COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (6/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (6/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (6/14)
J’ai assez de folie en moi pour me rattacher les mains dans les menottes qu’Angélique ma maîtresse a fixées au lit dans les combes ayant investi mon lit conjugal où elle trouve qu’elle a plus de place.
C’est à ce moment que j’entends la sonnerie de la porte du jardin tinter.

Le vasistas est ouvert et je reconnais la voix du paysagiste qui entretient notre jardin. J’espère qu’Angélique va le recevoir et lui dire ce qu’il faut faire que notre jardin retrouve sa beauté d’avant l’orage.
Rapidement j’entends le bruit d’une tronçonneuse.
Un moment je dois dormir pour récupérer de mon après-midi fantastique au club libertin hier et ou après avoir baisé plusieurs fois avec son cousin grand black possédant un gros calibre devant ses clients presque toutes les heures, j’ai signé un contrat officiellement de barmaid pour une durée d’un an les mercredis et samedis après-midi.
Quand j’entends Angélique monter parlant à quelqu’un, je suis couché sur le ventre bras croisés retenus par les menottes.

• Attendez là, je vais voir si elle est prête à vous recevoir.

Avant que j’aie eu le temps de dire quoi que ce soit, elle récupère la boule à bouche me regarde fixement et me la place m’empêchant de dire quoi que ce soit m’interdisant de lui dire que si c’est le paysagiste qui est avec elle il est impossible qu’il rentre dans la situation où je suis.
En plus de la boule, elle sort de sa valise aux objets hétéroclites une cravache qu’elle promène de façon menaçante sur mon cul.

• Entrez Louis, elle est là, elle savait que vous veniez et elle m’a supplié de vous recevoir pour vous guider dans votre travail.
Vous savez, depuis que je la connais, je n’ai jamais-vu une assoiffée de sexe comme elle, regardé, elle s’attache elle-même et veut que je lui amène toutes les bites qui traînent dans le secteur.
Son mari a des cornes pires que les bois du plus grand cerf qui se trouve dans la forêt voisine, tout cela a débutées après avoir lu 50 nuances de Grey, elle aspire à subir les mêmes scènes masochistes qu’Anastasia l’héroïne, si cela continue, elle va devenir sado.
Tenez, elle a préparé la cravache pour que vous la fouettiez.
• J’ai déjà entendu dire que ce livre rendait les femmes folles du cul et je constate grâce à vous que cela existe, en rentrant ce soir chez moi, je vais confisquer celui que Janine est en train de lire, bon si c’est son truc, pourquoi pas.
• Voyez comme, elle se tortille, quand elle a entendu que vous montiez, elle sait retourner dans ses menottes pour que vous la sodomisiez.
• Elle me fait un joli cadeau, son cul est fort bien fait et mon épouse refuse que je l’encule, elle trouve cela obscène et a peur qu’il ne reste toujours béant.
Madame Juliette, vous voulez bien que je vous fouette et que je vous encule.

Je me tortille pour lui faire comprendre que cette maniaque d’Angélique fantasme sur mes envies bien que souvent cet homme que je vois s’occuper de ma pelouse et des massifs me faisait fantasmer couvert de la sueur rejetée par la chaleur et le grand air ainsi que ses pectoraux aussi noirs que maîtresse Angélique grâce au soleil.

• Regarder, elle tortille du fion pour que vous la sodomisiez, profiter en, vous aurez rarement l’occasion de finir votre journée de travail dans le trou du cul d’une aussi belle traînée.
• Vous avez raison, en fait, je vais laisser ma femme finir son livre, car je rêve depuis des années qu’elle se lâche comme votre amie.

Et c’est là que les larmes me montent aux yeux quand les premiers coups de cravache commencent à pleuvoir sur mon fessier.

• Arrêtez vos caresses, elle veut de la baise sans tabou, souquez ferme matelot pour lui faire atteindre son nirvana.

Les coups timides au début deviennent plus marquants après la demande de ma tortionnaire.
Je la haïrais, si j’avais les mains-libres, je lui arracherais les yeux, et avec mes ongles, je la grifferais autant que la lanière zèbre mon anatomie.
Mais à quoi bon, quand l’homme a mal au bras et que cette pluie s’arrête, le plaisir apparaît et si ce n’était la boule je lui demanderais de recommencer.

• C’est bon, elle a son compte, maintenant l’heure avance et tu vas te mettre en retard, ta femme va s’inquiéter et les explications que tu vas lui fournir risques d’être confuses.
Comme elle te le fait comprendre encule là, non, d’un grand coup sec, attends, je vais lui faire relever son postérieur, tu seras à la bonne hauteur.

Elle me bouge comme si elle maniait un sac à patates et dès que je suis placé comme elle veut, je sens un fer rouge me déchirer l’anus et pénétrer sans ménagement l’intérieur de mes boyaux.
Au début c’est une douleur qui se transforme en plaisir dès qu’il commence à me pilonner.
Dire que samedi Achille va, lui aussi m’enculer, cette pénétration a l’avantage de me préparer à celle de la grosseur nettement supérieure de celui qui depuis ma signature est devenu lui aussi patron de mon corps pour le plaisir de ma dominatrice.
Je hurle sans que l’on m’entende, ils doivent penser que mes grognements sont de plaisir, ce qui est le cas d’ailleurs quand Angélique passe sous mon ventre et qu’elle titille mon clitoris.
Où vais-je m’arrêter dans mon plaisir celui que je sens monter en moi ai une nouvelle fois supérieure au précédent, je suis heureuse, car grâce à ma salope pour la première fois je jouis par le cul ?
Deux ou trois allés retour et je sens mon partenaire d’un moment éjaculer remplissant la capote que préventivement Angélique lui avait placée.

