La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°870)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°870) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°870)
Deux soumis appelés au Château – (suite de l'épisode précédent N°869)-

e11299MDE fut alors conduit à quatre pattes par le garde dans les sous-sols du château... en passant par des escaliers en colimaçon étroits et abrupts tout en pierre glissante et où la température était glaciale et l'atmosphère humide. e11299MDE avait très mal aux genoux qui frottaient contre la pierre rude des marches descendantes et il tremblait déjà de froid et il se demandait bien ce que signifiait l'ordre de la Cuisinière qui résonnait encore dans sa tête : ‘’Emmène cette salope chez les ‘’folles’’. L'homme-esclave le conduisit ensuite le long d'une série de couloirs, poussa une épaisse porte en chêne au vernis délavé et aux gongs rouillés qui grincèrent lorsque le garde ouvrit. Puis il le fit entrer. Cette pièce était sombre et e11299MDE hésita avant de rentrer. Mais l'homme le poussa à l'intérieur.

- Tiens, nous avons de la visite, entendit-il glousser.
- Oh oui, de la chair fraîche ? Un petit cul à dévierger ???
e11299MDE s'accommodait maintenant de la faible luminosité, et apercevait quatre hommes et deux femmes, en petites tenues. L'un des hommes approcha, attrapa la laisse et le tira vers le groupe. Il constata alors que les deux femmes n'en étaient pas, mais qu'il s'agissait de deux travestis en train de s'occuper des hommes.

- Lorsqu'on nous amène quelqu'un ici, c'est qu'il a déplu au Maître, annonça l'un des hommes. Nous allons nous occuper de toi. Garde …. Garde …, appela-t-il.

Un garde ouvrit la porte

- Emmène les deux femelles au cachot. On s'en occupera une autre fois.

Les deux travestis se relevèrent. e11299MDE put voir que leurs sexes étaient bien dressés lorsqu'ils passèrent devant lui pour quitter la pièce.

- A nous cinq, maintenant, fit l'homme qui avait appelé les gardes en s'approchant de e11299MDE.

e11299MDE n'a pas le temps de protester que déjà un homme présente son sexe devant sa bouche et qu'un autre se présente derrière lui le sexe tendu. En quelques secondes e11299MDE sent les deux sexes prendre possession de son corps. Il n'a pas le temps de réagir. Les 2 hommes vont et viennent en lui sans se préoccuper de se qu’il pourrait ressentir. Les deux autres sont à côté et se masturbent, puis viennent se substituer aux deux premiers. Et cela dure pendant longtemps, les uns succédant aux autres, chacun goûtant à sa bouche et à son cul. Plusieurs fois ils jouissent, lâchent de chauds jets de sperme qui envahissent sa bouche et qu'il ne peut cracher, qu'il doit avaler. C'est très humiliant comme situation mais e11299MDE excité par cette nouvelle situation ressent ces humiliations comme du bonheur d’être simplement un objet, oui un simple jouet sexuel. Les autres hommes discutent et imaginent e11299MDE en travesti d'ici quelques semaines. Ils le ‘’violent’’ ainsi pendant plusieurs heures, bientôt ils sont rejoint par les gardes qui en veulent aussi. Le traitement dure ainsi toute la nuit, et au lever du jour, e11299MDE fatigué n'est plus qu'une épave, plus qu’un pantin désarticulé, un corps rempli de la semence de ses tourmenteurs, le cul en feu et la bouche amère. Mais au fond de lui-même l’esclave était heureux, heureux d’avoir servi, d’avoir été abusé, toute la nuit et c’est plus qu’éreinté qu’il s’endormit à même le sol sur une paillasse, dans la cellule laquelle il fût amené enchaîné à un solide anneau scellé au mur …

Quant à Darla, elle fut attachée par la laisse au cou, au pied du lit du Marquis d’Evans dans La chambre luxueuse du Maître des lieux. Une chambre rustique et immense avec tout le confort désiré donnant sur le côté via une large ouverture sans porte sur une salle de bain des plus confortables entièrement carrelée des plus beaux carreaux et à la robinetterie toute en Or. De l’autre côté de la chambre, via une double porte massive Son bureau personnel style Louis XV où plus d’un récit de la Saga fût écrit. Au fond derrière les hautes fenêtres de la chambre, il y avait une vue imprenable sur le parc du château et plus au fond on y voyait l’immense forêt du Domaine qui s’étendait jusqu’aux portes du village à plus de 5 km.

