Titre de l'histoire érotique : Les soeurs jumelles

- Par l'auteur HDS Georges -
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Les soeurs jumelles Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Les soeurs jumelles
- Olivia j’aimerais me confier à toi
- C’est ce que nous avons toujours fait Julie, ne te gêne pas, entre jumelles nous ne nous somment jamais rien caché
- Je sais mais là c’est plus … intime
- Il s’agit de Marc
- Oui
- Il te trompe ?
- Non, j’ai confiance en lui, mais parfois j’aimerais qu’il soit plus doux au lit, il te fait tout Adrien ?
- Houlà oui ! tout ! tu le sais je te raconte toujours certaines soirée plutôt hard !
- Marc rechigne à me faire certaines choses
- je croyais qu’il te faisait bien jouir ?
- Je fais ma crâneuse pour ne pas que tu me crois malheureuse mais il ne me bouffe pas le minou par exemple
- Tu devrais le convaincre de te faire l’amour plus intensément
- Peine perdue, raconte moi ce que te fais Adrien
- Encore ? tu va te caresser devant moi ?
- Si tu n’y vois pas d’inconvénient …
- Alors nous allons le faire ensemble, tu es prête ?
- Va-y raconte lorsqu’il commence par te masser les pieds…
- Lorsque je rentre du boulot mon cher mari m’embrasse passionnément et me demande si ma journée s’est bien passée, je lui réponds que oui mais que je suis harassée, alors il me fait assoir sur le canapé et lui sur un tabouret, je pose mes pieds sur ses genoux, il me déchausse et commence à masser mes orteils et ma plante des pieds mais ça vire vite au prétexte… insidieusement il écarte et lève une jambe pour apercevoir mon string, les mains remontent très vite des chevilles sous le genou, là où ça me chatouille
- Moi aussi je suis très sensible des creux poplités
- Il s’excite vite, la bosse de son pantalon ne ment pas, alors sa main douce remonte a l’intérieur de ma cuisse, je vais connaitre le bonheur lorsqu’il va suivre le contour de mon string là où la peau est délicate, il sait que j’adore l’ultime caresse avant qu’il ne touche ma moule
- Qu’est-ce qu’il est doux ton mec …
- Parfois j’aimerais des ‘violences’ contenues ! être baisée a la hussarde le long d’un mur
- Alors va voir le mien tu serais servie, il ne lui manque que la massue sur l’épaule et une peau de bête en guise de vêtements ! il n’hésite pas à attraper ma crinière et me forcer à me courber pour le sucer ou a m’affaler a plat ventre dans une encoignure de la pièce pour me forcer la chatte … zut, mes doigts sont trempés
- Moi aussi je mouille, presque autant que quand il tire sur ma culotte pour me lécher le con ! je jouis à coups sûrs lorsqu’il enfonce un doigt dans mon anus en lapant mon abricot !
- Ooooh comme j’aimerais connaitre ça …je vais jouir sœurette !
- Moi aussi … aaaaaaaaaaahhhhhooooooouuuuuuuuiiiiii !

Une fois apaisées nous rajustons slips et robes pour reprendre la conversation …

- En conclusion il faudrait que nous échangions nos maris !!
- Ce n’est pas bête du tout ce que tu dis …
- Ah ?
- Réfléchis, nous somment jumelles il nous est arrivé souvent de jouer à les piéger, ils n’y voyaient que du feu
- Oui mais pas au point de baiser avec
- Humm, parfois les mains n’hésitaient pas à peloter certaines parties charnues de nos corps ! moi je suis partante
- Tu ne serais pas jalouse ?
- Pas si je fais la même chose avec Marc au même moment
- Chacune chez soit ?
- Absolument, montre moi ton pubis il faut qu’ils soient identiques
- Je laisse un ticket de métro
- Comme moi, ça va, faisons échanges de fringues, donne moi aussi ton string, récapitulons... nous portons le même parfum…
- Tu oublie le grain de beauté qui nous différencie, celui que j’ai dans la raie des fesses et que tu n’as pas ?
- Boff, bien partis ils ne remarqueront pas ce détail
- A moins qu’ils ne veuillent nous sodomiser ?
- Tu accepterais ?
- J’sais pas …j’veux d’la queue bien raide !
- Salope !

