COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (9/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (9/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (9/14)
Ma garce de copine a profité de mon amour pour elle pour une nouvelle fois me donner à un autre homme que Claude mon mari actuellement aux États-Unis.
Jeune homme, je devrais dire mais la mission qu’elle me confie de déniaiser ce beau gosse avec des pectoraux dignes de certains acteurs américains qui ont comme principal talent de les faire bouger à l’écran me plait.
Hélas, je dois déchanter, car il est peut-être beau, mais à des tendances homosexuelles.
Nous sachant épier par le père à qui malencontreusement j’ai posé la question si son fils était pédéraste car puceau à son âge simplement pour rigoler sa réaction liée à ses origines italiennes dans le contexte d’une franche rigolade se trouve plutôt maladroite confrontée à la réalité.
La Juliette fleur bleue le cœur toujours sur la main qui part simple charité chrétienne à proposer à celle qui était devenue S.D.F. de venir se doucher chez elle à deux pas du parking où son tacot est tombé en panne a enclenché une série de bouleversements dans cette maison certainement dus à l’orage.
Cette Angélique devenue mon Maître depuis qu’elle m’a séduite fait avancer ma vie vers de nombreuses dépravations que j’accepte par simple amour pour elle mais aussi car elle m’a ouvert les yeux sur la chienne qui sommeillait en moi et que j’étais sans le savoir.
C’est dans ce but que je l’ai laissé me punir d’avoir mangé les fruits aux sirops qui étaient si bons en m’entravant sur mon transat au bord de ma piscine et d’accepter de me faire baiser par ce grand dadais qui m’avoue que ma chatte pourtant offerte avec les menottes qui m’entravent préfère la queue de son copain coiffeur.
Pour éviter un massacre, nous mimons l’acte d’amour sauf quand je le suce lui demandant de fermer les yeux et de penser que ma bouche est celle de son Luidgi.
Pour que le change soit intégralement donné à son père, ils nous restent à ce qu’il me pénètre.

• C’est bien, profite de ta turgescence pour placer la capote qu’il t’a donnée avant de partir avec mon Maître et vient te coucher sur moi et me pénétrer, tu t’y prends très bien et je suis sûr que ton géniteur croit qu’il a devant lui le mâle dominant qu’il souhaite avoir comme fils.

Pour lui dire cette phrase, j’ai dû le libérer du fourreau de ma bouche et je sens que si je veux profiter de cette belle bite, il faut qu’il vienne rapidement en moi.
La fraction de seconde où il se place sur mon corps écrasant mes seins d’une façon onctueuse suffit pour que sa verge soit devenue flasque.
J’espère qu’à la distance où il nous observe, Fred est persuadé qu’il est dans ma chatte et que j’ai réussi à lui faire perdre son pucelage.

• Lucas, tu as débandé, bouche sur moi comme si ta queue me limait, il y verra que du feu, j’ai une idée, es-tu libre demain après-midi ?
Bouge, il va avoir des doutes.
• Je travaille à l’atelier.

Les doutes, je m’en fiche, mais même hors de mon sexe sa verge est si grosse qu’elle caresse mon clitoris qui commence à réagir au frottement.

• Continu oui continu, mon dieu que c’est bon, même si tu es en dehors de moi, je sens ta verge sur mon clito et je vais jouir, je vais certainement crier, car je sens que tes frottements sont efficaces.
À ce moment, tu feras comme moi pour qu’il entende que tu prends pour la première fois ton plaisir d’homme.
Oui, oui.

Eh oui, malgré tous les inconvénients, j’arrive à jouir de ce grand couillon, dommage qu’Angélique m’ait empli le cul d’un plug, car je suis sûr qu’en me retournant si je le pouvais bien sûr, il arriverait à me sodomiser un cul étant toujours un cul.
Il mime le plaisir lui aussi avec un grand talent d’acteurs.
Je crie, il fait semblant en hurlant, mais je garde le contrôle, il reste une dernière opération pour que l’illusion qu’il est dépucelé soit complète.