Cela faisait 1 heure de Darla en ce début de soirée attendait la venue de son Maître. Attachés, elle se reposait sur l’épais et immense tapis qui recouvrait quasi toute la surface de la chambre. Dans sa tête, elle se repassait les évènements de son entrée dans le château et cela la faisait mouiller. Elle appréciait aussi les effets de la pommade que l’homme-esclave avait passé sur son dos afin d’atténuer grandement les traces du fouet. Quel prodige cette pommade, aucune douleur n’était présente. Elle regardait autour d’elle. Elle aperçut parmi les nombreux tableaux aux murs. Un tableau parmi les autres attira son attention, c’était un portait, celui de l’aïeul du Marquis car il était inscrit sur une plaque de laiton située en dessous de la toile ‘’ Marquis Charles-Edouard d’Evans -1786 – ‘’ C’est le regard de cet illustre ancêtre de son Maître qui fascina Darla. Un regard qui saisi la jeune femme, un regard Dominateur qu’on oublie pas. Darla en avait des frissons et c’est en baissant les yeux face à ce regard fixe mais si envoûtant qu’elle se dit en elle-même -‘’ Quel homme devait-il être pour imposer un tel regard’’

C’est dans ces émotions fébriles que son Maître entra dans La chambre. Le Seigneur sans un mot toisa la belle et s'assit sur le lit et exigea à Darla de lui ôter ses bottes. Elle s'acquitta de sa tâche avec maladresse tant elle était sur un nuage. Puis il détacha la laisse du lit et emmena Darla jusqu’à la salle de Bain. Il ordonna à Sa nouvelle soumise de le dévêtir. Toute tremblante de timidité, elle s’exécuta encore maladroitement. Le Maître resta immobile et se laissait dévêtir pour lui faciliter son ordre. Quand elle parvint aux sous-vêtements du Marquis, c’est très fébrilement qu’elle fit tomber le caleçon du Noble pour découvrir une volumineuse verge en semi-érection. Lorsqu'il fut entièrement nu, il grimpa dans la baignoire préalablement remplie d’un bain chaud et parfumée et demanda à Darla de le laver. Elle avait déjà vu des hommes nus mais le Seigneur était fait différemment. Il était d’une carrure d’épaule impressionnante et son sexe paraissait démesuré. La pensée de le sentir en elle lui colora les joues. Le Marquis d’Evans vit son trouble et lui sourit. Elle s'exécuta promptement et s'approcha du Maître pour le laver. Elle lui frottait le dos avec un gant à disposition sur la baignoire ainsi qu’un savon parfumé à la lavande. Quand elle lui frotta le devant, les épaules, le torse bombé, le ventre, le Marquis lui empoigna la main et la força à la descendre sous l’eau. Elle sentit alors un sexe en forte érection et elle le masturba avec un immense honneur suite à l’invitation à faire cela de la part de son Maître. Cette masturbation durant plusieurs minutes quand au bout d’un moment, Il demanda à Darla de reculer vers une des hautes fenêtres, de se mettre face à celle-ci, mains levées de chaque côté et plaquées sur les battants, de reculer un peu, jambes écartées et de bomber les fesses bien présentées à Sa vue.

Allongé dans le bain chaud, il se délectait du spectacle, admirant la silhouette de dos de la belle et sa belle croupe. Aucune parole ne fut échangée pendant quelques minutes; puis le Maître demanda à Darla si elle avait déjà été fessée et ce qu'elle ressentait à ce moment-là. Darla lui répondit que non, elle ne connaissait pas la fessée. Le Marquis lui dit alors que l'on pouvait avoir beaucoup de plaisir à recevoir des petites punitions corporelles et si elle était obéissante, Il lui ferait découvrir des mondes inconnus… Il décida de sortir du bain; sous Ses ordres, elle vint le sécher. Darla en était très excitée, à en mouiller, de passer la grande serviette éponge sur le corps de son Maître. Surtout quand elle essuya le sexe et les fesses de Son Maître. Puis suite à Son claquement de doigts et docilement elle le suivit jusqu'au lit où Il s'assit. A Son ordre, elle vint près de lui et Darla se mit dans la même position que tout à l'heure à la fenêtre, simplement que les mains étaient posées cette fois contre le lit, ce qui cambrait le dos de la belle et offrait au Marquis une croupe magnifiquement attirante et bombée.