Le soir bien décidées a jouer le jeu nous rentrons chacune de notre coté, c'est-à-dire elle chez moi et moi chez elle, sans oublier d’échanger nos voitures ! Adrien est déjà là, il se lève à mon arrivée pour me serrer dans ses bras et m’embrasser sur la bouche, instinctivement je desserre les lèvres, sa langue me pénètre et s’enroule autour de la mienne, je ne peux que répondre à ce baiser qui humidifie ma culotte déjà souillée de nos caresses mutuelles, il me colle sur lui mon corps alangui épouse le sien… je sens sa verge encore au repos

- Ça va chérie ? Tu as passé une bonne journée ?
- Comme d’ab. Je suis vannée
- Debout toute la journée n’est pas évident, tu veux que je te masse la plante des pieds
- Ce serait avec plaisir mais je dois préparer le repas ?
- Ça peut attendre, assied toi
- Merci mon amour
- Je vais te faire du bien, à moins que tu ne veuille aller de suite dans la chambre ?
- NON ! un léger massage suffira

Exactement comme m’a raconté ma sœur ‘mon mari’ s’assied sur le tabouret et prend une jambe sur ses genoux … rien qu’en faisant cela il doit avoir pleine vue sur ma culotte je ne fais rien pour la cacher au contraire mes jambes partent en V
Les doigts commencent a manipuler mes orteils et la plante où se trouvent les correspondances des organes vitaux, il doit effleurer celui du sexe car ma chatte réagit rapidement, mon vagissement de bébé l’incite a poursuivre et a accélérer le processus, les deux mains remontent le long de ma jambe qui s’écarte encore

- Huuummmm ! je crois que tu as très envie d’autre chose …
- C’est vrai chéri j’ai envie de sentir tes mains caresser mon corps
- Allonge-toi

Je ferme les yeux savourant ce que je n’ai jamais à la maison, repoussé par une main entre mes cuisses je sens le tissu de la robe glisser vers le haut, le pouce appuis sur ma motte et gratte l’endroit précis du clitoris avant de malaxer mes lèvres nappées de cyprine, les faisant glisser l’une sur l’autre, des bulles sonores s’échappent de mon vagin ,je suis ouverte comme jamais

- Ton slip est tout auréolé de mouille...
- T’ai rêvé de cet instant toute la journée
- En tous cas il sent bon la femme, soulève tes fesses je vais t’en débarrasser et lécher ton fruit mûr à point !
- Je suis sale de la journée …
- Tu sais bien que c’est comme ça que je l’aime ! ouvre-toi en grand, pose une jambe sur mon épaule … biennnnnnnnnn… Mmmuuuuummmm
- Hhhhaaaaaaaaoooooouuuuuuuuuiiiii enfonce ta langue très loin, encore ! encore !!

Mon bassin ondule sous sa langue experte, mais ce que m’avait caché son mari c’est que des doigts inoccupés s’amusent à tourner autour de mon anus, y plongeant soudainement, seraient-ils adepte de la sodomie ? s’il me le propose je ne puis refuser …

- Tu es ouverte de partout cochonne, je vais visiter ton p’tit trou ce soir
- Tu veux me la mettre par là ?
- Comme d’habitude, une fois par semaine ? tu ne veux pas ?
- Si-si-si- au contraire j’adore quand tu t’enfonce dans mon boyau
- Tu te positionne en levrette ?
- Ha bon ?
- Ben c’est plus facile

Merde de merde ! et s’il s’apercevait que j’ai un grain de beauté tout prés du cratère, et comment ça se passe pour Olivia ??????

