La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°853)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°853) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°853)
Marion au Château – (suite de l'épisode N°847) –

- Position prosternée Ma chienne ! Ne bouge plus et laisse-moi te regarder…

J’obéis évidemment instantanément ! Durant de longues minutes Il m’observa attentivement sous toutes les coutures. Je pouvais le voir par-dessous mon bras. Je me repaissais de Lui ne sachant pas quand est-ce que je le reverrai… après avoir mangé dans ma gamelle à Ses pieds, Il me ramena jusqu’au Perron du Château, m’embrassa tendrement, et remonta les marches du Perron. Et je repris la route… Lorsque je m’arrêtais à la gare de péage, je reçus un texto. Regardant d’abord vaguement mon téléphone, je l’attrapais rapidement et y fixais mon attention lorsque je lus le nom du Maître.

- Ma chienne, arrête-toi sur une aire d’autoroute toutes les 4 stations-services. Cela te fera cinq arrêts au total. Accepte et obéis à tout ce qu’on exigera de toi. La première se trouve dans 25kms.

Je me remis donc à rouler, inquiète et en même temps excitée. Chaque « surprise » du Maître me faisait de l’effet dans le bas ventre. Mais je ne m’étais pas encore habituée à être débauchée en public… A environ cinq kilomètres de la première station-service, un panneau lumineux suspendu annonçait « Prudence, perdue sur une aire d’autoroute, petite chienne en chaleur, si vous la trouvez, merci d’appeler au 06 69 67 -- --. ». Je trouvais étrange de préciser sur une annonce que la chienne était en chaleur, sans donner plus de détails sur l’animal ! A deux kilomètres de ma première étape, nouveau panneau lumineux « La chienne a été aperçue dans la voiture immatriculée SE-069-XE. Si vous la voyez merci d’appeler au 06 69 67 -- -- et dirigez-vous vers la prochaine station-service. » Et là, je me rendis compte que le numéro d’immatriculation était celui de ma voiture, et que donc la chienne en chaleur … c’était… Moi ! Mais par quel prodige, cela pouvait-il être possible ? Déjà plusieurs automobilistes me faisaient des appels de phares. Parfois avec un air interrogateur, souvent avec un sourire pervers. Certains mêmes me klaxonnèrent ! Plus j’approchais de la station et plus j’avais peur de ce qui m’attendait ! ... À l’entrée de la station, il y avait une photo de moi à quatre pattes (heureusement photo non pornographique faisant plus penser à une publicité pour aliment pour chien), avec une phrase « Les chiennes fugueuses sont faites pour être punies ! » et une flèche sur l’affiche incitait à entrer dans un bâtiment. J’hésitais, lorsque je vis un homme musclé s’approcher puis ouvrir la porte de mon véhicule et me tirer à l’intérieur du bâtiment.

- Ah te voilà, la chienne ! Qu’est-ce que c’est cette histoire de faire une fugue ? Tu sais ce qu’on fait aux mauvaises chiennes de ton espèce ? On les fouette, longuement ! Il y a 12 personnes qui ont appelé le numéro de téléphone inscrit sur les panneaux. Ils auront chacun cinq minutes pour te fouetter. Suis-moi, chienne !

Et l’homme me conduisit dans l’arrière-boutique. Dans le vestiaire, on m’ordonna de me déshabiller. Quatre anneaux de fortunes avaient été enfoncés rapidement dans le mur. L’homme attrapa une corde et m’attacha les membres écartelés. Douze autres personnes étaient aussi dans la pièce, deux femmes et dix hommes, séparés en deux groupes de six, une femme dans chacun d’eux.

- Mesdames et Messieurs, suite à vos discussions téléphoniques avec Monsieur Walter, Majordome de Monsieur le Marquis d’Evans, Maître de cette chienne, vous avez tous manifesté l’envie de nous aider à la corriger. Le premier groupe pourra la fouetter côté face, le second groupe côté pile. Je vous en prie, ne retenez pas vos coups.