Le Seigneur passa délicatement une main sur les fesses qui avaient perdues un peu de couleur. Un doigt s'insinua délicatement entre les deux globes; Darla eut un léger mouvement de recul. Le Marquis d’Evans lui demanda si elle connaissait le plaisir de la pénétration anale; elle lui répondit par la négative. Alors le châtelain lui parla doucement en lui demandant de lui faire confiance. Il reprit délicatement son exploration tout en continuant à lui parler. Un doigt vint s'insinuer dans le conduit étroit de Darla :

- Sens-tu mon doigt en toi ? Ferme les yeux et laisse-toi guider par le désir qui va poindre. Je t'ouvre délicatement, je rentre et sors et tu n'as pas mal."

Darla respirait fort et découvrait quelque chose de merveilleux, d'inattendu. Le Noble remarqua qu'elle mouillait déjà (ou encore). Il trempa alors deux doigts dans la vulve de Darla, puis les enfonça doucement dans l'anus de la belle.

- Tu vois, Darla, maintenant deux doigts sont en toi ; deux doigts qui écartent bien l'entrée, qui prennent possession de ton abri caché. Aimes-tu cela ? "
- Oui, Maître, j'aime !" répondit la soumise tout en gémissant de plaisir qu’elle ne pouvait contenir

Maintenant trois doigts vinrent se glisser doucement et allaient et venaient dans l'intimité de la belle qui haletait comme une chienne en chaleur.

- Veux-tu que j'arrête Darla ?"
- Non, mon Maître, je vous en prie, continuez, s’Il vous plait ! J’en souhaite davantage ! Je vous désire, vous, mon Maître !
- Non, ma jolie soubrette; pas tout de suite, pour le moment tu fais la connaissance de Mes doigts. Ce sont eux qui vont te donner la jouissance; Je ne te ferai mienne physiquement quand bon me semblera. Je vais maintenant te faire jouir par des plaisirs qui te sont inconnus jusque là ...

Il reprit le jeu doucement et avec une régularité parfaite des " va-et-vient " avec ses trois doigts. Le plaisir fut si fort qu’elle en cria. Le Maître retira ses doigts Il la fixa droit dans les yeux :

- Crois-tu, belle petite chienne que je me serais aussi bien occupé de toi si tes charmes n’avaient pas eu d’effet sur moi ? Regarde mon sexe dressé! Je vais te montrer à quel point tu as exacerbé mon désir.

Sur ces paroles il empoigna délicatement les cheveux de Darla et lui obligea de le prendre en bouche en plaquant la tête contre Son ventre. Darla s’appliquait du mieux qu’elle pouvait, elle qui désirait tant sucer son Maître, elle était ravie de s’exécuter. Puis au bout de quelques minutes, quand il sentit la jouissance prête à exploser, Il se retira de sa bouche et déversa sur son visage un jet tiède et blanchâtre.

- Garde sur toi cette marque de ton appartenance et va te coucher dans mon lit. Mesure le privilège que tu as de partager ma couche. Je vais t’offrir une nuit d’amour comme tu n’en as jamais connu.

Et ce disant, il la chevaucha et la pénétra plusieurs fois dans la nuit et dans de nombreuses positions Darla n’oubliera jamais cette nuit. Ses yeux étaient fermés ou quand elle les ouvrait, elle voyait mainte fois le visage du Maître penché sur elle. Quel prodige ! Elle jouit très souvent et ses cris furent rejoints plus d’une fois par les grognements de plaisirs du Marquis qui se répandait en elle de Sa semence, entrecoupés parfois 1 seule petite heure de sommeil, et cela à chaque fois que le Noble reprenait de la vigueur. Elle fut parfois réveillée pour être attachée, ou délivrée, prise dans des positions qu’elle n’aurait jamais imaginé et cela toute la nuit, une nuit de perversion, de luxure, de plaisir, d’amour … Et quelle nuit ! Ce n’est qu’au petit matin où elle fût si fatiguée, qu’elle sombra dans un sommeil profond couchée la tête au creux de la poitrine de son Maître … Darla était heureuse …

(A suivre ...)

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