• Enlève la capote et tu fais un nœud comme si tu l’avais rempli de ton sperme et place-la dans ta poche de pantalon posé au sol près de nous.
Remonte à la hauteur de ma bouche que je te suce, car s’il arrive, il va voir que tu as gardé ton sperme et que ta bite est nickel.

Il se redresse et je peux lui sucer de nouveau la verge qu’il accepte de me redonner pour faire celle qui la nettoie.

• Bravo fiston, je viens de revenir avec Angélique et je vous ai entendue crier votre plaisir.
Où est ta capote, j’aimerais la garder en souvenir de ce beau jour, merci madame Juliette ?
• Eh quoi, encore, vous vous rendez compte, elle est sa seule propriété, de plus il me l’a promise, car c’est mon premier puceau et je souhaite la conserver, sucez-lui la queue pendant que vous y êtes.
• Pardon je suis si heureux que je débloque complétement Lucas dit au revoir à la dame, remercie là pour le service rendu, va l’embrasser.

Il s’avance tout près de mes lèvres et sans les toucher me dit merci.

• Tu crois que tu peux t’en tirer à si bon compte, demain à treize heures sois devant le garage de ton père je t’enlève pour l’après-midi.
Vous êtes d’accord.
• Il y a du travail à l’atelier, mais je m’arrangerais, je peux difficilement vous refuser qu’il continue son éducation sexuelle avec vous.
• Allez à demain, tu as été un merveilleux amant.

Le père est e en train de partir aux anges par la phrase que je viens de prononcer, le fils, c’est rhabiller quand son père ne peut le voir, il sort la capote vide qu’il me donne.

• Tenez, je vous l’avais promise.
• Mets là sous le matelas afin que ton père ne remarque rien, mes mains sont entravées.

Et je les vois partir.
J’ai fait une bonne action, j’espère que mon Maître saurât me récompenser comme elle me l’a promis.
Quand elle revient, je suis enchanté de ce qu’elle me dit.

• Donne-moi la capote ?
• Détache-moi si tu veux que je te la donne.

Je lui résiste, mais quand elle va dans la valise restée près de ma chaise longue, je sais que je vais encore ramasser.
Elle en sort deux colliers en plastique qui servent aux électriciens pour réunir leurs fils et les ranger proprement.
Elle en fait une boucle et m’enserre le sein droit, elle sert jusqu’au moment où il ressemble à une calebasse séparée en deux hémisphères bien distincts terminés par la fraise de mes aréoles qui bande sur l’afflux de sang qu’elle lui fait parvenir.
Elle recommence sur l’autre sein en faisant attention à la symétrie et surtout au serrage dont elle semble experte le faisan certainement subir à sa patronne qui l’a honteusement remercié en la licenciant sans indemnité du moins c’est ce qu’elle m’a dit.
J’ai conscience que ma position de femme soumise me fait prendre pour argent comptant tout ce qu’elle me dit alors que, dans les faits elle me prouve tout le temps que seul son plaisir mais surtout son sadisme la guide.
Si je dois en passer par ses extrémités pour la garder, je suis prête à accepter pour comptant tout ce qu’elle me dit.

• Tu garderas ces colliers jusqu’à demain après-midi ou tu iras au club faire voir à tous nos amis libertins qu’ils ont à leur disposition une femme soumise, tu peux me faire confiance, je sais les poser pour que ton intégrité physique soit préservée, ils sont serrés juste pour te faire une silhouette harmonieuse.

C’est vrai que de transformer mes seins en calebasse est bandant même pour moi qui me regarde.
C’est reparti, une fois de plus je lui donne raison de me martyriser.
Elle me détache pieds et mains.
Je me relève chancelante.
• Je peux aller aux toilettes maîtresses.
• C’est bien, je vois que les leçons commencent à porter, oui, va te faire belle, je t’ai promis une surprise si tu es sage avec Fred et Lucas, pour une fois je vais tenir parole, je t’emmène au restaurant où j’ai retenu une table.
En plus, je veux marquer notre rencontre et surtout notre dernière soirée seul notre homme revenant demain.