Je tremblais en entendant ces mots ! Pourquoi ? Je n’avais certes pas essayé de fuguer et mon vœu le plus cher était de pouvoir vivre ma soumission aux pieds du Maître en permanence. Et puis je ne pouvais me permettre de perdre une heure à chaque fois que je devrais m’arrêter ! Lucie, ma copine qui me gardait mes enfants, était bien gentille, mais elle allait s’inquiéter si je devais avoir 5h de retard, voir plus ! Mais mes pensées revinrent à l’instant présent. Les hommes du premier groupe, gentlemen, avaient laissé la femme passer en premier. Elle prit le fouet et commença d’abord par trois minutes à me caresser le corps avec sa lanière. Elle le relevait parfois pour me caresser de nouveau et ensuite, quand soudain le premier coup claqua au travers de mes seins, fort, rapide, implacable, me laissant une belle trainée rouge dessus. Puis les coups se succédèrent à une vitesse impressionnante les deux minutes restantes, ne me laissant pas reprendre ma respiration entre deux ! J’étais striée dans tous les sens, je n’avais pu retenir mes cris et mes larmes. Mais étonnamment, mon bas ventre avait réagi ! Ca m’excitait grandement ! Non je devais me tromper ! Je souffrais comme jamais ! Et pourtant force est de constater que je mouillais ! Je ne comprenais pas le but du Maître. Pourquoi me punissait-Il ainsi ? Qu’avais-je fait de mal ? Je n’avais pas désobéi ! J’espérais que les nombreuses marques s’estomperaient rapidement, en tout cas avant que mon mari ne rentre chez nous ! L’homme qui prit sa suite, ne donna pas non plus dans la dentelle, j’avais l’impression que ma peau se déchirait, que mon corps brûlait. Mes hurlements se succédaient, mais autre chose que je ne savais définir commençait à m’envahir irradiant toute mon échine, on aurait cru à une décharge électrique jouissive. Les quatre autres personnes, s’enchaînèrent, mais avec un peu moins d’intensité. Plus les coups se succédaient, et plus je me sentais bizarrement excitée ! Bien sûr, j’avais mal, c’était horrible comme sensation ! Et pourtant, j’étais complètement trempée, ma cyprine coulait le long de mes cuisses. L’homme qui m’avait « accueillie » vint à moi, et plaqua sa main sur mon sexe.

- Regarde petite chienne, comme tu mouilles ! dit-il d’une voix douce. Monsieur le Marquis d’Evans avait supputé que tu puisses apprécier ! Ne t’inquiète pas pour la suite, Il voulait te faire connaître ces nouveaux « plaisirs » ! Ton corps n’est pas si endommagé que tu dois le supposer. Maintenant, lèche bien ma main souillée de ta mouille, chienne !

Complètement perdue, j’obéissais ! Je fus détachée et retournée. Les coups dans le dos furent plus doux, excitants, comme ceux que j’avais déjà pu recevoir du Maître quand Il voulait me procurer de divines sensations. Cependant je me demandais pourquoi il avait été choisi le dos pour la douceur et non le devant, ou pourquoi pas faire moitié moitié ? Ensuite, on me détacha puis on exigea que je me rhabillasse et de partir. Mais lorsque je m’assis dans ma voiture pour reprendre la route, je compris pourquoi ! Mon dos et mes fesses me chauffaient déjà alors qu’ils n’avaient pas subi grand-chose ! Il fallait que je puisse tenir assise pour pouvoir conduire avec une douleur restant supportable. Maintenant que je reprenais la route, j’avais très peur de mon prochain arrêt ! Je regardais chaque panneau, tout ce qui pouvait laisser un indice sur ce qui pourrait suivre. Mais je ne vis rien… Arrivée au deuxième arrêt exigé, j’empruntais la voie de décélération, et me garait juste devant la porte d’entrée de la station. J’hésitais à sortir de ma voiture, je ne pouvais pas imaginer devoir subir la même épreuve que précédemment ! Mais je n’eus pas à réfléchir longtemps. Une jeune femme souriante vint frapper à ma fenêtre. Après un échange de politesses, elle me demanda de la suivre à l’intérieur. Je la suivis sans poser de question. Sur les vitres de l’entrée, il n’y avait aucune affiche. Je fus conduite encore une fois dans les pièces interdites au public, et je dus me mettre à nouveau nue et m’allonger sur le dos sur une table rembourrée. On me banda les yeux et on me plaça un casque sur les oreilles. Une musique de relaxation se fit entendre. Puis au bout de quelques minutes, le volume de la musique baissa légèrement et la voix que j’aurai reconnue n’importe où, au milieu de n’importe quel bruit, raisonna dans mes oreilles.

- Ma chienne, je ne suis pas sûr que tu ais apprécié au premier arrêt ma première surprise, mais comme tu le sais, Mes exigences sont là pour Mon plaisir et non le tien. Cependant, si j’en crois le compte-rendu que l’on m’a fait, tu y as pris aussi un certain plaisir, même si tu n’es peut-être pas forcément prête à l’accepter, il te faut reconnaître l’excitation que tu as eu à te faire fouetter et de plus est par des inconnus. Maintenant détends-toi et profite du moment…

(A suivre …)

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