'homme place Luc debout au centre de la pièce. Il lui bande les yeux et le caresse tendrement. L'homme referme des pinces d'acier sur ses seins, puis il repend les caresses. L'homme place des poids aux monstrueuses pinces, puis double ses caresses. Luc n'en peut plus, tout bouillonne en lui et, au moment où Luc sent les mains sonder son trou vierge, une incroyable canonnade envoie de puissantes charges de son jus droit devant lui. Après une décharge démesurée, Luc s'effondre, mais de solide mains le rattrapent, l'enveloppent et le transportent.
Luc se réveille dans un doux sofa, couvert d'une chaude couverture. L'homme est là près de lui, il lui sourit, il lui adresse quelques mots gentils. Tandis que Luc se rhabille, l'homme le complimente sur son travail, il le remercie chaleureusement. L'homme lui tend sa paie, propose à Luc de revenir. Mais Luc est trop choqué pour pouvoir répondre même si cette offre réveille déjà un agréable picotement entre ses cuisses.

FIN.

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