Elle a une facilité à s’accaparer tout ce qui est à moi, après mon lit, mon transat, ce soir c’est mon mari qu’elle semble vouloir acquérir.
Je pars vers la salle.

• Tu n’oublies rien.

Le ton sec quel emploi pourrait me glacer, mais cette belle black m’a tellement habitué à des changements d’humeur en peu de temps que cela me touche moins.

• La capote.

Je pensais pouvoir échapper à cette demande aussi je la cherche sous le matelas et je lui donne.

• À quel jeu joues-tu, il faudra que tu t’expliques.
• Elle a dû se vider sous le matelas.
• Prends-moi pour une conne, tu as de la chance que la table soit réservée et que je déteste manger seule, sinon j’aurais été te rattacher sur ton lit dans les combles.
Dépêche-toi de monter tes affaires sont sorties sur mon lit, tu as cinq minutes la douche comprise comme disait un homme célèbre pour être prête et maquillée.

Quelle mouche me pique quand je prends tout mon temps pour me doucher me sécher les cheveux et me maquiller avant d’aller prendre sur le lit les vêtements tout nouveaux pour moi et les enfiler.
Chemisier transparent montrant les colliers noirs autour de mes seins alors qu’il en existe des translucides qui auraient été invisibles.
Jupe portefeuille fendue sur le côté s’arrêtant plus haut que mes genoux avec des bottes cuissardes noires.

• Tu me cherches petite peste, cela fait dix minutes que je t’attends vers ma voiture, tu vas encore te plaindre que je te martyrise, tu as de nouveau un coup de chance que mon ventre crie famine.
Je t’avais dit de te maquiller, tu me déçois encore.
• Mais je suis maquillée.
• Tu rigoles, viens devant ma psyché.

Je me lève et devant la glace les colliers légèrement apparents montrent ma servitude à ma maîtresse.
Comment dire ce que je pense vraiment avec les bottes et ma jupe d’un rouge sang faisant ressortir ce pour quoi elle veut me faire passer ?

• Que vois-tu ?
• Une jolie femme.
• Tu te fiches de moi, j’ai fait de toi une pute et tu dois te maquiller en pute, va t’asseoir sur mon lit, je reviens avec mon maquillage.

Une nouvelle fois elle s’accapare mes affaires, car la trousse de maquillage est la mienne, mais elle a amené un ou deux ingrédients qui doivent être les siens.
Dix minutes d’un travail précis comme si elle avait été esthéticienne à ses heures et quand elle me fait retourner devant ma glace, c’est le visage d’une vraie salope mieux comme elle le souhaite un visage de putain que je lui présente.

• Tu as vu, comment j’ai fait à partir de maintenant, tu te maquilleras comme cela, tu verras au fil des jours, tu t’habitueras et Claude aimera la différence entre une fille sérieuse comme moi habillée et maquillée classe et la grosse salope que tu es devenue pendant son voyage.

C’est sûr, je connais son but, faire de moi une soumise à sa solde et à celle de mon mari du moins ça je l’ai entendu dans mon téléphone et ainsi être maîtresse de ma maison pendant que je serai leur esclave.
Je devrais le taire, mais mon cœur fait un bond tellement, j’apprécie d’avoir trouvé celle depuis Emmanuelle qui a su me dominer.

• Alors qu’elle se retourne, je passe ma main dans le portefeuille de ma jupe et je constate que je mouille mes doigts ressortant trempé de la rapide pénétration que je m’inflige car bien sûr ma tenue ne comporte aucun sous-vêtement.
Je les lèche rapidement voulant éviter qu’elle se donne un nouveau motif pour me punir.
A-t-elle lu toutes ses soumissions dans 50 nuances de Grey, j’ai lu trop peu de page pour savoir jusqu’à ou l’héroïne accepte d’être soumise à Christian…

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