• Viens te laver, il faut la laisser se reposer, ce soir le livreur du super marché doit passer et elle va certainement en redemander.
• Elle est insatiable cette salope, quand j’en parlerai à mon copain, il voudra venir lui mettre un grand coup dans son vagin.
• Eh non, pas un mot à ton copain regarde, les photos quand tu enculais mon amie que j’ai prise avec mon téléphone et envoyée sur une boîte Mail, elles sont très représentatives, qu’en penses-tu, on te reconnaît bien.
Elles sont parties dans cette boîte qui nous protège de tes racontars si tu parles, je les enverrais à ta femme elle verra l’ensemble de tes prouesses.
Regarde, je vais te faire voir le dernier avant toi qui est monté la baiser, j’ai su qu’il avait parlé et sa compagne est partie avec ses trois gosses, il a tenté de se suicider.
• J’ai compris, madame Juliette, vous pouvez me faire confiance, je serais une tombe.
Pour l’arbre, les morceaux de bois que j’ai chargés sur mon camion et que je brûlerais dans notre cheminée couvrent largement les frais de mon après-midi.

C’est comme cela que j’entends qu’Angélique le raccompagne jusqu’à la porte du jardin.
Il est bizarre qu’elle mette autant de temps à revenir, pour sûr elle a dû faire profiter sa bouche des restes de ce que je lui ai laissé.
Son pas dans l’escalier me fait comprendre qu’elle est de retour.
Elle me détache et me prends tendrement dans ses bras.
Elle me caresse le visage et en se penchant, elle me donne sa bouche.

• Tu aimes ce que je t’ai fait faire depuis que l’on se connaît.
• J’aime, mon cœur, non j’adore, tu me fais vivre un tourbillon, mon corps est fatigué, mais j’en redemande, je crois que je suis devenu accro aux bites et aux sexes en tous genres, vivement samedi que je retourne au club m’éclater.

Je la cajole et c’est comme cela que je m’endorme pour une fois depuis des heures sans qu’elle m’attache.
Ce moment de douce intimité finit de rapprocher nos deux corps et nos deux cœurs.
Combien de femmes de mon âge ont la chance de découvrir et commencer une nouvelle vie en continuant leur vie d’avant.

C’est quand je pars dans mes rêves que mon téléphone sonne, il est resté posé sur la table de chevet.
La sonnerie s’arrête après deux coups, étant tellement occupée, j’ai oublié de le mettre en charge et la batterie est déchargée.
Je saute du lit et je vais chercher mon chargeur, deux minutes et la sonnerie retentie., pendant ce temps, elle en profite pour me rattacher et me remettre la boule.

• Bonjour Claude, oui c’est encore moi, Juliette est toujours attachée au lit avec ses menottes et sa boule dans sa bouche.
Tu en as déjà vu.

Ces bouts de phrases décousues pour moi m’exaspèrent, mais j’en retiens des informations sur ce qu’en pense mon époux.

• Hier ta femme a signé un contrat pour aller travailler dans un club privé chez mon cousin.

J’entends le rire de Claude quand elle met le haut-parleur.

• Crois-moi, elle s’est fait enfiler tout l’après-midi, nous irons la voir mercredi prochain quand tu seras de retour.
• Tu me fais marcher, mais j’espère que non, voir ma Juliette elle si chaste se faire défoncer j’en ai rêvé tu l’as fait, j’espère que c’est vrai.

Claude refuse de la croire persuadé qu’elle blague.

• Tient, une nouvelle envie pour elle, je lui fais voir une pince à linge, elle me fait signe de lui placer sur la pointe d’un de ses seins.
Elle me fait signe d’attaquer par le droit.

Le téléphone d’une main une pince sortie de sa maudite valise qu’elle a récupérée et la place comme elle le dit.
La douleur est instantanée, je hurle, mais ce sont des bruits inaudibles qui sortent de la boule.

• Claude, j’ai dans la main la deuxième pince, où veux-tu que je lui place, sur le sein gauche ou une de ses grandes lèvres ?
• Ses grandes lèvres.
• Juliette, tu vois il me dit en rigolant les grandes lèvres avec un grand fou rire, il est persuadé que je fais semblant de te mettre les pinces.
Chérie, j’approche, le téléphone fait lui savoir ce que tu penses de la manière dont il m’oblige à te faire souffrir,
Elle pose le téléphone sur le lit et ayant récupéré ses deux mains, elle m’attrape une de mes grandes lèvres et place la pince.
Uuuuhuuundieuuuuderrrrrmerdennnsal…ope.

• Alors là tu as bien entendu, elle se tortille comme si elle voulait la faire sauter.
Ou là là, cela doit faire mal, j’ai mal pour elle, la suivante où ?
Comment tu es sûr que je bluff, Juliette, elle sait que je place les pinces là où tu le dis !
• Sur son clito.
• Tu es bien sûr !
Il veut la prochaine sur ton clito, tu es partante.

Je la regarde les yeux sortis de la tête, ils vont m’estropier, pourtant j’ai beau me tortiller, hurler que non, intraitable elle arrive à la placer là où il vient de lui demander.

Rideau, rideau, rideau, rideau…

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