La jeune jumelle a peine entrée a été accaparée par le mâle déjà en robe de chambre bien décidé et prêt à baiser ‘sa femme’ il la suit dans la cuisine…

- Bobonne ça te dirait de tirer un p’tit coup ?
- Encore ? laisse moi tranquille je suis crevée
- Raison de plus ça détend de jouir ! approche …
- Marc ôte ta main…
- Huuuuummmm mais tu mouille salope ?
- NON ?
- Tu me prends pour un con ? écarte les jambes
- AIE ! tu rentre ma culotte dans ma chatte !
- Alors obéis … voilà c’est mieux … je rentre deux doigts sans problèmes, voyons voir si ce n’est pas du foutre par hasard... non, c’est bien de la mouille
- Tu pensais sans doute que je venais de me faire baiser par le voisin ?
- Notre voisin c’est mon beau frère, avec les saintes ni-touches faut s’attendre à tout, suce moi...
- Non !
- Suce moi j’te dis
- Aieeee ! tu me tire les cheveux
- A genoux devant ma bite et avale

Et voilà ! la première partie se déroule comme l’a dit ma sœur, je tète avidement ce bout un peu différent que celui de mon mari, ma salive abondante dissous le relent d’urine, c’est lui qui faisant pression sur ma nuque imprime la cadence a laquelle je dois pomper et branler

- Assez sucer ! relève-toi, penche-toi sur l’évier…
- Non ! pas ici, pas comme ça !
- Et pourquoi pas ? recule ton cul salope que je donne ce que tu mérite
- Que va-tu me faire ?
- Te baiser alternativement par tes deux trous ! passe-moi le beurre qui est sur la table de travail et ce couteau
- Que veux-tu faire avec ce couteau ??
- Couper ta ‘chulotte’ encombrante, pas le temps de l’enlever

J’aime cette bestialité je me prête volontiers au jeu malgré l’appréhension qu’il découvre mon grain de beauté, ma chatte dégouline entre mes cuisses, il écrase une noix de beurre sur mon anus et en fait rentrer un maximum dans mon boyau, son doigt apaise un peu mon anus en profondeur mais il me faut plus, je tortille du cul comme pour me dégager ce qui l’incite a me prendre de suite, sa queue pèse sur ma vulve qui avale une bonne partie de cette chair raide, je pousse un cri de satisfaction et accompagne ses coups de bélier avec mon bassin

- Pour quelqu’un qui n’avait pas envie de baiser tu te démène comme une pouffiasse ma poule !
- Salaud montre moi de quoi tu es capable !
- Tu me mets au défit ? tu va être servie, attend ? ne bouge plus ?…ça par exemple quelle surprise …
- Quoi ?
- Rien, relâche tes muscles je t’enfile direct
- Hhhaaaaaaaaaaiiiiiieeee !!!!!ooooooouuuuuuiiiille ! enfoiré de Bauff !
- Hahahahahahahahaaaaa !!! tu t’es vendue ! je baise et sodomise ma belle sœur, j’en ai toujours rêvé !
- Connard, dit toi bien qu’en ce moment Julie se fait enfiler par mon mec ! elle qui rêve de faire l’amour en douceur elle est servie avec Adrien, qui, en ce moment doit décharger entre ses cuisses !
- Elle se plaint de moi ?
- Devine ? par contre moi j’ai envie de me faire éclater la choune alors tape-moi dans le ventre aussi fort que tu peux
- Vous nous avez piégés salopes ! Adrien va te retrouver avec le cul rougi, prend ça ! et encore ça !
- Oui oui oui oui oui oui oui !!!!! change de trou !

J’ai enfin ce que je veux, jouir sous des coups virils qui me font mouiller du cul

- Tu sais quoi Marc ? désormais nous échangerons de mec une fois par mois
- OK mais pour une nuit entière afin que j’ai le temps de te faire crier grâce
- Pauvre type ! je te viderais les couilles avant que je ne sois vannée
- Salope ! trainée ! prends ça dans la chatte !!!

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